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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 16:35
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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 14:15

Cet article est reposté depuis Le blog de Lucien PONS.

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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 13:53

Le spectacle d’un candidat à l’investiture du Parti Démocrate qui s’arrête devant un piquet de grève  et prend la parole pour soutenir la lutte des grévistes, est suffisamment rare pour qu’il ne passe pas inaperçu  même par les medias des Etats Unis. Ceci est donc arrivé le lundi 11 avril au Times Square de New York, le piquet de grève était de 40.000 travailleurs du géant des télécommunications Verizon, mis en grève pour obtenir la convention collective refusée obstinément par le patronat, et le candidat était –évidemment- Bernie Sanders. Coup de pub électoral ? De la démagogie ? Du « populisme » ? Rien de tout ca, tout simplement cohésion et continuité d’une vie passée aux cotés des travailleurs. D’ailleurs, la dernière fois que Sanders avait fait exactement la même chose c’était il y a seulement quelques mois, en octobre passé, à un autre piquet de grève, toujours a Manhattan…

Ça se peut que la gauche européenne -qui brille par son indifférence envers ce qui se passe aux Etats Unis- ignore ces événements, mais par contre, les travailleurs comme les patrons nord-américains les connaissent très bien. C’est d’ailleurs pourquoi le PDG de Verizon Lowell McAdam s’est empressé d’attaquer violement Bernie Sanders, le qualifiant d’ «ignorant », de « détaché de la réalité » et de « méprisable ». Au contraire, les grévistes de Verizon ont acclamé Bernie et leur grand syndicat CWA a décidé de soutenir sa candidature, le qualifiant  même de…« champion des intérêts de la classe ouvrière » ! D’ailleurs, ce n’est pas un hasard que Bernie Sanders a fini d’haranguer la foule des grévistes  par cette phrase lapidaire : « De la part de chaque ouvrier en Amérique, au nom de tous ceux qui subissent les mêmes pressions, je vous remercie pour ce que vous en train de faire. Nous vaincrons ! ».

Le même jour, un autre grand syndicat, local cette fois, celui des travailleurs des transports de New York (Transit Workers Union-Local 100), décidait de soutenir Bernie Sanders, au grand dam de l’établissement du parti Démocrate de New York, qui considérait ce syndicat comme son fief. La décision des leaders syndicaux était pratiquement unanime (42-1) et elle est symptomatique des grands changements que la campagne de Sanders est en train de produire au sein de la classe ouvrière nord-américaine et de son mouvement syndical.  Mais, l’adhésion  des 40.000 membres du TWU au camp de Sanders acquiert une importance encore plus grande si on pense qu’il s’agit, dans leur grande majorité,  des travailleurs Afro-americains et Latinos, lesquels sont  censés suivre presque aveuglement les directives du Parti Démocrate et …le clan des Clinton.

Dix jours plus tôt, le ton de la rencontre organisée à Chicago par le réseau syndical  Labor for Bernie, qui revendique plus de 12.000 adhérents, dont 5 grands syndicats nationaux et 90 unions syndicales locales, était donné par la déclaration introductive suivante : « Nous travaillons pour voir Sanders décrocher l’investiture du Parti Démocrate. Cependant, nous ne faisons pas que ça. Nous allons plus loin en construisant un mouvement de démocratie dans ce pays ». La phrase était claire et était prononcée par Larry Cohen, ancien président du syndicat (600.000 membres) Communications Workers of America, du plus grand syndicat des travailleurs des communications et des medias des Etats Unis. Détail tres significatif : Larry  Cohen est aussi « Conseiller Supérieur » de Bernie Sanders.

Cette rencontre syndicale de Chicago (1) n’a jamais caché qu’au-delà de sa contribution à la campagne de Bernie Sanders,  son objectif était  de construire un mouvement ouvrier indépendant capable de régénérer sinon de refonder le mouvement ouvrier nord-américain sur des bases de classe. Ce n’était donc pas un hasard si elle s’intitulait « Labor for Bernie and Beyond », c’est-à-dire « Travailleurs pour Bernie et au de-là ». D’ailleurs, en dit long sur son orientation politique et sociale la proposition qui y a été discutée concernant les « cinq principes » autour desquels devrait être construite cette « nouvelle force pour une économie démocratique » :

·        La lutte contre l’inégalité économique

·      Le combat contre les discriminations fondées sur la race, le genre, et l’orientation sexuelle

