Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Une jeune femme tient dans ses bras sa fille de 6 ans, qui souffre de malnutrition, dans un refuge du centre-ville de Gaza, le 11 mai 2025 • MAJDI FATHI NURPHOTO VIA AFP
Professeur de droit canadien et ancien rapporteur spécial des Nations unies (2016-2022), Michael Lynk analyse les raisons de l’inaction internationale face au drame de Gaza. Cet expert reconnu pointe le rôle clé des États-Unis et appelle à des sanctions économiques contre Israël.
Michael Lynk a occupé pendant six ans (2016-2022) le poste de rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés. Professeur associé de droit à l’université Western Ontario au Canada, spécialiste des droits humains, il livre une analyse sans concessions sur l’incapacité des grandes puissances à faire respecter le droit international en Palestine. De la réticence à employer le terme de « génocide » au rôle décisif que pourrait jouer la société civile, Michael Lynk explore les différents leviers qui permettraient de sortir de l’impasse.
Quels sont les principaux facteurs qui expliquent le silence de l’Occident sur Gaza, selon vous ?
Il y a plusieurs facteurs déterminants. Premièrement, l’influence du lobby israélien. Elle est importante en Europe, mais extraordinairement puissante aux États-Unis, où elle inclut notamment le rôle des évangéliques chrétiens. Il ne faut pas sous-estimer à quel point Israël est un enjeu de politique intérieure aux États-Unis. Deuxièmement, l’alliance politique et militaire extraordinaire entre les États-Unis et Israël. De nombreux pays du Nord global, particulièrement en Europe, ne veulent pas s’opposer à Israël car cela signifierait s’opposer aux États-Unis. Troisièmement, il persiste dans les pays occidentaux une vision romantique d’Israël et de sa fondation comme réponse à l’Holocauste européen. Cette perception historique continue d’influencer fortement les positions politiques occidentales.
Professeur de droit canadien et ancien rapporteur spécial des Nations unies (2016-2022), Michael Lynk analyse les raisons de l'inaction internationale face au d
Génocide, un mot tabou pour qualifier l'anéantissement de Gaza ?
Le terme fait débat en France pour qualifier la situation à Gaza, notamment à cause de sa charge historique et du décalage entre son usage régulier et sa définition en droit international.
C’est un mot qui déchaîne les passions. Qui peut faire exploser une conversation en mille morceaux, ou bien la figer immédiatement. Mi-mai, un lycéen de Blois (Loir-et-Cher) utilise en classe le terme de « génocide » pour qualifier ce que le gouvernement israélien inflige aux Gazaouis.
Élisabeth Badinter, en visite dans l’établissement qui porte le nom de son époux, en a immédiatement le vertige. « On le laisse dire ? » s’indigne-t-elle, selon Mag’Centre. L’élève se réfugie dans le silence. Le débat n’aura pas lieu, tant le mot tient du tabou. « Il a été inventé pendant la Seconde Guerre mondiale. Il provoque des émotions extrêmement fortes et convoque une douleur gigantesque. C’est le mot qui a été posé sur l’innommable, sur le crime des crimes. Il est fortement accroché à la Shoah, et aussi aux génocides les plus monstrueux, les plus barbares et les plus cruels qu’a connus l’histoire, comme celui des Arméniens et celui des Tutsis au Rwanda. C’est pour cela qu’il y a des pudeurs à l’utiliser », note Roland Gori.
Le terme fait débat en France pour qualifier la situation à Gaza, notamment à cause de sa charge historique et du décalage entre son usage régulier et sa définition en droit internati...
Une jeune femme tient dans ses bras sa fille de 6 ans, qui souffre de malnutrition, dans un refuge du centre-ville de Gaza, le 11 mai 2025 • MAJDI FATHI NURPHOTO VIA AFP
Professeur de droit canadien et ancien rapporteur spécial des Nations unies (2016-2022), Michael Lynk analyse les raisons de l’inaction internationale face au drame de Gaza. Cet expert reconnu pointe le rôle clé des États-Unis et appelle à des sanctions économiques contre Israël.
Michael Lynk a occupé pendant six ans (2016-2022) le poste de rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés. Professeur associé de droit à l’université Western Ontario au Canada, spécialiste des droits humains, il livre une analyse sans concessions sur l’incapacité des grandes puissances à faire respecter le droit international en Palestine. De la réticence à employer le terme de « génocide » au rôle décisif que pourrait jouer la société civile, Michael Lynk explore les différents leviers qui permettraient de sortir de l’impasse.
