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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
21 décembre 2020 1 21 /12 /décembre /2020 11:41
Le nickel et les tensions en Nouvelle Calédonie
Le nickel et les tensions en Nouvelle Calédonie
Lu sur le site "Communistes"

Trois mois après le référendum Kanak, sur l’autonomie du territoire colonisé par la France, la vente par le groupe brésilien Vale de l’usine de Nickel suscite la colère des indépendantistes et des chefferies kanak.

Depuis l'annonce mercredi 9 décembre par le groupe brésilien Vale de vendre son usine de nickel à un consortium calédonien et international, incluant le groupe Suisse spécialisé dans le courtage et le transport de matières premières, Trafigura dont le chiffre d’affaires s’élève à plus de 100 milliards de dollars. Les violences vont crescendo dans l'archipel français du Pacifique.
Le Nickel représente près de 80% des exportations de la Nouvelle Calédonie, alors que seulement la moitié de la production est traitée sur place.
Le collectif "usine du sud: usine pays" et l'Instance coutumière autochtone de négociations (ICAN) soutenus par les indépendantistes du FLNKS sont "totalement opposés" à ce projet, qui consacre selon eux "la mainmise des multinationales sur les richesses du pays". Et nous pouvons ajouter, favorise le transfert du minerai vers d’autres destinations !
Bien entendu les serviteurs du colonialisme donnent de la voix : « Laurent Prévost, haut-commissaire en Nouvelle-Calédonie, a aussitôt "condamné fermement ces actes irresponsables", à l'instar de Sonia Backés (loyaliste), présidente de la province sud, qui a dénoncé des "manœuvres inconscientes". "Chacun doit privilégier la voie du dialogue et de la recherche d'un consensus plutôt que de laisser les fantômes… ». Les fantômes parlons-en : Éloi Machoro et Marcel Nonnaro, sont abattus le 12 janvier 1985 pendant le septennat de Mitterrand par des tireurs d’élite du GIGN de la gendarmerie à La FOA. Venue de France pour ça ! D’autres avant lui, ont été abattus : Pierre Declercq, le 19 septembre 1981, dirigeant du FLNKS Jean Marie Djibaou, un démocrate-chrétien, il est assassiné le 4 mai 1989, pendant le 2ème Septennat de Mitterrand avec Yeiwéné Yeiwéné son bras droit au FLNKS, par un indépendantiste Kanak téléguidé. Etc…
Les colons ne sont pas en reste, samedi 12 dans Nouméa 23.000 personnes ont manifesté selon la police, 30.000 selon les organisateurs, pour dire "stop aux blocages" et réclamer la "liberté de circuler". Il avait le soutien du sénateur Pierre Frogier (LR), ainsi que du président du gouvernement local Thierry Santa et la présidente de la province Sud Sonia Backés ainsi que du RN de Marine Lepen !
Le soutien de Parti Révolutionnaire Communistes va au peuple Kanak et à leur exigence de voir leur droit à l’indépendance, les richesses du sous-sol leur appartenir, ils ont raison de les défendre, de vouloir leur nationalisation contre les multinationales.
https://www.sitecommunistes.org/index.php/monde/oceanie/1091-nouvelle-caledonie-l-independance-en-jeu

 

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20 décembre 2020 7 20 /12 /décembre /2020 18:04
Révolte des agriculteurs de l’Inde - [ Blog Histoire et Société]
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16 décembre 2020 3 16 /12 /décembre /2020 23:46
Manifestation contre la vente de l’usine du Sud à l’entreprise suisse Trafigura, à Nouméa, le 9 décembre. © Theo Rouby / Hans Lucas via AFP

Manifestation contre la vente de l’usine du Sud à l’entreprise suisse Trafigura, à Nouméa, le 9 décembre. © Theo Rouby / Hans Lucas via AFP

Une mobilisation massive est en cours en Kanaky Nouvelle-Calédonie sur le sort de l’usine Vale, dite usine du Sud. La multinationale brésilienne Vale a mis l’usine en vente et a annoncé le 9 décembre, l’avoir cédée au consortium Prony Ressources, contrôlé en partie par le courtier suisse Trafigura. C’est la souveraineté du peuple de ce territoire sur ses ressources minières qui est en cause. Or le pouvoir colonial joue la tension et répond par la répression. Il a été violemment mis en cause par le Front de libération nationale kanak socialiste (FLNKS, indépendantiste), mais aussi par l’Instance coutumière autochtone de négociation (Ican). En solidarité avec les protestations en cours en Kanaky Nouvelle-Calédonie, l’Association Information et Soutien aux Droits du Peuple Kanak (AISDPK) organise un rassemblement statique à Paris le mercredi 16 décembre.[...]

