Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>
Rechercher
Recherche
Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Au nom de l'écologie, de la transition énergétique, et du réchauffement climatique, la direction de Renault veut dégrader les conditions de travail des salariés et fait peser l'inquiétude sur les emplois du groupe en France.
Déjà les salariés connaissent des journées de chômage technique et de chômage partiel du fait du manque d'approvisionnement en matériel nécessaire. Celui-ci est en effet fabriqué à l'étranger. Cela contraint Sandouville et donc Renault Cléon à ralentir la production. Vive la mondialisation !
Leur colère est forte et sera d'autant plus forte quand ils verront que le groupe semble bien se porter. En effet sur Boursier.com, on pouvait lire ce soir :
Renault progresse de 1,80%Par Otto Bott
Extraits d'Ouest France
À l’appel de la CGT et de la CFDT, les salariés de Renault à Cléon (Seine-Maritime) ont débrayé jeudi 4 novembre 2021. Un nouvel appel a été lancé pour le 18 novembre. Objectif : dénoncer le plan de compétitivité du groupe et des suppressions de postes.
[...]
2 000 emplois supprimés au plan national, selon la CGT
[...]
Jeudi, les manifestants dénonçaient par ailleurs la suppression du paiement de la pause quotidienne de vingt minutes pour les intérimaires et futurs embauchés, soit environ 80 € par mois pour les plus bas salaires.
Renault Cléon : l'inquiétude des salariés face à la transition vers l'électrique
C'est la quatrième mobilisation depuis un mois, à l'appel de la CGT Renault-Cléon, les salariés sont appelés à manifester ce 4 novembre 2021 contre l'accord mis en place par la direction. Dans le viseur du syndicat : la mutation des métiers pour la production de moteurs électriques.
C'est la quatrième mobilisation depuis un mois, à l'appel de la CGT Renault-Cléon, les salariés sont appelés à manifester ce 4 novembre 2021 contre l'accord mis en place par la direction. Dan...
La climatologie est une discipline scientifique qu'il est urgent de traiter à nouveau comme telle : en respectant les normes de la rigueur scientifique et en prenant en compte le large spectre de tous les avis critiques. Pascal Acot, historien de l'écologie scientifique et du climat, chargé de recherche honoraire au CNRS, fait le point sur le niveau navrant du débat.
L'hystérie climatomaniaque ne cesse de battre des records : voici maintenant « la fin du monde » souvent évoquée dans la presse, qui se veut désormais capable d'assigner une date à la catastrophe. En ce moment, c'est le XXIIe siècle qui tient la corde. On a même inventé une « science de l'effondrement du monde » : la « collapsologie ». Mais c'est avec la jeune Greta Thunberg (16 ans) que l'on atteint des sommets. Enfant chérie des médias, cette jeune fille inspire dans certains pays avancés la grève « climatique » de nombreux lycéens, dont le niveau de rigueur scientifique laisse pantois. Ainsi, ils fondent leurs certitudes sur une prétendue « unanimité » des climatologues. Or même si cette unanimité était avérée, ce qui est loin d'être le cas, l'argument serait irrecevable car l'unanimité n'a rien à voir avec la vérité. N'est-ce pas Charles Darwin (1809-1882), grand scientifique s'il en fut, qui fit quasiment l'unanimité en affirmant qu'il convenait de placer dans l'échelle des êtres certains « peuples inférieurs » entre les singes anthropomorphes et les êtres humains « civilisés » ?
Greta Thunberg sur le voilier à destination de New-York, mardi 13 aoûtCrédit : Ben STANSALL / AFP
Greta Thunberg devrait retourner à l'école
Notons que le discours habituel de Greta Thunberg est stupéfiant de naïveté. En voici la structure :
1. La science, c'est la vérité.
2. Le discours climatologique du GIEC est le seul à être scientifique donc vrai.
3. Il s'ensuit que les critiques formulées à l'égard du GIEC ne doivent pas être prises en compte puisqu'elles ne sont pas vraies.
Difficile de descendre si bas. Quand tu auras passé ton bac, Greta, tu n'oseras peut-être plus confondre une pétition de principe avec un raisonnement valide.
