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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
11 février 2019 1 11 /02 /février /2019 17:17

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Après la diffusion de l'article ci-dessus, je crains d'être accusée de complotisme par le Decodex, Conspiracy Watch ... 

Alors j'en rajoute.  Si vous ne l'avez pas encore fait, lisez l'excellent prix Goncourt  2017 d'Eric Vuillard, "L'ordre du jour".

 

 

Extrait :

"vingt-quatre, près des arbres morts de la rive, vingt-quatre pardessus noirs, marrons ou cognac, vingt-quatre paires d'épaules rembourrées de laine, vingt-quatre costumes trois pièces et le même nombre nombre de pantalons à pinces avec un large ourlets"

Ils attendent Hitler.  Pour lui dire qu'ils vont le soutenir.

"Ils", ce sont les industriels allemands:  Krupp, Bayer, BMW, Ig Farben, Agfa, Shell, Scheinder; Telefunken, Siemens, et bien d'autres.

Parce que ce qu'ils détestent par dessus tout, ce sont les communistes et les syndicalistes.  Ils financeront Hitler puis feront travailler les juifs, les résistants déportés dans leurs usines.  Le génocide des juifs fait partie du contrat.  Ils diront qu'ils ne "savaient pas". 

 

Adolf Hitler a plusieurs fois reçu les principaux industriels allemands, comme ci-dessus le 16 juin 1937. /  Mary Evans/Rue des Archives

Photo vue dans La Croix

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6 février 2019 3 06 /02 /février /2019 17:54
Mai 2016

Mai 2016

Sur France-Info :

C'est un texte polémique qui fait son entrée dans l'hémicycle. Le projet de loi contre les violences lors des manifestations, porté par Edouard Philippe, est examiné mardi 29 et mercredi 30 janvier à l'Assemblée nationale, avant un vote solennel le 5 février. Cette loi dite "anti-casseurs" fait débat chez les politiques aussi, attisant les critiques de la gauche et de certains élus de La République en marche. Contacté par franceinfo, Nicolas Krameyer, responsable du programme "libertés" chez Amnesty International, dénonce lui deux travers principaux à la loi.

"La première chose, c'est le grand retour des interdictions administratives de manifester" souligne-t-il. Le nouveau texte, s'il est adopté, permettra aux préfets d'interdire à certains individus de manifester, notamment "sur la base de ses relations régulières" précise Amnesty International. Pour l'association, cela revient à "donner tout pouvoir aux autorités politiques ou policières pour déterminer si une personne a le droit de manifester ou pas, sur la base de suspicions extrêmement faibles".[...]

Lire la suite ici : https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/video-loi-anti-casseurs-amnesty-international-denonce-une-atteinte-a-la-liberte-de-manifester_3166741.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20190130-[lestitres-coldroite/titre6]

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2 février 2019 6 02 /02 /février /2019 15:10

Combien faudra-t-il d’éborgnés avant qu’on se décide à interdire les lanceurs de balle de défense ? La décision est tombée : le Conseil d’État a refusé de faire droit aux demandes de la Confédération Générale du Travail, de l’Union Départementale CGT de Paris, de la Ligue des Droits de l’Homme, de Solidaires, du Syndicat des Avocats de France et du Syndicat de la Magistrature...

La suite sur le site d'El Diablo :

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2 février 2019 6 02 /02 /février /2019 00:10

Dans un texte diffusé dimanche 27 janvier 2019, une avocate de Rouen (Seine-Maritime) s'est insurgée des difficultés à défendre les Gilets jaunes placés en garde

Depuis dimanche 27 janvier 2019, un texte signé de la présidente de la section de Rouen (Seine-Maritime) du Syndicat des avocats de France (SAF) est viral sur les réseaux sociaux. Me Sandra Molinero y alerte sur les difficultés qu’auraient des avocats « pour défendre les personnes en garde à vue et notamment les Gilets jaunes ». La Direction départementale de la sécurité publique a démenti ces allégations. [...]

La suite ci-dessous :

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31 janvier 2019 4 31 /01 /janvier /2019 17:46

Fils de résistant, le député centriste de la Marne s'est vivement alarmé mercredi des pouvoirs qu'accorderait la proposition de loi à l'autorité administrative pour circonscrire le droit de manifester.

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31 janvier 2019 4 31 /01 /janvier /2019 17:32

Policier à la retraite, Christian Garcia interpelle ses ex-collègues confrontés aux "gilets jaunes" : "Je vous demande d'être républicains."

Par L'Obs

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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 22:40

Lu dans Resrepublica

« Monsieur le Ministre de l’Intérieur, nous ne sommes pas, nous ne pouvons pas être les dupes de l’hypocrisie sociale des classes dirigeantes. […] Ce qu’elles entendent par le maintien de l’ordre, ce qu’elles entendent par la répression de la violence, c’est la répression de tous les écarts, de tous les excès de la force ouvrière ; c’est aussi, sous prétexte d’en réprimer les écarts, de réprimer la force ouvrière elle-même et laisser le champ libre à la seule violence patronale.

Ah ! Messieurs, quand on fait le bilan des grèves, quand on fait le bilan des conflits sociaux on oublie étrangement l’opposition de sens qui est dans les mêmes mots pour la classe patronale et pour la classe ouvrière. Ah ! les conditions de la lutte sont terriblement difficiles pour les ouvriers ! La violence, pour eux, c’est chose visible […]

Oui, la violence c’est une chose grossière, palpable, saisissable chez les ouvriers : un geste de menace, il est vu, il est retenu. Une démarche d’intimidation est saisie, constatée, traînée devant les juges. Le propre de l’action ouvrière, dans ce conflit, lorsqu’elle s’exagère, lorsqu’elle s’exaspère, c’est de procéder, en effet, par la brutalité visible et saisissable des actes. Ah ! Le patronat n’a pas besoin, lui, pour exercer une action violente, de gestes désordonnés et de paroles tumultueuses ! Quelques hommes se rassemblent, à huis clos, dans la sécurité, dans l’intimité d’un conseil d’administration, et à quelques-uns, sans violence, sans gestes désordonnés, sans éclat de voix, comme des diplomates causant autour du tapis vert, ils décident que le salaire raisonnable sera refusé aux ouvriers ; ils décident que les ouvriers qui continueront la lutte seront exclus, seront chassés, seront désignés par des marques imperceptibles, mais connues des autres patrons, à l’universelle vindicte patronale. Cela ne fait pas de bruit ; c’est le travail meurtrier de la machine qui, dans son engrenage, dans ses laminoirs, dans ses courroies, a pris l’homme palpitant et criant ; la machine ne grince même pas et c’est en silence qu’elle broie […]. La même opposition, elle éclate dans la recherche de responsabilités. De même que l’acte de la violence ouvrière est brutal, il est facile au juge, avec quelques témoins, de le constater, de la frapper, de le punir ; et voilà pourquoi tout la période des grèves s’accompagne automatiquement de condamnations multipliées.

Quand il s’agit de la responsabilité patronale – ah ! Laissez-moi dire toute ma pensée, je n’accuse pas les juges, je n’accuse pas les enquêteurs, je n’accuse pas, parce que je n’ai pas pu pénétrer jusqu’au fond du problème, et je veux même dire ceci, c’est quel que soit leur esprit d’équité, même s’ils avaient le courage de convenir que de grands patrons, que les ingénieur des grands patrons peuvent être exactement comme des délinquants comme les ouvriers traînés par des charrettes devant les tribunaux correctionnels, même s’ils avaient ce courage, ils se retrouvaient encore devant une difficulté plus grande parce que les responsabilités du capital anonyme qui dirige, si elles sont évidentes dans l’ensemble elles s’enveloppent dans le détail de complications, de subtilités d’évasion qui peuvent dérouter la justice […]Ainsi, tandis que l’acte de violence de l’ouvrier apparaît toujours, est toujours défini, toujours aisément frappé, la responsabilité profonde et meurtrière des grands patrons, des grands capitalistes, elle se dérobe, elle s’évanouit dans une sorte d’obscurité. »

Ainsi s’exprimait Jean Jaurès face au ministre de l’intérieur Clemenceau !

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20 janvier 2019 7 20 /01 /janvier /2019 18:18
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17 janvier 2019 4 17 /01 /janvier /2019 00:17
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15 janvier 2019 2 15 /01 /janvier /2019 21:53
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