Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
17 novembre 2022 4 17 /11 /novembre /2022 16:52
Bruno Drewski: « La guerre en Ukraine durera tant que Washington n’aura pas tranché en faveur d’un compromis »

La Pologne touchée par un missile russe? Zelensky persiste et signe, souhaitant sans doute voir l’OTAN s’engager directement dans la guerre d’Ukraine. Quelle tournure pourrait prendre le conflit? Comment expliquer le retrait de troupes russes à Kherson? Pourquoi l’hiver pourrait changer la donne? Historien, politologue et maître de conférence à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales, Bruno Drewski nous éclaire sur les dernières évolutions de la guerre en Ukraine.

Mercredi 16 novembre, un missile s’est abattu dans un village du sud-est de la Pologne, près de la frontière ukrainienne. Zelensky a aussitôt accusé les Russes, mais le Kremlin a démenti. Cet incident sur un territoire d’un pays membre de l’OTAN pourrait-il faire basculer le conflit?

À ce stade, on ne peut émettre que des hypothèses. Pourquoi les Russes auraient tiré sur la Pologne? Ça n’a aucun sens. On peut éventuellement admettre une erreur de son armée, mais la Russie n’a aucun intérêt à engager le conflit directement avec l’OTAN. Une autre hypothèse: soit les Polonais, soit les Ukrainiens veulent faire monter la sauce. Ce sont les plus va-t’en guerre. Mais pas sûr que le protecteur étasunien les soutient. Il y a évidemment des faucons à Washington qui voudraient faire monter la guerre d’un cran. Mais ce n’est pas le courant dominant actuellement. Joe Biden a d’ailleurs déclaré qu’il était « improbable » que le missile ait été tiré depuis la Russie.

On peut comprendre que l’Ukraine souhaiterait voir les troupes de l’OTAN s’engager directement dans la guerre. Ce qui pourrait arriver si un pays de l’alliance était attaqué. Mais pourquoi la Pologne chercherait-elle aussi à passer ce cap?

Le gouvernement polonais s’est montré particulièrement généreux envers l’Ukraine, alors que son économie n’est pas florissante. Avec une aide évaluée à 1,8 milliard de dollars, la Pologne occupe la première place de l’Union européenne dans l’aide à l’Ukraine, devant l’Allemagne et ses 1,2 milliard. Le gouvernement polonais abhorre ainsi toute forme de négociation avec la Russie. Car si la guerre devait s’arrêter maintenant, le roi se retrouverait nu avec de lourdes obligations économiques sur le dos. La Pologne espère donc que la guerre permettre de rebattre les cartes en sa faveur, en faisant de l’Ukraine un protectorat polonais, en devenant un pilier essentiel des États-Unis en Europe et en occupant une place centrale dans l’Intitiative des trois mers qui regroupe douze États européens entre la mer Baltique, la mer Adriatique et la mer Noire. C’est pourquoi la Pologne joue avec l’aile dure de Washington et de Bruxelles. [...]

Sur Investigaction, la suite :

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2022 5 30 /09 /septembre /2022 14:00
Devant la Cour pénale Old Bailey à Londres, une femme porte une pancarte « Truth is not a crime » suite à la décision rendue par la justice britannique de la non-extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis, Londres, le 4 janvier 2021 / ©Henry Nicholls - Reuters

Devant la Cour pénale Old Bailey à Londres, une femme porte une pancarte « Truth is not a crime » suite à la décision rendue par la justice britannique de la non-extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis, Londres, le 4 janvier 2021 / ©Henry Nicholls - Reuters

États-Unis, Grande-Bretagne, Australie et Suède - Nous nous battons depuis 2015 pour accéder à la documentation complète sur l’affaire Assange. Quatre gouvernements nous ont refusé l’accès, et certains ont mystérieusement détruit des documents clés. Maintenant, le tribunal d’appel administratif australien a décidé que le quatrième pouvoir n’y a pas droit. Le public n’a-t-il pas le droit de savoir ce qui s’est passé dans une affaire concernant un journaliste qui risque la prison à vie pour avoir révélé des crimes de guerre et que la CIA prévoyait de tuer ?

