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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
5 juillet 2018 4 05 /07 /juillet /2018 11:30

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

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4 juillet 2018 3 04 /07 /juillet /2018 11:17

Sur le site "Inititiative communiste"

Appuyé sur la manœuvre de fausse concertation « Programme  » (PAP 2022) et ses « chantiers de discussion », qui ne pouvaient tromper que ceux qui voulaient bien l’être, le gouvernement avance à grand pas dans son objectif de destruction de la et de ses statuts.

par , PRCF

Action Publique 2002  () : l’euro destruction de la fonction publique En Marche

Dans le cadre du chantier « Dialogue social » de la concertation Action Publique 2022, il a présenté le 25 mai aux organisations syndicales représentatives ni plus ni moins qu’un projet de « suppression du paritarisme » afin de  faciliter une  « déconcentration managériale » de la Fonction publique. Ce projet propose la suppression du paritarisme, l’abolition des CAP en ce qui concerne les mutations et l’avancement, l’élargissement des sanctions disciplinaires sans contrôle des recours, la suppression des CAP par corps…

Ces propositions fracassantes sont le premier étage d’une fusée qui en compte quatre, avec la substitution du recrutement par concours par celui via le contrat (chantier n°2), l’instauration du salaire au mérite (chantier n°3) et enfin la multiplication d’abandons de missions et de privatisations couplées avec un plan de départs volontaires, en réalité un plan d’expulsion de la Fonction publique (chantier n°4).

Ce serait ici l’application à marche forcée dans la Fonction publique de ce qui s’est passé, sur deux décennies, à France Télécom ou à La Poste avec les désastres humains que l’on a connus tant au niveau du service aux usagers que pour les personnels, avec souffrance au travail et suicides. [...]

: qu’est ce que c’est ?

Un statut qui n’est pas né par hasard au sortir de la seconde guerre mondiale dans le sillon du CNR, grâce à l’activité du vice-président du Conseil de l’époque, Maurice Thorez (auteur également du statut des mineurs dans le cadre de la nationalisation du Sous-Sol), et à une forte implication syndicale. Il s’agissait de mettre en place une Fonction publique autour de  trois principes :

  •  D’abord, le principe d’égalité avec la règle : c’est par la voie du concours, si possible national et anonyme, à partir d’un niveau de qualification ou de diplôme nationalement reconnu, que l’on entre dans la fonction publique.
  • Ensuite, le principe d’indépendance du fonctionnaire vis-à-vis du pouvoir politique comme de l’arbitraire administratif que permet le système dit de la « carrière » où le grade, propriété du fonctionnaire, est séparé de l’emploi qui est, lui, à la disposition de l’administration. Cela permet de protéger le fonctionnaire contre l’arbitraire et le régime de faveur, de lui permettre l’exercice de ses fonctions dans le seul intérêt du service, à l’abri de toute pression. Sans cela, aucune indépendance vis-à-vis des pressions des notables locaux, des exigences du patronat, de l’intrusion des cultes ; bref, le statut ne protège pas que le fonctionnaire, en protégeant le fonctionnaire, c’est le public, l’égalité et la liberté de penser de chacun qui sont garantis par l’Etat ;
  • Enfin, le principe de responsabilité qui confère au fonctionnaire la plénitude des droits des citoyens et reconnaît sa source dans l’article 15 de la Déclaration des droits de 1789, lequel indique que chaque agent public doit rendre compte de son administration ; conception du fonctionnaire-citoyen opposée à celle du fonctionnaire-sujet que Michel Debré définissait ainsi dans les années 1950 : « Le fonctionnaire est un homme de silence, il sert, il travaille et il se tait ». Il n’est pas étonnant par ailleurs que l’exigence d’un statut fort des agents publics ait été portée par le gouvernement issu du CNR, sachant que sous Vichy, les fonctionnaires sans statut avaient dû cautionner, voire exécuter le pire.

[...]

Lire l'intégralité en cliquant ci-dessous :

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4 juillet 2018 3 04 /07 /juillet /2018 11:06

« Une 2e journée de "solidarité" ? Je propose plutôt une journée de captation des dividendes uniquement du CAC 40 pour un service public du 3e âge. » Photo Migué Mariotti

 

 

Olivier Mateu, le secrétaire général de l’Union départementale CGT des Bouches-du-Rhône, analyse la situation sociale et évoque les batailles à venir.

La Marseillaise : Avec l’arrivée de l’été, on nous dit que le mouvement social est terminé. Qu’en est-il ?

