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Éric Bocquet intervenait dans le débat sur la moralisation de la vie publique.
Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
– D’abord, expliquez-nous ce qu’est ce « verrou de Bercy ».
« C’est une mesure qui a été mise en place peu de temps après la création de l’impôt sur le revenu, au début du siècle dernier, afin de protéger le citoyen des excès de l’administration en termes de contrôles. Avec le recul, c’est étonnant ! Mais soyons francs : il y a dix ans, personne n’en entendait parler. Moi, j’ai découvert cela en arrivant au Sénat : c’est le ministère qui décide si on traque ou pas. Et pas la justice ! Ensuite, c’est surtout avec Cahuzac, qu’on en a beaucoup parlé. On s’est aperçu que le ministre était le seul à pouvoir décider s’il fallait qu’on le poursuive… » [...]
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