Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Certes au dire des camarades de Marseille et des environs la manifestation de ce 23 juin n'a pas connu l'ampleur du 14 juin;
Mais c'est plusieurs milliers de travailleurs des postes, du port, de la pénitentiaire, des hôpitaux, de la térritoriale ... qui ont bruyamment manifesté du vieux port à la Castellane!.
Preuve que le mouvement qui connaît depuis le début, c'est-à-dire depuis près de 4 mois des pics et des moments de respiration ne s'arrêtera pas, la loi fut-elle votée au 49-3.
N'en déplaise aux journalistes de cour qui depuis avril annoncent la "décrue" du mouvement!
Tout ce qui fissure, ébranle, affaiblit les miradors du capital est bon à prendre.
Tout ce qui lime les chaînes asservissant la souveraineté est à engranger.
Un peuple qui choisi de s'émanciper des tutelles du capital et fait vaciller les chapeaux melons de la City mérite d'être salué à plus d'un titre.
La question n'est pas de savoir si la peine de Junker va le conduire à boire de l'eau mais le titre du Figaro de ce matin pose bien la question et quand le Figaro a des frissons , c'est le plus souvent que Canaille le Rouge va bien :
Le référendum en Grande-Bretagne fait craindre une désintégration progressive de l'Union européenne, si d'autres pays en venaient à organiser à leur tour un référendum sur leur adhésion ...
Hier soir un propriétaire foncier britannique pleurait sur le risque de perdre les 3 millioards d'euros annuels de subventions au nom de la PAC (dont 450 millions pour la holding Plantagenet dite famille royale) Quand les nantis pleurent, les piétinés peuvent sourire.
Au fait et si on posait la même question en France ?
Pas même besoin, pourquoi la poserait-on en 2016 puisque déjà en 2005 les Français ont dit "non".
Et si on remettait la question sur la table plutôt que de servir la soupe à tous les Zeuroïstes au travers de rendez-vous électoraux déconnectés des urgences de notre pays ?
Belle entrée en matière pour une redéfinition d'un cadre constitutionel où la souveraineté populaire serait de mise plutôt que de battre la campagne pour des présidentielles formatées par l'UE.
Question pas si subsidiaire que cela : et si au plan syndical, sans attendre, on s'occupait un peu plus d'un CESxit ?
La CES a-t-elle une utilité pour les luttes des travailleurs au sein de son espace autodéfini ? Quand en -a-t-elle eu ? Dans quel compartiment du jeu à part avoir donné du ravitaillement à l'équipe d'en face ?
Quel soutien les travailleurs en lutte contre la casse de leurs garanties collectives ont-il reçus d'elle ?
La réponse conduit à revendiquer le CESxit !
P-S : il parait que la CFDT a eu nuitamment de la visite assez invasive. Si Canaille le Rouge n'approuve pas ces pratiques qui n'auront comme résultat que de victimiser les coupables et de fait, comme loups resserrant le troupeau (avec sa part de pertes intégrées), ne servent que le Berger, cela ne réussira pas à émouvoir La Canaille. Que le Berger prenne plutôt et poussé par les travailleurs au plus tôt les routes d'estive (cela l'aidera à prendre de la hauteur ) nous libérera l'espace des luttes. Que les salariés l'isolent avec sa garde rapprochée et le conduisent à chercher pitance chez ses maîtres sera plus efficaces que d'assurer des rentes à St Gobain.
Jeudi 23 juin 2016 est la dixième journée de mobilisation nationale contre la loi Travail. Caen, Rouen et Le Havre restent mobilisées.
Mise à jour : 23/06/2016 à 17:36 par Julien Bouteiller
Les opposants au projet de loi Travail ne désarment pas. Jeudi 23 juin 2016, c’est la dixième journée de mobilisation nationale contre la loi controversée de Myriam El Khomri, journée marquée par le couac gouvernemental autour de la manifestation parisienne.