Jadis en 1425, en Lorraine, Jeanne d'Arc qui avait à peu près le même âge que Greta Thunberg, entendait « des voix ». L'adolescente suédoise, c'est l'invisible qu'elle voit (comme naguère Bernadette Soubirous) : ses capacités hors du commun lui permettraient de percevoir visuellement le CO2 dans l'atmosphère, écrivait fièrement sa mère. Il est sans importance que ces visions soient souvent ravalées au rang de simples métaphores : il suffit de savoir que la voyante extra-lucide a été faite Docteur honoris causa de l'Université de Mons (en Belgique), que son nom est fréquemment cité comme possible Prix Nobel de la Paix et qu'elle navigue en ce moment vers le siège des Nations-Unies sur un bateau « zéro-carbone »... Quelle farce ! Quant aux députés de la République française qui ont récemment assisté à la prestation de l'adolescente, ils ont une fois de plus ridiculisé leur écharpe en reculant dans le spectacle une question qui aurait mérité infiniment mieux.
Pourquoi GIEC ne tient pas compte des climatologues critiques ?
Cela dit, après plus de quinze années de stabilité de la température moyenne sur la Terre (chiffre du GIEC) et après plusieurs scandales qui ont affaibli la crédibilité de cette agence des Nations-Unies, des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent désormais contre les thèses dominantes sur le réchauffement climatique. Il existe une méthode simple pour tester la validité des arguments qui annoncent un réchauffement dramatique causé par les émissions de gaz à effet de serre (GES) d'origine humaine. Il s’agit de poser des questions précises et d'attendre des réponses qui se départiraient des insultes habituelles : les « climato-réalistes » ou « climato-critiques » étant fréquemment traités de « climatosceptiques », de « soutiens de Donald Trump et de Jair Bolsonaro », de « populistes » et même de « négationnistes ».
La première question est celle de la cause des réchauffements climatiques pré-industriels rapides. Ainsi, entre 1550 et 1850, le climat est détérioré par rapport à l’optimum médiéval graduellement installé à partir du XIe siècle. L'expression « Petit âge glaciaire » est souvent utilisée pour qualifier cette période moins clémente que la précédente. Emmanuel Le Roy Ladurie, fondateur majeur de la climatologie historique, a montré que deux réchauffements pré-industriels rapides et provisoires ont marqué le petit âge glaciaire.
Dès lors, pour quelles raisons scientifiques le réchauffement actuel est-il désormais exclusivement attribué aux activités humaines ? Les causes « pré-industrielles » auraient-elles cessé d'agir, et pourquoi ? L'activité solaire a été évoquée, mais la vérification rigoureuse de cette hypothèse est impossible en raison du caractère primitif des technologies d'observations solaires au XVIe siècle. Le volcanisme a également été considéré comme cause de ces réchauffements. Or, en règle générale, les éruptions majeures entraînent un refroidissement (et non un réchauffement) du globe pouvant atteindre plusieurs degrés centigrades. L'hypothèse d'un effet de serrre augmenté par les poussières volcaniques dans la haute atmosphère, phénomène qui serait strictement « naturel », est à ma connaissance ignorée dans les rapports du GIEC.
La seconde question qu'il convient de poser en matière de changement climatique, porte sur le recul spectaculaire des glaciers. Pourtant, les glaciologues considèrent que ce recul est principalement lié au manque de neige hivernal lié à un déficit de pluviosité plutôt qu'à l'augmentation des chaleurs estivales. Dans ce cas, pourquoi avancer exclusivement l'augmentation de la température « moyenne » du globe ? Surtout que le GIEC a retenu le chiffre de 0,7°C en cent-vingt ans (1860-1980), ce qui revient à se tirer une balle dans le pied : ce chiffre dérisoire (puisque l'augmentation est mesurée à partir de la fin du petit âge glaciaire), suffirait-il à expliquer les reculs actuellement constatés ? D'autant que ces reculs sont un simple retour aux langues glaciaires de l'optimum médiéval antérieur.
