Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>
Rechercher
Recherche
Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Débat : La solidarité internationale et les combats à mener contre l’impérialisme aujourd’hui.
Publié le 3 septembre mis à jour le : 3 Septembre, 2017
Organisé par l’Association Nationale des Communiste de France, fraternellement accueillie par la Fédération PCF du Pas-de-Calais dans son espace sur la Fête de l’Humanité, avec le Collectif Communiste POLEX :
Le Samedi 16 septembre 2017, à 11h30.
au stand de la fédération du Pcf du Pas-de-Calais,
à la Fête de l’HUMANITÉ 2017.
Thème : La solidarité internationale et les combats à mener contre l’impérialisme aujourd’hui.
Deux invités étrangers participeront au débat :
l’Ambassadeur du Vénézuéla, Michel Mujica, Le Porte- parole à l’international du Parti Démocratique Populaire de Corée du Sud. Un représentant de l’ANC de France complètera cette tribune.
Le débat sera animé par un responsable du Collectif communiste POLEX.
En Pologne, la rentrée scolaire est placée sous le signe de l'inconnu à cause de l'entrée en vigueur d'une vaste réforme de l'Éducation nationale. Inquiet, le syndicat national des enseignant...
Venezuela• L’ancien ambassadeur suisse à Caracas Walter Suter défend la Constituante convoquée par Nicolas Maduro et conteste les accusations de dictature évoquées dans de nombreux médias occidentaux.
Membre du parti socialiste suisse, Walter Suter a représenté les intérêts de la Confédération dans de nombreux pays. Il a également siégé jusqu’en 2015 à la direction du PS européen, représentant le PSS, et a présidé la section internationale du PS. En février 2003, le Conseil fédéral l’envoie comme ambassadeur à Caracas, où le peuple vient de faire échouer un coup d’Etat contre le gouvernement Chávez. « Je suis arrivé à un moment particulièrement captivant au Venezuela, se souvient le diplomate. En 1999, le pays s’était doté d’une nouvelle Constitution visant la démocratie directe, participative. En tant que Suisse, c’était très intéressant. L’approfondissement de la démocratie allait de pair avec l’établissement de la justice sociale. Je connaissais l’Amérique latine depuis 30 ans et j’ai pensé : enfin il se passe quelque chose ici ! D’objets, les masses devenaient sujets del’Etat. » En tant qu’ambassadeur, Walter Suter informe sur les mécanismes des élections et des votations en Suisse. Par son entremise, le Conseil national électoral (CNE) visite plusieurs fois la Suisse.
L'ancien ambassadeur suisse à Caracas Walter Suter défend la Constituante convoquée par Nicolas Maduro et conteste les accusations de dictature évoquées dans de nombreux médias occidentaux. M...
Quand on prononce le mot « Europe », le visage de certains devient soudain rayonnant. Ils pensent : avenir radieux, grande aventure, bonheur commun à l’horizon. Bon, ceux-là, on va les laisser rêver, après tout, c’est bien leur droit. A vrai dire, au grand désespoir des élites dirigeantes, ces euro-enthousiastes sont de moins en moins nombreux. [...]
Enseignant-chercheur à l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO / Paris), historien, géopolitiste, Bruno Drweski, revient sur le processus dit de « décommunisation » en cours en Pologne
Une loi votée par les députés polonais en avril 2016, impose aux collectivités locales d’effacer de l’espace public (rues, équipements, etc.) tout référence au « communisme ». Que traduit-elle à vos yeux ? Peut-on parler d’une volonté du gouvernement polonais de revisiter l’histoire dans un sens ultranationaliste et clérical ? S’agit-il de gommer de la mémoire tous les aspects positifs de la République populaire de Pologne (1944 – 1989) ?
Il est clair que la loi qui a été votée veut « terminer » l’œuvre de décommunisation visuelle entreprise dès 1990, mais qui s’était en fait très souvent heurtée à des réticences, et parfois à des résistances, au niveau local. Soit de la part des habitants concernés, soit de la part des pouvoirs locaux, le plus souvent des deux.
