Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
En 2024, les 40 plus grosses entreprises françaises ont distribué un montant jamais vu de dividendes, estimé à 98,2 milliards d’euros, en dépit de résultats parfois en baisse.
Dans ce monde en constante ébullition, il est des vérités rassurantes qu’il convient de souligner. Celle-ci, par exemple : chaque année, les actionnaires du CAC 40 s’enrichissent davantage, et c’est même une constante depuis 2018 (à l’exception de 2020, Covid oblige). Selon les derniers chiffres de la lettre spécialisée Vernimmen, les plus grosses entreprises françaises ont distribué 98,2 milliards d’euros en dividendes et rachats d’actions, soit un nouveau record après celui de 2024 (97,2 milliards).
En 2024, les 40 plus grosses entreprises françaises ont distribué un montant jamais vu de dividendes, estimé à 98,2 milliards d'euros, en dépit de résultats parfois en baisse. ...
Les entreprises du CAC 40 ont versé 72,8 milliards de dividendes en 2024. Si l'on rajoute les rachats d'actions, près de 100 milliards d'euros ont été rendus aux actionnaires. Ce niveau jamais ...
Bien sûr, pour en finir avec l'inflation il faudrait sortir de ce système et rompre avec le capitalisme. Pour autant, dans l'intérêt immédiat des salariés et des familles en France, la bataille des salaires et du pouvoir d'achat est indispensable. Et dans le coeur de ce combat grandissent, et la conscience de la nocivité du système, et la force du camp du travail.
La CGT propose des axes de luttes en ce sens. La revalorisation des salaires au-dessus de l’inflation, le retour à l’échelle mobile des salaires, le blocage du prix de l’énergie et des biens de première nécessité. Solidaires réclame également l’augmentation automatique de nos traitements en fonction de l’augmentation des prix et le blocage des prix des produits de 1ère nécessité.
YG
Avec l'inflation, certains Français sont contraints de réduire leurs achats alimentaires. iStock
Ces mastodontes méconnus du public ne sont pas seulement des intermédiaires sur les marchés financiers : ils possèdent des terres, fournissent semences et engrais aux fermiers, achètent leurs céréales puis les transportent par bateaux, les stockent, et les revendent. AFP / CLAIRE MORAND / AFP / STRINGER / AFP / RONALDO SCHEMIDT
Les prix de l'alimentation n'ont jamais été aussi hauts depuis les années 80, contraignant certains Français à supprimer un repas dans la journée. Si la hausse des prix de l'énergie, du transport, des intrants agricoles... explique en partie l'inflation alimentaire, plusieurs études montrent que l'augmentation des marges des géants de l'agroalimentaire gonfle aussi l'addition.
C’est une inquiétante réalité. Selon un nouveau sondage Ifop dédié à la précarité alimentaire et commandée par la Tablée des chefs, 79% des Français ont réduit leurs achats alimentaires. L’enquête, menée auprès de plus de 1 000 personnes, montre ainsi que la moitié des sondés (53%) affirment avoir réduit les portions, la quantité des repas, quand 42% sont contraints de supprimer certains repas comme le petit-déjeuner ou le dîner en raison de la hausse des prix de l’alimentation. "Si nous constatons depuis un certain temps un arbitrage entre besoins essentiels et loisirs, il apparait aujourd’hui que les populations modestes aient désormais à faire des concessions sur leurs habitudes alimentaires", note l’institut.
Les prix de l'alimentation n'ont jamais été aussi hauts depuis les années 80, contraignant certains Français à supprimer un repas dans la journée. Si la hausse des prix de l'énergie, du tran...
Taxe sur les superprofits, sécurité sociale de l'alimentation, politique agricole commune (PAC) : pour EURACTIV France, Nicolas Girod, revient sur les positions du syndicat paysan en pleine crise...
Ces entreprises, qui dominent les chaînes d'approvisionnement alimentaires mondiales depuis des décennies, ont réalisé des profits records en 2022 grâce à l'envolée des cours. Elles sont qua...
Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire (à droite) et le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux (à gauche), le 30 août 2022 à Paris. (ERIC PIERMONT / AFP) - Les superprofits ... Bruno Lemaire" ne sait pas ce que c'est" ... Et le président du Medef ajoute "le plus grand super profiteur", "c'est l'Etat." Questions : des superprofits pour combien d'actionnaires ? Des recettes fiscales pour combien de Français, pour combien d'hôpitaux, combien d'écoles ?
jeudi 8 septembre 2022 par Guillaume Bernard
Emmanuel Macron l’a annoncé : dans ce contexte d’explosion des prix de l’énergie et des profits de certaines multinationales, il ne taxera que les « bénéfices indus ». Et si ce qualificatif cachait juste la volonté de soustraire à la taxation la plupart des entreprises qui profitent de la crise ?