La presse n’a pas le droit d’accéder à la documentation sur Julian Assange car, s’ils étaient divulgués, les documents causeraient ou pourraient raisonnablement causer des dommages aux relations internationales de l’Australie et divulgueraient des informations communiquées à titre confidentiel. Telle est la décision récemment rendue par le Tribunal d’appel administratif australien en réponse à notre bataille juridique pour obtenir les documents auprès du ministère australien des Affaires étrangères et du Commerce (DFAT). Cette décision ne représente que la dernière brique du mur qui empêche le quatrième pouvoir de découvrir ce qui s’est passé dans les coulisses de l’affaire Julian Assange et WikiLeaks. Une affaire qui décidera des limites de la liberté de la presse dans les démocraties occidentales, mais aussi une affaire marquée par des violations flagrantes, comme la révélation qu’en 2017, la CIA, alors dirigée par Mike Pompeo, avait prévu d’enlever ou de tuer Assange.

Julian Assange reste dans la prison la plus dure de Grande-Bretagne, Belmarsh, en attendant que la justice britannique se prononce sur son appel contre son extradition vers les États-Unis, où il risque 175 ans de prison pour avoir obtenu et publié des dossiers classifiés du gouvernement américain sur les guerres en Afghanistan et en Irak, des câbles diplomatiques américains et des dossiers sur les détenus de Guantanamo. D’Amnesty International à la Fédération internationale des journalistes (FIJ), toutes les grandes organisations de défense des droits de l’homme et de la liberté de la presse ont demandé l’abandon de la procédure d’extradition et la libération d’Assange.

Assange, qui est citoyen australien, a été détenu arbitrairement, selon le Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire. Comme l’a documenté le rapporteur spécial de l’ONU sur la torture, Nils Melzer, il a été torturé psychologiquement. Il a également été espionné à l’intérieur de l’ambassade d’Équateur, où il est resté confiné jusqu’à son arrestation et son incarcération à Belmarsh. La CIA avait prévu de le tuer.

[...]

La suite sur le site du Grand Soir :

Partager cet article
Repost0
28 septembre 2022 3 28 /09 /septembre /2022 14:41
Raffinerie à Gonfreville l'Orcher

Raffinerie à Gonfreville l'Orcher

Editorial paru dans l’édition du 27/09/22

 

 

 

Y aura-t-il du courant à Noël ? Pour peu que les centrales nucléaires en maintenance reviennent vite en service et que la météo soit clémente (vive le réchauffement…), les interruptions de service sont peu probables, rassure le Réseau de transport d’électricité. A condition toutefois de se plier aux consignes de « sobriété » – autrement dit d’austérité – qu’édicte le gouvernement. Ainsi, un des pays les plus avancés de la planète en est réduit, au vingt-et-unième siècle, à évoquer le black-out, et à ordonner de baisser le chauffage… Il fallait bien un président « progressiste » pour accompagner cette régression d’échelle historique. Avec la sombre désinvolture qui fait son charme, Emmanuel Macron a ainsi prophétisé « la fin de l’abondance »…

Difficultés d’accès aux hydrocarbures, hausse vertigineuse des cours : une crise énergétique d’ampleur sans précédent s’accélère en Europe, dont les conséquences économiques et sociales pourraient bien faire figure de tsunami. Trois facteurs notamment sont à l’œuvre. Le premier d’entre eux est « systémique », diraient les linguistes bruxellois : l’avènement de la loi du marché. Celle-ci n’a pas toujours régi le commerce du gaz en particulier. Naguère, des contrats à long terme assuraient aux Etats producteurs des revenus stables, et aux acheteurs des prix bas. C’était avant que la fourniture de l’or bleu ne soit libéralisée, parallèlement à la déréglementation des ex-monopoles publics – une des réalisations phares de l’Union européenne.

Le deuxième facteur a trait au mot d’ordre désormais commun aux élites mondialisées : la réduction des émissions de CO2. Ainsi, le système d’échange européen des quotas carbone vise à renchérir délibérément l’utilisation, mais aussi la production, d’énergie carbonée. Au point que le gouvernement socialiste espagnol – qu’on ne peut soupçonner d’être « climatosceptique » – plaide pour que cette écotaxe, elle aussi régie par les mécanismes de marché et qui a bondi, soit gelée. Sans succès.

Enfin, le troisième facteur est celui qui a mis le feu aux poudres : les sanctions édictées par les dirigeants européens contre Moscou. L’UE a fait le choix politique de boycotter le charbon puis le pétrole russe, et menaçait de faire de même pour le gaz, avant que le Kremlin ne prenne les devants à titre de contre-sanction, en restreignant drastiquement les flux livrés par gazoduc. Résultat : le cours de l’or bleu – pour lequel les Vingt-sept cherchent désespérément des fournisseurs alternatifs – a été multiplié par douze en moins d’un an, entraînant une hausse faramineuse du prix de l’électricité. [...]