En Normandie, plusieurs manifestations se sont déroulées, à Caen (Calvados), Rouen, Le Havre et Dieppe (Seine-Maritime). Les quatre cortèges ont donné le départ entre 10h30 et 11h. Cette nouvelle journée d’action semble avoir moins mobilisé que les précédentes. Selon la police, ils étaient 1.350 à Rouen, 3.400 au Havre et 400 à Dieppe. À Caen, environ un millier de personnes ont pris part au rassemblement.
Rappelons que la Normandie était fortement mobilisée, mardi 14 juin 2016, lors de la précédente manifestation.
Des distributions de tracts ont également eu lieu. Au Havre, dès 7h du matin, l’intersyndicale était mobilisée sur le pont de Normandie. À Alençon (Orne), des tracts ont été distribués dès 11h30. Dans la Manche, à Cherbourg, Avranches et Saint-Lô, des points de rencontre pour faire signer la votation citoyenne sont organisés.
12h45. Fin de la manifestation à Rouen
La manifestation de Rouen se termine là où elle a commencé, cours Clemenceau. Elle aurait réuni 5 000 personnes selon les manifestants. La mobilisation est également terminée à Dieppe. Le cortège était composé d’environ 500 à 600 personnes.
12h30. Les manifestants du Havre arrivent cours de la République. Fin de la manifestation
Au Havre, la manifestation se termine devant la maison des syndicats, cours de la République.
En Seine-Maritime, 3 nouvelles manifestations contre la "loi travail"
A Dieppe, Rouen et au Havre, des manifestations ont été à nouveau organisées pour demander le retrait de la loi du gouvernement qui réforme le droit du travail
Par Sylvie Callier
Publié le
Reportage de France 3 Normandie et France 3 Baie de Seine
Les syndicats et la police n'en pas encore communiqué leurs estimations du nombre de manifestants. Au Havre, de nombreux dockers ont pris part à la protestation.
"On ne lâche rien" scandent les opposants à la loi travail. Le président de la République a déclaré ce jeudi matin "nous irons jusqu'au bout"
Le journaliste de Filfax a beau ironisé sur l'élégance de la phrase dans l'article ci-dessous. C'est un fait. L'Union Européenne est mise en cause dans un slogan qui fut inscrit sur la chaussée à Rouen, jeudi dernier. Ce n'est pas étonnant. Tous les opposants à la loi travail savent que la commission de Bruxelles et l'UE sont derrière cette loi Travail voulue avec tant de hargne par Hollande et Valls, contre la très grande majorité des Français et la très très grande majorité des salariés.
Démocratie ? Qu'est-ce que c'est ? Une valeur européenne ? Seulement quand vous votez comme le veulent la Commission, les européistes tenants de la "concurrence libre et non faussée" et les capitalistes européens.
Respect de la volonté populaire majoritaire ? Pas du tout. Surtout si elle contrarie les projets de dumping social de l'Union Européenne, des gouvernants européens et des multinationales qu'ils servent.
Pour la dixième journée de mobilisation nationale, entre 1.350 et 3.000 manifestants selon les sources ont défilé jeudi matin dans les rues du centre ville de Rouen réclamant le " retrait du p...
La manifestation du 23 juin aura finalement lieu : c’est une victoire contre l’entêtement malsain du gouvernement, contre sa dérive autoritaire et anti-démocratique. C’est une victoire de la liberté d’expression. Mais son parcours – de la Bastille à l’Arsenal et retour – accumule les risques de heurts violents avec la police. La décision prise par le préfet de police est donc grosse de risques. Le gouvernement prend la responsabilité de désordres dont les conséquences sont potentiellement graves. Il sera donc pleinement et totalement responsable du déroulement de cette manifestation.