·     L’opposition à l’économie de la guerre permanente et de la politique extérieure militarisée

·         La lutte contre le changement climatique global

·      La défense du droit d’organiser avec le mouvement ouvrier protagoniste dans la promotion des intérêts de la classe ouvrière

Mérite aussi attention le fait que le réseau Labor for Bernie a décidé d’ organiser, ensemble avec d’autres organisations et mouvements sociaux, une grande Assemblée Populaire à Chicago le 17 Juin, tandis que son rapporteur Larry Cohen a annoncé que la bataille finale pour l’investiture a la Convention du Parti Démocrate en Juillet prochain,  se fera tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la salle des congres puisque  la Convention sera « assiégée » par le plus grand nombre possible de partisans de Sanders !

Le fait est qu’on n’a plus affaire à une intention mais plutôt à une décision de transformer la campagne électorale du sénateur du Vermont en processus de construction d’un mouvement ouvrier indépendant et de masse. Manifestement, il s’agit ici d’un développement  extraordinaire  d’importance historique. Mais, ce n’est pas tout car on se trouve désormais devant la multiplication d’initiatives analogues venant de l’intérieur de la campagne de Sanders et mettant en place des processus de construction des mouvements indépendants sectoriels ou même du tant attendu « troisième parti » qui brisera le bipartisme traditionnel américain.  Comme par exemple, l’initiative du réseau des Berniecrats de lancer un processus de construction d’une énorme  liste de candidats alternatifs et indépendants à toutes les élections, à  condition que ces candidats s’engagent à soutenir et défendre publiquement le programme de Bernie Sanders. Ce processus semble progresser sensiblement et évidemment, il entre déjà en collision avec le bipartisme traditionnel, et plus immédiatement avec le Parti Démocrate, puisque sa dynamique le pousse vers la construction d’un (troisième) grand parti  qui présentera ses propres candidats à tous les échelons de la vie publique nord-américaine !...

Etant donné que cette marche vers le mouvement de masse indépendant et radical se combine avec la récente série de victoires écrasantes de Bernie Sanders et l’envolée de sa popularité  sur fond d’immenses foules participant à ses meetings électoraux survoltés,  on ne peut s’étonner ni de la grande inquiétude –à la limite de la panique- de l’établissement américain, ni de l’énervement manifeste d’une Hillary Clinton, qui durcit brutalement ses attaques à B. Sanders.

Comme on pourrait s’y attendre, cette situation aiguise ultérieurement la colère des millions de partisans de Sanders, accélère ultérieurement leur affranchissement du piège du bipartisme, et évidemment, contribue ultérieurement à leur radicalisation. Une de ses conséquences est que les « consensus » interclassistes traditionnelles ainsi que leurs célèbres représentants  plus ou moins « progressistes » s’usent rapidement  et voient leurs masques tomber en un temps record.  Voici donc pourquoi le nobeliste d’économie Paul Krugman,  célébré  en Grèce  comme grand défenseur du peuple grec face à ses bourreaux, est aux USA un adversaire acharné  de Sanders et un des principaux soutiens de Hillary Clinton, utilisant même une argumentation qui ne diffère pas sensiblement de celle…des créditeurs de la Grèce. Et voici aussi pourquoi des grands medias américains par excellence libéraux comme les Times de New York, le Washington Post ou le CNN abandonnent leurs bonnes manières  et utilisent tous les moyens, y inclus les plus ignobles, pour neutraliser la menace mortelle appelée Bernie Sanders.

Face à ces développements que nous considérons sans hésitation comme historiques, on s’attendrait à ce que toute la gauche internationale pavoise  et se mobilise pour exprimer en actes sa solidarité et son soutien. Pourtant, il ne se passe absolument rien ! A quelques exceptions près, et ce n’est pas un hasard si elles se retrouvent toutes dans cette Amérique Latine qui en sait long sur l’impérialisme nord-américain, la gauche européenne reste totalement  passive  et  indifférente, se montrant  incapable de prendre la mesure tant de la dynamique  du « phénomène Sanders » que de ses conséquences politiques et sociales. Et pourtant,  bien que très important et prometteur, ni le grand et si radical mouvement de la jeunesse et des salaries qui est en train de se développer ces dernières semaines en France, ni la grande et très prometteuse crise qui a comme épicentre cette Catalogne de plus en plus radicalisée, ne peuvent être comparées aux évènements qui ont lieu actuellement  au cœur de la superpuissance mondiale. Des évènements qui, comme nous l’avons écrit il y a un mois, peuvent changer le cours de l’histoire ! (2)

Notre conclusion est sans appel : la gauche européenne  a aujourd’hui le devoir de  se mobiliser pour soutenir en actes et avec toutes ses forces, le mouvement de masse  sans précédent qui est en train de se construire aux Etats Unis. Tant parce que, en ces temps si adverses, ce mouvement représente le plus grand espoir pour ceux d’en bas, pour l’humanité et pour la planète, que parce que la gauche européenne a beaucoup à apprendre et tout à gagner en s’alliant à lui.

