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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
8 janvier 2016 5 08 /01 /janvier /2016 11:32

Traités de libre-échange : citoyens bafoués, multinationales souveraines

sur CADTM

4 janvier par Robert Joumard

CC - Flickr - Jacques Billaudel

On les appelle TAFTA, TiSA, ACS, TTIP, GMT, AECG, et bien d’autres noms encore. Tout est fait pour qu’on n’y comprenne rien et que le citoyen ne s’y intéresse pas. Pour y voir plus clair, nous proposons une synthèse des très nombreuses analyses partielles disponibles, ainsi que quelques éclairages propres sur les différents projets de traités de « libre-échange » ou plus exactement de liberté des affaires : le plus connu, le traité entre l’Union européenne et les États-Unis, le traité parallèle avec le Canada, le traité sur le commerce des services, mais aussi trois projets de traités entre l’Union européenne et l’Afrique. Nous nous sommes aussi appuyés sur d’autres traités de libre-échange ou d’investissement bi ou multilatéraux qui sont en vigueur depuis des années, et notamment sur le traité nord-américain ALENA. Il existait en effet début 2014 déjà près de 3 300 accords bilatéraux sur l’investissement ou traités de libre-échange dans le monde dont 1 400 signés par des États membres de l’Union européenne. L’UE en tant que telle a déjà signé près de cinquante accords commerciaux et en négocie actuellement douze.

Note de synthèse du rapport :

Ces traités n’ont généralement guère suscité en France beaucoup d’intérêt de la part des citoyens. Les projets de traités entre l’Union européenne et des ensembles économiques puissants ont en revanche suscité ou suscitent actuellement de fortes oppositions. Cela a notamment été le cas en 1998 de l’Accord multilatéral sur l’investissement ou AMI dont les objectifs étaient la création d’une zone de liberté des affaires pour les services, l’élimination des règles dans le domaine des marchés publics, de la propriété intellectuelle et des opportunités de profit personnel. Ce fut ensuite le cas de l’Accord commercial anti-contrefaçon dit ACTA, visant un renforcement des droits de propriété intellectuelle. Ces deux traités ont dû être abandonnés.

Fondée sur un traité, l’Organisation mondiale du commerce ou OMC regroupe depuis 1995 160 États qui représentent la quasi totalité du PIB et des échanges mondiaux. Elle vise à éliminer par étapes les droits de douane et plus généralement les obstacles aux affaires et au profit. En son sein, l’Accord général sur le commerce des services AGCS est un accord d’élimination des règles dans le domaine des échanges d’activités tertiaires. L’OMC et l’AGCS évoluent par cycles de négociations, mais elles sont bloquées depuis 2001 en raison de l’opposition des pays émergents.

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8 janvier 2016 5 08 /01 /janvier /2016 11:22

Publié par Jean Lévy

« L’initiative de ce concert n’appartient pas à la CGSP-Cheminots. Elle est organisée par l’association Tout autre chose qui soutient notre action », rappelait Philippe Dubois, CGSP-Cheminots à Bruxelles. « C’est la première fois que nous sommes soutenus par des associations citoyennes. C’est peut-être le début d’une autre façon de combattre », estime le permanent syndical.

« L’initiative de ce concert n’appartient pas à la CGSP-Cheminots. Elle est organisée par l’association Tout autre chose qui soutient notre action », rappelait Philippe Dubois, CGSP-Cheminots à Bruxelles. « C’est la première fois que nous sommes soutenus par des associations citoyennes. C’est peut-être le début d’une autre façon de combattre », estime le permanent syndical.

La Capitale

La grève : conseils aux voyageurs

Les ailes francophones des syndicats chrétien CSC-Transcom et socialiste CGSP-Cheminots ont déclenché mardi à 22h00 la grève qui doit perturber le rail pendant deux jours. Ce mouvement de grogne touchera particulièrement la Wallonie et Bruxelles. La Flandre devrait être relativement épargnée étant donné que les syndicats flamands ont décidé de renoncer à l’action prévue mercredi et jeudi.

La SNCB conseille aux voyageurs de ne pas compter sur les trains pour se déplacer entre ce mardi 5 janvier à partir de 22h et ce jeudi 7 janvier jusqu’au dernier train.

A l’international, les premières perturbations se sont déjà fait sentir mardi soir sur le réseau Thalys puisque les trains reliant Bruxelles-Midi et Paris-Nord de 22h13 et Paris-Bruxelles de 21h25 ont été supprimés. Mercredi, la circulation des Thalys sera complètement à l’arrêt, tandis que jeudi aucun train ne circulera à l’exception des Thalys Paris-Bruxelles de 20h25 et de 21h25.

La circulation des Eurostar est elle aussi perturbée, le dernier train à destination de Bruxelles ce mardi soir a été supprimé. Mercredi et jeudi, aucun train ne circulera entre Bruxelles et Lille, mais un service adapté reliera la capitale des Flandres et Londres.

Les trains TGV, ICE et EuroCity seront eux aussi affectés par la grève.

En paralysant une grande partie du rail, la CSC-Transcom et la CGSP-Cheminots entendent manifester leur mécontentement après l’échec des négociations sur le protocole d’accord social 2016-2018 et les mesures d’augmentation de la productivité dans les chemins de fer malgré les économies imposées par le fédéral.

Peu avant 22h00 mardi, leurs représentants se sont exprimés lors d’une action organisée par le mouvement «Tout autre chose» devant la gare de Bruxelles-Midi. Avec d’autres associations, ils ont dénoncé les coupes budgétaires dans la dotation et le personnel et souligné «le besoin d’un rail fort, accessible et de qualité».