Pour ce qui concerne les conséquences sur la faune du recul des glaces de l'arctique, il convient de s'abreuver à des sources sérieuses : ainsi, entre 1950 et aujourd'hui, la population des ours blancs est passée de 6 000 à plus de 20 000 individus. On se prend à souhaiter que toutes les espèces en voie de disparition de la planète connaissent une telle réussite populationnelle. On aimerait aussi que les vidéos de vêlages spectaculaires comme celui du glacier d'Illulisat au Groënland cessent de laisser entendre qu'il s'agirait de conséquences inhabituelles du réchauffement : ces extraordinaires vêlages sont observés tous les ans depuis le XVIIIe siècle. J'ai ainsi eu l'occasion d'observer plusieurs effondrements en mer de la langue terminale de ce même glacier, à une époque où le réchauffement climatique était loin d'être à l'ordre du jour médiatique.
Réchauffement d'origine anthropique : pourquoi Le GIEC fuit-il le débat ?
Passons sur le fait qu'un rapport du GIEC (4e rapport, Groupe II, résumé technique, 2007) indiquait que les glaciers de l'Himalaya « pourraient disparaître d'ici 2035, voire avant ». Cette estimation ahurissante pour les glaciologues sérieux fut reprise à la fin de l'année 2009 dans le cadre de la préparation de la Conférence de Copenhague et de sa médiatisation alarmiste du réchauffement climatique. Il fallut attendre janvier 2010 pour que le GIEC reconnaisse son « erreur », liée au fait que les règles de validation des travaux scientifiques n'auraient pas été observées. Quant à l'estimation de la superficie des glaciers himalayens, les chiffres les plus fantaisistes continuent de circuler. Il convient également de noter que le GIEC est maintenant dirigé par le sud-coréen Hoesung Lee, qui n'est pas du tout climatologue, mais économiste et qui a commencé sa carrière en 1975 dans le développement stratégique et la planification des affaires de la compagnie pétrolière Exxon. Rappelons que son prédécesseur, Rajendra Pachauri, était ingénieur des chemins de fer.
La troisième question porte sur la préférence accordée, par les défenseurs de la thèse officielle, au CO2 d'origine humaine (3,6 % seulement des émissions totales de CO2). Ces émissions se répartissent ainsi : 40 % proviennent des océans et 56 % des forêts. A noter que la vapeur d'eau représente 95 % de tous les GES. Enfin, le taux de CO2 dans l'atmosphère existe seulement à l'état de « traces » (0,037 %). Source : Météo-France. Certes, des causes apparemment dérisoires peuvent produire de grands effets mais encore faudrait-il montrer sur quelles bases scientifiquement rigoureuses sont estimés les rejets dûs aux seules activités humaines.
Les questions qui précèdent en soulèvent une autre, qui pèse lourd : comment l'idée d'un réchauffement cataclysmique d'origine anthropique peut-elle avoir tant de succès alors qu'aucune preuve n'a jamais été présentée pour l'étayer, et que les « experts » du GIEC ont depuis toujours balayé d'un revers de main les nombreuses analyses critiques de ce qui pourrait bien devenir un jour un dogme sans fondement ?
Un point pourrait avoir de l'importance : il est impossible d'incriminer les êtres humains dans le processus « naturel » de changements climatiques qui a été mis en évidence pendant les 420 000 dernières années par les carottages du forage de Vostok (1999) en Antarctique (avec, pendant cette longue période, des moments de forte concentration de GES). Si ce processus multimillénaire est encore à l'oeuvre, on ne peut lever la moindre taxe supplémentaire puisqu'on ne taxe pas « la nature ». En revanche, c'est possible dans un cadre climatologique où les activités humaines fortement carbonées sont retenues comme cause majeure du réchauffement actuel, ce qui est aujourd'hui (comme par hasard) le dogme dominant. Demandons-nous pourquoi ?
L'économie verte contre la climatologie critique ?