Il est bien évident que le gouvernement ne fera rien qui nuise aux actionnaires. La seule solution étant la lutte résolue anti-capitaliste !(JP-ANC)
Nous ne sommes qu’au début du feuilleton des superprofits, mais déjà les rôles sont bien campés.
D’un côté, en la personne du ministre de l’économie Bruno Le Maire : la droite du gouvernement.
De l’autre, présentée comme telle du moins, sa gauche : la première ministre Elisabeth Borne.
Le premier rassure son auditoire lors de l’université d’été du MEDEF. Il « ne sait pas ce qu’est un superprofit ». Alors, forcément, il est bien impossible qu’il taxe quoi que ce soit.
La seconde, elle, ménage davantage son opposition et louvoie dans une interview donnée au Parisien. Elisabeth Borne ne veut pas « fermer la porte » à une taxation des « superprofits ». Le jeu du bon flic et du méchant flic aurait pu durer longtemps si un troisième protagoniste n’était intervenu pour y mettre fin.
Il s’agit bien-sûr d’Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron l'a annoncé : dans ce contexte d'explosion des prix de l'énergie et des profits de certaines multinationales, il ne taxera que les " bénéfices indus ". Et si ce qualificatif cac...
Tant qu’il y a du profit et du super profit à engranger, y’a de la vie ! Pour les bénéficiaires bien sûr ! Ils ne sont qu’une poignée dans le monde mais leur pouvoir a été propulsé et démultiplié grâce à des alliés de poids, en premier desquels figure l’Union européenne. Cet organisme supranational tient d’une main de fer les rênes du règne néolibéral sur les 27 pays qu’elle soumet sans vergogne. Une Union européenne qui manie avec succès (jusqu’alors) le chaud et le froid, le double discours. Une Union européenne qui agit cependant au nom d’une seule foi, avec ardeur : la mise en concurrence des activités de tous les secteurs, la mise sur le marché de toutes les activités. La production et la distribution de l’électricité ne lui ont pas échappées. Au nom de la rupture avec les « monopoles » (publics), l’Union européenne a brisé, entre autres, le service public de l’énergie français. Bien sûr cela ne s’est pas fait en un jour. L’UE maîtrise aussi le temps à moyen terme. Ainsi, après des années de déclarations, de pilonnage médiatique, de directives, de traités de libre-échange, l’UE a sacrifié EDF. Ses arguments ? Les mêmes que pour France Télécom ou La Poste : la concurrence est une « valeur » de l’UE, l’européanisation engendrera une baisse des prix pour les consommateurs… Plouf ! Le bec dans l’eau ! La vérité des prix est là, désormais bien nette, bien claire, dramatique et mortifère : les marchés dictent les prix, investissent, spéculent, se font un pognon de dingue, quitte à mettre en péril les conditions de vie de millions de personnes et déstabiliser les activités des entreprises de production. Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi les gouvernements successifs français ont-ils accepté de tuer EDF, un grand service public de l’énergie profitable et efficace ? N’ont-ils qu’un petit pois dans le cerveau ? Sont-ils à ce point frappés de débilité, de cécité ? Ou sont-ils complices, responsables et coupables ?
Tant qu'il y a du profit et du super profit à engranger, y'a de la vie ! Pour les bénéficiaires bien sûr ! Ils ne sont qu'une poignée dans le monde mais leur pouvoir a été propulsé et dému...
Le projet de parc éolien en mer ( offshore dans la langue dominante ) est gigantesque. Au moment même où les premières fondations arrivent sur le site de Fécamp, le constructeur choisi pour la construction des éoliennes et qui a implanté une usine au Havre, Siemens Gamesa, envisage de supprimer 2500 emplois. Dans quelle mesure le site du Havre est-il concerné ? Ces projets d'éolien en mer sont titanesques. Les multinationales choisies pour mener à bien ce projet d'intérêt public, dans un contexte de crise mondiale et de pénurie de matériaux, seront-elles à même de mener jusqu'au bout le projet dans lequel elles se sont engagées ? Dans le monde capitaliste, le profit est roi. Et c'est sur la base de profits jugés insuffisants par les actionnaires que Siemens Gamesa envisage de licencier 2500 salariés.
MADRID/FRANCFORT (Reuters) - Siemens Gamesa envisage de supprimer environ 2.500 emplois, soit près de 9% de ses effectifs, dans le cadre de ses efforts pour renouer avec la rentabilité, ont indiqué
Siemens Gamesa a lancé la fabrication des nacelles et pales d'éoliennes offshore dans sa nouvelle usine du Havre. C'est la première installation au monde à regrouper sous un même toit la fabri...
