Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 16:25

Rouen - Rue de la République le 19 mars - Photo YG.

Sur France 3 Normandie.  Vidéos et commentaires.

 

Partager cet article
Repost0
20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 14:59

Michaël Zemmour

19/03/2019 sur Alternatives économiques

Période "sans emploi, ni retraite" importante : incapacité physique à soutenir des conditions de travail de plus en plus pénibles et arrêts maladie plus fréquents, attitude des entreprises qui licencient plus facilement les seniors et répugnent à les embaucher ...

Une majorité de seniors s’arrêtent de travailler avant l’âge légal de départ en retraite et beaucoup connaissent une période de flottement « sans emploi, ni retraite ».

Faudra-t-il travailler plus longtemps ? La borne de 62 ans, l’âge légal de départ en retraite, qui devait survivre à la future réforme des retraites, sera-t-elle finalement repoussée ? Après le « coefficient majorant » évoqué en février dernier par le Haut commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye – plus le salarié attendrait pour partir, plus il bénéficierait d’une valeur du point plus élevée – c’est au tour de la ministre des Solidarités de plaider pour un allongement de la durée du travail. Mais sous une autre forme qui a surpris, voire profondément agacé, les partenaires sociaux lancés dans un cycle de concertation avec le haut-commissariat à la réforme des retraites. Agnès Buzyn a ainsi déclaré le 17 mars qu’elle n’était pas « hostile », « à titre personnel » à un report de l’âge légal de départ en retraite. « Les Français l’évoquent, c’est sur la table. À partir du moment où toutes les propositions qui sont amenées par le Grand débat vont être étudiées, nous étudierons celle-là comme les autres », a-t-elle expliqué sur RTL.

Un débat qui intervient alors qu’il y a une confusion entre « l’âge moyen de la retraite », qui atteint désormais presque 63 ans, et « l’âge moyen de fin de carrière ». En effet, nombre de seniors ne passent pas directement de l’emploi à la retraite, mais connaissent une période intermédiaire. Sans compter que les réformes qui allongent la durée du travail ne sont pas sans effets. Depuis 2010, l’augmentation de l’âge légal minimum de la retraite a eu des conséquences diverses : des carrières plus longues pour certains, mais une plus longue période sans emploi ni retraite pour un quart d’une génération.

 

 

Un chiffre livré sans grand commentaire

Tout le monde ne travaille pas jusqu'à l'âge de la retraite ...

Au mois de mars, comme chaque année, la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) a publié ses statistiques annuelles sur les retraites en France. Et comme chaque année, un chiffre a fait la une de nos journaux et radios : l’âge moyen de la retraite augmente, pour atteindre 62 ans et 8 mois en moyenne (63 ans pour les femmes), soit 3 mois de plus qu’en 2017.[...]

Or ce n’est pas ce que nous dit cette statistique. Car ce que la Cnav publie, c’est l’âge moyen de liquidation. Il ne s’agit pas de l’âge auquel les salariés cessent leur activité professionnelle, mais de l’âge auquel ils font valoir leurs droits et touchent leur première pension. Or tout le monde ne travaille pas jusqu’à l’âge de la retraite.

En effet pour être en mesure de rester en emploi jusqu’à la retraite, il faut bien sûr le vouloir, mais aussi le pouvoir.

Physiquement d’abord : la difficulté des conditions de travail est de moins en moins supportable l’âge avançant et la santé se dégradant.

Professionnellement ensuite, car les entreprises sont promptes à se séparer des seniors par des licenciements ou des ruptures conventionnelles, et peu enclines à les embaucher. [...]

La suite sur le site d'Alternatives économiques si vous êtes abonné : https://www.alternatives-economiques.fr//non-on-ne-travaille-moyenne-jusqua-63-ans/00088735?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_campaign=NL_Quotidienne%2F19032019

Ou en fichier attaché, sans les illustrations, ci-dessous :

Et aussi :

Partager cet article
Repost0
19 mars 2019 2 19 /03 /mars /2019 00:09

TOUTES ET TOUS DANS LA RUE :

 

ROUEN   10 h Cours Clémenceau

 

DIEPPE  10 h 30 - Rond-point devant l’hôpital, avenue Pasteur.