La suite sur le site de "Ruptures" :

Partager cet article
Repost0
26 septembre 2022 1 26 /09 /septembre /2022 14:53

Cet article est reposté depuis bx-moscou : août..

Lu sur le blog de Jakline Boyer.  Un blog qui nous donne une autre vision que la vision dominante sur la Russie.  Un autre point de vue nécessaire pour comprendre.  Ce qui ne veut pas dire que nous en partageons toutes les analyses et positions.  Voici comment l'auteure se présente :

"La Russie et la langue russe sont au coeur de mes passions depuis l'adolescence. Lycéenne, puis étudiante, puis jeune enseignante, j’ai arpenté, épatée, les rues de Moscou la soviétique. Vraiment un autre monde à déchiffrer. Puis vint la nouvelle Russie. Cette même Moscou quasiment méconnaissable avec ces rues envahies de mendiants... De nouvelles rencontres. Comprendre. Y travailler. Oui, décidément, le regard des Russes sur le monde nous est indispensable. Lorsque j'ai créé ce blog en 2014, je ne pensais pas que ce serait à ce point. La Russie ne quitte pas la punchline.... Leur vision plus nécessaire que jamais."

 

 

Ils dirigent nos destinées - Que nous les ayons élus ou pas - Que nous soyons d'accord ou pas; YG.

Ils dirigent nos destinées - Que nous les ayons élus ou pas - Que nous soyons d'accord ou pas; YG.

Partager cet article
Repost0
21 septembre 2022 3 21 /09 /septembre /2022 09:32
LA CIA ET LES MÉDIAS (5/6) – Quand William Colby efface les traces de l’Agence

Comment les médias les plus puissants d’Amérique ont travaillé main dans la main avec la Central Intelligence Agency et pourquoi la Commission Church les a couverts.

[...]

 

COLBY RETIRE SES BILLES

L’UTILISATION DES JOURNALISTES PAR LA CIA CONTINUE VIRTUELLEMENT sans relâche jusqu’en 1973 lorsque, en réponse à la révélation publique que l’Agence avait secrètement employé des journalistes américains, William Colby commence à minimiser les faits. Dans ses déclarations publiques, Colby donne l’impression que l’utilisation de journalistes a été minime et d’une importance limitée pour l’Agence.

Il a ensuite entrepris une série de manœuvres visant à convaincre la presse, le Congrès et le public que la CIA s’était retirée du secteur de l’information. Mais selon les responsables de l’Agence, Colby avait en fait jeté un filet de protection autour de ses précieux contacts dans la communauté journalistique. Il a ordonné à ses adjoints de maintenir les liens de l’Agence avec ses meilleurs contacts journalistes tout en rompant les relations officielles avec ceux qui étaient considérés comme inactifs, relativement improductifs ou d’une importance marginale.

En examinant les dossiers de l’Agence pour se conformer à la directive de Colby, les responsables ont découvert que de nombreux journalistes n’avaient pas rempli de fonctions utiles pour la CIA depuis des années. Ces relations, peut-être jusqu’à une centaine, ont été interrompues entre 1973 et 1976.

Dans le même temps, d’importants agents de la CIA qui avaient été placés dans le personnel de certains grands journaux et médias audiovisuels ont été priés de démissionner et de devenir des pigistes, ou des journalistes freelance, permettant ainsi à Colby d’affirmer aux rédacteurs en chef concernés que les membres de leur personnel n’étaient pas des employés de la CIA. Colby craignait également que certains agents de terrain de valeur ne soient démasqués si les liens entre l’Agence et les journalistes continuaient à être scrutés.

[...]

Lire la suite sur le site "Les Crises"

Partager cet article
Repost0
20 septembre 2022 2 20 /09 /septembre /2022 16:19

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

Mémorandum des Etats-Unis sur les drogues : un instrument d'ingérence dans la politique des Etats souverains dont l'orientation déplait au "maître" du monde ?