Ou comment continuer de se gaver expliqué aux enfants
La nouvelle est tombée entre deux commentaires le groupe Orpéa englué dans la gestion ignominieuse de sa pompes à profits a annoncer que Directeur était virté et qu'un nouveau président du CA était nommé. Pas un mots sur les dividendes perçu grâce à l'exploitation de la dépendance des personnes agées. Pour ne pas trop se salir la
"Il y a un conflit d’intérêts entre ce qui est bon pour le public et ce qui est bon pour Facebook, explique Frances Haugen. Le groupe choisit de privilégier son intérêt à lui, c’est-à-dire faire plus d’argent."
Sur France TVinfo
Frances Haugen, ex ingénieure chez Facebook et lanceuse d'alerte - L'argent, l'argent, c'est ce qui est bon pour Facebook
J’ai tout compris sur Facebook quand il m’a exclu pour huit jours pour pornographie à cause d’une image tirée d’un film de l’austère Bela Tarr alors que ce réseau “social” laissait se développer, mieux encourageait des dialogues immondes de stupidité et de vulgarité sur des sujets que l’on pouvait estimer secondaires comme le port du voile, le féminisme limité au bon usage du clitoris, le caractère prophétique du professeur Raoult, le vaccin avec le passe sanitaire et l’utilisation des prénoms étrangers. "Les pour - les contre" s’engouffrant dans les sujets avec une égale obsessionnelle véhémence. La seule question étant de savoir si la censure était fait de hasard ou voulue, il semble bien que ce soit le cas. Non seulement "Pandora papers" montre que les riches font sécession et s’abstraient de notre monde, mais il semble qu’ils font tout pour que nous nous entre-déchirions et nos adolescents sont une cible privilégiée, ça va sans doute avec “le jeunisme”proclamé comme le seul droit à la vie. (note de Danielle Bleitrach)
L’ancienne employée a révélé des documents internes accablants prouvant que Facebook sait très bien tout le mal que peut faire le réseau social. Après un témoignage sur CBS, Frances Haugen doit être entendue au Sénat américain ce mardi 5 octobre 2021. [... ]
J'ai tout compris sur facebook quand il m'a exclu pour huit jours pour pornographie à cause d'une image tiré d'un film de l'austère bela tarr alors que ce réseau "social" laissait se développe...
Cinq mois après avoir quitté le groupe, cette lanceuse d'alerte témoigne pour la première fois à visage découvert, dans une interview sur CBS et devant une commission parlementaire. Elle esp...
Seule usine en France à produire du papier journal 100% recyclé et pionnière dans l'économie circulaire, Chapelle-Darblay est un fleuron de l'industrie de demain. Pourtant, dans le seul but d'accroître ses profits, le groupe finlandais UPM a décidé de fermer l’usine, sans la mettre en vente, afin de pouvoir la démanteler...
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Parce que s’il n’y a pas de repreneur avant le 15 juin pour l’ensemble de l’activité de Chapelle-Darblay, l’usine fermera définitivement ses portes. Ce sera la perte d’un savoir-faire unique et d’une activité qui ont fait prospérer la région depuis près de 100 ans. Il y a quelques mois encore, ce sont plus de 200 personnes qui travaillaient sur le site et 567 emplois indirects qui en dépendaient !
Parce que Chapelle-Darblay a déjà les deux pieds dans le monde d'après. Avec son raccordement au rail et son accès à la Seine, l’usine récupérait annuellement 350 000 tonnes de papiers, soit l’équivalent du geste de tri de 24 millions de personnes. Elle produisait 240 000 tonnes de papiers recyclés par an, soit l’équivalent de 50% de la consommation française de papier journal. L’usine possède également une chaufferie biomasse capable de chauffer l’équivalent d’une ville de 20 000 habitants, ainsi qu’une station d’épuration pouvant subvenir aux besoins de 400 000 habitants. Elle est la démonstration qu’on peut concilier industrie et préservation de l’environnement.
Seule usine en France à produire du papier journal 100% recyclé et pionnière dans l'économie circulaire, Chapelle-Darblay est un fleuron de l'industrie de demain. Pourtant, dans le seul but ...
« Le Capital a horreur de l’absence de profit. Quand il flaire un bénéfice raisonnable, le Capital devient hardi. A vingt pour cent, il devient enthousiaste. A cinquante pour cent, il est téméraire. A cent pour cent, il foule aux pieds toutes les lois humaines et à trois cent pour cent, il ne recule devant aucun crime. » Karl Marx, Le Capital, Livre 1, chapitre 22.