Quels sont les principaux facteurs qui expliquent le silence de l’Occident sur Gaza, selon vous ?
Il y a plusieurs facteurs déterminants. Premièrement, l’influence du lobby israélien. Elle est importante en Europe, mais extraordinairement puissante aux États-Unis, où elle inclut notamment le rôle des évangéliques chrétiens. Il ne faut pas sous-estimer à quel point Israël est un enjeu de politique intérieure aux États-Unis. Deuxièmement, l’alliance politique et militaire extraordinaire entre les États-Unis et Israël. De nombreux pays du Nord global, particulièrement en Europe, ne veulent pas s’opposer à Israël car cela signifierait s’opposer aux États-Unis. Troisièmement, il persiste dans les pays occidentaux une vision romantique d’Israël et de sa fondation comme réponse à l’Holocauste européen. Cette perception historique continue d’influencer fortement les positions politiques occidentales.
Professeur de droit canadien et ancien rapporteur spécial des Nations unies (2016-2022), Michael Lynk analyse les raisons de l'inaction internationale face au d
Génocide, un mot tabou pour qualifier l'anéantissement de Gaza ?
Le terme fait débat en France pour qualifier la situation à Gaza, notamment à cause de sa charge historique et du décalage entre son usage régulier et sa définition en droit international.
C’est un mot qui déchaîne les passions. Qui peut faire exploser une conversation en mille morceaux, ou bien la figer immédiatement. Mi-mai, un lycéen de Blois (Loir-et-Cher) utilise en classe le terme de « génocide » pour qualifier ce que le gouvernement israélien inflige aux Gazaouis.
Élisabeth Badinter, en visite dans l’établissement qui porte le nom de son époux, en a immédiatement le vertige. « On le laisse dire ? » s’indigne-t-elle, selon Mag’Centre. L’élève se réfugie dans le silence. Le débat n’aura pas lieu, tant le mot tient du tabou. « Il a été inventé pendant la Seconde Guerre mondiale. Il provoque des émotions extrêmement fortes et convoque une douleur gigantesque. C’est le mot qui a été posé sur l’innommable, sur le crime des crimes. Il est fortement accroché à la Shoah, et aussi aux génocides les plus monstrueux, les plus barbares et les plus cruels qu’a connus l’histoire, comme celui des Arméniens et celui des Tutsis au Rwanda. C’est pour cela qu’il y a des pudeurs à l’utiliser », note Roland Gori.
Le terme fait débat en France pour qualifier la situation à Gaza, notamment à cause de sa charge historique et du décalage entre son usage régulier et sa définition en droit internati...
L'Association France Palestine Solidarité d'Elbeuf vous appelle
à un rassemblement le samedi 12 avril 2025
à 10h30 place de la Libération 76500 Elbeuf
Israël, qui a dit vouloir s’emparer de la bande de Gaza, vient d’intensifier ses opérations militaires dans l’enclave palestinienne.Et fait vivre l'enfer jamais vécu qu'il a promis aux Gazaouis dès le début de la trêve débutée en janvier et rompue en mars. s’engageant de fait dans une guerre dont personne ne voit la fin. Le monde poursuit le processus d'invisibilisation des Palestiniens et tout passe sous silence. nous avons plus que jamais le devoir de dénoncer les crimes commis par Israël grâce au soutien des USA et de l'UE. l'Association France Palestine Solidarité d'Elbeuf vous appelle à un rassemblement le samedi 12 avril 2025 à 10h30 place de la Libération 76500 Elbeuf. Pour empêcher que cette guerre ne se passe sous silence.
1 La rapporteure spéciale de l’ONU pour les territoires palestiniens, Francesca Albanese 2 Gaza, le 10 août 2024, dans les ruines d'une école de Gaza-ville soufflée par 3 tirs israéliens: les frappes auraient fait plus de 90 victimes selon la protection civile locale. REUTERS - Abed Sabah
La rapporteure spéciale de l’ONU pour les territoires palestiniens, Francesca Albanese, a accusé samedi Israël de «génocide» des Palestiniens après une frappe sur une école de Gaza, qui a fait 93 morts, selon la Défense civile du territoire palestinien.
