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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
5 février 2007 1 05 /02 /février /2007 20:13

Le Pen, Sarkozy, Royal sont redevables de l’impôt sur la fortune.  Riches, sont-ils les mieux placés pour connaître les besoins des gens aux fins de mois difficiles et trouver des remèdes à la précarité et au chômage ?

Le Pen, Sarkozy et Royal s’engagent, la main sur le cœur, à réduire la fracture sociale face à l’explosion des inégalités.  Fait-il les croire quand aucun d’entre eux ne se propose de taxer les profits des grandes entreprises et de la finance ?  Dans ce cas qui va payer ?  Alors la fracture sociale ne risque-t-elle pas de se creuser ?

Le Pen, Sarkozy, Royal n’ont pas un mot pour s’opposer aux délocalisations, aux privatisations, à la mise à mal des services publics.  Sont-ils crédibles quand ils promettent la baisse du chômage, des moyens pour :l’éducation, les transports ou la santé ?

Et pourtant tous trois sont donnés favoris par les médias pour le second tour des élections présidentielles.  Est-ce à croire que ça n’est pas l’opinion publique qui fait les sondages mais plutôt les sondages qui font l‘opinion publique ?

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commentaires

E
Vous lirez, ci-dessous, une lettre ouverte adressée par un militant communiste à la candidate de la "gauche populaire et anti-libérale" à l'élection présidentielle =>Chère camarade Marie-George, Je viens de lire ton appel "pour un sursaut à gauche". Je ne t'apprendrai probablement pas qu'à sa lecture, parmi ce qu'il reste de l'électorat du PCF, il en est qui vont comprendre que pour éviter le danger de droite, il ne leur reste plus qu'à voter PS dès le premier tour. Est-ce l'objectif ? Comme la majorité de nos concitoyens, tu sais que l'élu de cette présidentielle, quel que soit son sexe, qu'il soit de droite ou de gauche, a déjà fait le choix du capital contre le travail. Malgré l'explosion des profits, malgré les 100 milliards de bénéfice des entreprises du CAC, tous les présidentiables refusent l'augmentation immédiate du SMIC à 1.500 euros ; tous sont sourds à ce peuple qui demande de quoi vivre, se loger, se soigner, travailler, étudier. Dans ces conditions, qui peut s'étonner que, parmi les électeurs estimant qu'il n'y a plus que par la rue que l'on pourra améliorer l'existence, certains se demandent si, pour les luttes de demain, l'intérêt n'est pas d'élire un président qui leur paraît "faible", Bayrou en l'occurence ? Sans doute n'ont-ils pas remarqué que déjà, au PS, il en est qui s'agitent pour gouverner avec lui. Dans cette élection dont le résultat est connu d'avance, où, comme pour le Traité constitutionnel européen, les médias ont depuis longtemps choisi à la place des électeurs, alors que l'expérience de nos concitoyens les a conduit à la défiance de la gauche, n'y a-t-il rien de neuf à proposer à celles et ceux qui, le 29 mai 2005, ont su mettre en échec la nouvelle phase de l'Europe du capital, à cette classe ouvrière qui se bat contre la casse boursière de la France, à la jeunesse qui s'est mobilisée contre le CPE et à celle dont la désespérance à mis le feu aux banlieues ? Qu'est-ce qui pourrait changer la donne, sinon une utilisation insurrectionnelle du bulletin de vote ? Aux électrices et électeurs à qui l'on demande de choisir à quelle sauce ils vont être mangés, ne faut-il pas proposer de crier haut et fort qu'ils refusent d'être mangés ? Je te prie de croire, chère camarade, à mes sentiments communistes. Jean-François A. Si vous souhaitez contacter ce camarade,passez par mon blog. EL DIABLO. http://eldiablo.over-blog.org
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E
Vous lirez, ci-dessous, une lettre ouverte adressée par un militant communiste à la candidate de la "gauche populaire et anti-libérale" à l'élection présidentielle =>Chère camarade Marie-George, Je viens de lire ton appel "pour un sursaut à gauche". Je ne t'apprendrai probablement pas qu'à sa lecture, parmi ce qu'il reste de l'électorat du PCF, il en est qui vont comprendre que pour éviter le danger de droite, il ne leur reste plus qu'à voter PS dès le premier tour. Est-ce l'objectif ? Comme la majorité de nos concitoyens, tu sais que l'élu de cette présidentielle, quel que soit son sexe, qu'il soit de droite ou de gauche, a déjà fait le choix du capital contre le travail. Malgré l'explosion des profits, malgré les 100 milliards de bénéfice des entreprises du CAC, tous les présidentiables refusent l'augmentation immédiate du SMIC à 1.500 euros ; tous sont sourds à ce peuple qui demande de quoi vivre, se loger, se soigner, travailler, étudier. Dans ces conditions, qui peut s'étonner que, parmi les électeurs estimant qu'il n'y a plus que par la rue que l'on pourra améliorer l'existence, certains se demandent si, pour les luttes de demain, l'intérêt n'est pas d'élire un président qui leur paraît "faible", Bayrou en l'occurence ? Sans doute n'ont-ils pas remarqué que déjà, au PS, il en est qui s'agitent pour gouverner avec lui. Dans cette élection dont le résultat est connu d'avance, où, comme pour le Traité constitutionnel européen, les médias ont depuis longtemps choisi à la place des électeurs, alors que l'expérience de nos concitoyens les a conduit à la défiance de la gauche, n'y a-t-il rien de neuf à proposer à celles et ceux qui, le 29 mai 2005, ont su mettre en échec la nouvelle phase de l'Europe du capital, à cette classe ouvrière qui se bat contre la casse boursière de la France, à la jeunesse qui s'est mobilisée contre le CPE et à celle dont la désespérance à mis le feu aux banlieues ? Qu'est-ce qui pourrait changer la donne, sinon une utilisation insurrectionnelle du bulletin de vote ? Aux électrices et électeurs à qui l'on demande de choisir à quelle sauce ils vont être mangés, ne faut-il pas proposer de crier haut et fort qu'ils refusent d'être mangés ? Je te prie de croire, chère camarade, à mes sentiments communistes. Jean-François A. Si vous souhaitez contacter ce camarade,passez par mon blog. EL DIABLO. http://eldiablo.over-blog.org
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E
Salut et fraternité aux camarades d'Action communiste.
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