Maintenant, les pouvoirs locaux sont sommés de procéder à des changements de noms. Il s’agit de faire disparaître tout vestige non seulement de la Pologne populaire mais aussi, dans bien des cas, des luttes politiques et sociales qui ont marqué la Pologne avant 1944. Pour le pouvoir, c’est aussi un moyen de renforcer son niveau de contrôle sur les autorités locales et de voir celles qui sont les plus rétives à ses ordonnances.
Il s’agit aussi de renforcer l’alliance du pouvoir avec les secteurs les plus traditionalistes du clergé polonais. Et enfin de démontrer en même temps sa fidélité à ses alliés extérieurs occidentaux puisque chaque manifestation d’anticommunisme sonne en Pologne comme un témoignage d’adhésion aux deux alliances occidentales (OTAN et Union européenne (UE).
[...]
Lire la suite sur le site d'Investig'Action en cliquant ci-dessous:
Enseignant-chercheur à l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO / Paris), historien, géopolitiste, Bruno Drweski, revient sur le processus dit de " décommunisation " e...
Un spectre hante l'Europe : l'" euroscepticisme ". Toute l'" élite politique " s'est unie à Bruxelles pour traquer ce spectre ! Quelle opposition n'a pas été accusée d'euroscepticisme ou de ...
Parmi les économistes allemands, on commence à mettre en cause les bienfaits des réformes Schröder du début des années 2000, celles, précisément, dont l'actuel gouvernement français - en retard d'un bon petit paquet de guerres - entend s'inspirer pour déréguler le marché du travail.
L'article ci-dessous est initialement paru dans le journal belge Le Soir, et reproduit ici pour en assurer une diffusion en France. Il relaie les propos de l'économiste Christian Odendhal, membre du CER (Centre for European Reform) un think tank basé à Londres et absolument pas « de gauche » (c'est le moins qu'on puisse dire), puisque fondé par un ancien du très libéral hebdomadaire The Economist.
***
Il y a une quinzaine d'années, l'Allemagne était « l'homme malade » de l'Europe. L'économie stagnait, le chômage touchait plus de 10 % de la population active et le déficit public frôlait les 4 % du PIB – un comble pour le pays qui, dix ans plus tôt, avait imposé la fameuse « règle des 3 % » dans le traité de Maastricht.
Depuis, la situation s’est complètement inversée : nos voisins d’outre Rhin ont rapidement digéré la Grande Récession qui a suivi la crise financière, et surfé sur la crise des dettes souveraines, évitant la rechute en récession dont ont pâti la plupart des économies partageant la monnaie unique. Le taux de chômage est au plus bas, à 3,8 %. Le budget public en surplus.
Le modèle
L'Allemagne, de manière assez compréhensible, est donc apparue comme le modèle à suivre, et cette imitation de l'Allemagne comme le nouvel Evangile européen, a été portée sinon imposée aux quatre coins de la zone euro aussi bien par la Commission que par la Banque centrale européenne (BCE) et par les dirigeants nationaux.
De quoi parle-t-on ? Des fameuses « réformes structurelles » - en particulier du marché du travail – qui forment le cœur de la stratégie de sortie de crise, aussi bien dans les pays de la périphérie de la zone euro (les plus touchés) qu'ailleurs, chez nous (NB : ce sont des Belges qui parlent), mais aussi en France. Au delà du Quiévrain, le nouveau président (Macron donc) mise tout - ou presque - sur ses réformes pour doper la croissance et l'emploi.
