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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
15 juillet 2019 1 15 /07 /juillet /2019 22:47
Ratification du CETA : le retour (discret) … Le vote a lieu mercredi 17 juillet 2019 à l'Assemblée nationale en pleines vacances - Encore un traité de libre-échange contre les travailleurs, les consommateurs et le climat ...
Ratification du CETA : le retour (discret) … Le vote a lieu mercredi 17 juillet 2019 à l'Assemblée nationale en pleines vacances - Encore un traité de libre-échange contre les travailleurs, les consommateurs et le climat ...

Lettre ouverte aux Parlementaires français

par le Parti de la démondialisation
le 12 juillet 2019

 

Le cap difficile des élections européennes est passé et le mouvement des Gilets Jaunes fait une pause médiatique. Emmanuel Macron, le missus-dominicus de l’UE en France, a décidé de reprendre l’exécution de sa lettre de mission comme si de rien n’était après sa politique tape-à-l’oeil de ces derniers mois. Et de relancer la ratification du CETA parle Parlement français. C’est pour le 17 juillet.

En février 2018, le Pardem avait déjà tiré la sonnette d’alarme. À l’époque, mis à part les valets des multinationales en France, personne ne voulait de ce traité. Même nos représentants au parlement européen de l’époque avaient dans leur grande majorité (80%) et toutes tendances confondues, voté contre. Le traité avait  quand même reçu l’approbation d’une majorité des 2/3 des parlementaires européens. En attendant la ratification par tous les États, l’accord a été mis en application provisoire en septembre  2017.
Depuis, la mise en application provisoire du CETA a permis une première expérience de son fonctionnement. Ce traité n’a pas changé de nature. Le CETA n’est qu’un accord de libre-échange supplémentaire qui donnera des résultats analogues à tous les traités du genre. Il est en effet basé sur les mêmes principes qui doivent conduire aux mêmes promesses, c’est à dire que la concurrence permet de faire progresser la qualité des services en faisant baisser les prix et en améliorant le pouvoir d’achat. Cela fait cinquante ans que cette chanson est entonnée par les tenants du libéralisme avec toujours le même refrain : « toujours plus de concurrence et le bonheur sera pour demain ».
Les résultats permettent de constater que l’amélioration est bien réelle pour une infime partie de la population mais complètement fausse pour tous les autres.Les partisans des accords de libre-échange évitent soigneusement la remise en question du principe même de concurrence. Ils se concentrent sur son côté plus ou moins faussé. Pas question de souveraineté alimentaire, pas question de choix de société, pas question de démocratie.


Le Pardem envoie ce jour une lettre ouverte aux parlementaires français pour leur demander de ne pas ratifier l’accord CETA, ni ceux qui sont à suivre (JEFTA, accord avec le Mercosur, …), tous négociés par l’Union européenne sur le même schéma destructeur, pour les peuples et la démocratie. Vous pouvez soutenir notre démarche en reprendre cette lettre et en l'envoyant à votre député, à votre sénateur.

Pour lire la lettre cliquez ci-dessous :

http://pardem.org/le-parti/campagnes/ceta/969-ratification-du-ceta-le-retour-discret
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15 juillet 2019 1 15 /07 /juillet /2019 14:00
Mémoire. Les balles du 14 juillet 1953
Maud Vergnol
Jeudi, 13 Juillet, 2017
L'Humanité
 
 

Juillet 1953, un portrait de Maurice Lurot est posé rue du Ruisseau à Paris, là où il vendait l’Humanité Dimanche. Mémoire d’Humanité/Archives dép. de la Seine-Saint-Denis

Juillet 1953, un portrait de Maurice Lurot est posé rue du Ruisseau à Paris, là où il vendait l’Humanité Dimanche. Mémoire d’Humanité/Archives dép. de la Seine-Saint-Denis
 

Le souvenir de cette journée sanglante, où sept militants algériens et français furent abattus par la police en plein Paris, refait surface depuis peu.

«Paris n’oubliera jamais la manifestation du 14 juillet 1953. » Ce 15 juillet de la même ­année, l’Humanité consacre sa une au véritable crime d’État qui s’est déroulé la veille, place de la Nation, où six indépendantistes algériens du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD) et un communiste et syndicaliste de la CGT ont été froidement abattus par la police française.

Mais Paris a oublié. Même les consciences militantes, pourtant plus vigilantes, ont effacé de leur mémoire ces balles du 14 juillet. Ce fut le cas dans nos propres colonnes, qui ont ignoré depuis plus de soixante ans cet épisode sanglant, qui coûta la vie à Abdelkader Draris, Mouhoub Illoul, Maurice Lurot, Amar Tadjadit, Larbi Daoui, Tahar Madgène et Abdallah Bacha. Leurs noms sont enfin sortis de l’oubli le 6 juillet dernier, grâce à l’initiative des élus communistes parisiens. Soixante-quatre ans plus tard, une plaque a finalement été inaugurée place de la Nation par Catherine Vieu-Charrier, adjointe à la maire de Paris, chargée de la mémoire. Présent au premier rang de cette commémoration : Guy Lurot, qui a découvert la veille en lisant l’Humanité Dimanche cet hommage tardif à son père et aux six autres victimes.

