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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 15:42
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19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 15:16

Le futur traité de commerce Europe-USA, une menace pour les droits syndicaux ?

22 mai 2014 par Rachel Knaebel

Le projet de traité de commerce et d’investissement entre l’Union européenne et les États-Unis suscite toutes les inquiétudes, en raison du risque de remise en cause des normes environnementales et sanitaires des deux côtés de l’Atlantique. Pour les syndicats européens, une future zone de libre échange constituerait aussi une menace pour les droits des travailleurs et plusieurs protections sociales, comme le salaire minimum. Car les États-Unis ne reconnaissent pas la plupart des conventions fondamentales de l’Organisation internationale du travail, et les libertés syndicales y sont notoirement faibles. La protection des travailleurs pourrait-elle bientôt se trouver considérée comme une entrave au commerce ?

Les droits des travailleurs, l’exercice de la liberté syndicale et la prévention de la santé au travail sont-ils menacés par l’accord commercial en cours de négociation entre l’Europe et les États-Unis ? C’est ce que craignent les syndicats européens. Le traité commercial transatlantique, appelé PTCI pour « Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement » – mais aussi TTIP ou Tafta – est négocié dans l’opacité depuis juillet 2013. Les électeurs ne savent pas grand chose des discussions. Les gouvernements et les députés européens en sont tenus éloignés. C’est la Commission européenne qui négocie le traité directement avec l’exécutif états-unien.

Le traité vise à instaurer une vaste zone de libre échange : 29 États, 820 millions d’habitants, séparés par l’Atlantique Nord. Elimination des droits de douanes, suppression des « obstacles non-tarifaires » au commerce (licence d’exportation, contrôle qualité des importations…), harmonisation des normes et des réglementations, tels sont les sujets sur la table des négociations. Les normes européennes en matière sociale ou environnementale pourraient ainsi être jugées trop contraignantes, et vice-versa. Un tel traité pourra par exemple ouvrir les ports européens à l’arrivée du bœuf aux hormones américain.

Les États-Unis, mauvais élève des droits des travailleurs

Autre point sensible : les mécanismes de « protection des investissements ». Ceux-ci permettent aux multinationales états-unienne et européennes qui s’estimeraient « discriminées » par une réglementation de réclamer des indemnités aux États, devant des tribunaux d’arbitrage privés, si elles jugent leur investissements mis à mal. De tels tribunaux d’arbitrage existent déjà. Et leurs « arbitrages » se font le plus souvent en faveur des intérêts privés (voir L’industrie de l’arbitrage commercial international, ou comment des juristes gagnent des millions en poursuivant les États). Grâce à eux, des entreprises européennes ont par exemple engagé des poursuites contre l’augmentation du salaire minimum en Égypte ou contre la sortie du nucléaire décidée par l’Allemagne en 2011. La seule menace d’une plainte, contre l’interdiction d’un produit jugé toxique, d’une technique d’extraction ou du travail le dimanche par exemple, peut parfois suffire pour faire tomber les décisions d’États au profit des entreprises.

Pour la Commission européenne, le jeu en vaut pourtant la chandelle. Selon elle, l’accord transatlantique va « stimuler la croissance et créer des emplois ». Un optimisme qui ne suffit pas à convaincre les syndicats européens. Au-delà du flou des prévisions sur les effets positifs que pourrait avoir le traité sur la santé économique européenne – 0,5% de croissance supplémentaire en Europe grâce au traité selon une étude commandée par la Commission – (lire Ces prédictions économiques « à la louche » qui justifient les politiques de libéralisation commerciale), les syndicats du Vieux Continent s’inquiètent au contraire des conséquences potentiellement dévastatrices sur le droit du travail.

C’est que les États-Unis ne brillent pas par le niveau de protection qu’ils offrent aux travailleurs et à leurs libertés syndicales. Selon un classement des « pires pays où travailler » récemment révélé par la Confédération syndicale internationale (CSI), - et destiné à faire pendant au classement Doing Business (« meilleurs pays pour faire des affaires ») de la Banque mondiale, les États-Unis sont dans la catégorie 4 (« violations systématique des droits ») au même rang que le Pakistan, Haïti et l’Irak, et à peine une catégorie au-dessus que le Qatar, le Bangladesh et le Cambodge. Les « pires » pays européens - Pologne, Roumanie et Royaume-Uni - sont en catégorie 3 ; les autres en catégorie 1 (comme la France) et 2.

 

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17 octobre 2016 1 17 /10 /octobre /2016 17:30
La question européenne dans la campagne de Jean-Luc Mélenchon: plan A-plan B ou plan B direct ?
 
Vincent Christophe Le Roux·dimanche 16 octobre 2016
 
Je sais que ma position sur ce sujet est jugée marginale parce que trop radicale, mais je ne cesserai de pousser en ce sens car je suis convaincu que c’est ce que nous devons faire pour gagner.
Certains pensent qu’on pourra sortir de l’UE et même qu’on devra le faire mais qu’on ne doit surtout pas le dire, ou en tout cas pas maintenant, qu’on doit faire comme si nous étions des râleurs mais pas des adversaires de l’UE.
D’autres disent que c’est folie de s’engager sur cette voie de la sortie et que le discours du plan A suivi peut-être du plan B suffira à rendre plus ouverts à nos demandes les dirigeants de l’UE et les autres pays membres.
Je ne reconnais la pertinence d’aucune de ces deux positions stratégiques et c’est pourquoi j'assume de dire que je veux qu'on porte dès maintenant, au sein de la France insoumise, le message très clair qu'on sortira de l’UE. Sans préalable, sinon celui du recours au peuple par référendum.[...]
La suite ci-dessous
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14 octobre 2016 5 14 /10 /octobre /2016 21:56
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14 octobre 2016 5 14 /10 /octobre /2016 21:38
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4 octobre 2016 2 04 /10 /octobre /2016 22:01
Le numéro 12 de Ruptures est paru

Le n°12 de Ruptures est paru. La Une ouvre cette édition sur le sommet européen de Bratislava, qui a mis en lumière les divisions des Vingt-sept après le vote britannique, face à la perspective désormais ...

Lire la suite et voir le sommaire du numéro 12 en allant sur le site de Ruptures ici : https://ruptures-presse.fr/ruptures-edition-septembre-bratislava/

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4 octobre 2016 2 04 /10 /octobre /2016 13:06
Camarades je demande la parole ! - Un livre de militants - "Quelle sera demain la place des syndicats, dans une Europe du fric qui n'a jamais voulu être sociale ?"
Camarades je demande la parole !

Eux n’hésitent pas : loi travail, négociations secrètes TTIP, retraites à la casse, chômeurs exclus en masse. Dans une Europe du fric, qui n’a jamais voulu être sociale.

Et en face ? Du côté des travailleurs ? D’abord, malgré tout, cette très bonne nouvelle : le peuple est dans la rue, partout en Europe et au-delà. Debout.

Mais quelle sera, demain, la place des syndicats? Cogérer la misère imposée, de recul en reculade ? Ou bien renouer avec les glorieuses traditions de résistance ? Camarades, je demande la parole ! propose des pistes pour rénover, démocratiser et moderniser le syndicalisme. Afin de ne pas rater le rendez-vous avec la jeunesse agressée, mais révoltée aussi et en recherche. Elle a droit à un avenir.

Résumé

Écrit et dirigé par :

Jean-Pierre Page : ancien membre de la Commission exécutive confédérale de la CGT, responsable du département international

 

Avec:

Charles Hoareau : ancien membre de la Commission exécutive confédérale de la CGT et responsable national des chômeurs CGT.
Philippe Cordat : secrétaire général de l’Union régionale Centre de la CGT.
Jean-Claude Vatan : ancien secrétaire général de l’union départementale CGT du Cher.

 

Contributions de :

Marina Alfier : déléguée production, fédération italienne des travailleurschimie,textile,énergieetdesmanufacturesCGIL-Italie.
Steve Early : ancien responsable de la Fédération des télécommunications de l’AFL-CIO, journaliste, écrivain. USA
Fernando Mauricio : responsable du département international de la CGTP-IN. Portugal
Julio Gambina : membre de la direction nationale de la CTA d’Argentine, directeur de l’institut d’études et de formation de la CTA, économiste. Argentine.
Antonio Balbino : ancien vice-président de la Fédération de la métallurgie de la CUT, président de la Fédération métallurgique de la CTB. Brésil.
Swadesh Dev Roye : secrétaire international du CITU. Inde
Antonio Cocciolo : président de la fédération des métallurgistes FGTB et membre du bureau fédéral de la FGT. Belgique

Pour commander ce livre, rendez-vous sur le site d'Investig'action en cliquant sur le lien ci-dessous..