La suite ci-dessous sur le site histoirecoloniale.net

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3 décembre 2020 4 03 /12 /décembre /2020 17:02

Action Communiste partage en partie cette analyse.  Mais l'UE n'est qu'une des institutions du capitalisme mondialisé.  E Macron adhère totalement et à l'UE et au dogme capitaliste : toujours plus pour le taux de profit.  C'est pour cela qu'on ne peut défendre le service public ferroviaire sans combattre en même temps  le gouvernement Philippe-Macron et l'Union Européenne qui nous impose ses directives contre notre vote ! La libéralisation du rail - c'est à dire sa privatisation - faisait partie des objectifs du traité constitutionnel.

Défendre le service public ferroviaire,
c'est être contre l'UE !

Par le Parti de la démondialisation

Le 7 février 2018

Les cheminots et les usagers du rail sont appelés à manifester le 8 février à Paris à partir de 13 h à la République pour la défense du service public ferroviaire et contre la concurrence ferroviaire.

Le Pardem soutient cette initiative de la CGT et les revendications en faveur du service public du rail dont la privatisation a commencé et va s'accentuer. Mais peut-on défendre le service public sans remettre en cause l'appartenance à l'Union européenne qui impose ses directives néolibérales et détruit tous les services publics ? EDF, La Poste, les télécommunications, la SNCF...

Pour mémoire, il y a 10 ans, le 8 février 2008, les parlementaires français trahissaient le NON au Traité constitutionnel européen voté par près de 55% en 2005 et adoptaient le Traité de Lisbonne ! N'y a-t-il aucun lien de cause à effet ?

Etre pour le service public ferroviaire, c'est être contre l'Union Européenne ! [PARDEM] Paru en 2018
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23 octobre 2020 5 23 /10 /octobre /2020 14:00

Paru en 2016 sur ce blog.  C'est toujours valable en 2022 ...

Mais comment faire ?  Quelle stratégie pour sortir de ce piège ?

Sortir du piège de la Présidentielle (par André Bellon)
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16 octobre 2020 5 16 /10 /octobre /2020 13:29

" Evo Morales était donc élu. Il n’a pas été poussé à la démission en raison de « fraudes » ayant entaché sa victoire ; alors qu’explosait une vague de violence destinée à terroriser ses ministres et législateurs, ses proches, ses militants et électeurs, il a été victime d’un Coup d’Etat "

Nouveau « coup pourri » de l’OEA en Bolivie ? par Maurice Lemoine

Le 18 octobre auront lieu en Bolivie des élections générales afin d’élire le président, le vice-président et de renouveler les 130 députés et 36 sénateurs du Parlement. Peut-on parler d’une « grande fête démocratique », selon l’expression consacrée ?
Pour mémoire : suite aux élections d’octobre 2019, le pays a connu une rupture constitutionnelle débouchant sur une prise de pouvoir (le 12 novembre) de la sénatrice d’opposition Jeanine Añez, dont le parti conservateur Unité démocratique (UD) venait d’obtenir un spectaculaire… 4,24 % des voix. Elle devint néanmoins miraculeusement « présidente » grâce à l’appui des Forces armées, de la police, des partis de droite et des factions d’extrême droite, de transfuges de la société dite « civile » – les Eglises catholique et évangéliques apportant leur bénédiction. En quelques heures, les Etats-Unis (de Donald Trump), le Brésil (de Jair Bolsonaro) et l’Union européenne (par la voix de son représentant León de la Torre) adoubèrent l’enfant adultérin de cette union et le baptisèrent « gouvernement de transition ». [...]

La suite sur le site Mémoire des luttes :

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21 juillet 2020 2 21 /07 /juillet /2020 23:42

 

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17 juin 2020 3 17 /06 /juin /2020 23:14

"Nous avons sous les yeux l’image d’un État de droit à la dérive. Et si l’on en croit l’article du Figaro, avec à son sommet quelqu’un qui ne s’impose aucune limite, fait fi des principes, du respect de la loi, et de la dignité politique de sa fonction. L’immunité présidentielle est une protection du chef de l’État, pas une commodité pour arranger ses affaires personnelles.

Sous la direction d’Emmanuel Macron, le monde d’après s’annonce dangereux."

 

Sur le site "Vu du droit"

 

Hier en fin d’après-midi un article publié sur le site du Figaro a provoqué nombre de réactions politiques outrées, mais franchement, il faut y ajouter la stupéfaction des juristes

Reproduisons en ici le chapeau : « Lundi, le président de la République aurait profité d’un déjeuner avec Renaud Muselier pour lui proposer une aide financière de l’État en échange du soutien des Régions de France ».