«Israël commet un génocide des Palestiniens, un quartier à la fois, un hôpital à la fois, une école à la fois, un camp de réfugiés à la fois, une zone de sécurité à la fois», après plus de dix mois de guerre dans la bande de Gaza, a déclaré Mme Albanese sur le réseau social X.
Israël mène de telles frappes contre les Palestiniens en utilisant «des armes américaines et européennes», a-t-elle encore affirmé.
«Que les Palestiniens nous pardonnent notre incapacité collective à les protéger, en respectant le sens le plus élémentaire du droit international», a-t-elle ajouté.
Mme Albanese, mandatée par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU et qui observe la situation depuis le début du conflit, a rendu divers rapports alarmant sur la situation dans la bande de Gaza, provoquant de vives critiques de la part d’Israël, qui l’a accusée d'«antisémitisme».
La rapporteure spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens, Francesca Albanese, a accusé samedi Israël de "génocide" des Palestiniens après une frappe sur une école de Gaza, qui a fai...
Au moins 93 personnes ont péri dans de nouvelles frappes israéliennes ce samedi 10 août sur une école de la ville de Gaza, selon la Défense civile du territoire palestinien. Le Hamas dénonce ...
Jonathan Cook est un journaliste britannique primé. Il a vécu à Nazareth, en Israël, pendant 20 ans. Il est revenu au Royaume-Uni en 2021. Il est l’auteur de trois livres sur le conflit israélo-palestinien.
Il a publié cet article le 26 juillet dans la revue Middle East Eye.
Tout empire s’effondre. Son effondrement devient inévitable dès que ses dirigeants perdent toute idée de l’absurdité et de l’horreur qu’ils infligent.
Il n’y a qu’un seul pays au monde, en ce moment même, au milieu du massacre israélien à Gaza, où le Premier ministre Benjamin Netanyahu est assuré de recevoir des dizaines d’ovations debout de la part de la grande majorité de ses représentants élus.
Ce pays n’est pas Israël, où il est depuis de nombreuses années une figure extrêmement controversée. Il s’agit des États-Unis.
Mercredi, Netanyahou a été tapé dans le dos, salué, applaudi et acclamé alors qu’il avançait lentement – salué à chaque pas comme un héros conquérant – vers le podium du Congrès américain.
C’est ce même Netanyahou qui a supervisé au cours des dix derniers mois le massacre de quelque 40 000 Palestiniens, dont la moitié sont des femmes et des enfants. Plus de 21 000 autres enfants sont portés disparus, la plupart probablement morts sous les décombres.
C’est le même Netanyahou qui a rasé une bande de territoire – abritant à l’origine 2,3 millions de Palestiniens – dont la reconstruction devrait prendre 80 ans , pour un coût d’au moins 50 milliards de dollars. [...]
Jonathan Cook est un journaliste britannique primé. Il a vécu à Nazareth, en Israël, pendant 20 ans. Il est revenu au Royaume-Uni en 2021. Il est l'auteur de trois livres sur le conflit ...
Alors que le bilan officiel du génocide israélien à Gaza approche les 30 000 morts et que des centaines de milliers de gens sont à la veille de mourir de faim, le directeur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) prévient que Gaza n’est plus un lieu ou on peut vivre, mais est devenu une « zone de mort ».
Lors d’une conférence de presse tenue à Genève mercredi, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré aux journalistes que la situation ne ferait qu’empirer, car Israël continue d’empêcher l’aide humanitaire d’entrer dans la région et poursuit ses attaques contre Rafah, là où la majorité de la population a été déplacée de force après des mois de raids israéliens qui ont commencé dans le nord de la région.
« Gaza est devenue une zone de mort », a déclaré Tedros. « Une grande partie du territoire a été détruite. Plus de 29 000 personnes sont mortes, beaucoup d’autres sont portées disparues, présumées mortes, et beaucoup, beaucoup d’autres sont blessées. »
Les Forces de défense israéliennes (FDI) ont tué pas moins de 12 300 enfants palestiniens à ce jour. Plus de 7 000 personnes sont portées disparues sous les décombres, tandis que 70 000 personnes ont été blessées, selon les décomptes officiels.[...]
Alors que le bilan officiel du génocide israélien à Gaza approche les 30 000 morts et que des centaines de milliers de gens sont à la veille de mourir de faim, le directeur de l'Organisation mo...
L’Association France Palestine Solidarité d’Elbeuf organise, devant le cinéma Mercure, un
Rassemblement le samedi 10 février 2024 à 10h30 place de la Libération à Elbeuf.
