Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
La prochaine édition de Ruptures sera sous presse le 25 janvier
Au sommaire :
– l’éditorial qui pointe l’arrogance lyrique d’Emmanuel Macron : le maître de l’Elysée vante l’Europe comme « une civilisation à part » et rêve de conjurer le « grand doute européen » exprimé par les peuples depuis 2005
– un bilan de l’euro – calamiteux en matière de croissance, d’investissements publics, d’inégalités entre pays, et de souveraineté – au moment où les Vingt-sept s’apprêtent à s’écharper sur l’avenir du Pacte de stabilité
– une analyse des tensions qui s’aiguisent entre les Occidentaux et la Russie accusée de vouloir envahir l’Ukraine, tandis que l’actuel ballet diplomatique laisse poindre des divergences parmi les Vingt-sept, également entre Paris et Berlin, et au sein même des dirigeants allemands
– un coup de projecteur sur la Tchéquie et la Bulgarie : leurs gouvernements viennent d’être laborieusement formés avec l’appui de majorités hétéroclites qui pourraient donner des maux de tête à Bruxelles malgré leurs options pro-occidentales
– une analyse de la reconduction à l’identique de la coalition néerlandaise
Lisez bien : Tout y est ! Plus de 60 ans qu'il a été signé. Tous les autres traités européens en découlent. Leurs auteurs ont mis 60 ans, et ce n'est pas fini, à construire une véritable prison des peuples et des couches populaires. Si on le réécrit, c'est comme si on déclarait que l'actuel UE est morte ! Alors pourquoi tergiverser ? On attend encore 100 ans ?
Extraits des principes du traité de Rome. Ce sont ceux qui régissent l'Union Européenne !
" l'abolition,entreles Étatsmembree,desobstaclesà lalibrecirculationdespersonnes,des servicesetdescapitaux, "l'instaurationd'unepolitiquecommunedansledomainedel'agriculture," "l''instauration d'une politique commune dans le domaine des transporte," "l'établissementd'unrégimeassurantquelaconcurrencen'estpas faussée"
Il faut vraiment tout changer ... La concurrence libre et non faussée est déjà dans le traité de Rome ... ainsi que la "libre" circulation des marchandises, des capitaux, des services et des hommes ...
Texte de R. Palao sur le site de l'ANC
Questions réponses entre R.Palao (ANC) et Fabien Roussel
Bonjour, J’ai questionné l’équipe de campagne de F. Roussel au sujet de sa position sur l’UE, je te fais suivre sa réponse qui me semble éloquente...
Le commentaire de Richard Palao :
Roussel dit ne pas vouloir sortir des traités de l’UE, ce que nous avons pourtant entendu de sa bouche à plusieurs reprises, mais les réécrire !!! en précisant qu il s agit d'une nuance importante !!!
Roussel comme Melenchon sème des illusions sur cette possibilité de modifier ou de changer les traités, ils mentent en toute conscience car ils savent que les traités actuels ne peuvent être changes ou modifiés que si il y a unanimité des états membres, unanimité impossible à réaliser sur ce sujet vital pour la survie de l’Europe capitaliste.
Il est donc hautement regrettable que Roussel comme Melenchon se fassent les complices de cette UE en continuant de répandre l’illusion de l'Europe sociale au lieu de se saisir de la période électorale pour démontrer que la politique de L’UE n’est pas la fin de l'histoire et qu'il est possible de la remplacer par des accords économiques multilatéraux gagnants gagnants y compris avec la Chine, Cuba, la Russie, l’Iran etc...
Il ne faut visiblement pas compter sur ceux qui ont renoncé à la lutte idéologique contre le grand capital pour éclairer notre peuple sur la nature de l’UE... Fraternellement.
Lire la réponse de l'équipe de F Roussel ci-dessous.
Bonjour, J'ai questionne l'équipe de campagne de F. Roussel au sujet de sa position sur l'UE, je te fais suivre sa réponse qui me semble éloquente... Le commentaire de Richard Palao : Roussel di...
