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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
7 mai 2019 2 07 /05 /mai /2019 16:46

Quand on est gilets jaunes, pour un péage en feu : un an de prison ferme et 288 000 euros - Pour les responsables de France Télécom coupables de harcèlement ayant mené à 35 suicides, peines encourues : un an de prison et 15000 euros d'amende

Manifestation de salariés de France Télécom - https://www.abcbourse.com/marches/suicides-a-france-telecom-le-proces-de-l-entreprise-et-ses-ex-dirigeants-s-ouvr_469532_PX1p.aspx
Procès France Télécom: la valeur de «l’être humain sur le marché du travail» en question

Voir sur Libération : https://www.liberation.fr/depeches/2019/05/04/proces-france-telecom-la-valeur-de-l-etre-humain-sur-le-marche-du-travail-en-question_1724941

Et sur l'Humanité :https://www.humanite.fr/france-telecom-le-proces-historique-de-la-souffrance-au-travail-671819

https://www.humanite.fr/suicides-de-france-telecom-un-grand-proces-possible-611396

Le mur devant lequel un salarié de France Télécom s’est immolé par le feu, le 26 avril 2011, à Mérignac (Gironde). PATRICK BERNARD / AFP
Quatre « gilets jaunes » condamnés à un an de prison ferme pour l’incendie d’une barrière de péage
Péage brûlé près de Narbonne - Photo Le Point

https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/06/quatre-gilets-jaunes-condamnes-a-un-an-de-prison-apres-l-incendie-d-un-peage-a-narbonne_5459090_3224.html

 

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7 mai 2019 2 07 /05 /mai /2019 13:52

vendredi 3 mai 2019 par Canaille le Rouge, Alain Chancogne (ANC) et Grossvak Serge

Regardez cette image de La Salpétrière : cela ne vous rapelle pas quelque chose ?(NDLR)
La langue anglaise est suffisamment riche pour ne pas user de ces franglicismes paresseux tels "fakes news" qui pullulent à travers la toile. D’autant que le mot ne traduit pas l’idée que celui qui l’émet est d’abord un menteur.
Par contre parler d’éditeurs de mensonges permet de bien identifier de qui et de quoi il s’agit.
En matière de mensonges, c’est comme pour les produits de consommation, l’important c’est la traçabilité.

Sur cette image une personne visiblement âgée est acculée contre un mur et menacée d’une matraque par les forces de l’ordre mais Le Monde qui la publie légende "face à face entre gilets jaunes et force de l’ordre boulevard de l’hôpital". Quand les régimes de réalité divergent à ce point je ne sais pas bien dans quel monde commun nous allons réussir à vivre. (NDLR)

La suite ici sur le site de l'ANC : http://ancommunistes.org/spip.php?article1303

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 23:29

Un photographe est chahuté par des membres des forces de l'ordre, le 2 février 2019 à Bordeaux (Gironde). (GEORGES GOBET / AFP)

Selon l'association Reporters sans frontières, près de 90 journalistes ont été victimes de violences policières depuis le début du mouvement des "gilets jaunes". Les reporters et photographes indépendants figurent en première ligne dans les manifestations.

"Un cap répressif a été franchi." Après l'interpellation et la garde à vue du journaliste indépendant Gaspard Glanz, signataire de cette tribune, lors de la manifestation des "gilets jaunes" le 20 avril, plus de 350 médias, journalistes, photographes, indépendants ou appartenant à des rédactions dénoncent, dans une tribune publiée sur franceinfo.fr, les violences policières subies par leur profession depuis le début du mouvement. Ils alertent sur la précarisation de leurs conditions de travail et les agressions physiques et psychologiques vécues sur le terrain. Ils revendiquent leur droit à informer et la liberté de la presse. Ils s'expriment ici librement.

Nous, journalistes de terrain, journalistes indépendant·e·s, en poste en rédaction, avec ou sans carte de presse, décidons de prendre la parole collectivement pour dénoncer les multiples violences d’Etat que nous subissons.[...]

La suite ici :https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/tribune-nous-assistons-a-une-volonte-deliberee-de-nous-empecher-de-travailler-plus-de-300-journalistes-denoncent-les-violences-policieres_3416561.html

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5 mai 2019 7 05 /05 /mai /2019 17:04
Ce que Castaner n'aurait pas voulu voir ! Crédits photos : LP/Olivier Corsan

Ce que Castaner n'aurait pas voulu voir ! Crédits photos : LP/Olivier Corsan

Vendredi, 3 Mai, 2019

La préfecture a beau s’en défendre, la police a chargé la CGT, le 1er Mai, à Paris. Une situation anormale qui a commencé avant le début du défilé.