À Gaza, les Palestiniens déplacés, puis bombardés, affamés, privés du minimum vital sans aucun moyen de fuir ou se mettre à l’abri. En Cisjordanie les colons extrémistes tuent, exproprient, agressent les Palestiniens en toute impunité et avec l’aide de l’armée. Les crimes de guerres en Palestine continuent.
Notre solidarité avec le peuple palestinien ne doit pas cesser. Nous comptons sur vous pour diffuser largement cet appel et venir témoigner notre solidarité très indispensable pour dire stop au massacre, stop au blocus, stop à la colonisation, stop à la politique d’apartheid d’Israël.
L’Association France Palestine Solidarité d’Elbeuf organise
un rassemblement le samedi 10 février 2024 à 10h30 place de la Libération à Elbeuf.
Il y a vingt ans, le 24 mars 1999, treize États membres de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN), dont les États-Unis, la France et l’Allemagne, bombardaient la République fédérale de Yougoslavie. Cette guerre dura soixante-dix-huit jours et se nourrit de bobards médiatiques destinés à aligner l’opinion des populations occidentales sur celle des états-majors. Les Serbes commettent un « génocide », « jouent au football avec des têtes coupées, dépècent des cadavres, arrachent les fœtus des femmes enceintes tuées et les font griller », prétendit le ministre de la défense allemand, le social-démocrate Rudolf Scharping, dont les propos furent repris par les médias ; ils ont tué « de 100 000 à 500 000 personnes » (TF1, 20 avril 1999), incinéré leurs victimes dans des « fourneaux, du genre de ceux utilisés à Auschwitz » (The Daily Mirror, 7 juillet). Une à une, ces fausses informations seront taillées en pièces — mais après la fin du conflit —, notamment par l’enquête du journaliste américain Daniel Pearl (The Wall Street Journal, 31 décembre 1999). Tout comme se dégonflera l’une des plus retentissantes manipulations de la fin du XXe siècle : le plan Potkova (« fer à cheval »), un document censé prouver que les Serbes avaient programmé l’« épuration ethnique » du Kosovo. Sa diffusion par l’Allemagne, en avril 1999, servit de prétexte à l’intensification des bombardements. Loin d’être des internautes paranoïaques, les principaux désinformateurs furent les gouvernements occidentaux, l’OTAN ainsi que les organes de presse les plus respectés (1).
Il y a vingt-deux ans, treize États membres de l'OTAN, dont les États-Unis, la France et l'Allemagne, bombardaient la République fédérale de Yougoslavie. Cette guerre dura soixante-dix-huit jo...
Caracas, 31 octobre (Prensa Latina) Le Venezuela a salué aujourd’hui la décision du haut commissaire des Nations unies pour les droits de l’homme, Volker Türk, de condamner enfin les attaques militaires nord-américaines dans les Caraïbes qui ont fait...
L undi 3 novembre 2025, le géant de la logistique international, Amazon, créait le choc en évoquant 14 000 suppressions d’emplois, un chiffre qui pourrait aller jusqu’à 30 000 selon les médias. Une offensive violente pour protéger les marges du patronat,...
L a très grande majorité des patients qui se font soigner dans les cliniques privées à but lucratif sont confrontés aux dépassements d’honoraires des médecins qui les préoccupent et dont ils connaissent a priori le montant avant leur hospitalisation....
I l existe un large consensus pour considérer que les différents plans d’économies imposés à la Sécu sont inefficaces et que ce qui est appelé « déficit » est en fait un manque de ressources. Mais cette analyse ne vaut que dans le cadre des principes...
Washington, 27 octobre (Prensa Latina) La tension avec le Venezuela continue aujourd’hui d’augmenter, le torpilleur USS Gravely, de la Marine des États-Unis, étant arrivé à Trinité-et-Tobago pour des exercices militaires au milieu du déploiement naval...
Note du site « Communistes et matérialistes » : Comme tous les articles présents sur le site, les opinions énoncées ci-dessous ont pour fonction d’ouvrir le débat entre communistes, et non de le clore. Chaque article a été validé par notre comité de lecture,...
Fin de règne crépusculaire. Chute d’un pouvoir déliquescent. Malgré les tentatives de rafistolage, le président français – même si, comme c’est probable, il reste encore à l’Elysée jusqu’en 2027 – ne remontera pas la pente. Rejeté par une large partie...
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