En Allemagne, les réformes Hartz, du nom de leur principal concepteur Peter Hartz, alors membre du comité directeur de Volkswagen, ont été mises en œuvre sous la houlette du chancelier social-démocrate Gerhard Schröder entre 2003 et 2005. Elles visaient quatre objectifs principaux : réduire le coût des pensions et plus généralement de l’État providence; flexibiliser le marché du travail, d'une part en favorisant l'auto-entrepreneuriat, les « mini-jobs », les CDD et la sous-traitance, et d'autre part en réduisant le coût des licenciements pour les petites entreprises; inciter au retour à l'emploi en réduisant la durée d'indemnisation du chômage et le montant des aides sociales; augmenter le taux d'emploi des plus âgés en durcissant les conditions de départ anticipé.
Parmi les économistes allemands, on commence à mettre en cause les bienfaits des réformes Schröder du début des années 2000, celles, précisément, dont l'actuel gouvernement français - en r...
L'humanité souffrante dont se soucient des ONG pétries d'humanisme se résume à un agrégat indistinct d'individus abstraits, atomisés, dont le sort n'est intéressant que s'il témoigne d'une violation de leurs droits individuels, de préférence dans un pays exotique dont le procès est instruit par la doxa occidentale. Mais on n'a jamais vu “Amnesty International” - dont le seul intitulé relève de la publicité mensongère - s'insurger contre le fait que 800 millions de personnes souffrent de malnutrition, ou que des centaines de milliers d'ouvrières sont surexploitées par les multinationales occidentales dans les “maquiladoras” de la frontière mexicaine. On répondra sans doute que ce n'est pas l'objet social de cette organisation, et je répondrai à mon tour que c'est précisément le problème sur lequel il convient d'insister.
Hormis les réactionnaires qui pensent que les hiérarchies sociales sont fondées en nature et qu’il y a des hommes faits pour commander et d’autres pour obéir, tout le monde est d'accord pour dire qu'il faut défendre les droits de l'homme. Mais il faut admettre que les uns et les autres ne parlent pas de la même chose. Si l'on entend par cette expression la possibilité pour chacun de jouir du bien commun, alors l'accès à l'emploi, au logement, aux soins et à l'éducation fait partie des droits de l'homme - ou des droits humains, ne jouons pas sur les mots - au même titre que la liberté d'expression ou le choix de son orientation sexuelle. Prendre au sérieux les droits de l'homme, c'est y inclure les droits collectifs, c'est-à-dire la possibilité de vivre dans des conditions matérielles décentes.
Les militants des droits de l'homme, pourtant, ne s'intéressent qu'aux droits individuels et délaissent ostensiblement les droits collectifs. Que des individus soient emprisonnés ou empêchés de s'exprimer par des gouvernements autoritaires leur est insupportable, mais que des masses d'affamés subissent la loi d'airain du capital mondialisé leur est indifférent. Leur compassion pour l'humanité souffrante est étrangement sélective. Ils ne se mobilisent que pour des minorités ou des individus isolés, ils agissent au cas par cas en sélectionnant les individus ou les groupes qu’ils jugent dignes de leur attention, et on ne les voit jamais prendre fait et cause pour une classe socialement opprimée.
Le vocabulaire de la plupart des ONG - majoritairement anglo-saxonnes - en témoigne clairement. Elles entendent combattre la discrimination et non l'exploitation, l'exclusion et non la pauvreté, la privation de liberté infligée à quelques-uns et non la misère imposée au grand nombre. Leur philosophie est celle de l'individualisme libéral, qui ne connaît que des individus porteurs de droits et se soucie peu de savoir s'il y a parmi eux des riches et des pauvres. Ne parlons pas de la lutte des classes, ce gros mot qu'elles ne veulent même pas entendre prononcer. La seule lutte qui compte à leurs yeux, c'est celle qui vise à aligner des individus abstraits sur un standard restreint aux libertés formelles - et individuelles - en oubliant allègrement que ces libertés n’existent que sous certaines conditions. [...]
L'humanité souffrante dont se soucient des ONG pétries d'humanisme se résume à un agrégat indistinct d'individus abstraits, atomisés, dont le sort n'est intéressant que s'il témoigne d'une ...
