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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
29 mai 2023 1 29 /05 /mai /2023 14:31

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Il est encore temps !

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9 septembre 2022 5 09 /09 /septembre /2022 06:05
Merci Wolinski !
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21 mai 2022 6 21 /05 /mai /2022 16:50

A force d’entendre à longueur d’antenne que le droit du travail est « très protecteur en France », on ne s’imagine pas que le droit n’existe que s’il est appliqué.

 Comment la France est devenue championne de la souffrance au travail

Le 28 avril dernier, le journal l’Humanité sortait les statistiques d’Eurostat (l’INSEE de l’Union Européenne) sur la mortalité au travail : la France est largement en tête, avec une mortalité deux fois supérieure à la moyenne européenne. L’info n’a été que très peu reprise, et la plupart de nos grands médias, toujours prompts à dénoncer les « retards » de la France vis-à-vis de ses voisins, ne s’y sont pas intéressés. La mort au travail et plus largement la souffrance au travail sont un véritable tabou médiatique : les accidents mortels surviennent en moyenne deux fois par jour. En moyenne, chaque jour, 90 personnes subissent un accident grave qui leur laisse des séquelles à vie. Qui en parle ? Pas grand-monde. Qui se demande comment nous en sommes arrivés là ? Quasiment personne. Et pour cause, se demander pourquoi on meurt et on souffre autant au travail en France, c’est mettre en accusation les trois derniers gouvernements, sarkozyste, socialiste et macroniste, qui ont détricoté le droit à la santé au travail. C’est mettre en évidence la responsabilité du patronat dans ce triste record. Bref, c’est mettre en lumière le fait que la lutte des classes ne se joue pas seulement dans les manifestations de rue et leur répression, mais bien aussi dans la façon dont nos corps sont traités au travail, par la bourgeoisie et ses représentants. [...]

L'intégralité sur le site de Frustration :

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7 juin 2021 1 07 /06 /juin /2021 06:50

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

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30 janvier 2021 6 30 /01 /janvier /2021 16:16

Un ouvrier, un militant de la CGT, un communiste, ministre du Travail de 1945 à 1947

PÉTITION. Ambroise Croizat mérite d’entrer au Panthéon
PÉTITION. Ambroise Croizat mérite d’entrer au Panthéon
PÉTITION. Ambroise Croizat mérite d’entrer au Panthéon
À l’initiative de l’Humanité, élus, syndicalistes et intellectuels interpellent le président de a République afin que le bâtisseur de la Sécurité sociale et ministre du Travail à la Libération, Ambroise Croizat, entre au Panthéon.

Il y a cent vingt ans ans, le 28 janvier 1901, naissait Ambroise Croizat. La France lui doit l’une de ses plus belles créations collectives : la Sécurité sociale. Il en fut la cheville ouvrière et le principal bâtisseur, en tant que ministre du Travail au sortir de la Seconde Guerre mondiale, dans le respect du programme du Conseil national de la Résistance. ­Depuis lors, des générations de citoyens ont eu la chance de bénéficier d’une ­couverture sociale ­exceptionnelle. Il faut bien mesurer l’œuvre ­civilisatrice d’Ambroise Croizat pour ce qu’elle est : une étape fondamentale, révo­lu­tionnaire, dans la ­recherche d’une vie meilleure qui a toujours animé l’humanité.

L’objectif d’Ambroise Croizat était de briser l’angoisse du lendemain, de la maladie ou de l’accident de travail. Sa volonté, sa vision étaient de ne plus faire de la retraite l’antichambre de la mort, mais bien une nouvelle étape de la vie. Notre pays doit à ce militant communiste la générali­sation des retraites, les comités d’entreprise, la médecine du travail, la reconnaissance des maladies professionnelles, la prime prénatale… En tant que député du Front populaire, dès 1936, il avait déjà pris une part considérable dans l’instauration des congés payés, des conventions ­collectives et de la ­semaine de quarante heures.

Tous les Français, aujourd’hui, bénéficient d’une carte vitale, sésame qui leur permet si souvent d’être soignés selon leurs besoins, sans distinction de leurs moyens, grâce à la socialisation des richesses créées. Certes, de nombreux coups ont été assénés à la Sécurité sociale et au Code du travail depuis que Croizat n’est plus. Certes, la Sécurité sociale est avant tout une œuvre collective, comme Croizat, syndicaliste à la CGT, le rappelait. Mais qui peut dire que cet homme d’État n’a pas joué le premier rôle, en tant que ministre, pour apporter à la France l’une de ses plus belles réformes ? Qui peut dire que cette réalisation ne constitue pas un pilier indispensable à notre République sociale ?