 

LE HAVRE  10h  devant la chambre de commerce

cgt Logo-force-ouvrieress solidaire 76 fsu   

PUBLIC / PRIVÉ TOUS ENSEMBLE

Le 19 mars

POUR BLOQUER LES POLITIQUES DE MACRON

 

Le gouvernement a choisi de répondre à la colère ouvrière et populaire de ces derniers mois par la répression : des milliers de blessés et mutilés, d’arrestations arbitraires, et maintenant un projet de loi anti-manifestations. Ce sont les seules réponses aux revendications légitimes portées par le mouvement social et les gilets jaunes.

Pour  mettre un coup d’arrêt, et obtenir des avancées sociales, nous en appelons à la mobilisation la plus large, dans et hors des entreprises et des services publics, avec toutes celles et ceux qui convergent pour la justice sociale.

Les unions départementales CGT, FO, FSU, Solidaires et UNEF appellent à se mettre en grève et à manifester pour :

Arrêt de la répression d’Etat, NON à la loi «anticasseurs».

Hausse immédiate du SMIC à 1800€ brut, et des grilles de salaires

-Augmentation générale des salaires, des pensions et du point d’indice pour les fonctionnaires

Ré indexation des salaires, des pensions et des retraites sur le coût de la vie

NON au projet de réforme de la fonction publique : suppressions de postes, de services rendus à la population, casse du statut…

Retour à la retraite à 60 ans. Maintien des régimes existants et abandon du régime universel par points.

Retrait des contre réformes : loi santé et réforme de la justice.

Abandon de toutes les réformes concernant les lycéens et les étudiants, dont l’augmentation des frais d’inscription pour les étudiants étrangers hors UE : parcoursup, réforme des lycées.

Pour une véritable égalité hommes – femmes dans les salaires, la carrière et les retraites.

Retrait de la loi Blanquer « l’école de la confiance »

Abrogation des réformes qui détricotent le droit du travail et la protection des salariés (Lois « Rebsamen , El Khomri »,

ordonnances « Macron »…)

Pendant le Grand Débat de Macron, les mauvais coups sont confirmés ou accélérés :

Négociation sur l’Assurance chômage : Le gouvernement exige 3 milliards d’économies. Le patronat en rajoute en refusant toute limite à la précarité. Nous n’acceptons pas cette dégradation des droits des privés d’emploi.

Services publics et entreprises publiques : Le gouvernement maintient ses mesures de privatisation et de suppressions d’emplois. Il annonce une loi, par ordonnances, pour casser le statut de 5 millions de fonctionnaires.

Santé : La Ministre Buzyn ferme la maternité de Bernay et, la même semaine dépose un projet de loi, pour multiplier les fermetures de services hospitaliers, les blocs opératoires…. Cette loi aussi serait prise par ordonnance, donc au pas de charge.

Education nationale. Parcoursup, la réforme du Bac, et maintenant le projet de Réforme Blanquer, c’est toujours plus de sélection arbitraire pour mener des études, une sélection par l’argent comme pour les étudiants étrangers, Une remise en cause de la formation des enseignants, concurrence entre les établissements, fin de la liberté d’expression

Pouvoir d’achat : A peine des mesures pour limiter les hausses sont-elles annoncées par Macron que déjà elles sont remises en cause (exemple les hausses de l’Energie et des péages). Mais la suppression de l’ISF et tous les cadeaux au patronat sont maintenus alors que les actionnaires du CAC 40 ont touché 57 milliards en 2018.

Retraites : Delevoye, le « Monsieur Retraite par points » de Macron, confirme son projet de Régime universel cassant tous les régimes existants et les garanties qui y sont inscrites. Il programme la baisse brutale des pensions

TOUTES ET TOUS DANS LA RUE : ROUEN 10 h Cours Clémenceau
Partager cet article
Repost0
18 mars 2019 1 18 /03 /mars /2019 23:57

Les services d'accueil périscolaire et les transports en commun de Rouen seront perturbés, mardi 19 mars 2019, par un mouvement de grève nationale. Le point sur ce qui vous attend.