«Castaner se targue d’œuvrer à la liberté de manifester, ce n’est pas ce qu’on a ressenti du côté de la CGT. On a plutôt pensé qu’ils voulaient qu’on annule la manifestation. » L’Humanité a recueilli et croisé plusieurs témoignages et récits de membres de services d’ordre syndicaux, qui tiennent à rester anonymes, pour tirer au clair ce qui s’est passé ce 1er Mai dans la capitale. Et tous concordent : la police s’en est bel et bien pris à la CGT. Présents dans le défilé, des journalistes de l’Humanité l’ont aussi constaté. Un membre du service d’ordre de la centrale tient le décompte : « On a dénombré sur le carré de tête au minimum neuf gazages plus le canon à eau, et on a subi au moins deux charges avec matraquage, ça fait beaucoup. » De son côté, la préfecture répète en boucle que « la CGT n’a jamais été la cible des policiers et gendarmes qui ont assuré leur mission avec détermination face à des casseurs violents ».

Créateur :BENOIT TESSIER
Crédits :REUTERS

Sauf que le service d’ordre de la CGT compte à lui seul une dizaine de blessés, dont trois par des tirs de LBD, qu’ils soient directs ou non. « Cela fait plusieurs manifestations qu’on prend systématiquement des grenades, témoigne l’un d’eux. À chaque fois, on nous dit qu’on n’est pas la cible. Alors, soit les policiers visent vraiment très mal, soit ce ne sont pas que des erreurs… Et neuf vagues de grenades dans le carré de tête, ce n’est plus une erreur. »

« Des policiers bloquaient toutes les rues perpendiculaires »

Les tensions ont commencé vers midi, ce 1er Mai. Les syndicats ont déjà eu des difficultés pour atteindre la manifestation. « La quasi-totalité du service d’ordre de la CGT est arrivée à pied, après avoir subi quatre contrôles et fouilles différents de la part de CRS et de gendarmes… Ce qui nous étonne toujours quand on voit que certains arrivent à apporter des projectiles », déclare, amer, l’un de ses membres. Comme le défilé pour le climat n’a pas pu manifester le matin au départ du Panthéon, les syndicats se sont décalés pour lui laisser de l’espace en vue qu’ils organisent leur pique-nique sur la place du 18-Juin-1940, à Montparnasse. Vers 13 heures, alors que les premiers véhicules des syndicats arrivent enfin à se mettre en ordre et qu’un carré de tête commence à se dessiner, les premières échauffourées commencent. « Il y avait des policiers partout, le long des murs, ils bloquaient toutes les rues perpendiculaires, mais aussi l’avant du cortège, par là où les premiers gilets jaunes voulaient commencer à défiler », explique un membre du service d’ordre. Ces derniers voulaient prendre la tête de la manifestation, devant les cortèges syndicaux, mais les policiers ne les laissaient pas avancer. « C’est là, avant 14 heures, que trois gars ont lancé des bouteilles d’eau sur les CRS. Alors les policiers ont attaqué tous azimuts. Il n’y a pas d’autres mots, ils ont attaqué le cortège syndical où se mettaient en place les dirigeants nationaux, raconte un militant au brassard SO qui faisait partie du cortège. On se met en position de tortue, puis, à force de crouler sous les gaz et les grenades de désencerclement, on décide d’aller se mettre à l’abri. »

« Il y a eu une interpellation très musclée devant moi »

Une vidéo montre bien cette charge contre le service d’ordre de la CGT, bien identifié. Un autre témoin poursuit : « L’un des nôtres, avec son brassard SO, s’est fait matraquer au sol, ils ont même tenté de l’embarquer, je ne comprends pas ! » Un troisième raconte ce même moment, vécu d’un autre point où il se trouvait : « Il y a eu une interpellation très musclée devant moi, je m’identifie bien au policier, lui montre mon brassard siglé SO, mais il me gaze la seconde d’après. »

Alors que les dirigeants syndicaux se mettent sur le côté, « une poignée de fascistes en noir, je n’ai pas d’autres mots, se mettent à insulter Philippe Martinez (le secrétaire général de la CGT) et à lui jeter des projectiles, déplore un témoin. La manif n’était même pas partie ».

C’est plus loin, après le départ du cortège, vers le métro Raspail, qu’un semblant d’intersyndicale avec la CGT, Solidaires et l’Unef s’est reformé dans le carré de tête. Le défilé a repris un peu de joie et a ressemblé à nouveau à une traditionnelle marche du 1er Mai, même si l’essentiel des familles et plusieurs syndicats avaient déjà renoncé à manifester.

À l’heure d’un premier bilan, alors que le gouvernement se félicite du peu de casse matérielle, les membres du service d’ordre de la CGT restent amers. « Les chiffres annoncés par la préfecture du nombre de black blocs nous ont semblé très surestimés, je ne sais même pas s’ils étaient 500, en tout cas beaucoup moins que l’année dernière, dit l’un d’eux. Cela a créé beaucoup de fantasmes pour pas grand-chose. Alors oui, il y a eu peu de casse, mais le nombre de blessés et de personnes qui se sont senties agressées par les gaz lacrymogènes est énorme. »

Pierric Marissal
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11 avril 2019 4 11 /04 /avril /2019 15:01

Cent-cinquante personnes selon la police, 200 selon les participants : le rassemblement organisé hier après-midi devant la permanence du député Mohamed Laqhila a en tout cas ratissé large. Union départementale CGT, multiples unions locales du département dont celle de Gardanne, mais aussi représentants du Nord ou de Nancy étaient venus apporter leur soutien face à la polémique.

En ligne de mire, le député Modem-LREM de la 11e circonscription qui a écrit au Premier ministre et au ministre de l'Intérieur pour demander la "dissolution de l'antenne départementalede cette association". Fin mars, une réunion publique organisée à Gardanne par le comité de la REM avait été quelque peu perturbée par des syndicalistes de la centrale, venus dire tout le bien qu'ils pensent de la volonté du gouvernement de mettre fin aux centrales à charbon, menaçant directement leurs emplois. Mohamed Laqhila avait fustigé les "violences verbales", "intimidations", "saccages" de la salle.

Dissolution de la CGT ? "Les chiens sont lâchés" avait réagi aussitôt l'UD CGT 13, alertant entrer "en résistance" contre "la violence du gouvernement". Dans la foulée, un tag rouge sang de la CGT apposé devant la porte d'entrée de la permanence du député, zone d'activités des Milles, avait motivé ce dernier à déposer une plainte pour dégradation.

Hier donc, les représentants CGT s'étaient donné rendez-vous et se félicitaient : "Au moins a-t-il réussi à montrer notre fraternité" lançait une syndicaliste. Plusieurs personnes ont pris la parole pour lire des motions de soutien face à la "demande irresponsable et autoritaire de ce député" : "En démocratie, un élu de la nation doit accepter la contestation. À la centrale, les salariés sont en grève depuis décembre pour refuser la fermeture face à la politique d'austérité ultralibérale de LREM aidée par le Medef".

"Il n'y a aucune indulgence pour l'emploi ni l'écologie sous couvert de laquelle on veut fermer la centrale", poursuivent d'autres : "la seule indulgence est la course au profit".

Certains listent la "casse sociale", de Carrefour à Ford. D'autres rappellent que "la dernière fois que la CGT a été dissoute et a dû rentrer dans la clandestinité, c'était sous le régime de Vichy et l'occupation de l'Allemagne nazie". "Ce nouveau monde applique les réflexes de l'ancien monde, avec le même arsenal : appel à l'armée, interdiction de manifester, répressions policières, sanctions disciplinaires dans les entreprises et les services publics... Ce pouvoir veut mater le mouvement populaire."

Les manifestants demandent que le député retire sa plainte et sa demande de dissolution. Chansons paillardes et huées s'enchaînent. On tance l'élu : "Révisez votre histoire : la CGT est un syndicat, pas une association qui a sûrement plus d'adhérents que votre mouvement". [...]