La Sécurité sociale fait partie du patrimoine vivant de tous les Français. Un patrimoine qui n’est ni à muséifier ni à vernir, mais à entretenir et développer toujours plus, dans le respect de sa philosophie initiale, en tant que bien commun, comme le montre la crise du Covid-19. Le XIXe siècle aura été marqué dans notre pays par l’accès de tous à l’éducation. Le XXe retiendra à n’en pas douter, avec le recul, la fondation du système de santé public créé par Croizat comme l’une de ses plus grandes conquêtes.

Tous s’en réclament aujourd’hui, même si tous n’en sont pas dignes. Reste qu’Ambroise Croizat est définitivement digne du Panthéon, qui s’honorerait à l’accueillir, avec son épouse Denise, comme le souhaite sa famille.

Voir ci-dessous pour signer sur le site de l'Humanité.  Contre l'omerta autour de l'action d'Ambroise Croizat, contre la remise en cause des conquis de la Libération et du programme du CNR.

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18 décembre 2020 5 18 /12 /décembre /2020 18:26
Mélenchon change de ton que faut-il en déduire ? par Danielle Bleitrach
  • 16 décembre 2020

J’ai pris mes distances avec la politique française et ses jeux politiciens… mais ce blog je l’ai encore découvert récemment est un lieu de réflexion, de dialogue apaisé et ou chacun de nous apporte ce qu’il croit juste. Poursuivons donc…

Aujourd’hui je voudrais que les communistes, encartés ou non, se sachant ou non communistes, bref nos lecteurs, réfléchissent au changement de ton de Mélenchon… Je parle de l’article paru hier dans l’Humanité avec ses propositions. L’article lui-même a un sens, celui d’une Humanité qui a choisi son camp. Celui du ralliement à Mélenchon que ce soit par affinité comme Marie-Georges Buffet, ou que ce soit comme les amis de Pierre Laurent, en faisant référence à l’épuisement du potentiel militant à l’idée de mener une campagne électorale. La logique est alors qu’avec d’autres ce serait plus facile. donc plus réaliste. C’est une vision du monde. Le choix d’une mort douce pour un parti sans utilité, qui ne combat plus, n’a plus de stratégie, ni de but, sinon celui de “dégager” une fois de plus le président pour lequel il a fini par voter au coup d’avant, pour éviter l’épouvantail de l’extrême-droite. Celui-ci étant conçu pour nous faire voter pour une chèvre et en tous les cas un soutien du capitalisme, un tenant de la même politique..

Ce n’est pas le choix du 38e congrès, mais ce n’est un secret pour personne que l’Humanité et une partie de la direction bicéphale n’ont jamais réellement porté le 38e congrès. Pourquoi s’obstinent-ils dans leur épuisement ?

Même si l’on veut voir là rien d’autre que de l’inertie et un manque de foi en l’avenir, cet article de l’humanité revient à appuyer ceux qui comme Marie Georges Buffet ont décidé de faire campagne pour Mélenchon en violation de la démocratie collective, celle du Congrès, celle de la décision des militants. Ils poursuivent ce qui a été mis en oeuvre depuis plus de vingt ans et dont il est miraculeux que le parti y ait survécu.

Réfléchissons, sans procès, quelle force politique aurait survécu à de telles directions, l’une Robert Hue, qui a littéralemnt détruit avec la mutation toute l’organisation du parti et qui est désormais un soutien officiel de Macron, la seconde Marie-Georges Buffet qui préfère Mélenchon à son parti et lui a imposé déjà cette candidature au nom de regroupements gauchisants qui ont fourni la base du mouvement de Mélenchon. Enfin, le troisième, Pierre Laurent qui joue l’épuisement, l’incapacité à faire face à une campagne appuyée par le directeur de l’Humanité et toute la presse communiste. Le tout dans un contexte où tout ce qui faisait l’originalité et la richesse de ce parti a été remis en cause.

Parlons franchement: il y a plusieurs interprétations possibles à cette brochette -disons de rois fainéants à la direction du PCF. Comment désigner poliment ceux qui tous ont suivi une ligne d’abandon et au plan international se sont conformés à la social démocratie et à son soutien aux bonnes œuvres de l’OTAN - sont-ils de simples produits de l’échec de l’URSS, de rapports de force défavorables? Ils seraient le produit du découragement d’une époque… Une manière de réalisme et le sauve qui peut autour des élus, quitte à voir se rétrécir à chaque élection leur nombre, cela permet une survie de ceux qui sont en place jusqu’à la retraite. Il y a ça et la vente location du patrimoine accumulé par le PCF. Il était énorme, rien que Draveil et Bazainville, le manoir XVIIIe siècle où Maurice Thorez a fini ses jours représentent des sommes fabuleuses.

