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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
19 décembre 2016 1 19 /12 /décembre /2016 16:34

Il y a quelques mois, Sodexo annonçait avoir signé avec Rio Tinto, le géant minier, un contrat de 2,5 milliards de dollars australiens (1,8 milliards d’euros) pour gérer pendant dix ans ses installations minières dans l’Ouest de l’Australie. Selon le quotidien britannique The Guardian, ce contrat inclut la mise en place d’une dispositif totalement inédit de surveillance des moindres mouvements des travailleurs employés sur le site, qui pourrait impliquer l’utilisation de drones. De quoi inquiéter aussi bien les défenseurs des libertés individuelles que les syndicats.

Lire la suite en cliquant ci-dessous

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18 décembre 2016 7 18 /12 /décembre /2016 16:13

Paris – Le projet de décret réformant la médecine du travail va entraîner une diminution de la protection des salariés, ont estimé jeudi la CGT, FO et CFE-CGC,

à contre courant de la CFDT, qui y voit une « vraie évolution ».  

Le texte, susceptible d’évoluer, doit entrer en vigueur le 1e janvier. Il a été examiné jeudi en Conseil d’orientation des conditions de travail, une instance consultative sous l’égide du ministère du Travail. 

Cette instance doit statuer le 7 décembre sur cette réforme, l’une des plus contestées de la loi travail. Les partenaires sociaux émettront alors leurs avis, qui sont consultatifs. la-reforme-de-la-medecine-du-travail-est-prevue-dans-la-tres-contestee-loi-travail-de-la-ministre-myriam-el-khomri_5756381

Le texte prévoit de supprimer la visite médicale d’embauche, sauf pour les métiers à risques. Elle sera remplacée par une « visite d’information et de prévention » qui aura désormais lieu « dans un délai de cinq ans » (contre deux actuellement), quatre pour les salariés sur des postes à risques. 

Interrogé par l’AFP, le ministère du Travail s’est dit « ouvert à des évolutions« , tout en défendant « l’équilibre satisfaisant du texte » qui permet au médecin de travail, une profession en forte pénurie, de mieux cibler les visites. 

« Si on regarde le nombre de personnes embauchées en France, il faut 22 millions de visites par an et aujourd’hui on est en mesure de faire trois millions parce qu’il n’y a pas assez de médecins du travail« , souligne le ministère, qui va saisir l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) en vue d’une mission pour rendre ce métier attractif. 

La CFDT défend le texte

Hervé Garnier, secrétaire général chargé du sujet à la CFDT, a qualifié cette réforme de « vraie évolution« : « On sort d’une médecine punitive où le médecin dit +T’es apte ou inapte+ au travail. On sort d’une certaine logique discriminatoire" .  

Autre point positif, selon lui: elle prend en compte la pénurie du nombre de médecins du travail, en espaçant les visites jusqu’à cinq ans et en permettant de les faire par une « équipe pluridisciplinaire » (infirmier, médecin référent). 

A l’inverse, la CGT, FO et la CFE-CGC estiment que des visites espacées empêcheront de détecter les risques pour les salariés et émettront un avis négatif le 7 décembre. 

« Au bout de cinq ans, le salarié n’est même pas sûr d’avoir un médecin en face de lui!« , s’inquiète Jérôme Vivenza, de la CGT. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, a adressé en avril un courrier à la ministre du Travail Myriam El Khomri pour réclamer une mission à l’Igas afin d’engager « une vraie réforme" . Sans avoir de réponse, selon le syndicat. 

Cette réforme « aboutit à ce que les médecins du travail ne détecteront plus les nouvelles pathologies » comme le stress ou le burn-out, s’inquiète de son côté la CFE-CGC. 

Espacer les visites « veut dire que toutes les mécaniques de prévention vont disparaître« , a abondé Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO, sur Radio Classique-Paris Première. Il y a aussi, selon lui, un « risque de contentieux« , pour l’employeur et les salariés. FO dénonce également les changements prévus pour les travailleurs de nuit, dont la visite semestrielle va passer à trois ans. 

Publié dans CGT UPM Chapelle Darblay

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18 décembre 2016 7 18 /12 /décembre /2016 15:29
Sélectionné dans la revue de presse de "lescrises.fr".