Un retour sur l'idée d'« d'économie verte » permet de répondre à cette question. Cette idée a été développée par la banque Goldman Sachs qui, a partir de 2002, a investi des milliards de dollars dans les investissements « écologiques ». Cinq ans plus tard, Barack Obama s'en est emparé pour l'intégrer à sa campagne pour la présidence des Etats-Unis, lui donnant ainsi un puissant essor idéologique. Les géants du bâtiment et des Travaux Publics, également champions de l'isolation, se sont alors lancés dans l'aventure afin de profiter de la manne. Le juteux marché des éoliennes, grosses machines à produire peu d'électricité et seulement quand il y a du vent, a également séduit quelques financiers. Et les panneaux photovoltaïques ont été tenus pour prometteurs en matière d'économie verte… jusqu'à ce que la Chine s'empare de 95 % du marché européen. Or l'idée d'économie verte continue à servir de catalyseur idéologique pour « sauver la planète » en laissant espérer au plus grand nombre qu'elle représente la solution miracle aux maux dont souffre la Terre.
L'hystérie médiatique actuelle est donc en train de précipiter le rationalisme dans l'abîme. L'argument des réchauffistes, décliné sous toutes les formes, est toujours le même : « La climatologie, c'est-à-dire le GIEC, a prouvé que le réchauffement climatique actuel est causé par les activités humaines. » Or cette affirmation est un mensonge : le GIEC est loin d'être La Science. Pour mieux servir la cause du réchauffement climatique d'origine humaine, le GIEC a écarté de ses rangs les milliers de climatologues qui s'interrogent sur le bien-fondé du discours climatologique devenu dominant. Ainsi, après que le GIEC eut prédit la fonte imminente des glaciers himalayens sans aucune preuve scientifique sérieuse, il fut accusé non seulement de sensationnalisme par les scientifiques mais aussi par les médias. En février 2010, le Secrétaire général de l'ONU de l'époque, Ban Ki-moon qui, d’après mes connaissances, n’avait aucune compétence scientifique, a envoyé un message au Forum ministériel mondial sur l'environnement à Bali, exhortant ministres et experts de l'environnement présents à ignorer les thèses de ceux qui doutent des dangers du changement climatique : « Dites au monde que vous considérez unanimement que le changement climatique est un danger évident et actuel. »
Le réchauffisme anthropique met la science aux oubliettes
Où est la science dans tout cela ? Aux oubliettes. Ainsi, par exemple, sans remettre en cause le rapport existant entre GES et réchauffement, beaucoup suggèrent que l'augmentation de la température moyenne de l'atmosphère ne serait pas la conséquence de l'augmentation des rejets de GES mais sa cause. Cela mériterait au moins d'être débattu. Mais il est plus facile de psalmodier les mantras de la pensée dominante : d'où le psittacisme actuellement triomphant, avec son cortège d'excommunications et d'insultes.
Comment ne pas voir que ces niaiseries pérennisent l'impérialisme capitaliste actuel qu'on appelle « mondialisation » ? En effet, la charge de la neutralité-carbone des activités humaines incombe principalement à des personnes qui n'ont aucune responsabilité en cette matière : ainsi, « l'empreinte carbone » peut être rigoureusement la même pour un agriculteur bio que pour un membre du conseil d'administration de BP – il suffit de faire le test sur n'importe quel calculateur d'empreinte écologique.
Pendant ce temps, les habitants les plus humbles de l'Europe occidentale paient des taxes « écologiques » supplémentaires, des impôts nouveaux ou de nouvelles taxes à la consommation. Cela permet d'augmenter les cadeaux fiscaux et financiers aux entreprises responsables du chômage de masse qui infeste la vie publique de cette partie du continent européen depuis plus de quatre décennies.
Pascal Acot
Historien du climat
Chargé de recherche honoraire
IHPST-CNRS
Hausse des prix de l'électricité entre 2008 et 2019 - Source : La Marseillaise
Une recension du livre de Marc Fontecave Halte au catastrophisme ! Les vérités de la transition énergétique (Flammarion, 2020) par Françoise Delcelier-Douchin, ingénieur au Centre national d’études spatiales (Cnes).
Une recension du livre de Marc Fontecave - professeur au Collège de France - " Halte au catastrophisme ! Les vérités de la transition énergétique " par Françoise Delcelier-Douchin, ingénieur...
Il ne s'agit pas stigmatiser les uns ou les autres, sachant que des effets de tuilage font que certains se retrouvent dans plusieurs occurrences tant de pour que de contre au milieu de ce qui suit ...