Yorgos Mitralias

Notes
 
1.   Pour plus d’informations sur cette rencontre syndicale de Chicago, lire l’excellent article de Dan La Botz : http://newpol.org/content/labor-bernie-and-beyond-plans-primaries-and-fu...
2.   http://cadtm.org/Bernie-Sanders-Vers-un-mouvement

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Dimanche, 17 Avril, 2016 - 11:13
Auteur: 
patrick s
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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 13:38

Communiqué du syndicat des cheminots de Béziers

Tract distribué

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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 08:53

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

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17 avril 2016 7 17 /04 /avril /2016 17:00
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17 avril 2016 7 17 /04 /avril /2016 11:16
 

Confronté à l’aggravation inévitable de la crise systémique du capitalisme et alors que la fuite en avant dans une pression euro-austéritaire toujours plus dure contre les travailleurs ne peut qu’alimenter la déflation pour préserver à court terme les profits de la classe capitaliste, la Banque Centrale Européenne poursuit sa politique dite d’Assouplissement Monétaire

L’assouplissement quantitatif ou « l’hélicoptère monétaire » pour les banques privées

 Les traités européens fixent un unique objectif à la Banque Centrale Européenne (BCE), c’est à dire à l’Euro : la stabilité des prix. C’est à dire de protéger à tout prix le Capital de l’inflation. Ils fixent également un tabou : le financement direct du budget des États qui sont donc obligés de financer leurs déficits auprès des banques privées, c’est à dire des banques détenues par la classe capitaliste. Ces même banques privées que les Etats ont du sauver en s’endettant très lourdement. Ces dernières ont donc avec la Banque Centrale Européenne le monopole de la création monétaire

Confrontée à la stagflation voire la déflation des prix au sein de la zone euro, et afin de lutter contre la spirale dépressionniste de la crise systémique du capitalisme, la Banque Centrale Européenne (BCE) s’est lancée en 2015 dans une politique dite d’assouplissement quantitatif, c’est à dire de rachat massifs d’actifs publics et privés. Car la BCE comme toutes les banques centrales a le pouvoir de créer de la monnaie. C’est même l’une de ses fonction essentielle. Mais ce qu’il faut bien avoir en tête c’est que ces rachats d’actifs se font auprès des banques privées, puisque l’Euro interdit aux banques centrales l’achat direct de titres de dettes publiques d’état sur le marché primaire. La BCE (ou plutôt les différentes banques centrales nationales) achètent donc massivement des titres de dettes publiques ainsi que des titres privés sur le marché secondaire auprès des banques privées, ces dernières réalisant au passage probablement de confortables bénéfices. Pour ce faire, 60 milliards d’actifs (40 milliards de dette publiques et 20 milliards de dette privée) doivent être rachetés chaque mois jusqu’en septembre 2016. Il s’agit en fait d’une injection massive de liquidités dans le système financier – plus de 50% du PIB annuel d’un pays comme la France – profitant directement aux banques privées. Pour reprendre l’image de l’économiste libéral Friedman, c’est comme si la Banque Centrale Européenne avait envoyé une flotte d’hélicoptères déverser une pluie de billets directement sur les banques privées. Pour fixer les idées, 60 milliards d’euros par mois, cela représente :

  • 838 canadairs C145 vidant leurs soutes remplis de billets de 10€
  • de quoi recouvrir une surface de 7000 terrains de foot
  • ou de remplir une pile de conteneurs remplis de billets de 10€ plus haute que la tour Eiffel
  •  ou une fois mis bout à bout une distance de 762000 km permettant de faire 19 fois le tour de la Terre.
  • Si ces 60 millards d’euro étaient donnés directement à chacun des 340 millions d’habitants de la zone euro, chacun toucherait chaque mois un chèque de 176€
  • 60 milliards d’euros, c’est presque trois fois le montant des prêts annuels accordés par la Troika UE BCE FMI avec le 3e memorandum grec
  • et c’est plus que le déficit budgétaire annuel d’un pays comme la France et deux fois la charge des intérêts de la dette de l’Etat français.
 