Mardi 19 mars 2019, les transports en commun et les écoles de Rouen (Seine-Maritime) seront touchés par un mouvement de grève nationale, occasionnant des perturbations. (©JB/76actu/Illustration)

Source : https://actu.fr/normandie/rouen_76540/greve-19-mars-ecoles-transports-commun-perturbations-annoncees-rouen_22147462.html

Partager cet article
Repost0
18 mars 2019 1 18 /03 /mars /2019 16:16

"Parmi les revendications les plus partagées parmi les quelque 17 000 douaniers figurent l’augmentation de l’allocation complémentaire qui leur est versée, mais aussi une hausse des effectifs et l’octroi de moyens supplémentaires pour faire face à l’incertitude du Brexit."

Partager cet article
Repost0
18 mars 2019 1 18 /03 /mars /2019 16:02

Au cours de l’examen de la loi d’orientation sur les mobilités, la commission de l’aménagement du territoire du Sénat a adopté un amendement déposé par des sénateurs LR relevant le délai de préavis dans les entreprises de transport.

Source et article intégral : https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/transports-en-commission-les-senateurs-font-passer-le-preavis-de-greve-de-48-a

 

C’est par un amendement, adopté le 5 mars en commission des lois du projet de loi d’orientation des mobilités, que seize sénateurs Les Républicains ont poussé l’avantage des employeurs du secteur des transports un peu plus loin. Ainsi, ils ont fixé à 72 h, au lieu de 48 h, le délai de prévenance pour les salariés soumis, comme à la SNCF, à l’obligation de déclaration individuelle d’intention (DII) avant toute grève. Inacceptable pour la fédération des transports CGT et celle des cheminots qui se sont fendues d’un communiqué de presse commun le 11 mars.

« Cette mesure des 48 heures sert de délai pour les directions d’entreprises pour faire pression, toujours de manière officieuse, mais néanmoins réelle, sur les salariés souhaitant avoir recours collectivement à leur droit constitutionnel de faire grève », s’insurge la CGT. Elle conteste catégoriquement l’argumentaire de Roger Karoutchi, à l’origine de l’amendement, qui consiste à trouver le délai trop court pour permettre aux entreprises la mise en place d’une organisation optimum. Un argument prétexte ? En tout cas, une façon discrète avec cet amendement de limiter un peu plus l’impact des grèves dans ce secteur.

Les deux fédérations de la CGT affirment qu’elles mettrons « tout en œuvre pour empêcher de nouvelles restrictions à l’exercice du droit de grève, dans un contexte où les libertés publiques sont de plus en plus remises en cause ». Mardi 12 mars, le Sénat a adopté définitivement la loi sur le maintien de l’ordre dans les manifestations. Un texte décrié par les associations, les avocats et plusieurs centrales syndicales, dont la CGT.

Source : http://www.frontsyndical-classe.org/2019/03/l-ex-ump-mene-au-senat-une-attaque-contre-le-droit-de-greve.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

 

 

Partager cet article
Repost0
18 mars 2019 1 18 /03 /mars /2019 15:54

ROUEN   10 h Cours Clémenceau

 

DIEPPE  10 h 30 - Rond-point devant l’hôpital, avenue Pasteur.

 

LE HAVRE  10h  devant la chambre de commerce

 

Partager cet article
Repost0
18 mars 2019 1 18 /03 /mars /2019 15:50

Manifestation : 10 h 30 - rond-point situé devant l’hôpital de Dieppe, avenue Pasteur.

La CGT de Dieppe appelle les retraités et tous les salariés à se mobiliser le mardi 19 mars 2019 à Dieppe.

Le cortège s’élancera depuis le rond-point situé devant l’hôpital, avenue Pasteur, le 19 mars. (©Les Informations Dieppoises)

Source : https://actu.fr/normandie/dieppe_76217/la-cgt-appelle-manifester-19-mars-dieppe_22007995.html

Partager cet article
Repost0
17 mars 2019 7 17 /03 /mars /2019 18:18

par

"Quatre organisations syndicales de la CGT, parties civiles dans la procédure, ont décidé de rendre publics certains éléments de l’enquête - procès-verbaux de l’inspection du travail et auditions de témoins - qui selon eux mettent en évidence la responsabilité écrasante de Saipol, et dans une moindre mesure celle de la Snad."

" « On pourrait comparer la situation à celle d’un chauffard qui grille 16 feux rouges et finit par tuer deux personnes », illustre Gérald Le Corre, responsable santé au travail pour l'UD-CGT de Seine-Maritime "

" « Partout, on continue à étendre la sous-traitance pour la maintenance. Les mises en concurrence font que les plans de prévention ne sont pas respectés », dénonce un inspecteur du travail interrogé par Basta !"

" Autre problème : la diminution continue des effectifs du côté de l’inspection du travail",

" En attendant, les risques sont mis en balance avec les coûts. « Et la probabilité de condamnation est si faible que ce choix est rapide. »

Explosion mortelle à Saipol - février 2018 - Image Paris-Normandie

Article

Il y a un peu plus d’un an, le 17 février 2018, deux techniciens sont tués par l’explosion d’un extracteur au sein d’une usine de traitement d’huile du groupe agro-alimentaire Avril. Les deux personnes décédées étaient salariées d’un prestataire, spécialiste des opérations de maintenance. Mises en examen pour homicide involontaire, les deux entreprises bénéficient de la présomption d’innocence. Mais leur responsabilité est pointée par plusieurs organisations syndicales et témoignages de salariés. Partie civile dans la procédure, elles ont décidé de rendre publics certains éléments de l’enquête, témoignages et rapports de l’inspection du travail.

Il y a un an, une violente explosion souffle l’usine de traitement d’huile Saipol de Dieppe, en Seine-Maritime. Plusieurs étages sont emportés. Les pompiers mettent quatre heures à éteindre l’incendie. Ce 17 février 2018, ils ramassent également les corps sans vie de deux techniciens : Stéphane Gallois, 44 ans, et Alexandre Frontin, 25 ans. Salariés d’une société spécialisée dans la maintenance (la Snad), les deux hommes intervenaient dans l’usine quand l’explosion les a emportés. Cinq mois plus tard, en juillet, leur employeur est mis en examen pour « homicide involontaire par la violation manifestement délibérée d’une obligation de sécurité ou de prudence ». Mais la Snad n’est pas seule à être inquiétée par la Justice : Saipol, qui appartient au groupe agro-industriel Avril, est mis en examen pour les mêmes raisons.

La responsabilité du donneur d’ordre questionnée

Stéphane Gallois et Alexandre Frontin nettoyaient l’extracteur d’huile quand l’explosion les a tués. Il s’agit d’un engin immense, en forme de bouteille allongée : 20 mètres de long et 2,40 mètres de large, pour 50 m3 de volume. A l’intérieur, des résidus de colza passent sur un tapis roulant. Ils ont déjà été pressés une première fois. L’huile restante en est extraite via un solvant, l’hexane, hautement inflammable et explosif [1]. Ce jour-là, des résidus sont coincés sur et sous le tapis roulant, ce qui grippe le système et nécessite une intervention. [...]

La suite sur le site de Bastamag ici : https://www.bastamag.net/De-nombreuses-questions-entourent-la-mort-de-salaries-souffles-dans-l-explosion

Partager cet article
Repost0
16 mars 2019 6 16 /03 /mars /2019 00:06
LE HAVRE  10h  devant la chambre de commerce
Le Havre : des syndicats appellent à la grève et à manifester, mardi 19 mars

Manifestation. L’intersyndicale CGT-FO-FSU et Solidaires appelle à un large rassemblement des salariés des secteurs public et privé, mardi à 10 h. Un appel à la grève a aussi été lancé et de très nombreux établissements scolaires pourraient être fermés.

Stéphanie Rio (FSU), Alain Parisse, Maryvonne Houssay (Solidaires), Mathieu Santus, Jean-Claude Lebourg (CGT) et Yves Cozic (Solidaires), réunis hier à la Maison des syndicats, pour présenter la manifestation de la semaine prochaine

Satisfaite de l’affluence constatée lors de la dernière grande manifestation interprofessionnelle au Havre, le 5 février dernier (2 200 personnes selon la police, 6 500 selon les organisateurs), l’intersyndicale CGT-FO-FSU et Solidaires appelle à manifester le mardi 19 mars prochain dans la ville, au départ de la chambre de commerce et d’industrie, à 10 heures. Le syndicat étudiant Unef est associé à cette démarche pour la défense des salariés des secteurs public et privé, sur les questions des salaires, des minima sociaux ou encore des retraites, et contre le « détricotage » du Code du travail. [...]

La suite ici : https://www.paris-normandie.fr/actualites/societe/le-havre--des-syndicats-appellent-a-la-greve-et-a-manifester-mardi-19-mars-DB14731640

Et aussi :

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents