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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
29 juillet 2018 7 29 /07 /juillet /2018 06:23
Loi travail : matraquages médiatiques sur les manifestations sur le site d'Acrimed
par Frédéric Lemaire, Mathias Reymond,

Jeudi 28 avril et dimanche 1er mai 2016 se tenaient deux journées de manifestation, respectivement contre la loi travail et pour la journée internationale des travailleurs. Et sans surprise, ce sont les affrontements entre la police et certains manifestants qui ont monopolisé l’attention des médias.

La couverture de ces violences témoigne des travers déjà bien connus du traitement médiatique des mobilisations sociales : reprise en boucle, au moins dans un premier temps, des chiffres et éléments de langage de la Préfecture ; dénonciation des violences contre la police, silence sur les violences policières ; débats anémiés, se résumant à des injonctions à se positionner pour ou contre les « casseurs » ; et en définitive oubli de l’objet même des mobilisations et des revendications des manifestants. Quand les grands médias ne prennent plus la peine de questionner les sources policières, l’information passe à la trappe…

N.B. – Le stand d’Acrimed ayant subi un gazage en règle lors de la manifestation du 1er mai, nous n’avons pas pu mener une enquête sérieuse sur la nature et le déroulement des « débordements ». Nous nous sommes donc rabattus sur une analyse sérieuse de leur traitement médiatique. Que ceux et celles qui nous ont soutenus, aidés, perdus, cherchés, reçoivent nos excuses consternées et solidaires. [...]

Lire la suite ici : https://www.acrimed.org/Loi-travail-matraquages-mediatiques-sur-les

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28 juillet 2018 6 28 /07 /juillet /2018 15:16

C’était attendu : le Sénat a rejeté ce jeudi 26 juillet la proposition de loi relative à la « lutte contre la manipulation de l’information » (dite loi « Fake news »), adoptée par l’Assemblée nationale en première lecture début juillet. Les sénateurs ont adopté à une très large majorité (288 voix pour, 31 contre) les motions tendant à « opposer la question préalable », donc à rejeter le texte sans examen.

Les motivations des sénateurs, de tous bords, rejoignent les conclusions du Syndicat national des journalistes (SNJ), qui avait relevé dès le mois de mars les incohérences de ce texte et son caractère inabouti, considérant ses principales dispositions comme « inadaptées, inefficaces et dangereuses ».

► Inadapté, le recours au référé pour juger en 48 heures de la qualité –vraie ou fausse- d’une information, sur la base d’une définition très vague de la « fausse information » ;
► Inefficace puisque vouée à l’échec, une régulation des réseaux sociaux et des plateformes limitée aux seules frontières nationales ;
► Dangereux, l’élargissement des prérogatives du Conseil supérieur de l’Audiovisuel (CSA), et plus globalement des mesures potentiellement attentatoires aux libertés publiques.

En l’état, cette proposition de loi fait l’unanimité contre elle dans la profession, et au delà. Les députés LREM sauront-ils entendre et écouter ces remarques, lorsque le texte repassera à l’Assemblée ? Ne serait-il pas plus sage de le retirer purement et simplement ?

Pour l’heure, le SNJ, première organisation de la profession, remercie les sénateurs pour leur vigilance, et se réjouit de ce petit rappel à l’ordre adressé au Président de la République, alors même que ce dernier ne rechigne pas à confondre rumeurs et informations lorsqu’il s’agit de discréditer le travail de la presse.
 

 

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28 juillet 2018 6 28 /07 /juillet /2018 14:35
Vu sur le blog de FILPAC CGT Chapelle Darblay

Vu sur le blog de FILPAC CGT Chapelle Darblay

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27 juillet 2018 5 27 /07 /juillet /2018 08:49

Cet article est reposté depuis Le blog de Lucien PONS.

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27 juillet 2018 5 27 /07 /juillet /2018 07:31
Le capitalisme nuit gravement à la santé

jeudi 19 juillet 2018 par Jean Penichon

Hôpitaux : 19 000 postes de médecins non pourvus : la santé, malade de la rentabilité et du profit. Le capitalisme est un système barbare qui laisse sur le carreau des millions de malades. Leur crime ? Ne pas être suffisamment rentables.
L’hôpital traverse une dépression collective qui le met en danger. Comment a-t-on pu en arriver là ? Par la faute de corporatismes étriqués, d’une haute fonction publique obsédée par la gestion budgétaire et de politiques qui ont multiplié les fausses promesses.

La course aux profits constitue le moteur du système capitaliste. Dans toutes les sphères de la société, l’obsession de la classe dirigeante est celle de la rentabilité maximale. Dans le domaine de la santé, cette recherche d’un maximum de profits prend un caractère particulièrement inhumain. Aux yeux des capitalistes, les soins et les traitements ne sont en définitive qu’une marchandise et la santé, un vaste marché.

Hôpitaux : 19 000 postes de médecins non pourvus : la santé, malade de la rentabilité et du profit

Selon France-Info  : Plus de 19 000 postes de médecins étaient "statutairement vacants" en début d’année dans les hôpitaux, où les contractuels compensent en grande partie ce manque de titulaires, selon le rapport annuel du Centre national de gestion des praticiens hospitaliers (CNG), dévoilé jeudi 12 juillet.

Le taux de "vacance statutaire" pour les postes à temps plein s’établissait au 1er janvier à 27,4%, indique le CNG dans son rapport annuel publié sur son site internet. Cela correspond à 15 052 postes "budgétés", mais pas "occupés statutairement" par des praticiens hospitaliers (PH).

Une grande partie de ces postes à temps plein sont toutefois "provisoirement occupés" par des praticiens contractuels : une étude du CNG réalisée en janvier 2017 estimait leur nombre à plus de 12 000. Pour les postes de praticiens hospitaliers à temps partiel, la vacance statutaire culminait à 47% début 2018, soit 4 039 titulaires manquants.[...]