Partager cet article
Repost0
20 septembre 2022 2 20 /09 /septembre /2022 15:37

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2022 1 19 /09 /septembre /2022 23:14
1973 : l’autre 11 septembre

par Régis de Castelnau

Depuis 2001, tous les 11 septembre chacun se remémore la façon dont il a appris l’attaque et l’effondrement des Twin Towers, symbole de l’événement méta historique qu’était cette attaque terroriste de l’Amérique. Pour ma part, c’est la mémoire du moment où j’ai appris en cette fin d’après-midi du 11 septembre 1973 le coup d’État de Pinochet au Chili, qui me vient d’abord à l’esprit. Non que la tragédie américaine ne m’ait pas secoué, mais « l’autre 11 septembre » s’il n’a pas bouleversé la face du monde a finalement changé ma vie. Je me souviens de cette fascination de jeunesse pour l’Amérique latine. De ces images de la mort de Guevara. De la libération de Régis Debray. Du romantisme de nos 20 ans. Je me souviens de la fête de l’Huma en septembre 1973 et des Quilapayun sur la grande scène. « El pueblo unido jamás sera vincido ». Tu parles ! Je me souviens du moment où j’ai appris à la radio le coup d’état et la mort d’Allende. Je me souviens de la manifestation « des forces de gauche », avenue de la Tour-Maubourg devant l’ambassade du Chili. Des visages ravagés, de ce cortège qui se savait funèbre. Je me souviens de ce meeting à la Mutualité où Krivine et ses amis, toujours réalistes, réclamaient des « brigades internationales pour le Chili » !

[...]

La suite ci-dessous sur le site "Vu du droit" :

Partager cet article
Repost0
27 août 2022 6 27 /08 /août /2022 15:34
LA CIA ET LES MÉDIAS (1/6) – La manipulation de la presse américaine - Les Crises

Comment les médias les plus puissants d’Amérique ont travaillé main dans la main avec la Central Intelligence Agency et pourquoi la Commission Church les a couverts.

Par Carl Bernstein – Rolling Stone – 20 octobre 1977

Après avoir quitté le Washington Post en 1977, Carl Bernstein a passé six mois à analyser les relations entre la CIA et la presse pendant les années de la guerre froide. Son article de 25 000 mots, publié dans Rolling Stone le 20 octobre 1977, est reproduit ci-dessous dans une série de 6 billets.

MANIPULATION DE LA PRESSE – LE STYLE DE LA CIA

Pour comprendre le rôle de la plupart des professionnels du journalisme, il est nécessaire d’écarter certains mythes concernant le travail sous couverture pour les services de renseignement américains. Peu de journalistes américains sont des « espions » dans le sens populairement accepté du terme. L’espionnage, c’est-à-dire l’acquisition de secrets auprès d’un gouvernement étranger, est presque toujours le fait de ressortissants étrangers qui ont été recrutés par la CIA et sont sous son contrôle dans leur propre pays. Ainsi, le rôle principal d’un Américain travaillant sous couverture à l’étranger est souvent d’aider au recrutement et à la « manipulation » de ressortissants étrangers qui sont des canaux d’informations secrètes pour les services de renseignements américains.

La CIA a fait appel à de nombreux journalistes pour l’aider dans ce processus et ceux-ci avaient la réputation d’être parmi les meilleurs dans ce domaine. La nature particulière du métier de correspondant à l’étranger est idéale pour ce genre de travail : il bénéficie d’un accès privilégié de la part de son pays d’accueil, est autorisé à voyager dans des zones souvent interdites aux autres Américains, passe une grande partie de son temps à se procurer des sources dans les gouvernements, les institutions universitaires, la hiérarchie militaire et les communautés scientifiques. Il a la possibilité de nouer des relations personnelles à long terme avec ses sources et, peut-être plus que toute autre catégorie d’agents américains, il est en mesure de porter des jugements corrects sur la capacité et la disponibilité des ressortissants étrangers à être recrutés comme espions. [...]

La suite sur le site "Les Crises" :

Partager cet article
Repost0
15 août 2022 1 15 /08 /août /2022 09:19

Cet article est reposté depuis Réveil Communiste.

Carte 1 - Distance la plus courte entre Taiwan et la Chine continentale : 130 km( Source wikipedia) Carte 2 : Distance entre les Etats-Unis (Californie ) et la Chine : environ 10 000 km ...
Carte 1 - Distance la plus courte entre Taiwan et la Chine continentale : 130 km( Source wikipedia) Carte 2 : Distance entre les Etats-Unis (Californie ) et la Chine : environ 10 000 km ...

Carte 1 - Distance la plus courte entre Taiwan et la Chine continentale : 130 km( Source wikipedia) Carte 2 : Distance entre les Etats-Unis (Californie ) et la Chine : environ 10 000 km ...

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents