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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
23 janvier 2018 2 23 /01 /janvier /2018 11:56

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22 janvier 2018 1 22 /01 /janvier /2018 16:01
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22 janvier 2018 1 22 /01 /janvier /2018 15:19
22 Jan 2018

Il a de la classe notre Tsipras, jusqu’où faudra-t-il soutenir le Thatcher d’or ? (note de danielle Bleitrach

mercredi 17 janvier 2018 – 1

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La Grèce a adopté lundi 15 janvier une législation restreignant le droit de grève. Les députés de Syriza ont voté le texte malgré l’opposition des syndicats, une journée de grève vendredi 12 janvier et de nouveaux débrayages et manifestations le jour de l’examen de la loi au parlement.

 

«  Les grèves ne sont ni abolies ni menacées par ce gouvernement  », s’est défendu Alexis Tsipras, le Premier ministre grec issu de la gauche radicale élu en 2015. Pourtant, les faits sont têtus. Lundi soir, le parlement a adopté un nouveau paquet de mesures exigé par les créanciers du pays, par 154 pour et 141 contre. Parmi elles, une modification du droit de grève. Dorénavant, les syndicats devront avoir le vote de plus de 50 % de leurs membres à jour de cotisations dans une entreprise pour déclencher un arrêt de travail. Comme au Royaume-Uni.

En Grèce, le taux de syndicalisation est nettement plus important qu’en France. Il représente 25 % des salariés selon l’ Institutional characteristics of trade unions, wage setting, state intervention and social pacts (ICTWSS). Environ trois fois plus que dans l’hexagone. Par contre, l’implication réelle est faible selon Panos Angelopoulos, membre du collectif de solidarité des Grecs à Paris. Pour lui, plus le socle retenu pour se prononcer en faveur d’un mouvement est élargi aux salariés les moins impliqués, plus il sera difficile de lancer une grève. L’argument d’une loi en faveur de l’implication syndicale a même été mis en avant par le gouvernement. Un peu comme en France, les référendums d’entreprise de la loi El Khomri ont été présentés comme une avancée démocratique.

Mais cette communication peine à convaincre. Les syndicats revendicatifs considèrent que c’est une mise à mort du droit de grève. Plus largement, le parti de droite Nouvelle Démocratie devance Syriza de 10 points dans les sondages. Le résultat de la volte-face du Premier ministre après le référendum donnant la victoire au non au mémorandum en 2015, puis de son application à satisfaire les exigences des créanciers. Depuis les mesures d’austérité s’empilent et la confiance en Tsipras n’est plus de mise. Il est vrai que la moitié des retraités grecs vivent aujourd’hui au-dessous du seuil de pauvreté. Là aussi, les faits sont têtus.[...]

Lire la suite sur le blog "Histoire et Société"

 

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22 janvier 2018 1 22 /01 /janvier /2018 14:54
« Il n'y a point de procès à faire. Louis n'est point un accusé, vous n'êtes point des juges ; vous êtes, vous ne pouvez être que des hommes d'État et les représentants de la nation. Vous n'avez point une sentence à rendre pour ou contre un homme, mais une mesure de salut public à prendre, un acte de Providence nationale à exercer. Quel est le parti que la saine politique prescrit pour cimenter la République naissante ? C'est de graver profondément dans les coeurs le mépris de la royauté, et de frapper de stupeur tous les partisans du roi. [...] Louis fut roi, et la République est fondée. La question fameuse qui vous occupe est décidée par ces seuls mots : Louis est détrôné par ses crimes ; Louis dénonçait le peuple français comme rebelle ; il a appelé, pour le châtier, les armes des tyrans ses confrères. La victoire et le peuple ont décidé que lui seul était rebelle. Louis ne peut donc être jugé, il est déjà condamné ; il est condamné, ou la République n'est point absoute. Proposer de faire le procès de Louis XVI, de quelque manière que ce puisse être, c'est rétrograder vers le despotisme royal et constitutionnel ; c'est une idée contre-révolutionnaire car c'est mettre la révolution elle-même en litige. En effet, si Louis peut être encore l'objet d'un procès, Louis peut être absous ; il peut être innocent ; que dis-je ! il est présumé l'être jusqu'à ce qu'il soit jugé. Mais si Louis peut être présumé innocent, que devient la révolution ? N'est-elle pas encore incertaine et douteuse ? »
Maximilien Robespierre, Discours à la Convention
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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 18:06

Cet article est reposté depuis Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges..

