Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
A l'issue d'un sommet de quatre jours qui a une nouvelle fois mis en lumière les contradictions entre les Vingt-sept, les pressions de Berlin et de Paris ont abouti à un accord sur un " plan de ...
Jacques Nikonoff (capture d'écran)
À Paris le 1er mai 2016, Jacques Nikonoff, président du Parti de la démondialisation, explique ce que sont la mondialisation néolibérale et la démondialisation.
par Françoise Lopez Le Parlement Européen, fidèle à sa soumission indéfectible au Gouvernement des Etats-Unis et à son désir immodéré de soutenir les intérêts financiers européens et étasuniens et le pillage par leurs entreprises transnationales des ressources naturelles du Venezuela, vient d'approuver, hier 10 juillet, une nouvelle résolution destinée à renverser le Gouvernement c
Le projet néolibéral, théorisé dès les lendemains de la Seconde Guerre mondiale, se déploie à partir de la fin des années 1960 et se généralise au début des années 1980. Son but essentiel est la suppression discrète et progressive de la souveraineté des États-nations, c’est-à-dire la destruction de la démocratie et de la politique. Tel est, en effet, le moyen le plus efficace pour interdire toute possibilité de politiques qui pourraient contrevenir aux intérêts des classes dominantes.[...]
Le projet néolibéral, théorisé dès les lendemains de la Seconde Guerre mondiale, se déploie à partir de la fin des années 1960 et se généralise au début des années 1980. Son but essenti...
La Commission européenne a bouclé les "derniers détails" d'un accord de libre-échange qui supprime la quasi-totalité des droits de douanes entre l'UE et le #Mexique. SMIC Mexicain : 144€ par mois. Nul doute que la concurrence sera "non-faussée ...
Si ses efforts sont concentrés sur la lutte contre le coronavirus et ses conséquences économiques, le commerce reste une priorité pour la Commission européenne. Mardi, la Commission européenn...
Face à la crise sanitaire du Covid-19, Hervé Morin veut muscler l'industrie en Normandie. Bernard Leroy, le président de l'Agglomération Seine-Eure va définir cette stratégie.
Une lourde responsabilité repose sur les épaules de Bernard Leroy (UDI), président de la communauté d'agglomération Seine-Eure (Case), près de Louviers (Eure). Le président de la Région Nor...
OUI, bien sûr. Les ouvriers et techniciens de Sanofi qui ont vu leurs effectifs fondre au fur à mesure des délocalisations et des produits fabriqués hors de France ne peuvent que soutenir le projet.
OUI pour l'indépendance nationale, économique, stratégique et sanitaire
Ainsi, déjà, en 2012, un article paru sur le site "Basta", alertait sur ce danger. Ingrédient essentiel du Doliprane et de l’Efferalgan, le paracétamol est désormais importé à 100 % d’Asie, de Chine notamment. François Chast, membre de l’académie de pharmacie s'inquiétait qu’un produit de base très utilisé en pharmacie ne soit plus du tout fabriqué en Europe : « On peut s’en étonner, au vu des compétences en chimie et en fabrication de médicaments qu’il y a sur notre territoire. Il y a la question de la qualité, certes. Mais aussi celle de l’indépendance économique et stratégique. Si, pour une raison ou une autre, la Chine ou l’Inde décidaient de ne plus fournir ces matières actives, vous imaginez la catastrophe. »
Ou une pandémie nécessitant de limiter drastiquement les échanges ou conduisant les Chinois à fermer pour plusieurs semaines leurs sites de production.
Mais la relocalisation suffit-elle ? On le sait. ces grandes firmes n'ont qu'un souci en tête : les profits, le CAC40, la cote en bourse à Paris, New-York, Francfort ...
Or elles sont financées essentiellement par l'argent public, celui de l'Etat, celui de la sécurité sociale, par l'argent des salariés via les assurances privées. Les bénéfices de SANOFI, comme de toute l’industrie pharmaceutique, sont essentiellement issus des fonds publics consacrés à la santé et à la sécurité sociale. En 2017, Sanofi a ainsi bénéficié de 561 millions de remboursements de l’assurance maladie française.Sans compter les crédits d'impôts recherche ....
Cela n'a pas empêché Sanofi de brader ses productions en France depuis près de 30 ans. Et de continuer à empocher notre argent tout en adoptant une stratégie économique et financière contraire aux intérêts de ses salariés et des Français.
OUI à une nationalisation
C'est un gros mot certes. Mais il faut appeler un chat un chat. Quand une entreprise brade nos intérêts et fait n'importe quoi, il est de l'intérêt collectif de ne pas en abandonner la gestion aux milliardaires et aux marchés. Et donc de la nationaliser. Ce qui ne veut pas dire, confier intégralement les rênes à l'Etat. Dans le cas d'une industrie pharmaceutique, les salariés, les assurés sociaux ont aussi leur mot à dire ... la nationalisation doit être une appropriation sociale collective. Inventer les structures juridiques qui conviennent est tout à fait possible. L'avantage est qu'en France, nous avons quelque expérience en ce domaine, notamment depuis la Libération.
Personne ne croit à un capitalisme vertueux, tempéré, maîtrisé. Les promesses d'aujourd'hui masquent la néfaste gestion capitalisteet financière qui a conduit au désastre sanitaire d'aujourd'hui.
