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Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
A droite toute !
Pilonnage massif
et petits pillages entre amis.
Les droites affichées en campagne.
Pour introduire ce qui suit, une longue citation de Michelet dans son histoire de la Révolution française exposant ce que devint la France quand la bourgeoisie réussit à faire tomber Robespierre :
« Respirons, détournons les yeux. “A chaque jour suffit sa peine”. Nous n’avons pas ici à raconter ce qui suivit, l’aveugle réaction qui emporta l’assemblée et dont elle ne se releva qu’à peine en vendémiaire. L’horreur et le ridicule y luttent à force égale. La sottise des Lecointre, l’inepte fureur des Fréron, la perfidie mercenaire des Tallien, encourageant les plus lâches, une exécrable comédie commença, d’assassinats lucratifs au nom de l’humanité, la vengeance des hommes sensibles massacrant les patriotes et continuant leur œuvre, l’achat des biens nationaux. La bande noire pleurait à chaudes larmes les parents qu’elle n’eut jamais, égorgeait ses concurrents, et surprenait des décrets pour acheter à huis clos. Paris redevint très gai. Il y eut famine, il est vrai, mais le perron rayonnait, le palais-royal était plein, les spectacles combles. Puis, ouvrirent ces bals des victimes, où la luxure impudente roulait dans l’orgie son faux deuil. »
Cela pour vous parler de 2022.
Après avoir dû subir (et ce n'est pas terminé) le pilonnage médiatique où 0.18% de la population ultra-ciblée et mobilisée donnent le ton, le volume et l'orchestration de la symphonie concertante des programmes, nous en arrivons maintenant à ce quatuor pour instrument à vent fétides où chaque instrumentiste tente de couvrir la partie des trois autres.
95% des médias écrits et audiovisuels quadrillant ce jardin des plantes méphitiques pour nous faire croire à une sorte d'écologie de la haine et la régression sociale.
Les membres de ce quatuor au delà de la dissonance voulue jouent en un canon fusionnel la même partition.
Un député LR petit marquis du Ciottiland (Aubert) bat la campagne pour clâmer combien le programme de Margareth Pécresse est quasi supperposable à celui de Louis Ferdinand Bolloré alors que la fille du borgne factieux se lamente de voir fuir de son panier toute la récolte attendue de ce même jardin qu'elle a si bien cultivé depuis tant de lustres.
[...]
La suite ci-dessous :
A droite toute - Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.
Pilonage massif et petits pillages entre amis. Les droites affichées en campagne. La droite extrème en version tailleur Chanel, hommage discret à l'ex colabo de la rue Cambon. Pour introduire ce...
Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.
QUI SONT DONC LES SPONSORS D'ERIC ZEMMOUR... Comme un parfum d'Emmanuel Macron... Jonathan Nadler , banquier d'affaires chez JP Morgan,coordonne depuis mars dernier le pôle programmatique de la campagne d'Eric Zemmour. Julien Madar, Directeur Général de Checkmyguest. Ancien banquier d’affaire chez Rothschild, Après cela, il a créé une association d’investisseurs (club deal) avec un ami,
Source : Wikipédia - "Il (Zemmour ) Il l’affirme par exemple, en assénant le mensonge historique d’un Pétain ayant protégé les juifs français. " "Non seulement Pétain n’y est pour rien, mais il a au contraire tout fait pour y porter atteinte. Les exemples de cette politique sont multiples à commencer par le statut des juifs de septembre 1940, qu’il promulgua sans demande allemande préalable en l’ayant au passage durci de sa main."
Edité sur le blog "Vu du droit" le 29 Octobre 2021
Le récit historique et son enjeu implicite
Manifestement passionné par l’Histoire Éric Zemmour entretient avec celle-ci des rapports particuliers. Il utilise des connaissances souvent solides et parfois plus approximatives, pour les mettre au service de son idéologie politique. Il est évidemment loin d’être le seul, mais donne souvent l’impression d’un « forçage » dans l’interprétation pour faire coller les faits avec un récit dont il entend tirer des enseignements pour aujourd’hui. Ses récentes approximations concernant les raisons de la chute de l’Empire romain en sont une singulière illustration. Au-delà de la confusion entre Gengis khan et Odoacre, il en donne une version simpliste, anachronique et sur certains points carrément fausse, en prétendant que Rome est tombée pour avoir ouvert ses frontières aux barbares pour des raisons humanitaires ! Vision commode qui permet de renvoyer évidemment à la situation actuelle de l’Europe face au défi migratoire.
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mercredi 3 novembre 2021 par Francis Arzalier, ANC
La marche de l’histoire n’est pas linéaire, et certains philosophes ont pu comparer à une balançoire, qui monte très haut dans le sens des progrès dans un sens, avant de repartir en sens inverse, et de détruire éventuellement ce que les hommes avaient conquis.
Après le temps des Lumières et des Révolutions de la fin du XVIIIème siècle, vint le temps des Restaurations qui prétendait effacer ces vents de libertés et rétablir pour un temps en Europe les Rois, les Seigneurs terriens et les Églises fanatiques.
Au cœur du siècle XX, l’écrasement des Nazismes et Fascismes par les soulèvements des peuples, et l’avancée des Armées Rouges d’Europe et d’Asie, ont permis quelques décennies d’indépendances nationales et de conquêtes sociales. Notre nation Française en avait hérité de services publics et de droits sociaux qui faisaient fort-envie aux démunis d’Afrique.
Puis, insensiblement, et vers la fin du siècle, la balançoire est repartie en sens inverse, avec l’effondrement inouï du " Camp Socialiste ", le démantèlement chez nous des industries et des foules ouvrières, le règne sans partage du " Marché " sur la vie matérielle et les esprits, conditionnés et formatés par les technologies de manipulation.
Nous sommes encore aujourd’hui dans ce retour du balancier qu’on peut qualifier de " Contre-Révolution Libérale ", à la fois économique, sociale, politique et culturelle. Elle est multidimensionnelle, explose depuis trente ans en privatisations, destruction des services publics, inégalités grandissantes, et désarroi croissant de ceux qui n’ont que leur travail pour assurer leurs fins de mois, désemparés par le délitement des organisations de luttes sociales et politiques.
Et les deux années de Covid, en ont aggravé les stigmates.
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La suite sur le site de l'ANC