Une analyse marxiste est tout sauf "complotiste"
Identifier les conflits d’intérêt et les trafics d’influence qui traversent une crise donnée, qu’elle soit sanitaire, économique, géostratégique, environnementale, ce n’est pas verser dans le « complotisme ». Nul besoin d’imaginer la création délibérée d’un virus de synthèse pour s’expliquer que Big Pharma génère des plus-values exceptionnelles ou que les Etats capitalistes réduisent drastiquement nos droits démocratiques.
Au contraire, reconnaître que tout « accident » de l’histoire peut être pour la chaîne impérialiste mondiale agonisante l’opportunité d’une résurrection, d’une chasse au profit maximal inespérée, c’est articuler le « hasard et la nécessité » dans la très sinueuse lutte de classe internationale. C’est renouer avec une vision dialectique et matérialiste dans l’histoire, qu’on a tant décrié jadis.
Le capital n’a pas orchestré dans l’ombre la crise de 1929 pour soumettre une bonne partie des peuples européens au fascisme dans les années trente. Il a été frappé d’une crise congénitale, surgissant aussi sûrement qu’un tremblement de terre imminent dans une région sismique trop longtemps paisible, mais toujours au moment où l’on s’y attend le moins… Après la crise de 1929, le capital s’est adapté en cherchant à faire payer la crise aux travailleurs, quel qu’en soit le coût social. Le fascisme est la forme terroriste que prend le capital quand, touché mortellement, il prend peur et dissimule son désarroi stratégique (intimement lié à l’anarchie de la production qui le fonde) sous une politique de violence sociale tous azimut.[...]
" Le Capital a horreur de l'absence de profit. Quand il flaire un bénéfice raisonnable, le Capital devient hardi. A vingt pour cent, il devient enthousiaste. A cinquante pour cent, il est témér...
Le virus du complotisme est-il chinois ou russe ? ... se demandent les anti-complotistes
Et ça ? C'est complotiste ?
Bizarre, bizarre, comme c'est bizarre ...
ou : C'est vraiment trop beau pour être vrai !
Extrait d'une émission de France Inter
"Il ressort également de cette étude une résistance au complotisme chez les Français qui ont voté Emmanuel Macron à la présidentielle de 2017, tandis que l’électorat de Jean-Luc Mélenchon, de Marine Le Pen ou de Nicolas Dupont-Aignan serait davantage sensible aux théories conspirationnistes."
Pour disqualifier et déconsidérer toute tentative de critique de l’ordre établi, de leurs institutions néolibérales et de leur domination économique et sociale sur nos vies, les bourgeois – via les journalistes, éditorialistes, intellectuels acquis à leur cause – accusent leurs détracteurs de “complotisme”… Vous les avez sûrement déjà vus, lus ou entendus. Des reptiliens au
Les investissements de millions de dollars de US-Aid contre Cuba sont révélés La Havane, 18 février (Prensa Latina) Le gouvernement cubain a dévoilé aujourd'hui des données révélant les plans de l'Agence américaine pour le développement international...
Le Vendredi 21 février à 17H00 à Tulle salle Latreille-bas aura lieu une rencontre-échanges avec Béatrice ORES Son objet : la nécessaire déconstruction de l'amalgame antisionisme = antisémitisme, Béatrice ORES est co-autrice de l'ouvrage « Antisionisme...
Edition de mardi 20 février 2018 de il manifesto Prémonitoire ...
L’OTAN a déjà voté, avant nous I l y a un parti qui, même s’il n’apparaît pas, participe de fait aux élections italiennes : le Nato Party, formé par une majorité transversale qui soutient...
Carte des sondages pour les prochaines élections avec en bleu l'AfD Certains sondages font du parti néofasciste Alternative pour l’Allemagne (AfD), avec quelque 19 % des intentions de vote, le second parti allemand derrière la droite (CDU). En regardant...
Europe de la défense ? Les forces de l'OTAN ... Blindés américains débarquant en Pologne en 2017 avec 3000 soldats américains ... La Communauté européenne de défense ... Un projet atlantiste financé par les Européens ?
« L’Europe de la Défense » est...
L'Unicef condamne l'offensive israélienne contre la Cisjordanie 14 février 2025 CST02:54 (GMT) -0500 Photos : www.unicef.org Ramallah, 14 février (Prensa Latina) Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) a critiqué aujourd'hui l'offensive militaire...
E ntre début 2020 et fin 2023 (derniers chiffres disponibles), les groupes du CAC 40 ont engrangé 486 milliards d’euros de profits. C’est 333 millions d’euros par jour, un milliard d’euros tous les trois jours. Après le ralentissement de 2020 dû aux confinements...