La seule solution viable, pour nos vies et non pour le profit, pour le long terme, est donc l'appropriation collective.
Evidemment, ce n'est pas consensuel. Ce serait demander à Sanofi et ses semblables de renoncer à leurs profits. Nous ne sommes pas dans un monde de bisounours. Il faudra les forcer un peu.
Ruptures n°95 est imprimé et confié au centre de tri mardi 28 avril.
Au sommaire :
– l’éditorial qui pointe les deux « recettes » de l’idéologie dominante pour l’« après » : plus d’Europe et plus de vert… A l’image du général Vincent Desportes qui veut « transformer cette crise en choc salutaire dont nous avions tant besoin »
– un état des lieux de la désindustrialisation du pays engagée depuis des décennies « grâce » à la libre circulation des capitaux, avec des conséquences dramatiques dans de nombreux domaines, dont les médicaments et matériels médicaux
– un récit et une analyse des contradictions entre les Vingt-sept, qui n’ont pu se mettre d’accord sur le financement du plan de relance pour l’après-pandémie, dans un contexte où les peuples – de l’Italie aux Pays-Bas – sont de plus en plus réticents à l’intégration européenne
– une analyse géopolitique de la guerre du pétrole engagée en mars entre les trois premiers producteurs mondiaux à l’occasion de la chute brutale mais provisoire de la consommation de brut, la Russie se réjouissant de la faillite de producteurs texans de pétrole de schiste
– une analyse de la situation politique en Serbie, où l’élection présidentielle prévue le 26 avril a dû être reportée, mais où le chef de l’Etat sortant, Aleksandar Vucic, est passé maître dans l’art de séduire divers électorats et de trouver un équilibre entre ses relations à l’ouest et à l’est
– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves
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Un film Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20ème anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht...
Washington a demandé a son poulain vénézuélien, Juan Guaido, de se retirer provisoirement, pour mieux écarter Nicolas Maduro – une stratégie sur laquelle Bruxelles vient de s’aligner
Les deux sont espagnols, les deux sont socialistes, les deux ont été ministre des Affaires étrangères de leur pays. Surtout, le premier fut Haut représentant de l’UE pour la politique étrangère (1999-2009), responsabilité qu’occupe le second aujourd’hui.
Seule différence : Javier Solana fut également Secrétaire général de l’OTAN (1995-1999), alors que son successeur à Bruxelles, Josep Borrell, n’a pas eu cet honneur. Mais ses chances restent intactes, ne serait-ce qu’au regard de sa dernière prise de position, particulièrement appréciée à Washington.
A l’issue de la réunion des ministres des Affaires étrangères des Vingt-sept du 3 avril (par vidéoconférence), M. Borrell a annoncé que l’Union européenne « soutient » le plan américain visant à faire partir le président du Venezuela, Nicolas Maduro. Celui-ci avait été réélu en mai 2018, au grand dam de l’opposition inspirée par Washington. [...]
En 2024, les 40 plus grosses entreprises françaises ont distribué un montant jamais vu de dividendes, estimé à 98,2 milliards d’euros, en dépit de résultats parfois en baisse. Dans ce monde en constante ébullition, il est des vérités rassurantes qu’il...
Le 12 janvier, le président croate a été triomphalement reconduit dans ses fonctions à l’issue du second tour où il a rassemblé 74,7% des suffrages. Lors du premier tour, Zoran Milanovic avait frôlé la victoire en obtenant 49,1%, alors qu’il y a cinq...
Sahra Wagenknecht
Sahra Wagenknecht : l’ovni des élections allemandes L’égérie de l’extrême-gauche allemande, Sahra Wagenknecht, réussira-t-elle son pari de rentrer au parlement national, un an après la création de son parti ? À cinq semaines des élections...
« Bachar a du sang sur les mains, mais pas plus que Bush » : les vérités de Régis Le Sommier
Bachar, Poutine, Trump : les vérités d'un reporter de guerre 🔷 Avec Régis Le Sommier Grand reporter, Directeur de la publication d'Omerta Auteur récemment de...
capture d'écran sur fb
A mon avis, il n'avait pas été aboli. Bon, journalistes et économistes de tout bord, y compris dans la presse dite de gauche, préfèrent parler de libéralisme ou de néo-libéralisme pour qualifier le Capital. Alors que par définition,...
USA : Leonard Peltier enfin libéré de prison Washington, 20 janvier (Prensa Latina) Leonard Peltier, le leader amérindien emprisonné depuis plus de 40 ans, a bénéficié aujourd'hui d'une commutation de sa peine dans l'un des derniers actes officiels de...
Par Guido LIGUORI, professeur d’université Les raisons d'une alternative au Parti démocrate n'ont pas disparu. Mais il faut changer de tactique : un accord avec le centre-gauche peut servir à rééquilibrer les poids et à faire bouger la ligne. Dans Il...
Parti communiste des États-Unis :Cessez-le-feu à Gaza - Israël et les Etats-Unis doivent rendre des comptes 1/17/25, 2:08 PM Cessez-le-feu à Gaza - Israël et les Etats-Unis doivent rendre des comptes Parti communiste des États-Unis Un accord de cessez-le-feu...