La suite sur le blog de l'Association Nationale des Communistes : http://ancommunistes.fr/spip.php?article718

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26 juillet 2018 4 26 /07 /juillet /2018 09:13
Depuis 100 jours, 150 facteurs des Hauts-de-Seine se battent contre la déshumanisation du service public
Depuis le 26 mars 2018, près de 150 factrices et facteurs des Hauts de Seine sont en grève illimitée pour empêcher le licenciement de l'un d'entre eux, Gaël Quirante, et aussi contre la dégradation de leurs conditions de travail. «En défendant la cause des postiers des Hauts de Seine, c'est une société de droits collectifs et de solidarité que nous défendons» soulignent les nombreuses personnalités qui signent cette tribune. Une caisse de grève est en ligne.

Depuis le 26 mars 2018, près de 150 factrices et facteurs de plusieurs bureaux de postes des Hauts de Seine sont en grève illimitée.

Elles et ils sont entrés en grève dans un premier temps pour empêcher le licenciement de l'un d'entre eux, Gaël Quirante, postier et délégué syndical.

La direction de la Poste s'acharne à vouloir le licencier depuis dix ans mais sans succès malgré de multiples tentatives. Or, en ce début d'année, elle est arrivée à ses fins grâce au coup de pouce de Muriel Pénicaud. Elle a autorisé son licenciement contre l'avis de ses propres services au ministère du travail qui n'y voyaient qu'acharnement anti-syndical de la Poste et sa volonté de se débarrasser de ce militant, comme d'un caillou dans son soulier. [...]

Lire la suite ici :

https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/230718/depuis-100-jours-150-facteurs-des-hauts-de-seine-se-battent-contre-la-deshumanisation

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21 juillet 2018 6 21 /07 /juillet /2018 14:13
Affaire Benalla : le Code Pénal ? Pour quoi faire? [Régis de Castelnau]

Le comportement d’Emmanuel Macron est désarmant de sincérité. Le président de la République affiche un narcissisme permanent et infantile auquel vient s’ajouter un étonnant sentiment d’impunité. Et avec lui, aucune relâche, nous avons droit tous les jours à un épisode destiné à nourrir notre stupéfaction devant l’absence de limites du personnage. Il y a eu l’épisode qui a suivi la victoire française en Coupe du Monde de football, occasion à laquelle Emmanuel Macron a été incapable de se maîtriser, en a fait des tonnes de façon gênante, avant de signifier son égoïsme méprisant avec la confiscation de la descente du bus sur les Champs-Élysées. « Moi d’abord, les autres ne sont rien. »

Une sanction ridicule

Il y a maintenant l’incroyable affaire qui concerne une espèce de « garde-du-corps-porte-flingue-conseiller » à l’Élysée auprès du chef et dont on apprend qu’il joue les nervis en allant casser du passant dans les rues de Paris. Une vidéo nous montre Monsieur Alexandre Benalla profitant d’un temps libre pour revêtir les signes liés à la fonction de policier et passer à tabac les gens qu’il soupçonne d’être des opposants à son patron. Au plan juridique, judiciaire et administratif, cette affaire est d’une gravité exceptionnelle. Elle s’est déroulée il y a plus de deux mois et demi et jusqu’à présent, la seule conséquence avait été une mise à pied de 15 jours de l’apprenti milicien !

Ce simple petit exposé suffit à provoquer une forme de sidération à la fois devant le comportement du « collaborateur », mais aussi devant celle de son patron administratif, le Secrétaire général de l’Élysée qui a pris cette sanction absolument ridicule. Et s’est surtout bien gardé d’accomplir les actes que lui impose l’article 40 du code de procédure pénale, c’est-à-dire de transmettre au procureur de Paris les informations dont il disposait. C’est presque pour moi la partie la plus importante du scandale en ce qu’elle caractérise l’incroyable et arrogant sentiment d’impunité de la petite caste qui entoure le chef de l’État. [...]

La suite sur le blog "Vu du droit" :http://www.vududroit.com/2018/07/affaire-benalla-code-penal-quoi-faire/

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21 juillet 2018 6 21 /07 /juillet /2018 14:09
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21 juillet 2018 6 21 /07 /juillet /2018 14:02
Jeudi, 19 Juillet, 2018

L’un des collaborateurs de l’Élysée, Alexandre Benalla, a été identifié sur une vidéo tournée lors des manifestations du 1er mai dans laquelle il frappe l’un des participants, équipé d’un casque des forces de l’ordre et entouré de CRS. Avant qu’une enquête soit ouverte après la sortie de l’affaire dans la presse, ce membre de l’équipe présidentielle n’avait écopé que de quinze jours de suspensions. Entretien avec Anthony Caillé, le secrétaire général de la CGT-Police Île-de-France.

Comment réagissez-vous à cette affaire Benalla ?
Anthony Caillé : Nous sommes outrés que l’on puisse faire intervenir de cette façon particulièrement illégitime un conseiller de la présidence de la République sans aucun titre particulier, ni aucun rôle officiel dans des opérations de maintien de l’ordre, qui plus est équipé avec du matériel de police. La grande question, c’est : pourquoi le pouvoir politique envoie un émissaire en plein milieu d’une opération de maintien de l’ordre ? C’est du délire.  Nous avons adressé un courrier au ministre pour lui demander comment une telle situation a pu être possible. C’est l’exécutif tout entier qui engage sa responsabilité dans cette affaire si une enquête sérieuse et des sanctions proportionnées à la gravité des faits devaient ne pas être mises en œuvre.[...]
 

 

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5 juillet 2018 4 05 /07 /juillet /2018 22:49

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

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