La suite sur le site de La Provence : https://www.laprovence.com/article/edition-aix-pays-daix/5451148/cgt-fracture-syndicale-pour-le-depute-laqhila.html

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11 avril 2019 4 11 /04 /avril /2019 14:38
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10 avril 2019 3 10 /04 /avril /2019 15:22

Rouen 14h Place de l’Hôtel de ville

Depuis 5 mois le Gouvernement MACRON répond aux revendications des Gilets Jaunes, des syndicats et du mouvement syndical par l’escalade répressive.
Tout est fait par le Président et Castaner pour réprimer et terroriser, pour empêcher les rassemblements, les manifestations et les protestations : les blessés, mutilés, gardes à vue, amendes, se comptent par milliers.
Et le Gouvernement a fait adopter à la va vite, une loi anti manifestation allant tellement loin dans les interdictions que le Conseil Constitutionnel a retoqué certains articles. Des manifestations syndicales ont été interdites, un Député macroniste a même demandé la dissolution de l’UD CGT 13.
Macron voudrait interdire grèves, rassemblements et blocages au moment où :
– les retraités et les salariés défendent l’augmentation des pensions et des salaires, l’annulation de la CSG,
– les enseignants et les parents d’élèves refusent la casse de l’école, les fermetures, les réformes Blanquer, la suppression du Rectorat de Rouen.
– les 5 millions de fonctionnaires doivent se défendre contre la casse de leur statut, la suppression des CHSCT et la perte de 120 000 emplois.
– le projet de régime de retraite universel par points, vise à casser tous les régimes existants, toutes les garanties et à obliger chacun à partir plus tard à la retraite.


Les organisations syndicales CGT, FSU, solidaires, UNEF de Seine Maritime appellent à rejoindre les 50 organisations pour défendre la liberté de manifester le 13 avril. A Rouen 14h Place de l’Hôtel de ville


Elles manifesteront pour :

  • l’arrêt de l’escalade répressive, des violences gouvernementales et de la criminalisation du mouvement social
  • l’abrogation de la loi anti manifestation
  • l’interdiction des armes policières létales (LBD, grenades de désencerclement…)
  • la hausse des pensions et des salaires
  • l’abandon des réformes Blanquer, loi santé et loi anti Fonction publique
  • NON au régime universel par points, défense des 42 régimes existants.

 

TOUS DANS LA RUE
LE 13 AVRIL

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5 avril 2019 5 05 /04 /avril /2019 13:44

Appel de l'UD-CGT 76

Posté par cgtchapelledarblayupm le 4 avril 2019

cgtµ

L’UD invite les syndicats de l’agglo rouennaise à participer nombreux, avec chasubles et drapeaux CGT, au rassemblement et manifestation dans les rues de Rouen

(et dans le Département, là où c’est possible)

le SAMEDI 6 AVRIL 2019 à 10 h – Place de l’Hôtel de Ville.

C’est une nouvelle étape importante, pour préparer la réussite de la prochaine journée d’action du 13 avril prochain.

 Il faut que les forces vives du pays, attachées aux libertés fassent cause commune pour que le gouvernement change de ton, que la démocratie ne soit pas bafouée mais renforcée, pour le retrait de la loi anti manifestants et l’annulation des mesures liberticides annoncées.

 Nous devons montrer une CGT mobilisée et visible.

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5 avril 2019 5 05 /04 /avril /2019 10:47

Par Joël Perichaud, Secrétaire national aux relations internationales du Parti de la démondialisation

le 4 avril 2019

Le gouvernement a presque tout tenté : prime d’une poignée d’euros pour certains smicards et quelques policiers, attente du pourrissement du mouvement des Gilets jaunes, insultes pour les déconsidérer (extrémistes de droite ou de gauche, fascistes, racistes, xénophobes, antisémites etc.), « évacuation » des ronds-points, enfumage par le grand débat, gazage et mutilation des manifestants pacifiques, emploi d’armes (LBD 40, grenades de désencerclement GLI-F4) et de véhicules de guerre (VBR), canons à eau, mépris de classe, grande casse du 15 mars (acte XVIII)...rien n’y fait.

(...)

Pour lire la suite cliquez ci-dessous :

http://pardem.org/actualite/943-macron-ou-la-strategie-de-la-tension

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4 avril 2019 4 04 /04 /avril /2019 09:53

Dans Libération - Checknews

La militante d'Attac, Geneviève Legay, lors de la manifestation des gilets jaunes à Nice le 23 mars 2019. Photo Valery Hache. AFP

Lors de son hospitalisation au CHU de Nice, seule la famille de Geneviève Legay a pu pénétrer dans sa chambre, gardée par des agents de sécurité. Invoquant l'état de santé de la victime, le centre hospitalier a tenu à l'écart proches et journalistes, parfois contre l'avis de la famille.[...]

La suite ci-dessous :

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