La prochaine édition de Ruptures sera routée le 23 novembre
Au sommaire :
– l’éditorial qui met en relief la duplicité des dirigeants européens : ces derniers re-sanctionnent la Biélorussie en l’accusant de vouloir « déstabiliser l’Europe en instrumentant les migrants », mais portent une lourde responsabilité dans les crises migratoires
– un entretien avec Bernard Borgialli, responsable du syndicat SUD-cheminots, qui pointe les dégâts prévisibles de l’ouverture de la ligne Marseille-Nice à la concurrence, et rappelle le processus de déréglementation européen
– une analyse approfondie de l’envolée des prix de l’énergie, du fait de la libéralisation et des politiques climatiques, deux orientations pilotées par Bruxelles, mais dans le contexte où les divergences au sein des Vingt-sept s’aiguisent
– un point sur la crise aiguë à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie, où l’UE est unanime pour condamner Minsk mais se divise sur les suites, alors que Bruxelles (et Paris) projettent une « boussole stratégique » et une force d’intervention européenne rapide
– Une analyse du double scrutin bulgare, législatif et présidentiel : moyennant une abstention massive, c’est un nouveau parti, hors classe politique, qui arrive en tête : il se réclame de la lutte anti-corruption, mais est conduit par deux hommes d’affaires formés aux Etats-Unis
– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves
Pour recevoir cette édition, il n’est pas trop tard pour s’abonner
Qu’est-ce que l’UE ? L’UE est un processus historique délibérément très lent dont la limite asymptotique est la formation des « États-Unis d’Europe », grand empire capitaliste continental, à tendance de plus en plus oligarchique, sur le modèle réalisé outre-Atlantique, processus dont les peuples concernés ne veulent pas, et dont il s’agit de contourner patiemment la volonté.
– l’éditorial qui pointe le désarroi des élites européennes visible à travers deux projets trompeurs et pathétiques : l’« Europe sociale », et la « Conférence sur l’avenir de l’Europe »
– un panorama de la catastrophe qu’est en train de vivre la filière industrielle de la fonderie, prise en tenaille entre délocalisations et exigences de la « transition écologique » européenne, dans un secteur automobile de plus en plus sinistré
– une analyse détaillée des récentes élections locales et régionales britanniques : en Angleterre, Boris Johnson confirme son triomphe de décembre 2019, les électeurs populaires validant une nouvelle fois le Brexit
– un point sur les conflits actuels non résolus entre Londres et Bruxelles
– un compte rendu du Conseil européen du 24 mai, où les Vingt-sept se sont déchaînés contre le président biélorusse, et ont fait monter encore la tension vis-à-vis de la Russie
– une analyse des élections régionales à Madrid, qui ont été marquées la victoire de la droite la plus ultralibérale au détriment du PS, déstabilisant quelque peu le gouvernement national du socialiste Pedro Sanchez
– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves
Pour recevoir cette édition, il n’est pas trop tard pour s’abonner.
1) - Une grenouille nage dans une marmite remplie d’eau FROIDE. Un feu est allumé sous la marmite pour faire monter progressivement la température. La température monte, l’eau est tiède, la grenouille s'agite moins mais ne s’affole pas. La température de l'eau grimpe, l’eau est vraiment chaude, la grenouille trouve ça désagréable, elle s’affaiblit mais supporte la chaleur. La température monte encore, jusqu’au moment où la grenouille finit par cuire et mourir. Morale de l’histoire : lorsqu’un changement s’effectue d’une manière lente, il échappe à la conscience et ne suscite aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte. Controversée et sujette à discussion, la parabole de la grenouille qui ne savait pas qu'elle était cuite traduit le phénomène d'habituation et de passivité dans un environnement qui se dégrade progressivement au point de mettre sa propre vie en péril.
Par Joël Perichaud, Secrétaire national du Parti de la démondialisation chargé des relations internationales
Mollement critiquée par ceux qui voudraient s’auto-instituer « Grands chefs à plumes » de l’UE, la Commission a présenté, dès novembre 2020, une liste de propositions visant à « mieux préparer l’Europe face aux crises sanitaires à venir ».
Ces propositions constituent un pas important vers une véritable Union européenne de la santé dont on constate chaque jour la nocivité. L’objectif est, encore et toujours, de déposséder les États membres de leurs prérogatives en matière sanitaire.
La grande destruction des nations par l’UE se fait toujours selon la même méthode appelée couramment « Métaphore de la grenouille qui ne savait pas qu'elle était cuite (1)», et par le même truisme : unis on est plus fort. Mais au fait, contre qui et pour qui ?
Nouvelle autorité sur le modèle US
Acte I : Étendre les pouvoirs des organisations supranationales
Pour commencer, il est donc prévu de renforcer le rôle du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et de l’Agence européenne des médicaments (EMA).[...]
Avec ces deux mesures, c’est bien la main-mise de la Commission, non élue, sur les traitements (vaccins, médicaments), les matériels médicaux, la réponse sanitaire d’urgence… Bref, la fin des instruments nationaux de politiques de santé publique est actée.
Acte II : Créer une nouvelle « autorité » sur le modèle financier américain
Pour les europiomanes, l’exemple à suivre, même s’il est inefficace et destructeur pour les peuples, est celui des Etats-Unis. Il est donc prévu de créer d’ici fin 2023, sur le modèle de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) américaine, une autorité pour la réaction aux urgences sanitaires. Il faut bien sûr la donner d’un nom qui fleure bon le globish. Ce sera « Health Emergency Response Authority » (HERA) et elle fonctionnera comme sa source étatsunienne.