"La multinationale est en train de travailler sur un nouveau type de magasin d’alimentation, vide…d’humains. Il suffira d’entrer dans ce magasin avec un téléphone (et une application Amazon) puis un mélange de « vision par ordinateur, de deep learning et de fusion sensorielle », détectera automatiquement les produits choisis par le client, ceux qui seront reposés sur les comptoirs, et calculera le total Ce sont donc de nouveaux emplois qui pourraient massivement disparaître. Pour compenser ce marché du travail en pleine métamorphose, Barack Obama considère que le débat sur le revenu universel deviendra nécessaire."

Source : Le monde Bigbrowser

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16 décembre 2016 5 16 /12 /décembre /2016 18:17

Les conseils des prud'hommes, une institution utile pour les salariés. 

En Seine-Maritime le gouvernement "socialiste" en a supprimé trois : Elbeuf, Bolbec, Fécamp.  Soit la moitié.  Les salariés de ces trois villes pourraient bien en garder la mémoire pour les élections prochaines, car ce sont des députés socialistes qui y ont été élus en 2012 : Guillaume Bachelay, Estelle Grelier et Sandrine Hurel remplacée depuis par Marie Le Vern devenue ces jours derniers porte parole de Manuel Valls. 

Les seuls conseils des prudhommes restants sont ceux du Havre, Rouen, Dieppe.  Le résultat est l'accroissement du temps d'attente et l'éloignement pour les salariés plaignants.  C'est ce qui est recherché : rendre moins efficace une institution qui a pourtant fait ses preuves pour défendre les travailleurs.  Et la décrédibiliser.  Pour ensuite la supprimer ? C'est le souhait caché des européistes et du patronat car la France est le seul pays de l'UE à avoir des conseils de prudhommes avec des élus des salariés.  Elections que la droite et le PS voudraient remettre en cause.

Amiante : 12 anciens dockers rouennais réclament justice

Le conseil des prud'hommes de Rouen examine ce vendredi les dossiers de 12 anciens dockers intérimaires, ils poursuivent leurs employeurs au titre du préjudice d'anxiété.

  • Par Véronique Arnould
  • Publié le , mis à jour le
© Jean-Luc Drouin - France 3 Normandie

© Jean-Luc Drouin - France 3 Normandie

 
 

Dockers intérimaires, ils ont longtemps travaillé pour les entreprises du port de Rouen. Employés entre les années 70 et 2010, ils réclament des indemnités pour avoir contracté des maladies liées à l'amiante. Ils poursuivent leurs employeurs au titre du préjudice d'anxiété. Deux d'entre eux sont décédés, et l'un est gravement malade.

 
 

 

Ci-dessous un site qui répertorie les avancées juridiques pour les victimes du cancer de l'amiante.  Selon les régions et tribunaux, les décisions sont variables.  Certaines peuvent faire jurisprudence.  C'est le cas de la reconnaissance du "préjudice d'anxiété".

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12 décembre 2016 1 12 /12 /décembre /2016 14:39
Université de Rouen : le report du vote du budget

Les départs en retraite d'enseignants-chercheurs seront nombreux en 2017. Tous ne seront pas remplacés. La direction de l'université doit faire des choix drastiques entre recrutements et rénovations urgentes sur les campus

  • Par Sylvie Callier
  • Publié le
 

Université de Rouen : report du vote du budget

 


Reportage de Stéphane Gérain et Bruno Belamri

Interviews de Luc Benoit, directeur du département d'anglais,  Marianne Bouchardon, co-directrice du département de lettres modernes, Joël Alexandre, président de l'université de Rouen

La génération des "baby-boomers" (nés après guerre) va laisser de nombreux emplois dans tous les secteurs professionnels. L'heure est aux économies dans la fonction publique. Leur remplacement est un enjeu social et politique.

A l'université de Rouen, les syndicats et directeurs de département redoutent une "restructuration déguisée". Une manifestation a eu lieu au moment de l'ouverture du vote de budget. Le conseil d'administration est reporté au 6 janvier.

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9 décembre 2016 5 09 /12 /décembre /2016 15:32
Rappel
L'armateur français CMA CGM entend supprimer au Havre jusqu'à une soixantaine de postes

Le numéro 3 mondial du transport maritime par conteneurs tenait ce mercredi 30 novembre un comité d'entreprise à Marseille. 

  • Emmanuelle Partouche avec AFP sur FR3 Normandie
  • Publié le
© France 3 Le Havre-Baie de Seine

© France 3 Le Havre-Baie de Seine

 
D'après le syndicat Force Ouvrière, CMA CGM a annoncé son intention de supprimer au Havre "jusqu'à une soixantaine de postes".

