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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
14 mai 2023 7 14 /05 /mai /2023 15:23
Cimetière des victimes du soulèvement de Gwangju en 1980 et aussi des répressions qui ont eu lieu depuis en Corée. Il y a en fait trois cimetières voisins, un cimetière pour les victimes individuelles des répressions politiques et des luttes depuis 1980, dont la tombe d’une étudiante qui s’est immolée pour protester contre la politique du gouvernement sud-coréen.

Cimetière des victimes du soulèvement de Gwangju en 1980 et aussi des répressions qui ont eu lieu depuis en Corée. Il y a en fait trois cimetières voisins, un cimetière pour les victimes individuelles des répressions politiques et des luttes depuis 1980, dont la tombe d’une étudiante qui s’est immolée pour protester contre la politique du gouvernement sud-coréen.

Le soulèvement de Gwangju a eu lieu la même année que celle de la naissance de Solidarnosc en Pologne, et l’on sait quelle place fut réservée dans les gros médias du monde occidental aux événements de Gwangju et à leurs suites et à ceux de Gdansk et à leurs suites. Le traitement médiatique sélectif fait aussi partie des logiques systémiques.

Le soulèvement de Gwangju a eu lieu la même année que celle de la naissance de Solidarnosc en Pologne, et l’on sait quelle place fut réservée dans les gros médias du monde occidental aux événements de Gwangju et à leurs suites et à ceux de Gdansk et à leurs suites. Le traitement médiatique sélectif fait aussi partie des logiques systémiques.

Rapport sur mon séjour en Corée (du Sud)...

J’étais invité en Corée du sud par des militants syndicaux et politiques sud-coréens engagés sur la voie du progrès social, de la souveraineté nationale et de la réunification pacifique de la patrie coréenne divisée depuis 1945 lorsque le nord du pays fut libéré de la colonisation japonaise par l’armée rouge et les partisans communistes coréens, et que le sud du pays le fut aussi en principe, mais par l’armée des USA.

Au cours de l’occupation japonaise s’était développé un puissant mouvement de résistance nationale animé en grande partie par les communistes ainsi que par quelques autres groupes politiques. C’est évidemment dans le nord du pays que les communistes purent prendre à ce moment là le pouvoir et proclamer la naissance de la République populaire démocratique de Corée alors que, au sud, les communistes se heurtèrent aux décisions des États-Unis qui mirent en place un gouvernement de la République de Corée qui leur était favorable, s’appuyant sur une armée et une police dont on estime que presque 80 % des membres étaient issus des forces qui avaient collaboré auparavant avec l’occupant japonais.

Ce qui explique pourquoi de nombreux patriotes coréens, communistes ou non, ont dès lors considéré que c’était le gouvernement de la RPDC qui représentait réellement leur pays. S’ensuivit une longue politique de répressions politiques au sud qui commença avant la guerre de Corée, se poursuivit pendant la guerre de Corée et après, avec quelques périodes d’amélioration, après le soulèvement de 1980 puis après celui de 2017, mais le gros de la bureaucratie sud-coréenne, police, sécurité d’État, armée, administration, justice, etc, reste dominé par un appareil hérité de la période de l’occupation militaire japonaise puis de celle des États-Unis d’après 1945. [...]

La suite ci-dessous :

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3 mai 2023 3 03 /05 /mai /2023 14:19
7 mars - Le Havre - Rouen et dans l'Humanité :Emmanuel Macron en discussion avec Ursula von der Leyen, lors du sommet de la communauté politique européenne à Prague, le 6 octobre 2022. © Pignatelli/EUC/ROPI-REA
7 mars - Le Havre - Rouen et dans l'Humanité :Emmanuel Macron en discussion avec Ursula von der Leyen, lors du sommet de la communauté politique européenne à Prague, le 6 octobre 2022. © Pignatelli/EUC/ROPI-REA
7 mars - Le Havre - Rouen et dans l'Humanité :Emmanuel Macron en discussion avec Ursula von der Leyen, lors du sommet de la communauté politique européenne à Prague, le 6 octobre 2022. © Pignatelli/EUC/ROPI-REA

7 mars - Le Havre - Rouen et dans l'Humanité :Emmanuel Macron en discussion avec Ursula von der Leyen, lors du sommet de la communauté politique européenne à Prague, le 6 octobre 2022. © Pignatelli/EUC/ROPI-REA

Pire, il a conclu un marché sur le dos des salariés et des Français !

Le Pardem nous permet de lire l'extrait de la recommandation de l’Union européenne qui concerne les retraites ... Et vous aurez accès aux causes et arguments en faveur de la réforme des retraites en France.

Voici le début :"En 2018, le gouvernement français a entamé un processus de réforme visant à uniformiser les règles des multiples régimes de retraite. La réforme a été interrompue par l’apparition de la pandémie de COVID-19. Lors de la présentation des objectifs du plan pour la reprise et la résilience de la France, le gouvernement a confirmé son engagement à mener une réforme ambitieuse du système de retraite, afin d’en améliorer l’équité et la viabilité."

Qu'est-ce donc que ce plan pour la reprise et la résilience de la France dont peu de monde a entendu parler ? Même pas débattu à l'Assemblée Nationale me semble-t-il.

Un site gouvernemental l'explique ( https://www.economie.gouv.fr/plan-national-de-relance-et... ) :

"Le plan national de relance et de résilience (PNRR) [PDF - 2,1 Mo] présente les investissements pour lesquels la France sollicite un financement européen à hauteur d’environ 40 milliards d’euros. La bonne mise en œuvre du PNRR, se concrétisant par l’atteinte d’un ensemble d’engagements prédéfinis, permettra le remboursement des dépenses nationales engagées à cet effet. Objectifs: renforcer l’efficacité des investissements et le potentiel de croissance de l’économie française." Donc le gouvernement français a promis, contre un financement européen de 40 milliards ... bien des choses ... mais surtout la REFORME DES RETRAITES ! Et tous les arguments qui nous sont présentés par le conseil européen ( dans lequel siège E Macron) sont ceux que les tenants de la contre-réforme des retraites nous assènent, sur les plateaux télés, à l'assemblée etc ...

Personne ne dit mot sur ce "plan de relance et de résilience" qui est conditionné, entre autre, à "une réforme ambitieuse du système de retraite".  Personne, y compris les syndicats opposés justement à ce texte, y compris, au plan politique, la NUPES et toutes ses composantes, LFI, PCF, PS, et EELV. 

Une seule force politique en parle : le RN.  Faut-il donc lui laisser le monopole de cette dénonciation ?

Pourquoi ce silence chez les forces de "gauche" alors qu'en 2024, c'est à dire l'année prochaine, auront lieu les élections européennes ?  Pourquoi protéger l'UE, sa ligne politique, idéologico-libérale, et son bras armé, le conseil européen ? 

On comprend le silence des socialistes, d'EELV, eux qui sont tant attachés à l'UE.  Laurent Berger se tait : il préside la très européenne Confédération européenne des syndicats.

Mais LFI ? le PCF ? la CGT ? SUD ? ...

Il serait grand temps que ces forces sociales et politiques s'expriment sur ce sujet.  On comprendrait alors pourquoi E. Macron est si acharné à l'imposer à la très grande majorité de Français qui n'en veulent pas.  Pour aller à la bataille, c'est quand même mieux de savoir contre qui on se bat.  On se bat contre la droite sous ses deux formes, contre le MEDEF, les multinationales et la Finance.  Mais on se bat aussi contre la commission européenne, le conseil européen et la politique de l'Union Européenne.

Yvette Genestal

Ci-dessous un lien vers le site du Pardem avec le texte européen sur les retraites.

Et le texte dans son intégralité des recommandations du Conseil européen pour la France ... 

Publié le 18 mars 23

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8 janvier 2023 7 08 /01 /janvier /2023 16:40
Retraites - Réunion publique, à ROUEN, à l'appel des organisations syndicales - Mardi 12 janvier, 18h 30 - Halle aux toiles
Retraites - Réunion publique, à ROUEN, à l'appel des organisations syndicales - Mardi 12 janvier, 18h 30 - Halle aux toiles
Retraites - Réunion publique, à ROUEN, à l'appel des organisations syndicales - Mardi 12 janvier, 18h 30 - Halle aux toiles

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23 mars 2020 1 23 /03 /mars /2020 17:02

Annotation 2020-03-23 114714

L’urgence absolue est de protéger la population et les salariés,


pas de déréglementer le travail 

 

Alors que des centaines de malades sont morts, que des milliers sont annoncés, nos organisations syndicales demandent que tous les moyens soient mis en œuvre pour soigner, protéger la population et les salariés de l’épidémie.

La santé de tous et de chacun doit être la priorité absolue. 

Ceci se heurte à des décisions irresponsables au plus haut niveau : 

Des membres du gouvernement, telle la Ministre du travail, Mme Pénicaud, multiplient les déclarations et pressions pour faire travailler les salariés, en exposant leur santé, dans des entreprises dont l’activité n’est pas vitale. Mme Pénicaud semble plus se soucier des profits des géants du BTP que de la santé des salariés de la construction.

 En Seine Maritime, les salariés du public et du privé sont en colère car, très souvent, les employeurs ne prennent par toutes dispositions pour les protéger, alors même que le Code du travail en fait une obligation.

Dans le Commerce, la restauration rapide et les grandes surfaces, secteurs très exposés, c’est souvent l’action des salariés et des représentants du personnel qui imposent des mesures de protection : pose de plexiglass, fourniture de gants et de masques, imposition d’espacement… Des employeurs, tels que Carrefour à Barentin, font tout contre l’exercice par les salariés de leur droit de retrait légitime… Alors même que l’action Carrefour a bondi de 14% en 3 jours. 

A la Poste, de même, salariés et représentants du personnel, doivent agir pour faire arrêter des activités non essentielles, alors que plusieurs postiers sont contaminés et toujours sans protection. C’est la preuve que la Direction semble davantage soucieuse du chiffre d’affaire de l’entreprise, que de la santé des postiers.

 Dans la plupart des secteurs : métallurgie, chimie, construction, ports et docks, plateformes d’appel, banques… ce sont les salariés et les délégués qui imposent des mesures de fermetures, de réduction d’activité, de protection élémentaire, aux employeurs.

 Dans les hôpitaux et EHPAD, les hospitaliers et médecins, en première ligne, organisent et font tout pour soigner, en palliant dans l’urgence, aux défaillances et manques liés aux décisions ministérielles récentes et des années précédentes.

Le manque dramatique de lits (100 000 lits fermés en 20 ans) amène à faire sortir des patients par centaines pour disposer de places pour malades de l’épidémie. Le manque de matériel (particulièrement les gants) a exposé inutilement des milliers d’hospitaliers des hôpitaux et des EHPAD sur toute la Seine Maritime. 

Dans cette situation gravissime, nos organisations CGT, FO, FSU et Solidaires, défendent des mesures d’Urgence :

 

Pour les hôpitaux : 

  • Réquisition des secteurs économiques et logistiques pour produire et fournir les matériels de protection (gants, gel, masques, surblouses), les respirateurs et tout autre matériels indispensables.
  • Réouverture de tous les lits nécessaires. 

 

Pour les entreprises et services publics : 

  • Mise à l’arrêt de tous les secteurs non vitaux, non nécessaires pour lutter contre l’épidémie. Maintien intégral des salaires et revenus pour les salariés. Interdiction des licenciements et de sanctions contre ceux qui utilisent le droit de retrait.
  • Exemption du travail, sans perte de salaire, pour tous les salariés considérés comme vulnérables.
  • Mesures exceptionnelles pour garantir le maintien des revenus pour les précaires, les intermittents, les uberisés. Mesures exceptionnelles, dont la réquisition de logements vides pour protéger les SDF.
  • Maintien de tous les droits syndicaux et convocation de CSE/CHSCT exceptionnels autant que nécessaire.

 

Ces mesures vont à l’encontre de ce que pratique le gouvernement Macron et de ce qu’ont fait ses prédécesseurs : en liquidant les CHSCT, en réduisant les services publics, en asphyxiant l’Hôpital et en fermant les lits, en déréglementant dans tous les domaines.

C’est un fait implacable que le Ministère de la Santé, en 2013 avait ordonné l’inutilité des stocks de masques gérés par les services de l’Etat. 

 

Oui, les salariés, nos syndicats, sont unis, avec les médecins et les hospitaliers pour vaincre l’épidémie. 

01

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Mais nous refusons la manipulation de Macron qui prétend utiliser l’épidémie pour imposer, des restrictions graves aux libertés et faire voter une loi d’exception qui autoriserait le gouvernement, par ordonnance à déréglementer le droit du travail et à déroger au statut de la fonction publique. Cette volonté n’a aucun rapport avec les urgences qu’impose l’épidémie.

Nous refusons totalement ce projet de loi et l’Union nationale avec ceux qui donnent priorité au « marché » et aux profits au mépris de la santé de la population.

 La santé de la population est une chose trop sérieuse pour la laisser dans les mains des banques, des trusts pharmaceutiques, des sociétés du CAC40, et du gouvernement des banquiers.

 Nos organisations soutiennent les salariés qui appliquent le droit de retrait pour se protéger, et tous ceux qui agissent pour défendre leurs droits. Nous exigeons à nouveau le retrait pur et simple du projet de loi de retraites par points, et pas seulement son « report » comme indiqué par le Président. De même nous demandons le retrait de la réforme de l’assurance chômage.

 Malgré l’impossibilité de manifester, nous restons mobilisés pour garantir la santé de chacun, ce qui appelle donc la défense sans faille de la Sécu, de l’Hôpital public et de tous les services publics, ainsi que des droits des salariés contre toute déréglementation. Maintenons partout l’information des salariés et les liens de solidarité.

 

Fait à Rouen, le 23 mars 2020

L’usine ferroviaire Alstom de Petit-Quevilly, près de Rouen (Seine-Maritime), continue de travailler pendant la crise sanitaire. (©JB/Illustration) - Paru sur actu.fr

L’usine ferroviaire Alstom de Petit-Quevilly, près de Rouen (Seine-Maritime), continue de travailler pendant la crise sanitaire. (©JB/Illustration) - Paru sur actu.fr

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9 mars 2020 1 09 /03 /mars /2020 17:02
Près de 300 personnes ont manifesté dans les rues de Rouen, lundi 2 mars 2020, pour exprimer leur opposition à l’application du 49.3 sur la réforme des retraites. (©JB.Morel/76actu)

Près de 300 personnes ont manifesté dans les rues de Rouen, lundi 2 mars 2020, pour exprimer leur opposition à l’application du 49.3 sur la réforme des retraites. (©JB.Morel/76actu)

Le développement du coronavirus génère une situation d’urgence sanitaire. Les consignes générales pour limiter la propagation du virus, prévoient notamment l’interdiction des rassemblements de plus de 1 000 personnes mais, a priori autorisent des manifestations.

Cela va avoir un impact indéniable sur l'exercice des droits démocratiques fondamentaux : nombre de personnes vont éviter de participer dans les semaines à venir à toute initiative publique.

Dans ce contexte exceptionnel, l’urgence est bien d’endiguer le coronavirus et non pas le passage en force de la réforme des retraites par points, c’est pourquoi les organisations syndicales demandent la suspension du processus législatif.

Paris, le 9 mars 2020

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4 février 2020 2 04 /02 /février /2020 00:52

Lu sur le site de CGT Educ'action

JEUDI 6 FEVRIER :
DIEPPE : mobilisation REP +, départ à 9h00 de l’école D. Delaunay, 10h30 à 13h30 rassemblement devant la mairie de Dieppe

 

Communiqué de l'intersyndicale nationale

Les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF,MNL, UNL se félicitent de l’importance des mobilisations pour le retrait du projet de réforme des retraites du Gouvernement. Le soutien de la population au mouvement social s’amplifie, des initiatives unitaires sont prises sur tout le territoire, les journées de grèves et de manifestations du vendredi 24 et du mercredi 29 janvier ont encore rassemblé des centaines de milliers de personnes.
C’est la preuve d’un rejet massif des propositions portées par le Gouvernement. L’avis du Conseil d’État est un désaveu cinglant à la stratégie gouvernementale. Cette réforme est décidément injuste et dangereuse. Il confirme nos analyses d’une réforme qui méprise les formes réglementaires et législatives et, sur le fond, fait ressortir le flou du projet. Il pointe les biais de l’étude d’impact et des 29 ordonnances auxquelles le texte du projet de loi renvoie comme autant d’éléments qui masquent la réalité de la réforme. Il contredit les engagements de compensation aux dégâts de la réforme que le gouvernement avait fait miroiter pour certain-es catégories. A la veille de l’ouverture de la « conférence des financeurs », nos organisations syndicales réaffirment leurs propositions d’augmentation des recettes des régimes de retraites, qui passent par une meilleure répartition des richesses créées par le travail des salarié-es.
Une mobilisation historique par sa force et sa durée, le soutien sans faille de l’opinion publique, l’avis du Conseil d’État:le projet de réforme des retraites n’a jamais été si fragile.
Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, MNL, UNL appellent l’ensemble du monde du travail et la jeunesse à poursuivre et à amplifier, dans tous les secteurs, la mobilisation dès maintenant et tout au long du débat parlementaire qui s’ouvre la semaine prochaine par des actions diversifiées : rassemblements, retraites aux flambeaux, dépôts d’outils symboliques des métiers, etc. Il n’y aura pas de trêve. Des actions de mobilisation sont déjà prévues la semaine prochaine.
Le 5 février, les organisations soutiennent l’initiative de mobilisation des organisations de jeunesse et encouragent à construire des initiatives locales et diversifiées. Elles appellent à faire du jeudi 6 février une nouvelle journée interprofessionnelle de grève et de manifestations à l’occasion du début des travaux de la commission spéciale de l’Assemblée Nationale. Elles appellent à interpeller les parlementaires. Elles mettent en perspective des actions de mobilisation notamment la semaine d’ouverture des travaux à l’Assemblée Nationale et tout au long des débats parlementaires. Elles décident de se réunir à nouveau le 6 février au soir.
Les lilas,le 29 janvier 2020

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30 janvier 2020 4 30 /01 /janvier /2020 15:00
ROUEN - 29 Janvier, Manif ! - Jours suivants,  30, 31janvier et 1er Février, 4 Février - Appel intersyndical - RETRAIT TOTAL DU PROJET MACRON
ROUEN - 29 Janvier, Manif ! - Jours suivants,  30, 31janvier et 1er Février, 4 Février - Appel intersyndical - RETRAIT TOTAL DU PROJET MACRON
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1 mai 2019 3 01 /05 /mai /2019 13:05

Les manifestations intersyndicales du 1er mai ont rassemblé 3 000 personnes place Saint-Pierre à Caen et 2 500 à Rouen, selon les syndicats. Une mobilisation qui a débuté dans le calme.

 

 

Au Havre

 

 

 

 

 

 

 

A Rouen

 

 

 

 

 

 

 

Rouen

 

 

 

 

Rouen

 

 

Voir le reportage ici : https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/defiles-du-1er-mai-rouen-havre-caen-gilets-jaunes-se-joignent-mobilisation-1662837.html#xtor=EPR-521-[france3regions]-20190501-[info-titre2]&pid=726375-1458206835-639c8bda

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30 avril 2019 2 30 /04 /avril /2019 12:39
  • DIEPPE - 10h 30 - Place Louis Vitet
  • Le Havre - 10h - A Franklin
  • Rouen - 10h 30 - Cours Clémenceau
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11 avril 2019 4 11 /04 /avril /2019 14:38
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