Il y a une autre interprétation, la CIA qui a accompli avec l’aide de Gorbatchev et Eltsine, la fin de l’URSS, ne pouvait pas laisser en l’état les plus grands partis de l’ouest de l’Europe. C’est mon interprétation. Pourquoi le cacherais-je? L’histoire et les archives trancheront. Avant cette “révélation”, je pense que cela devrait donner simplement matière à réflexion sur les forces et faiblesses des partis “léninistes”. S’ils représentent à ce jour le meilleur outil de combat contre le capital, ils ont incontestablement un talon d’Achille: comment un parti composé de militants d’un haut niveau politique peut-il laisser s’installer à sa tête des gens qui n’ont plus rien de communiste et par “esprit de parti” se montrer incapables de les déloger? En ce sens le 38e congrès a été une agréable surprise, mais l’appel à l’unité a freiné l’élan et créé les conditions d’une direction bicéphale aujourd’hui à l’oeuvre pour poursuivre la destruction.

Ce qui est extraordinaire c’est que ce parti survive à de telles directions et une telle auto-destruction dans une période aussi peu favorable, mais que le souvenir de ses mérites, de ce qu’il a représenté de conquêtes sociales soit si fort dans notre peuple, que l’image du militant soit si respectée que partout où les communistes se battent ils obtiennent des résultats. Comme je l’ai dit un jour et l’image a fait flores, chaque français a dans sa poche une carte du PCF, celle de la sécurité sociale. Aujourd’hui tout ce qui résiste en matière de service public est plus ou mois lié à ce qui grâce au programme de la résistance et aux ministres communistes a été mis en place à la libération.

Partout où des communistes agissent encore, avec leur solidarité, leur dimension de classe ils arrivent à rassembler. Ils sont le visage du désintéressement. Ils sont affaiblis, effacés mais ils ne sont pas méprisés comme les autres. Regardez malgré la dérive de l’Humanité les titres de presse des communistes d’antan sont encore un patrimoine collectif dont la droite veut s’emparer. Arnal, le créateur de Pif le chien, de la guerre d’Espagne au camp de concentration de Matauhausen, est encore une valeur. Une marque qui a survécu à trois directions de liquidateurs.

Mieux, au moment où il va fêter son centenaire, le PCF est le seul parti qui n’a pas eu à changer de nom. Mais là aussi ce n’est pas faute d’avoir été sollicité par les dites directions: en finir avec la marque tout en l’utilisant pour ses propres intérêts et sournoisement disqualifiant ce passé comme le font les capitalistes… et le PCF a survécu à tout cela…

C’est de ce constat qu’il nous faut partir, ne sous estimons pas ce parti et ce qu’il représente.

Revenons donc aux propositions de Melenchon… Là encore il faut regarder le fond et ce qu’elles signifient.


Personnellement croyez-le bien je n’ai aucune antipathie pour Melenchon, ce n’est pas lui que je blâme, lui il n’a jamais caché qui il était, ni son passé de lambertiste, le courant du trotskisme le plus anticommuniste, le plus sectaire, ni sa fidélité à Mitterrand le liquidateur du PCF et par la même occasion du parti socialiste. Il a des qualités intellectuelles indéniables, et témoigne parfois au plan international d’un courage dont n’ont plus la moindre idée nos “rois fainéants”. Et j’ai considéré comme un signe de faiblesse la haine que lui manifestaient ceux qui s’estimaient dupés par lui alors qu’ils ne l’avaient été que par eux-mêmes. J’ai apprécié que Fabien Roussel ne joue pas ce petit jeu là, qu’il soit correct avec le monde politique et singulièrement avec les autres forces de gauche en tenant compte des nécessaires combats communs.

Si pourtant j’ai toujours choisi le PCF, même flanqué de ses directions de rois-fainéants, c’est parce que le PCF ne se limite pas ni à Robert Hue, ni à Marie Georges Buffet, ni Pierre Laurent et qu’il existe aujourd’hui un Fabien Roussel, avec lequel je n’ai aucune accointance personnelle mais qui représente néanmoins ce qui rend ce parti différent des autres. En lui demeure ce lien privilégié avec les couches populaires, la classe ouvrière, mais aussi la nation qui ne se comprend que dans l’internationalisme.

[...]

La suite sur le blog de Danielle Bleitrach :

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18 décembre 2020 5 18 /12 /décembre /2020 18:14

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Et la réponse de Laurent Brun

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30 janvier 2020 4 30 /01 /janvier /2020 16:36

Cet article est reposté depuis Le blog de Pcf - Plateau Est de Rouen.

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