Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.
/https%3A%2F%2Fci3.googleusercontent.com%2Fproxy%2Fmv28-ju8lnfy9VoQIvjht3XdYe5_iECm-dqwoKLlWWwXbfZRW4yp47iiQ5tnVNICGzO4NCX64NcsNsXbb6AsEp-dbfgg7Qo1odiwOAJVCZIkngvddlfart-sv4vavX3db7gfH8ukjJNNW8f6rAiilE448hR7P8KZZBSfQisgW3L37xbzoQiSgC-94VElh5cfiE9gAMJKfUV0nMky_KKlNLT9OjmL%3Ds0-d-e1-ft%23http%3A%2F%2Fs2.lemde.fr%2Fimage%2F2017%2F04%2F26%2F534x0%2F5117790_7_9f69_2017-04-25-5720c35-f9740c118f694959b8fc8b5917ecc_d5a1037f7b9bf24affe7005762a18a69.jpg)
Dans un entretien au « Monde », le géographe estime que le vote en faveur du candidat du mouvement En marche ! est l’expression du repli des gagnants de la mondialisation, insensibles aux difficultés rencontrées par les classes populaires. LE MONDE | 26.04.2017 Propos recueillis par Marc-Olivier Bherer Christophe Guilluy est géographe. A travers différents ouvrages, dont Fractures frança