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8 janvier 2016 5 08 /01 /janvier /2016 10:20

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

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8 janvier 2016 5 08 /01 /janvier /2016 03:49

Mis en ligne sur le blog d'Action Communiste le 21 janvier 2016

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 23:12

Cet article est reposté depuis Réveil Communiste.

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 23:07

La rupture du contrat entre Orange et Partner Israël : Une victoire pour le mouvement de solidarité avec la Palestine et tous les défenseurs des droits humains
http://www.france-palestine.org/La-rupture-du-contrat-entre-Orange-et-Partner-Israel-Une-victoire-pour-le

Le 30 juin 2015, Orange annonçait un accord avec la société israélienne Partner pour mettre fin dans un délai de deux ans au contrat la liant à elle. Il n’aura pas fallu huit mois pour que soit annoncée la fin de ce contrat qui entachait gravement l’image de marque d’Orange du fait de l’implication active de Partner-Orange Israël dans la colonisation du territoire palestinien. Selon la presse Partner abandonne la marque Orange en février 2016.

Cette rupture intervient après plus de cinq années de mobilisation pour obtenir le désengagement d’Orange,  couronnées par la publication par sept organisations (AL HAQ, AFPS, CCFD, CGT, FIDH, LDH, Union syndicale SOLIDAIRES) du rapport « les liaisons dangereuses d’Orange dans le territoire palestinien occupé » en mai 2015 qui avait enfin amené Orange à trancher dans le sens de la rupture avec Partner.

Ce retrait de la marque Orange témoigne de la volonté de l’entreprise de finaliser au plus vite, en y mettant le prix, la sortie d’un « dossier pourri » aux effets d’image détestables pour l’entreprise. Il n’intervient pas seul, mais prend tout son sens à la suite du désengagement de Véolia de ses activités en Israël et du renoncement des entreprises Safège et Poma à s’impliquer dans le projet de construction d’un téléphérique à Jérusalem.

Il s’agit bien d’un nouveau succès du mouvement international pour le Boycott, le Désinvestissement, les Sanctions à l’égard d’un État, Israël, qui viole le droit international comme les droits humains élémentaires en Palestine. C’est un encouragement puissant pour les campagnes BDS menées en France pour obtenir le retrait de la vente des produits des colonies et leur interdiction pure et simple ainsi que la rupture de toutes relations commerciales ou financières profitant à la colonisation et l'occupation. C'est dans ce sens que nous continuerons à agir, avec la détermination totale de faire respecter notre liberté d'opinion et d'expression pour ces actions.

Voir le communiqué commun AFPS, Al Haq, CCFD-Terre solidaire, CGT, FIDH, LDH, Union syndicale Solidaires http://www.france-palestine.org/L-entreprise-israelienne-Partner-confirme-la-resiliation-de-son-contrat-avec

http://www.france-palestine.org/La-rupture-du-contrat-entre-Orange-et-Partner-Israel-Une-victoire-pour-le

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 17:15
France - Arabie saoudite : une si étroite amitié

Paris a condamné du bout des lèvres les 48 exécutions réalisées par Ryad. Car depuis trois ans et demi, la plupart de nos initiatives diplomatiques n’ont qu’un seul objectif: faire ami-ami avec l’Arabie saoudite. Et attirer les milliards des princes Saoud.

François Hollande avec le roi Salmane, en mai 2015. (Christophe Ena/AP/SIPA)François Hollande avec le roi Salmane, en mai 2015. (Christophe Ena/AP/SIPA)

Tout commence pendant la campagne électorale de 2012. Animée par Hubert Védrine, l’équipe qui conseille François Hollande en matière de politique étrangère émet plusieurs propositions au candidat socialiste.

La première : rééquilibrer notre diplomatie dans le Golfe, exclusivement tournée par Nicolas Sarkozy vers le Qatar, au profit de l’Arabie saoudite. Le futur locataire de l’Elysée est tout à fait d’accord.

Il se souvient que son modèle, François Mitterrand, avait effectué son premier voyage à l’étranger, en septembre 1981, à Riyad, et cela afin de remercier le roi Khaled d’avoir soutenu le franc, très attaqué juste après son élection. Tout naturellement, pour son premier déplacement au Moyen-Orient, en novembre 2012, François Hollande se rend en Arabie. Le 31 août 2013, le rapprochement s’accélère. Ce jour-là, Barack Obama renonce au dernier moment à bombarder les installations chimiques de Bachar al-Assad, que les Saoud détestent.

Premier partenaire commercial de la France dans le Golfe

François Hollande et le roi d’Arabie pestent ensemble contre le leadership émoussé de la Maison Blanche. La France a une carte à jouer. Quelques semaines plus tard, Laurent Fabius s’oppose publiquement à la signature d’un accord entre l’Iran et les six grandes puissances sur le nucléaire, jugé trop favorable à Téhéran, l’autre ennemi intime de l’Arabie. L’alliance Paris-Riyad est scellée.

En gage d’amitié, fin décembre 2013, le roi promet à François Hollande 15 milliards d’investissement en France. Il accepte aussi de financer l’achat par le Liban de 3 milliards d’armes françaises. En janvier, la mort du roi Abdallah inquiète Paris. Le nouveau souverain va-t-il poursuivre le rapprochement sonnant et trébuchant ? Réponse un mois plus tard : en février, l’Egypte achète 24 Rafale sur un budget étatique totalement renfloué par l’Arabie saoudite.

En mai, François Hollande est reçu en héros à Riyad (troisième visite dans le royaume saoudien). On parle d’une vingtaine de projets économiques pour des dizaines de milliards d’euros. Mais pas - ou si peu - des 38 exécutions capitales réalisées au cours du seul premier trimestre dans le royaume. L’abolition de la peine de mort est pourtant l’un des thèmes de campagne favoris du Quai d’Orsay.

Vincent Jauvert

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 17:10

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 16:51

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 16:50
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