Au nom de l'écologie, de la transition énergétique, et du réchauffement climatique, la direction de Renault veut dégrader les conditions de travail des salariés et fait peser l'inquiétude sur les emplois du groupe en France.
Déjà les salariés connaissent des journées de chômage technique et de chômage partiel du fait du manque d'approvisionnement en matériel nécessaire. Celui-ci est en effet fabriqué à l'étranger. Cela contraint Sandouville et donc Renault Cléon à ralentir la production. Vive la mondialisation !
Leur colère est forte et sera d'autant plus forte quand ils verront que le groupe semble bien se porter. En effet sur Boursier.com, on pouvait lire ce soir :
Extraits d'Ouest France
À l’appel de la CGT et de la CFDT, les salariés de Renault à Cléon (Seine-Maritime) ont débrayé jeudi 4 novembre 2021. Un nouvel appel a été lancé pour le 18 novembre. Objectif : dénoncer le plan de compétitivité du groupe et des suppressions de postes.
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2 000 emplois supprimés au plan national, selon la CGT
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Jeudi, les manifestants dénonçaient par ailleurs la suppression du paiement de la pause quotidienne de vingt minutes pour les intérimaires et futurs embauchés, soit environ 80 € par mois pour les plus bas salaires.
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Renault Cléon : l'inquiétude des salariés face à la transition vers l'électrique
C'est la quatrième mobilisation depuis un mois, à l'appel de la CGT Renault-Cléon, les salariés sont appelés à manifester ce 4 novembre 2021 contre l'accord mis en place par la direction. Dan...
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