Le corps de l’article nous donne quelques précisions sur ce qui se serait produit et dit à l’occasion de cette rencontre : « Lors d’un déjeuner avec le président des Régions de France Renaud Muselier, qui a eu lieu lundi à l’Élysée en présence de la ministre Jacqueline Gourault, le chef de l’État s’est montré très clair, selon les informations du Figaro. « Je vous aide (financièrement) si vous m’aidez à reporter les régionales après la présidentielle car j’ai des opposants politiques parmi vous », a déclaré Emmanuel Macron, comme l’a rapporté Renaud Muselier aux présidents de région qu’il a eus ensuite par téléphone. « Je ne vais pas donner de l’argent à mes adversaires », a ajouté le président de la République. »

Pardon ? Mais de quoi s’agit-il ? Qu’est-ce que c’est que ce marchandage ? Parce qu’il s’agit bien d’un marchandage. Si l’on comprend bien, comme l’explique d’ailleurs clairement l’article, Emmanuel Macron pressent une lourde défaite pour L.R.E.M. et lui-même au mois de mars prochain à l’occasion du renouvellement Conseils Régionaux élus en 2015. Et cela risque de gêner sa candidature car un certain nombre de présidents de Région qui ont toutes chances d’être réélus, sont présidentiables comme Valérie Pécresse, Xavier Bertrand ou Laurent Wauquiez qui l’ont déjà laissé entendre. Alors le président de la république ferait miroiter des subventions publiques, comme contrepartie à l’appui d’autorités publiques que sont ces élus, à une manipulation destinée à favoriser ses intérêts privés de candidat à la prochaine présidentielle. Mais enfin, qu’est-ce que c’est que cette façon de mettre l’argent public au service de ses petits intérêts ? De prendre des libertés avec le calendrier électoral républicain pour mettre en place une manipulation politique de boutiquier ? [...]

La suite ci-dessous :

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10 juin 2020 3 10 /06 /juin /2020 15:47
 Mondialisation - Une seule solution, la démondialisation !

Écrit par le_pardem

 

Manif13Mai2018 600

Par le Parti de la démondialisation
Le 11 avril 2020

Il y a seulement quelques semaines, ceux qui parlaient de la démondialisation passaient pour des farfelus, des zozos incapables de s’adapter à un monde de plus en plus ouvert, etc.
Au pire, nous passions pour des populistes, des "rouges-bruns’’ dominés par la peur de l’autre, par la xénophobie et rêvant de repli sur soi.
Apparemment, le vrai monde, celui des altermondialistes de tous poils, des internationalistes de pacotille, de la ‘’gôche’’ de salon (insoumise ou pas…) et de Macron, avait le vent en poupe et n’avait rien à voir avec les analyses des ‘’illuminés’’ démondialisateurs.…

Et la pandémie est arrivée… bousculant les discours de tous ces ‘’bien-pensants’’.

Ce qui était présenté comme une évidence par les tenants du système néolibéral s’est révélé aux yeux de tous une absurdité.
Ce qui était qualifié d’absurdité par la coagulation néolibérale-verts-alter, anti-nation, sonne désormais comme le bon sens !
Les démondialisateurs auraient donc raison ?
Impensable avant la « crise » sanitaire. Evidence aujourd’hui !

[...]

La suite sur le site du Pardem :

 

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8 mai 2020 5 08 /05 /mai /2020 16:53

"la France libre et la France combattante et, par la suite, le Comité français de la libération nationale et le Gouvernement provisoire de la République française, ont été, à compter du 16 juin 1940, dépositaires de la souveraineté nationale et ont assuré la continuité de la République."

Le 18 juin 1941, pour le premier anniversaire de son appel de l’année précédente Charles de Gaulle prononçait un discours devant le Comité français d’Egypte qui commençait par ces mots :

« Le 17 juin 1940 disparaissait à Bordeaux le dernier Gouvernement régulier de la France. L’équipe mixte du défaitisme et de la trahison s’emparait du pouvoir dans un pronunciamento de panique. Une clique de politiciens tarés, d’affairistes sans honneur, de fonctionnaires arrivistes et de mauvais généraux se ruait à l’usurpation en même temps qu’à la servitude. Un vieillard de quatre-vingt-quatre ans, triste enveloppe d’une gloire passée, était hissé sur le pavois de la défaite pour endosser la capitulation et tromper le peuple stupéfait.

Le lendemain naissait la France Libre. »

La suite sur le site "Vu du droit"

« la France libre et la France combattante et, par la suite, le Comité français de la libération nationale et le Gouvernement provisoire de la République française, ont été, à compter du 16 juin 1940, dépositaires de la souveraineté nationale et ont assuré la continuité de la République. Il s’ensuit que les documents qui émanent de ces institutions et de leurs dirigeants et représentants procèdent de l’activité de l’Etat et constituent, dès lors, des archives publiques.

Arrêt du Conseil d'Etat à propos du statut juridique des archives du général de Gaulle - 1" Avril 2018

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