Olivier Mateu : De la même manière qu’on ne décrète pas le début d’un mouvement social, on n’en décrète pas la fin. Ce ne sont pas ceux qui créent les conditions de la colère qui sont habilités à décider quand la colère s’estompe. Le mouvement social ne prend pas fin avec l’été, c’est une période qui permettra d’organiser ce qui va se passer à la rentrée. Lundi, lors de la commission exécutive de l’Union départementale nous proposerons de programmer dès le mois de septembre une journée de grève et de manifestations. Il ne faut pas compter sur nous pour enterrer le mouvement. Quand une loi n’est pas bonne, il faut en changer. Les électriciens-gaziers sont en lutte, les cheminots qui réfléchissent aux formes que prendra leur mouvement cet été, mais au-delà de ces secteurs, la saison qui s’ouvre sera l’occasion pour nous d’aller à la rencontre de nos organisations, des salariés et des estivants pour faire en sorte que dès la rentrée nous soyons mobilisés.

La suite sur le site de La Marseillaise ci-dessous :

 

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1 juillet 2018 7 01 /07 /juillet /2018 22:52

Ils sont praticiens hospitaliers de différentes spécialités et disciplines, signataires d'une lettre adressée à Edouard Philippe, Premier ministre, rappelant qu'une précédente lettre ouverte à l'attention d'Agnes Buzyn, en septembre dernier, est restée lettre morte. Ils alertent, une fois encore sur le fait qu'ils ne sont plus en mesure aujourd'hui de remplir leur mission de service public. S’agissant de soins nous vous alertons sur une mise en danger de la vie d’autrui et non-assistance à personne en danger. Mise en danger de la population qui s’adresse à nous, et mise en danger des professionnels qui doivent remplir cette tâche sans en avoir les moyens. Les décès médiatisés survenus récemment en sont les malheureux témoignages. Il ne s'agit pas de faits isolés mais de signes patents de la dégradation nationale des services hospitaliers.

La suite et le lien vers la tribune en PDF ci-dessous:

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27 juin 2018 3 27 /06 /juin /2018 22:08
Info luttes n°48 vu sur le site de la CGT-Cheminots
 

Les chiffres du jour

  •  511, c’est le nombre de cheminots de moins de 35 ans qui ont rejoint la CGT depuis le 01 janvier 2018 ;
  •  257, c’est le nombre de cheminotes qui ont rejoint la CGT depuis le 01 janvier 2018 ;
  •  112, c’est le nombre de cheminots contractuels (RH 0254) qui ont rejoint la CGT depuis le 01 janvier 2018.

Les 27 et 28 juin, les cheminots entament la 18e séquence de grève débutée le 03 avril.
Notre lutte est exemplaire et elle marque d’ores et déjà l’histoire de la SNCF que nous allons continuer de défendre, ENSEMBLE.

COURAGE, FORCE ET DÉTERMINATION !

Nous devons être fiers de la résistance exemplaire de la corporation cheminote menée depuis plus de 2 mois ½.

Ce conflit que nous menons, nous l’avons dit depuis le début, se mène sur la durée face à un Gouvernement méprisant vis-à-vis des plus modestes et décidé à brader les biens publics, les outils publics de la Nation, comme la SNCF. Cette durée traduit à la fois l’autoritarisme inégalé du Gouvernement et également la très grande détermination des cheminots à se faire entendre.

La bataille que nous avons entamée doit être comprise dans son intégralité. La poursuite de la négociation de la CCN débutée en 2014 et le pacte d’entreprise prôné par Pepy font partie de la stratégie de réforme globale portée par le gouvernement. C’est donc bien dans cet ensemble qu’il nous faut envisager la lutte en n’occultant aucun sujet et en menant tout de front, y compris sur les 3 « piliers » de la réforme qu’il nous faut continuer à combattre.

C’est bien pour mettre la pression sur l’ensemble de ces aspects que nous considérons que le match n’est pas fini. C’est pourquoi la Fédération CGT estime qu’il faut poursuivre, mais adapter l’action afin de continuer à peser sur ceux qui ont décidé d’en finir avec le service public SNCF.

De la même manière, et plus globalement, l’heure est à la défense des valeurs essentielles qui fondent notre société et l’amélioration de notre modèle social. C’est tout le sens de l’appel des organisations CGT, FO, UNEF, UNL et FIDL qui entendent faire du 28 juin une journée de mobilisation interprofessionnelle qui se traduira par des manifestations sur l’ensemble du territoire.

Les cheminots sont donc appelés à prendre une place prépondérante dans ces cortèges !

Nous savons que la bataille est rude !

C’est donc avec courage, force et détermination que nous devons nous projeter dans l’avenir avec la conviction que notre combat est juste et qu’il paiera !

FRET SNCF : RESTONS EN ALERTE !

La direction de la SNCF a repoussé les séances extraordinaires des CE Fret et CCGPF prévues en juillet et qui portaient sur le plan de filialisation du Fret.

L’impréparation de la réforme du Gouvernement, les approximations de la direction du Fret, le rapport de force construit par les cheminots, obligent donc la direction à temporiser et à manoeuvrer en recul.