De vrais bons voeux adressés à Canaille le Rouge client, comme à toute la population alentour
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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 23:41

L’Union européenne a accepté de renouveler l’autorisation du glyphosate pour cinq ans. Le président de la République a proposé une interdiction en France au plus tard dans trois ans. Mais peut-il le décider ? Nous avons là un excellent cas d’école qui interroge l’indépendance et la souveraineté nationale de notre pays.

Un Etat membre de l’Union européenne pourrait interdire l’utilisation sur son territoire de produits contenant du glyphosate au regard du règlement de l’Union européenne N° 1107/2009 qui fixe l’objectif de recherche d’une protection élevée de la santé. Mais il vise aussi à préserver une agriculture compétitive, et prévoit qu’il revient aux industriels de prouver que leurs produits ne sont pas nocifs pour la santé et l’environnement. Il faut être sacrément croyant pour penser que les industriels du secteur pourraient se couper une jambe !   

 

Quelle serait la manière de procéder si la France voulait vraiment mettre en place cette interdiction ?

Lorsqu’un Etat membre de l’Union européenne veut mettre en place des mesures provisoires, il doit le notifier à la Commission européenne, celle-ci devant adopter les mesures de restrictions. Mais, si la Commission européenne ne donne pas suite à cette demande, la France pourrait adopter et mettre en place des mesures de restrictions. Dans le cas des produits contenant du glyphosate, ces mesures conservatoires correspondraient à une interdiction franco-française. La Commission européenne pourrait proroger, modifier ou abroger les mesures adoptées par la France. On voit qui décide en dernier ressort !

Existe-t-il une solution pour qu’une demande d’interdiction d’un Etat membre de l’Union européenne soit acceptée ?

Si la France veut interdire le glyphosate, elle doit le justifier en fournissant des données objectives démontrant pourquoi tel produit dont la substance active a été autorisée par la Commission européenne après évaluation serait valable dans l’Union européenne, mais pas en France. En s’appuyant sur le règlement N° 1107/2009 de UE, l’Etat doit prouver que les produits à base de glyphosate sont susceptibles de constituer un risque grave pour la santé et/ou l’environnement.

Que se passerait-il si la France maintenait des mesures non validées par la Commission ?   

Sur le glyphosate, un producteur et/ou un industriel attaquant le retrait des autorisations de mises sur le marché, pourraient demander des dommages et intérêts à la France qui pourrait avoir à les verser. (C’est un avant goût des « tribunaux d’arbitrages » prévus dans l’accord de libre échange entre l’Union européenne et le Canada - CETA, que nous devons d’ailleurs combattre avec la plus grande vigueur car il aggrave la situation en terme de règles contre la santé des populations).

Pour résumer, la France peut invoquer des dispositions pour prendre des mesures provisoires pour interdire le glyphosate mais ce serait à ses risques et périls si la Commission européenne ne les validait pas. La Commission européenne pourrait aussi intenter un recours contre la France devant la cour de justice de l’Union européenne pour entrave à la libre circulation des marchandises ou distorsion de concurrence au titre de manquement au règlement CE. N° 1107/2009.

Le PARDEM ne cesse d’expliquer qu’il faut sortir de ces traités européens qui ont pris l’ascendant sur les Etats qui composent l’Union européenne. Or, nous avons là beaucoup mieux qu’une explication ; nous avons un cas concret.  

On voit que la Commission européenne, servie par des traités sur mesure, peut décider à la place de nos élus nationaux, elle est finalement omnipotente. Mais cette situation dramatiquement inacceptable, n’est pas « tombée du ciel ». Elle est due à la complicité de tous les politiques, de droite et de gauche, favorable à l’Union européenne et au Libre échange.

Il est urgent d’en sortir.