À l'occasion de la journée interpro du 19 mars, la CGT métallurgie a rassemblé les salariés d'Ascoval, Ford Blanquefort, General Electric... devant le siège de l'Union des industrieset méti...
Les exclu.e.s du transport ferroviaire, les entassé.e.s de la ligne13, les trimbalé.e.s sur un réseau routier frappé d'obsolescence apprécieront : pour ces 93, " Les Français manque de pain ? Touchez pas à nos brioches ! "
Pas de nuit du 4 août pour les 93 conjurés de l'incitation sélective.
Quand on dit quatre-vingt treize, les un pensent 9-3 et département, d'autre Victor Hugo et littérature, les branchés média people réacs n'y verront que télé. Un autre concept va pourvoir se rattacher à ce nombre. C'est celui des parlementaires pétitionnaires revendiquant le droit d'user des transports aériens inté
On n'arrête pas de nous parler d'écologie et on remet des cars sur la route. Ça n'a aucun sens.
La ligne des Alpes va-t-elle disparaître ? Hélène Baude soupire à l'évocation de la question. Depuis de nombreuses années, cette habitante de Lus-la-Croix-Haute, dans la Drôme, se bat pour maintenir en vie ces 110 kilomètres de rail qui relient Grenoble à Gap, les Alpes du Nord à celles du Sud. "Si le train est supprimé, je crois que je me barrerai de Lus",assène cette grand-mère de 79 ans aux cheveux dorés. "Et je crois que je ne serai pas la seule."
Assise sur la terrasse d'une jolie maison en bois construite en contrebas de la petite gare aux murs jaunes de Lus, Hélène Baude se souvient des heures passées dans ce TER, et aussi des longues minutes à l'avoir attendu. "Ce train est très important pour moi. Je le prends toutes les semaines pour aller me faire soigner à Gap, voir ma famille, aller au musée ou faire des courses à Grenoble, détaille-t-elle. Quand on a un âge avancé comme moi, c'est essentiel. Cette ligne me relie au reste du monde." [...]
« Bachar a du sang sur les mains, mais pas plus que Bush » : les vérités de Régis Le Sommier
Bachar, Poutine, Trump : les vérités d'un reporter de guerre 🔷 Avec Régis Le Sommier Grand reporter, Directeur de la publication d'Omerta Auteur récemment de...
capture d'écran sur fb
A mon avis, il n'avait pas été aboli. Bon, journalistes et économistes de tout bord, y compris dans la presse dite de gauche, préfèrent parler de libéralisme ou de néo-libéralisme pour qualifier le Capital. Alors que par définition,...
USA : Leonard Peltier enfin libéré de prison Washington, 20 janvier (Prensa Latina) Leonard Peltier, le leader amérindien emprisonné depuis plus de 40 ans, a bénéficié aujourd'hui d'une commutation de sa peine dans l'un des derniers actes officiels de...
Par Guido LIGUORI, professeur d’université Les raisons d'une alternative au Parti démocrate n'ont pas disparu. Mais il faut changer de tactique : un accord avec le centre-gauche peut servir à rééquilibrer les poids et à faire bouger la ligne. Dans Il...
Parti communiste des États-Unis :Cessez-le-feu à Gaza - Israël et les Etats-Unis doivent rendre des comptes 1/17/25, 2:08 PM Cessez-le-feu à Gaza - Israël et les Etats-Unis doivent rendre des comptes Parti communiste des États-Unis Un accord de cessez-le-feu...
Souvent résumées par des termes misérabilistes, comme « France périphérique » ou « France des oubliés », les campagnes françaises en déclin sont devenues des bastions du Rassemblement National. Alors que la gauche s’interroge sur la façon d’y reprendre...
Déclaration du Parti communiste d'Israël sur l'accord d'échange et le cessez-le-feu 1/16/25, 12:49 PM Le Parti communiste d'Israël et Haddash : *L'accord et le cessez-le-feu sont importants et bienvenus, mais ils ne peuvent pas être suffisants. Nous saluons...
capture d'écran sur Enseignement privé CGT
Le PS, (secrétaire national, patron des députés et patron des sénateurs), rencontre pour une énième fois le gouvernement du duo Macron-Bayrou qui escompte appliquer une politique anti-sociale. Si je me trompais...