Il ne s’agit, à l’évidence, que de « manœuvres » visant à se repositionner, mais mesurons ce que nous réussissons à bloquer, pas à pas, ce que nous réussissons à repousser, à force d’abnégation et d’engagement !

Tenons-nous prêts à riposter, collectivement et dans l’unité la plus large !

TOUS EN GRÈVE LES 27 ET 28 JUIN !

En route vers la prochaine séquence de grève des 06 et 07 juillet 2018.

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27 juin 2018 3 27 /06 /juin /2018 16:33

Alternatives économiques

Claire Alet

« Travail dégradé, personnel épuisé, résidents en danger » : c’était l’un des slogans affichés lors des piquets de grève suivis par plus de 30 % des salariés d’établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) en janvier dernier. La mobilisation s’est étendue tout au long du printemps, attirant une attention inédite sur les conditions de travail des employés et les conditions de vie des personnes âgées dans les maisons de retraite médicalisées. La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a présenté une feuille de route « grand âge et autonomie » fin mai, tout en reconnaissant elle-même que « tout ceci ne suffira pas » et en lançant une concertation nationale sur le vieillissement et la perte d’autonomie à conduire d’ici au début 2019. « Quel sens à la concentration des personnes âgées entre elles, dans des établissements dits d’hébergement ? Quels leviers pour une société inclusive pour les personnes âgées ? », interrogeait dans un avis récent 1 le Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et de la santé. La France n’est pas un cas isolé parmi les pays riches : tous sont concernés par le défi du vieillissement de leur population. Mais est-elle particulièrement maltraitante avec ses anciens ? [...]

La suite ici : https://www.alternatives-economiques.fr//france-maltraite-t-aines/00085184?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_campaign=NL_Quotidienne%2F26062018

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26 juin 2018 2 26 /06 /juin /2018 13:27
Observatoire des multinationales

Lutte contre le changement climatique, l’évasion fiscale ou encore l’accaparement des terres : autant de réformes censurées, vidées de leur substance ou avortées ces dernières années, suite à des avis et décisions du Conseil d’État et du Conseil constitutionnel, rendus au nom de la défense des droits de propriété et de la liberté des entreprises. Les Amis de la Terre France et l’Observatoire des multinationales publient aujourd’hui un rapport d’enquête sur les coulisses de ces décisions et le lobbying qui s’exerce sur ces deux institutions en toute opacité : Les Sages sous influence ? Le lobbying auprès du Conseil constitutionnel et du Conseil d’État.

 

Dans le cadre de la réforme constitutionnelle examinée en Commission des Lois cette semaine à l’Assemblée nationale, des intellectuels, relayés par des parlementaires, appellent à modifier la Constitution pour encadrer l’exercice de la liberté d’entreprendre et des droits de propriété pour protéger l’intérêt général [1].

Une réflexion importante mais qui doit être complétée par les mesures indispensables pour agir à la source : encadrer le lobbying et les conflits d’intérêts au sommet de l’État.

Conseil d’État et Conseil constitutionnel, deux institutions très proches l’une de l’autre, sont devenus ces dernières années des lieux de plus en plus importants de lobbying pour les milieux économiques, qui s’en sont saisi avec succès pour faire annuler ou amoindrir des réformes qui leur déplaisaient. Peu connu, ce lobbying s’exerce généralement de manière opaque, au travers de « portes étroites » ou contributions extérieures, loin de l’opinion publique et même de la société civile et des parlementaires. Il se nourrit également des allers-retours entre haute fonction publique, cabinets d’avocats d’affaires et entreprises privées, pratique qui semble être devenue la norme.  [...]

La suite ici :http://multinationales.org/Rapport-Les-Sages-sous-influence-Le-lobbying-aupres-du-Conseil-constitutionnel

Vous trouverez sur le site des Amis de la Terre le rapport complet sur le lobbying auprès de ces institutions dites "républicaines".

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24 juin 2018 7 24 /06 /juin /2018 15:51
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24 juin 2018 7 24 /06 /juin /2018 15:47
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19 juin 2018 2 19 /06 /juin /2018 15:52

Qui veut-on aider ? Vous avez choisi.
Vous avez choisi Goliath contre David.
Vous avez choisi Servier contre Irène Frachon.
Vous avez choisi Sanofi contre Marine Martin.
Vous avez choisi Clearstream contre Denis Robert.
Vous avez choisi Price Water House & Coopers contre Edouard Perrin.
Vous avez choisi Bolloré contre Jean-Baptiste Rivoire.
Vous avez choisi UBS contre Stéphanie Gibaud.
Vous avez choisi Monsanto contre Marie-Monique Robin.
Vous avez choisi la Pacific Gas & Electric Company contre Erin Brokovitch.
Vous avez choisi l'argent contre les gens.

François Ruffin

Député de la Somme

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