Créée en 2006, la BARDA est l’agence US responsable des contre-mesures médicales contre le bioterrorisme, les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, les pandémies et les maladies émergentes.[...]
Ne ratez pas les chapitres 2 et 3 à venir. Ça vaut le coup :
Echecs répétés de l’Union européenne
Ecolo l’UE ? Honteuse fumisterie !
Intéressant cet article paru dans le journal belge "Le Soir". L'aveu est de taille. Oui, les multinationales ont bénéficié de rabais d'impôts énormes. Sans que rien ne bénéficie en retour aux salariés et aux citoyens qui, eux, paient leurs impôts.
Depuis plusieurs dizaines d'années, les Etats se livrent à un dumping fiscal exorbitant pour complaire aux grandes entreprises sans que cela profite à la population. Et c'est l'UE qui tient la première place dans ces faveurs faites au Capital mondialisé. Soit-disant, comme le dit E.Macron, tout cet argent soutiré aux peuples, aurait dû ruisseler ensuite "naturellement" sur les populations dévalisées ... Mais rien n'est venu, sinon l'appauvrissement des Etats et des services publics.
Extrait de l'article ci-dessous : "L’impôt sur les profits des entreprises n’a cessé de baisser au cours des trois dernières décennies. A l’échelle mondiale, le taux théorique de l’impôt des sociétés a été divisé par près de deux depuis 1990, passant en moyenne de 40 % à 24 %. (1) Au niveau de l’Union européenne, il est passé de 40 % à moins de 21 % (2). Aux États-Unis, la réforme fiscale adoptée en décembre 2017 par l’Administration Trump a provoqué une baisse de l’impôt des sociétés de 35 % à 21 %. Les États se privent ainsi de recettes fiscales considérables sans nécessairement gagner en compétitivité, vu que tous les gouvernements tendent à mener la même politique."
Que les perroquets des Républicains et d'En Marche cessent donc de croasser " Baisse d'impôts, Baisse d'impôts" ... ou encore "Baisse de charges, baisse de charges".
Les peuples ont assez donné. Ils sont exsangues. Ils n'en peuvent plus. Cela ne peut plus durer. C'est cela que les démocrates américains, que l'OCDE, ont compris, malgré leur soutien, ou à cause de leur soutien à l'économie capitaliste.
Biden a décidé de tout changer pour que rien ne change et que perdure le système capitaliste que les dirigeants américains ont toujours défendu.
Mais les valets sont toujours les derniers à comprendre que leurs maîtres vient de changer de politique. La commission européenne, les politiques européens, risquent d'avoir du mal à réviser leur dogme ... Ce sont les inspirateurs des financiers de Wall Street qui le leur avaient enseigné.
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Que l’on souhaite ou non une alliance de la gauche et des écologistes en vue de l’élection présidentielle française de l’année prochaine, les termes de ce débat ont confirmé l’analphabétisme géopolitique de la plupart des journalistes.
Car, à supposer qu’aucune divergence de politique économique et sociale n’interdise aux formations situées à gauche de M. Emmanuel Macron de faire front commun contre lui dès le premier tour du scrutin, peut-on en dire autant pour la politique étrangère ?
Q ue l’on souhaite ou non une alliance de la gauche et des écologistes en vue de l’élection présidentielle française de l’année prochaine, les termes de ce débat ont confirmé l’analphabétisme géopolitique de la plupart des journalistes. Car, à supposer qu’aucune divergence de politique économique et sociale n’interdise aux formations situées à gauche de M. Emmanuel Macron
Chars américains sur la voie ferrée vers l'Europe de l'Est. Pendant la manœuvre Defender Europe 21, la Lusace - région historique à l'est de l’Allemagne et au sud-ouest de la Pologne - deviendra une fois de plus une plaque tournante militaire. Photo : Mindaugas Kulbis/dpa
L’armée USA “défenseur” de l’Europe arrive...
Manlio Dinucci
Toute l’Europe n’est pas paralysée par les confinements anti-Covid : en effet s’est mis en marche le mastodonte exercice annuel de l’Armée USA, Defender-Europe, qui jusqu’à fin juin mobilise sur le territoire européen, et au-delà de celui-ci, des dizaines de milliers de militaires avec des milliers de blindés et autres véhicules. Le Defender-Europe 21 non seulement reprend le programme de celui de 2020, redimensionné à cause du Covid, mais l’amplifie.
Pourquoi le “Défenseur de l’Europe” arrive-t-il de l’autre rive de l’Atlantique ? C’est ce qu’ont expliqué les 30 ministres des Affaires étrangères de l’OTAN (pour l’Italie Luigi Di Maio), réunis physiquement à Bruxelles les 23-24 mars : “La Russie, avec son comportement agressif, mine et déstabilise ses voisins, et tente d’interférer dans la région des Balkans”.