Pardem (Parti de la démondialisation)

 

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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 17:44

"Au total, une centaine de PDG ou DG de grands groupes. Du côté des étrangers, seront présents Lloyd Blankfein, le CEO de la puissante banque d'affaires Goldman Sachs, Dominic Barton, le patron de McKinsey, David Abney, à la tête du groupe de transport UPS, Jonas Prising, le CEO du géant de l'intérim Manpower, James Quincey, patron de Coca-Cola, Bill McDermott, le PDG du groupe de services informatiques SAP et enfin Richard Liu, CEO de JD.Com, le géant chinois de la vente en ligne. Côté français, le chef de l'Etat a invité Maurice Lévy (Publicis), Jean-Laurent Bonnafé (BNP Paribas), Thomas Buberl (Axa) et Emmanuel Faber (Danone)." Lu dans Challenges 

 

C'est sûr. E.Macron est le président des multinationales. Et les multinationales sont pour la baisse des impôts sur les sociétés, moins de code du travail, une liberté plus grande de licencier, moins de cotisations sociales... ça, c'est déjà fait. Mais il reste encore les retraites, la sécurité sociale, encore plus de services privatisés... ça E. Macron va le leur promettre pour bientôt. Avec l'approbation et l'appui de Bruxelles. E.Macron est le président des riches. Mais c'est avant tout le président des multinationales, du capitalisme mondialisé et de la commission de Bruxelles.

Lire l'intégral ci-dessous.

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8 janvier 2018 1 08 /01 /janvier /2018 17:25

Vous pouvez les voir quand vous circulez sur le pont qui relie le boulevard industriel à Sotteville-les-Rouen.  Des centaines de locomotives sont ainsi laissées sans surveillance depuis que la France a obéi aux directives de Bruxelles concernant la privatisation du fret. 

Précisons que c'est la politique européenne rejetée en 2005 qui a été appliquée ici.

De l'aveu même de la SNCF près de 50 de ces locomotives seraient encore opérationnelles malgré leur abandon depuis plusieurs années. La ministre des transports se penche sur les problèmes de la SNCF alors qu'ils sont la conséquences des politiques ferroviaires mises en place en France au nom de "la concurrence libre et non faussée". C'est cette politique qui doit être remise en cause.

Avant que les locomotives des trains de fret de Sotteville-les-Rouen soient complètement désossées.

Ce sont les gouvernements français successifs depuis plus de 10 ans qui ont décidé de la gestion de la SNCF.  Son éclatement en trois entités, les investissements hasardeux à l'étranger au détriment des investissements sur le réseau ferré de France, l'externalisation de certains travaux sous prétexte d'efficacité ... Ce sont ces mesures qui ont cassé l'entreprise nationale, notre entreprise publique SNCF. 

Le reste n'est qu'hypocrisie de l'élite qui s'est mise au service de la finance et du capitalisme.

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4 janvier 2018 4 04 /01 /janvier /2018 15:55
Vu sur "canempechepasnicolas"

Lamy Levy

Pascal Lamy et Pierre Lévy à Europe 1

Europe 1 a diffusé le 23 janvier un débat animé par Frédéric Taddéï, qui a opposé Pascal Lamy, ancien commissaire européen et ancien directeur de l’OMC, et Pierre Lévy, rédacteur en chef de Ruptures. Nicole Fontaine, ancienne présidente de l’europarlement, et Catherine Mathieu, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques, y ont également pris par.

La station et Frédéric Taddeï ont ainsi permis un échange véritablement pluraliste et contradictoire sur le Brexit, et plus généralement sur l’Union européenne, ce qui n’est pas si courant dans l’actuel Paysage audiovisuel français…

Le thème proposé était : « le Brexit, qui y gagne, qui y perd ? ».

POUR ECOUTER LE DEBAT
CLIQUEZ CI-DESSOUS

https://ruptures-presse.fr/actu/lamy-levy-brexit-europe1/

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22 décembre 2017 5 22 /12 /décembre /2017 10:19
Que cache l’indignation affichée par Bruxelles contre l’évasion fiscale ?
A Bruxelles, des activistes dénoncent l'absence de pays de l'Union européenne dans la liste noire des paradis fiscaux

 

La condamnation de la fraude et de l’évasion fiscales permet de passer sous silence leur véritable cause, en l’occurrence la libre circulation des capitaux, analyse Pierre Lévy, rédacteur en chef du mensuel Ruptures.

Lire l'article ci-dessous :

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