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18 septembre 2016 7 18 /09 /septembre /2016 14:22
Berlin et Paris veulent relancer l’intégration militaire européenne

par Pierre Lévy sur RT

Des soldats français© Emma FargeSource: Reuters
Des soldats français
 
«L’Europe de la Défense», le «Quartier général» européen et l'académie militaire commune : manœuvre politique pour rassurer les peuples européens ou projet prometteur ? Le spécialiste des questions européennes Pierre Lévy nous livre son analyse.

Les ministres allemand et français de la Défense ont jeté, dimanche 11 septembre, un pavé dans la mare. Ils l’ont fait discrètement, comme c’est souvent le cas en matière européenne, en envoyant une missive commune à Federica Mogherini, le chef de la politique étrangère de l’UE. Le document devrait être présenté aux chefs d’Etat et de gouvernement lors du sommet informel du 16 septembre, à Bratislava. 

Si la manière est discrète, le contenu n’a rien d’anodin. Il s’agit de donner un brusque coup d’accélérateur à ce qu’il est convenu d’appeler «l’Europe de la Défense», en réalité l’intégration militaire. Depuis des années, on se lamente à Bruxelles des «avancées bien trop lentes» dans ce domaine.

Car du côté du Royaume-Uni, la perspective d’une «défense européenne» ne suscitait qu’un enthousiasme très modéré. A Londres, on a longtemps estimé que cette ambition doublonnerait inutilement les structures de l’Alliance atlantique.

Lire la suite ici : https://francais.rt.com/opinions/26260-berlin-paris-integration-militaire

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14 septembre 2016 3 14 /09 /septembre /2016 16:16

Lu sur le site de l'UD-CGT de Seine-maritime

"Ce que l'homme a fait, l'homme peut le défaire" dit l'UD-CGT de Seine-maritime.

Oui, ce qu'un gouvernement minoritaire a fait, les salariés et le peuple majoritaires peuvent le défaire !

Loi Travail - Promulgation ou pas - On n'en veut pas - Appel de l'UD-CGT de Seine-Maritime à la grève et aux manifestations à Dieppe, au Havre et à Rouen!
Loi Travail - Promulgation ou pas - On n'en veut pas - Appel de l'UD-CGT de Seine-Maritime à la grève et aux manifestations à Dieppe, au Havre et à Rouen!
Loi Travail - Promulgation ou pas - On n'en veut pas - Appel de l'UD-CGT de Seine-Maritime à la grève et aux manifestations à Dieppe, au Havre et à Rouen!
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14 septembre 2016 3 14 /09 /septembre /2016 15:56
sur usinenouvelle.com

sur usinenouvelle.com

Alstom, la financiarisation et le scandale

par ·

La décision de la société Alstom de fermer son usine de Belfort (sauf les travaux de maintenance) a surpris dans le monde politique. D’Arnault Montebourg à Emmanuel Macron, les critiques ont été virulentes. Mais, en réalité, cette décision n’est pas réellement étonnante quand on considère l’état – à court terme – du marché de la construction ferroviaire. Elle est la suite logique du dépeçage d’Alstom, consécutif à la vente à General Electrics de l’ensemble de ses activités dans la production d’énergie. Elle symbolise aussi parfaitement la logique de gestion d’une entreprise ou l’intérêt immédiat de l’actionnaire domine, mais aussi une logique économique où une puissance, les Etats-Unis pour les nommer, impose par la voix d’une justice aux ordres ses impératifs aux autres pays. Il est vrai que l’on pourrait résister à ces pratiques, mais cela impliquerait de faire de la souveraineté nationale un impératif de notre politique et de le défendre becs et ongles. Or, de ceci il n’est plus question depuis des années, et c’est bien cela qui transparaît dans cette décision.

Lire la suite en cliquant ci-après : https://russeurope.hypotheses.org/5224

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