Scénario construit avec la technique du renversement de la réalité : par exemple en accusant la Russie de tenter d’interférer dans la région des Balkans où l’OTAN a “interféré” en 1999 en larguant sur la Yougoslavie, avec 1.100 avions, 23.000 bombes et missiles. [ ...]
Lire l'intégralité ci-dessous sur le blog de Jean Lévy :
L’armée USA “défenseur” de l’Europe arrive... Manlio Dinucci Toute l’Europe n’est pas paralysée par les confinements anti-Covid : en effet s’est mis en marche le mastodonte exercice annuel de l’Armée USA, Defender-Europe, qui jusqu’à fin juin mobilise sur le territoire européen, et au-delà de celui-ci, des dizaines de milliers de militaires avec des milliers de blindés et
Dans une lettre ouverte titrée "OTAN 2030 : Stopper ce train fou avant qu'il ne soit trop tard" adressée à Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’OTAN, plusieurs haut gradés de l’Armée, regroupés au sein du Cercle de Réflexion Interarmées, s’insurgent contre le projet OTAN 2030 qui affaiblit la souveraineté de la France.
Si nous sommes globalement d’accord avec l’analyse faite par le Cercle de Réflexion Interarmées sur les méfaits de la stratégie de l’OTAN pour transformer, sur un prétexte mensonger, la Russie en ennemie, nous considérons que l’OTAN a été fondée non pas comme « alliance défensive bâtie pour protéger l’Europe face à un ennemi » mais comme bras armé pour « endiguer » le communisme et les désirs d’indépendance nationale des peuples des pays du continent européen.
En fait, et contrairement à ce que les auteurs de cette tribune écrivent, l’OTAN ne justifie pas l’outil militaire de cette alliance en le transformant en un instrument politique. Car en réalité l’OTAN a toujours été un instrument politique, créé au service exclusif des États-Unis et de sa volonté de gouverner le monde. Cette organisation supranationale, comme la pseudo-construction européenne, est par nature incompatible et même opposée à toute souveraineté nationale.
Nous reproduisons ci-dessous cette tribune libre du Cercle de Réflexion Interarmées publiée le 11/03/2021 sur le site capital.fr et en encadré la composition du groupe de travail de l'OTAN. Le fichier PDF vous permettra d'accéder au texte « OTAN 2030 : Unis pour une nouvelle ère »
Le Pardem
Lire la Lettre ouverte et l'article intégral ci-dessous :
Dans une lettre ouverte titrée "OTAN 2030 : Stopper ce train fou avant qu'il ne soit trop tard" adressée à Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN, plusieurs haut gradés de l'Armée, ...
En 2024, les 40 plus grosses entreprises françaises ont distribué un montant jamais vu de dividendes, estimé à 98,2 milliards d’euros, en dépit de résultats parfois en baisse. Dans ce monde en constante ébullition, il est des vérités rassurantes qu’il...
Le 12 janvier, le président croate a été triomphalement reconduit dans ses fonctions à l’issue du second tour où il a rassemblé 74,7% des suffrages. Lors du premier tour, Zoran Milanovic avait frôlé la victoire en obtenant 49,1%, alors qu’il y a cinq...
Sahra Wagenknecht
Sahra Wagenknecht : l’ovni des élections allemandes L’égérie de l’extrême-gauche allemande, Sahra Wagenknecht, réussira-t-elle son pari de rentrer au parlement national, un an après la création de son parti ? À cinq semaines des élections...
« Bachar a du sang sur les mains, mais pas plus que Bush » : les vérités de Régis Le Sommier
Bachar, Poutine, Trump : les vérités d'un reporter de guerre 🔷 Avec Régis Le Sommier Grand reporter, Directeur de la publication d'Omerta Auteur récemment de...
capture d'écran sur fb
A mon avis, il n'avait pas été aboli. Bon, journalistes et économistes de tout bord, y compris dans la presse dite de gauche, préfèrent parler de libéralisme ou de néo-libéralisme pour qualifier le Capital. Alors que par définition,...
USA : Leonard Peltier enfin libéré de prison Washington, 20 janvier (Prensa Latina) Leonard Peltier, le leader amérindien emprisonné depuis plus de 40 ans, a bénéficié aujourd'hui d'une commutation de sa peine dans l'un des derniers actes officiels de...
Par Guido LIGUORI, professeur d’université Les raisons d'une alternative au Parti démocrate n'ont pas disparu. Mais il faut changer de tactique : un accord avec le centre-gauche peut servir à rééquilibrer les poids et à faire bouger la ligne. Dans Il...
Parti communiste des États-Unis :Cessez-le-feu à Gaza - Israël et les Etats-Unis doivent rendre des comptes 1/17/25, 2:08 PM Cessez-le-feu à Gaza - Israël et les Etats-Unis doivent rendre des comptes Parti communiste des États-Unis Un accord de cessez-le-feu...