"Comment ça va être géré, on ne sait pas encore", a indiqué Glenn O'Brien, délégué central de Force Ouvrière, interrogé par l'AFP, expliquant qu'il s'agissait "d'une première information au CE avant tout processus d'information-consultation".

Ces postes ont vocation à être délocalisés en Inde, a précisé le syndicaliste, sans doute "courant 2017".

L'armateur a annoncé au début du mois de novembre qu'il allait prendre la part la plus importante d'un grand accord de partenariat noué avec trois compagnies maritimes asiatiques, Cosco Container Lines, Evergreen Line et Orient Overseas Container Line, baptisé "Ocean Alliance".

La compagnie est tombée dans le rouge au troisième trimestre, pénalisée par la mauvaise santé du marché et l'acquisition du Singapourien Neptune Orient Lines (NOL).

Le groupe a essuyé une perte nette de 268 millions de dollars, contre un bénéfice net de 51 millions de dollars durant la même période l'an passé. Hors acquisition de NOL, la perte nette du groupe s'élève à 202 millions de dollars. 
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9 décembre 2016 5 09 /12 /décembre /2016 15:22
Les salariés d’Hanjin Shipping au Havre dans la tourmente
 
Publié 08/12/2016 á 22H48 sur le site de Paris-Normandie
 

Dans quelques jours, les vingt-six salariés de l’agence Hanjin Shipping au Havre vont recevoir leurs lettres de licenciements. Dans les bureaux d’entrée de ville, c’est l’incompréhension qui prédomine.

     
     

    Comment a-t-on pu en arriver là ? Il n’y a pas encore si longtemps, la compagnie maritime Hanjin Shipping était le septième armateur mondial et le 1er en Corée du Sud. Aujourd’hui, ce géant du transport maritime, qui disposait d’une flotte de 132 navires dont 98 porte-conteneurs, est en faillite avec toutes les conséquences qu’on imagine. Localement, les victimes de cette déroute sont les vingt-six salariés de l’agence du Havre. « C’est une faillite historique. Lorsqu’on en parlait à des dockers il y a un mois et demi, ils ne voulaient même pas nous croire... » confie Anne-Sophie, une salariée de l’agence. À quelques jours de Noël, le personnel n’a toujours pas perçu les salaires des mois d’octobre et novembre. Et malgré l’arrêt de l’activité, ils doivent faire acte de présence dans leurs bureaux d’entrée de ville. La liquidation d’une entreprise internationale, dont le siège est à Séoul, s’est avérée complexe. Si aujourd’hui Hanjin Shipping Limited a toujours une existence en Corée du Sud, ses agences, qui en Europe dépendent d’un siège à Hambourg, sont depuis le 26 octobre en voie de fermeture. C’est donc un administrateur allemand qui est chargé du dossier pour la France.

    [...]

    La suite en cliquant : http://www.paris-normandie.fr/actualites/economie/les-salaries-d-hanjin-shipping-au-havre-dans-la-tourmente-GG7679495?utm_source=Newsletter+EcoNormandie+La+Quotidienne&utm_campaign=07b088b3a3-EcoNormandie_la_quotidienne+12_08_2016&utm_medium=email&utm_term=0_2178025532-07b088b3a3-138685725#

     

     

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    4 décembre 2016 7 04 /12 /décembre /2016 15:46

    Journée de grève à La Poste

    Communiqué des fédérations CGT FAPT, SUD PTT, UNSA Postes

    La crise sociale à La Poste est une réalité qui ne peut aujourd'hui être ignorée. En témoigne la récente médiatisation des conflits qui se développent partout sur le territoire.
    Le Siège, les directions de La Poste persistent et signent dans leur insupportable attitude de déni.

    Le lancement d'une « négociation », le 26 octobre, annoncée comme une réponse à la situation sanitaire et sociale dans l'entreprise, n'a été qu'un contre-feu. Le projet d'accord proposé à signature ne dit pas un mot de ce que vivent réellement les postier-es. Au contraire son préambule, son contenu, s'inscrivent dans la droite ligne de la politique catastrophique menée depuis des années. En cela, non seulement ce projet ne répond pas aux problèmes rencontrés par les personnels, mais ses conséquences sont dangereuses pour ces derniers.

    Ce projet d'accord, c'est plus de flexibilité pour les facteurs, les factrices et leurs encadrantes. Rien en ce qui concerne l'emploi ! Or, les sous-effectifs sont criants. Il s'agit d'un aspect prioritaire, sans lequel il est impossible d'agir pour améliorer les choses. Le mal-être au travail, les conditions de travail nécessitent que La Poste s'engage dans une négociation de haut niveau. Le rythme effréné des réorganisations n'est pas remis en cause. La direction veut s'affranchir de la règle des deux ans minimum entre deux restructurations.