[..]

Lire la suite sur le site de l'Humanité

Et un livre :

" Les balles du 14 juillet 1953 "

Le massacre policier oublié de nationalistes algériens à Paris

Daniel KUPFERSTEIN

 

Editions La Découverte

 

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14 juillet 2019 7 14 /07 /juillet /2019 23:16

ISBN : 2330066511
Éditeur : Actes Sud (17/08/2016)


Note moyenne : 3.68/5 (sur 295 notes)

Résumé :
La prise de la Bastille est l’un des événements les plus célèbres de tous les temps. On nous récite son histoire telle qu’elle fut écrite par les notables, depuis l’Hôtel de ville, du point de vue de ceux qui n’y étaient pas. 14 Juillet raconte l’histoire de ceux qui y étaient. Un livre ardent et épiphanique, où notre fête nationale retrouve sa grandeur tumultueuse.
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11 juillet 2019 4 11 /07 /juillet /2019 14:56

Lu sur Alger Républicain

Il ne fait aucun doute que l’arrestation, samedi dernier, de Lakhdar Bouregaâ, commandant de l’ALN, dans l’ex-Wilaya 4 durant la guerre de libération, est à mettre sur le compte d’une répression pour délit d’opinion. Le grief invoqué par le parquet pour mettre sous les verrous cet homme âgé de 86 ans : « participation, en temps de paix, à une entreprise de démoralisation de l’armée ayant pour objet de nuire à la défense nationale et à un corps constitué » ne convainc personne. Au train où vont les choses depuis le 22 février - disons plus exactement depuis la mémorable manifestation de Kherrata du 16 février contre le 5e mandat de BouteflikaA - ce sont des milliers de citoyens de toutes les régions du pays qu’il faudrait jeter en prison chaque mardi et chaque vendredi en application de ce genre d’accusations que rien de sérieux n’étaye. Après tout, Lakhdar Bouregaâ et les jeunes placés sous mandat de dépôt, ont-il ourdi un complot avec un groupe du régime contre un autre pour qu’ils soient coffrés sans même bénéficier ne serait-ce que de la liberté sous contrôle judiciaire en attendant que les juges finissent leurs investigations ?

Lakhdar Bouregaâ est un personnage réputé pour son tempérament fougueux. Qu’on les partage ou pas, il agit depuis l’indépendance selon ses convictions intimes, ce qui l’avait conduit à s’associer à la sédition armée d’Aït Ahmed en septembre 1963 pour exprimer son désaccord avec Ben Bella et les dirigeants politiques de l’époque, puis à s’élever contre le coup d’Etat du 19 juin 1965 qui avait renversé ce dernier. Des positions qui l’ont conduit à passer sept ans en prison avant de goûter de nouveau à la liberté pour se consacrer paisiblement à sa vie familiale. Il y a des années de cela déjà, lors de l’inhumation du regretté Mustapha Saadoun, Lakhdar Bouregaâ exprimait devant la tombe du défunt aux membres d’Alger républicain son indignation de constater que l’Algérie, telle que l’envisageaient secrètement les responsables du pouvoir, allait être « transformée en porte-avions de l’OTAN »*.[...]

Lire la suite ci-dessous :

Et aussi :

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24 juin 2019 1 24 /06 /juin /2019 16:34

Lire aussi cette tribune dans FigaroVox :

"1000 emplois supprimés par General Electric: l’histoire d’un piège américain et d’une trahison française"

par Jean-Charles Hourcade, ingénieur, polytechnicien, ancien Directeur Général Adjoint du groupe Thomson, ancien Directeur Général de France Brevets. Il est responsable Industrie de République Souveraine.

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/1000-emplois-supprimes-par-general-electric-l-histoire-d-un-piege-americain-et-d-une-trahison-francaise-20190528?redirect_premium&fbclid=IwAR208b1YqiCHqx0bC_ogKNRkLh5jmf9Z_1V5359sSpg7YibVIOwiqBSmL4o

https://www.republique-souveraine.fr/

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14 juin 2019 5 14 /06 /juin /2019 17:08

Vérification.  Effectivement.  Les codes postaux des communes ne sont pas les bons !!!

Incompétence ou sabotage ?  Comme je ne veux pas être accusée de complotisme, je choisis l'incompétence.  A leur décharge, la démocratie n'a pas le vent en poupe dans cette Vème République, modifiée en pire par E. Macron et ceux qui l'ont précédé ...

 

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14 juin 2019 5 14 /06 /juin /2019 17:06

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14 juin 2019 5 14 /06 /juin /2019 16:40

Avec le CETA, impossible de contrôler les multinationales étrangères qui pourraient faire appel à une juridiction privée extra-territoriale.

