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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
22 juin 2017 4 22 /06 /juin /2017 14:53
L’autorité de régulation met à nu les abus des concessionnaires autoroutiers

par Olivier Petitjean

La privatisation des autoroutes françaises continue à faire parler d’elle. Depuis 2005, les trois sociétés concessionnaires - Vinci, Eiffage et Abertis - sont vertement critiquées pour les profits qu’elles accumulent, sans véritable contrepartie. Aujourd’hui, c’est au tour de l’Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) de dénoncer les manipulations des trois multinationales dans le cadre du dernier plan autoroutier : un tiers des investissements annoncés seraient inutiles ou déjà comptabilisés dans les plans précédents, et les chantiers restants auraient été confiés à leurs propres filiales de BTP à un coût largement supérieur à celui du marché.

Les autoroutes françaises avaient été données en concession en 2005 à trois multinationales du secteur du BTP, les françaises Vinci et Eiffage et l’espagnole Abertis. Pour faire taire les polémiques à répétition sur les hausses des tarifs, les profits excessifs des concessionnaires et l’opportunité de renationaliser ces infrastructures, le gouvernement de Manuel Valls avait opté pour le lancement d’un énième plan autoroutier, autorisant de nouvelles augmentations des péages en échange d’investissements réels de la part des firmes concernées (lire notre enquête : Investissements autoroutiers : de maigres créations d’emplois, un gros enrichissement des actionnaires).

[...]

Lire la suite ci-dessous :

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