De façon implacable, cette création d’énormes quantités d’argent n’a servi qu’à alimenter la spéculation capitaliste et les profits des monopoles bancaires de la classe capitaliste. Logique puisque c’est le but de l’Union Européenne et de l’Euro. Les travailleurs contraint à l’euro austérité salariale n’auront eu droit pour leur part qu’à la poursuite de l’augmentation du chômage et la baisse des salaires directs et indirects. Après un an de ce régime et alors que les prix sont tirés vers le bas par la baisse des prix de l’énergie et des matières premières, le risque de déflation est toujours le même en février 2016, les prix au sein de la zone euro avaient continué de reculer de 0,2% et le chômage continue de monter jetant des millions et millions de travailleurs à travers l’Europe dans la misère la plus terrible.

Sortir de l’Euro pour s’en sortir : pour le contrôle souverain de la monnaie par les travailleurs au service des travailleurs

france ue carcan euro marianneCe que cet « assouplissement quantitatif » démontre, c’est que de l’argent, des marges de manœuvre, contrairement à ce que répètent à l’envie les ultra libéraux du PS, du FN ou des LR ainsi que leurs chiens de gardes médiatiques, il y en a. Et le peuple n’est pas condamné à l’euro austérité sans fin qui lui est imposé au nom de l’Union Européenne et sous la contrainte de l’Euro. Les peuples, à condition de sortir de l’Union Européenne et de l’Euro et d’imposer le pouvoir démocratique de la classe des travailleurs peuvent construire une alternative de progrès social.

La France, via la Banque de France, est actionnaire à 14% de la banque centrale européenne. Si nous n’étions pas dans l’euro et en faisant l’hypothèse que la Banque de France soit sous le contrôle des travailleurs et qu’elle mène une politique d’assouplissement quantitatif de la même ampleur que celle menée actuellement par la BCE, mais non pas au service des monopoles capitalistes, mais au contraire au service de la classe des travailleurs, elle mettrait à disposition du gouvernement français en 2016 101 milliards d’euros. 101 milliards d’euros c’est une force budgétaire importante, significative. Cela représente 3600€ pour chacun des 28 millions de foyers français ou 8 fois le « trou » de la sécurité sociale.

Sachant que le montant total moyen du salaire annuel moyen dans l’industrie et les service en France est d’environ 34 000 € (d’après Eurostat), cela représente le montant des salaires de près de 3 millions d’emplois ! A comparer au 3,5 millions de chômeurs en catégorie A qui pointe à Pôle emplois. Si – dopées par la BCE – les monopoles bancaires ont affiché des bénéfices records (on parlerait de plus de 11 milliards d’euros pour les 10 premières banques européennes rien qu’au second trimestre 2015) le chômage a continué d’exploser en France. La preuve que la Banque Centrale Européenne est une arme servant à remplir les poches de l’oligarchie capitaliste en faisant celles des travailleurs.

Les médias du Capital, le parti unique capitaliste dans ses différentes tendances (du PS au FN) prétendent qu’il n’y a pas d’alternative à l’austérité, aux « réformes structurelles » imposées par l’Union Européenne pour renforcer l’exploitation capitaliste et remplir les coffres des milliardaires. Ce n’est pas vrai.

En sortant de l’UE et de l’Euro par la porte du progrès social et démocratie, comme le proposent les militants franchement communistes du PRCF, celle confiant le pouvoir et la souveraineté monétaire non pas à la dictature de la classe capitaliste mais au peuple c’est à dire à la classe des travailleurs, il serait dont possible de mettre fin immédiatement à l’austérité, de diminuer rapidement et drastiquement le chômage car l’Etat recouvrerait immédiatement les marges budgétaires utiles au financement d’une économie tournée non pas vers la spéculation et les profits exclusifs de la classe capitaliste, mais vers la satisfaction des besoins des travailleurs.

JBC pour www.initiative-communiste.fr

source : http://www.initiative-communiste.fr/articles/europe-capital/bce-donne-dizaines-de-milliards-deuros-aux-banques-privees/

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17 avril 2016 7 17 /04 /avril /2016 11:12

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17 avril 2016 7 17 /04 /avril /2016 11:10

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17 avril 2016 7 17 /04 /avril /2016 09:41

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