Une gestion calamiteuse
Ce gouvernement a géré de manière particulièrement lamentable ce problème. On aurait pu comprendre, dans une situation tendue et avec un risque terroriste élevé, que TOUTES les manifestations publiques, et ceci inclut aussi les compétitions sportives, soient interdites. Cela impliquait néanmoins que ce gouvernement ait été en mesure de prouver qu’existait un risque grave, immédiat, et particulier sur ces manifestations. Mais l’interdiction des seules manifestations syndicales révèle à ce point la volonté cachée du gouvernement, imposer à tout prix le vote de la loi El Khomri, qu’elle en devient odieuse et constitue une atteinte évidente à la liberté de manifester.
La décision initialement prise mardi après-midi était bien l’interdiction. Ce geste inouï était sans équivalent depuis la guerre d’Algérie. Devant la fronde justifiée des organisations syndicales, les protestations de la Ligue des Droits de l’Homme, et la condamnation d’une large part de la classe politique, ce gouvernent à dû reculer. Il l’a fait dans la honte et la dissimulation, en se refusant d’assumer ses propres décisions et en en faisant porter la responsabilité au seul Préfet. Quel spectacle donc nous donne ce gouvernement et ce Président qui se déchargent de leurs responsabilités sur un simple exécutant. La politique du lampiste a certes des précédents dans notre pays. Du moins était-elle jusqu’à présent usée à posteriori. La création d’un lampiste a-priori est une innovation dont on aurait aimé se passer tant elle est honteuse.
Souveraineté et crise de nerf
Alors que les sondages confirment qu’une majorité de français rejette cette loi El Khomri, le gouvernement s’entête. Au-delà les postures, les attitudes caractérielles et les crises de nerf, cela révèle un problème évident : ce gouvernement n’a aucune marge de manœuvre. Il « veut » cette loi car elle est exigée par l’Union européenne qui n’aura de cesse que d’imposer son système de normes et son austérité. Il « veut » cette loi car il espère en échange obtenir un accommodement quant à l’ampleur du déficit public de la part de la commission de Bruxelles. Il « veut » cette loi car il n’est, en cette occurrence que le simple exécutant de mesures décidées à l’étranger et que cela ferait mauvais genre s’il devait expliquer à ses maîtres qu’il est dans l’incapacité de tenir ce à quoi il s’est engagé.
Nous sommes effectivement tombés bien bas. La déclaration des Droits de l’Homme de 1789 stipule que la « souveraineté réside principalement dans la Nation ». Il est cruel qu’elle ait été gravée sur les murs de l’hôtel Matignon, résidence du Premier-ministre. Ce dernier a donc en permanence sous les yeux le rappel de son indignité. Dans « Le Roi s’amuse », Victor Hugo fait dire à Triboulet, « quand on n’a plus d’honneur, on n’a plus de famille ». Nous constatons, quant à nous que quand on n’a plus de souveraineté, la démocratie se défait. Les comportements les plus autoritaires se donnent libre cours quand on n’a plus d’autorité.
Une démission nécessaire
La leçon que l’on peut tirer de tout cela, et en formant les espoirs les plus vifs pour qu’aucun incident grave ne vienne marquer la manifestation de demain, c’est que Manuel Valls doit démissionner. S’il ne lui restait au sein de son ambition et de sa folie du pouvoir qu’une once d’honneur et de raison, il aurait déjà dû le faire. Il aurait dû prendre acte du fait que sa politique est minoritaire et que les méthodes qu’il emploie divisent profondément les français. Dans ces conditions, on ne peut plus gouverner. Mais, puisque chez lui l’hubrys de l’ambition a tout recouvert, il doit être rappelé à la raison, sous peine d’entraîner dans sa chute l’ensemble du gouvernement et le Président, et au-delà la Nation toute entière. Nous sommes aujourd’hui dans une crise sociale et politique grave. Nous pourrions être, dès demain, dans une crise de régime.
Suite à l'Assemblée Générale unitaire du 20 juin 2016, il a été décidé plusieurs actions dans l'unité, en interpro, on maintient la pression, on continue la lutte : 7h à 9h - Distribution...
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