    La branche courrier/colis ne respecte pas son engagement de suspendre les réorganisations à la distribution le temps de la négociation. Le Siège refuse d'étendre le périmètre de cette dernière à l'ensemble des métiers de La Poste. Le dialogue social est totalement absent.

    C'est pourquoi les fédérations CGT, SUD, UNSA prennent l'initiative d'une journée de grève et d'action dans tous les services de La Poste, le 8 décembre. Elles demandent notamment une réelle suspension des réorganisations, une négociation concernant l'ensemble des branches et que la question de l'emploi soit au coeur de cette dernière. Les signataires de ce communiqué tiendront une conférence de presse à l'issue de la rencontre entre Philippe Wahl, PDG de La Poste, Christophe Sirugue, Secrétaire d'Etat chargé de l'industrie et les organisations syndicales représentatives du personnel le 30 novembre 2016. Celle-ci aura lieu à 12H00 devant le Ministère de l'Economie et des Finances.

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    4 décembre 2016 7 04 /12 /décembre /2016 00:00
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    3 décembre 2016 6 03 /12 /décembre /2016 18:57
    Référendum en Italie : pourquoi l'Europe va trembler.
    par Coralie Delaune sur son blog "L'arène nue"
     
     
    «En Italie, les gens sont de plus en plus déçus par l'euro. Les Italiens commencent à réaliser que l'Italie ne fonctionne pas bien dans l'euro», expliquait Joseph Stiglitz au journal allemand Die Welt début octobre. Le prix Nobel d'économie pronostiquait donc un «Italexit» (une sortie italienne) dans un proche avenir.
    Le référendum à haut risque qui se tient dans la Péninsule ce dimanche peut-il aboutir à ce résultat? Les deux éléments paraissent a priori sans lien puisque la consultation portera sur l'équilibre des institutions italiennes. Toutefois, la crise politique susceptible d'en résulter dans ce pays à l'économie en berne pourrait secouer l'Europe durement. Après la crise grecque de 2015 et le «Brexit» de juin 2016, ce pourrait être un nouvel acte de l'effondrement européen qui se joue sous nos yeux.
    Sur quoi le référendum porte-t-il?
    On pourrait croire qu'il ne concerne que les Italiens puisque le scrutin du 4 décembre porte sur un projet de réforme constitutionnelle. Ce projet est soumis au peuple faute d'avoir obtenu la majorité des deux tiers nécessaire à une simple adoption parlementaire.
    Le texte prévoit de transformer la chambre haute du Parlement pour en faire un «Sénat des régions» au périmètre réduit, en diminuant des deux tiers le nombre de ses membres et en lui conférant un rôle essentiellement consultatif. Il s'agit d'abaisser les pouvoirs de ce Sénat et de mettre fin au «bicaméralisme parfait» qui donne exactement les mêmes prérogatives aux deux chambres, que ce soit pour le vote des lois ou pour celui de la confiance au gouvernement. En effet, le fonctionnement actuel des institutions est jugé source de lenteurs et d'instabilité politique (Rome a connu 63 gouvernements en 60 ans....). En tout état de cause et comme expliqué sur le site Telos, «il s'agirait d'une rupture symbolique très forte [car] le bicaméralisme parfait [...] caractérise la vie politique italienne depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale […]. Pour les constituants de 1946, il s'agissait alors de consolider autant que possible la digue démocratique, au sortir de vingt ans de fascisme».
    Mais si le résultat du référendum est décisif pour l'Europe, c'est parce que le Premier ministre Matteo Renzi y a lié son avenir. Certes, quelques expériences récentes nous enseignent qu'il faut rester prudent face aux sondages. Pourtant, force est d'admettre que dans le présent cas, ils vont tous dans le même sens. Tous mettaient le «oui» en tête au début de l'année 2016. La tendance a commencé à s'inverser au printemps, puis s'est complètement retournée. Le «non» est aujourd'hui donné vainqueur par tous les instituts. Il faut dire que dans les faits, le scrutin s'est transformé en vote pour ou contre Renzi. Plébiscité lors de son arrivée au pouvoir, le Chef du gouvernement a énormément déçu depuis. [...]
    Lire l'intégralité en cliquant ci-dessous.
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