Si la privatisation d'ADP venait à être mise en oeuvre par le gouvernement français, elle serait difficilement, voire impossible à remettre en cause, même si un vote majoritaire le souhaitait.

La bataille contre la privatisation d'ADP est directement liée au vote sur le  CETA  au Parlement français Les parlementaires européens, élus à la proportionnelle, avaient voté NON au CETA au Parlement européen.  Il serait anti-démocratique que le Parlement français déjuge ce vote.

Peu de Français souhaitent une telle société libérale.  Il faut en finir avec le "Il n'y a pas d'autre choix" de M. Thatcher.  On peut dire NON aux multinationales.  On peut dire NON au capitalisme mondialisé.

YG

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14 juin 2019 5 14 /06 /juin /2019 16:22
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31 mai 2019 5 31 /05 /mai /2019 14:42

Israël peine à trouver des entreprises internationales prêtes à développer le tramway de Jérusalem, qui relie ses colonies de peuplement illégales en Cisjordanie occupée à Jérusalem - Photo : OZinOH

 

Communiqué de l’Association France Palestine Solidarité, CFDT, CGT, FIDH, Al Haq, LDH, Solidaires, Plateforme des ONG françaises pour la Palestine

A l’issue d’une intense campagne de mobilisation, nos organisations se félicitent aujourd’hui du retrait d’ALSTOM de l’appel d’offre pour l’extension du réseau de tramway à Jérusalem-Est, outil de la politique de colonisation et d’annexion israélienne à Jérusalem. Après le retrait en juin de Systra, filiale de la SNCF et de la RATP, nous demandons à la dernière entreprise française historiquement impliquée dans le projet : la Caisse des Dépôts et Consignations via sa filiale EGIS, de s’en retirer pour ne pas se rendre complice de violations du droit international. Nous demandons à l’État de jouer son rôle au titre de ses responsabilités en matière de relations internationales comme d’investisseur.

Paris, le 16 mai 2019 – La situation de Jérusalem, avec l’annexion illégale de Jérusalem-Est, le développement galopant de ses colonies et les transferts forcés de sa population palestinienne, est un concentré des violations du droit international par Israël. La reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël par Trump et le déplacement officiel de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem le 14 mai 2018, en contradiction avec les engagements de la communauté internationale, ont encore accéléré la dégradation de la situation sur le terrain.

La ligne de tramway existante et les extensions en projet visent à relier Jérusalem-Ouest à ces colonies israéliennes implantées sur le territoire palestinien occupé de Jérusalem-Est et à favoriser le développement de colonies illégales en violation du droit international. C’est pour cette raison que, le 13 juin 2018, huit organisations (L’Association France Palestine Solidarité, la CFDT, la CGT, la FIDH, Al-Haq, la LDH, l’Union syndicale Solidaires et la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine) ont publié le rapport « Tramway de Jérusalem : des entreprises françaises contribuent à la colonisation israélienne du territoire palestinien occupé », et lancé officiellement la campagne pour le retrait de ce projet des entreprises françaises qui y sont impliquées.

Le retrait de Systra, filiale commune de la SNCF et de la RATP, a été annoncé dès le 20 juin 2018 par la voix du président de la SNCF. C’est maintenant au tour d’Alstom de se retirer de ce projet : ce retrait a été annoncé par les deux sociétés israéliennes qui étaient ses partenaires dans un consortium qui devait soumettre son offre au plus tard le 13 mai. L’argument initial d’Alstom présenté aux deux entreprises était que « l’appel d’offres et le projet lui-même sont ostensiblement nuisibles, ou pourraient potentiellement nuire aux droits de l’Homme. En outre, selon Alstom, la participation à l’offre est contraire au droit français ».

Le nombre de consortiums candidats à la construction de la phase 2 du projet est passé de sept à deux. Nous appelons maintenant les consortiums restants à se retirer de ce projet, pour marquer qu’ils ne peuvent pas cautionner l’annexion de territoires par la force, la colonisation de territoires occupés et la violation constante du droit international par Israël.

Au moins une société française reste impliquée dans le projet du tramway colonial de Jérusalem. Il s’agit de Egis Rail, dont l’actionnaire majoritaire est la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), et donc majoritairement à capitaux publics. Nous demandons d’urgence au gouvernement et à la direction de la CDC qu’au nom de l’éthique de l’entreprise, qui ne doit souffrir aucune exception, ils exigent d’Egis Rail son retrait immédiat de ce projet.

Après la belle victoire pour le droit que constitue le retrait d’Alstom du projet de tramway, il est indispensable que le gouvernement français et l’ensemble des gouvernements européens prennent clairement position contre toute implication des entreprises dans le déni du droit que constitue la politique israélienne d’annexion, de colonisation et d’occupation.

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