Le député des Bouches-de-Rhône Jean-Luc Mélenchon lors des journées d'été de la France insoumise, le 25 août à Marseille
A l'occasion des journées d'été de la France insoumise à Marseille, Jean-Luc Mélenchon a réitéré sa position sur la crise que traverse le Venezuela. Selon lui, l'impérialisme américain reste «le principal responsable du mal».
«Nous ne perdrons notre temps à jeter des pierres à nos amis dont nous savons qu'ils ne sont pas parfaits puisque nous mêmes ne le sommes pas», a déclaré le 25 août Jean-Luc Mélenchon en référence au Venezuela, lors des journées d'été de La France insoumise à Marseille. [...]
A l'occasion des journées d'été de la France insoumise à Marseille, Jean-Luc Mélenchon a réitéré sa position sur la crise que traverse le Venezuela. Selon lui, l'impérialisme américain re...
Nous sommes rassurés. Il y aura tout de même 12 ministres à l'Université d'été du Medef ... C'est Pierre Gattaz lui-même qui l'affirme.
Mais pas les ministres emblématiques de la loi Travail, ni Muriel Pénicaud, ni Edouard Philippe et encore moins le président de la République.
Un regret toutefois : Myriam El Khomri et Manuel Valls auraient quand même pu être invités. Histoire de remercier. Même pas la reconnaissance du ventre ces patrons. C'est que maintenant ils en veulent encore plus.
Cela ne les tracasse pas, ces vertueux ministres, cet empressement du Medef à les accueillir ? YG.
Malgré l'absence d'Emmanuel Macron et d'Édouard Philippe, Pierre Gattaz assure que "le gouvernement sera très bien représenté" lors de la traditionnelle université d'été du Medef. En effet,...
En 2024, les 40 plus grosses entreprises françaises ont distribué un montant jamais vu de dividendes, estimé à 98,2 milliards d’euros, en dépit de résultats parfois en baisse. Dans ce monde en constante ébullition, il est des vérités rassurantes qu’il...
Le 12 janvier, le président croate a été triomphalement reconduit dans ses fonctions à l’issue du second tour où il a rassemblé 74,7% des suffrages. Lors du premier tour, Zoran Milanovic avait frôlé la victoire en obtenant 49,1%, alors qu’il y a cinq...
Sahra Wagenknecht
Sahra Wagenknecht : l’ovni des élections allemandes L’égérie de l’extrême-gauche allemande, Sahra Wagenknecht, réussira-t-elle son pari de rentrer au parlement national, un an après la création de son parti ? À cinq semaines des élections...
« Bachar a du sang sur les mains, mais pas plus que Bush » : les vérités de Régis Le Sommier
Bachar, Poutine, Trump : les vérités d'un reporter de guerre 🔷 Avec Régis Le Sommier Grand reporter, Directeur de la publication d'Omerta Auteur récemment de...
capture d'écran sur fb
A mon avis, il n'avait pas été aboli. Bon, journalistes et économistes de tout bord, y compris dans la presse dite de gauche, préfèrent parler de libéralisme ou de néo-libéralisme pour qualifier le Capital. Alors que par définition,...
USA : Leonard Peltier enfin libéré de prison Washington, 20 janvier (Prensa Latina) Leonard Peltier, le leader amérindien emprisonné depuis plus de 40 ans, a bénéficié aujourd'hui d'une commutation de sa peine dans l'un des derniers actes officiels de...
Par Guido LIGUORI, professeur d’université Les raisons d'une alternative au Parti démocrate n'ont pas disparu. Mais il faut changer de tactique : un accord avec le centre-gauche peut servir à rééquilibrer les poids et à faire bouger la ligne. Dans Il...
Parti communiste des États-Unis :Cessez-le-feu à Gaza - Israël et les Etats-Unis doivent rendre des comptes 1/17/25, 2:08 PM Cessez-le-feu à Gaza - Israël et les Etats-Unis doivent rendre des comptes Parti communiste des États-Unis Un accord de cessez-le-feu...