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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
23 avril 2019 2 23 /04 /avril /2019 07:52

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Geoffroy Roux de Bézieux (à gauche), président du Medef, et Emmanuel Macron, à l’Elysée, le 27 novembre 2018. JEAN-CLAUDE COUTAUSSE / FRENCH-POLITICS POUR "LE MONDE"

Geoffroy Roux de Bézieux (à gauche), président du Medef, et Emmanuel Macron, à l’Elysée, le 27 novembre 2018. JEAN-CLAUDE COUTAUSSE / FRENCH-POLITICS POUR "LE MONDE"

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11 avril 2019 4 11 /04 /avril /2019 15:01

Cent-cinquante personnes selon la police, 200 selon les participants : le rassemblement organisé hier après-midi devant la permanence du député Mohamed Laqhila a en tout cas ratissé large. Union départementale CGT, multiples unions locales du département dont celle de Gardanne, mais aussi représentants du Nord ou de Nancy étaient venus apporter leur soutien face à la polémique.

En ligne de mire, le député Modem-LREM de la 11e circonscription qui a écrit au Premier ministre et au ministre de l'Intérieur pour demander la "dissolution de l'antenne départementalede cette association". Fin mars, une réunion publique organisée à Gardanne par le comité de la REM avait été quelque peu perturbée par des syndicalistes de la centrale, venus dire tout le bien qu'ils pensent de la volonté du gouvernement de mettre fin aux centrales à charbon, menaçant directement leurs emplois. Mohamed Laqhila avait fustigé les "violences verbales", "intimidations", "saccages" de la salle.

Dissolution de la CGT ? "Les chiens sont lâchés" avait réagi aussitôt l'UD CGT 13, alertant entrer "en résistance" contre "la violence du gouvernement". Dans la foulée, un tag rouge sang de la CGT apposé devant la porte d'entrée de la permanence du député, zone d'activités des Milles, avait motivé ce dernier à déposer une plainte pour dégradation.

Hier donc, les représentants CGT s'étaient donné rendez-vous et se félicitaient : "Au moins a-t-il réussi à montrer notre fraternité" lançait une syndicaliste. Plusieurs personnes ont pris la parole pour lire des motions de soutien face à la "demande irresponsable et autoritaire de ce député" : "En démocratie, un élu de la nation doit accepter la contestation. À la centrale, les salariés sont en grève depuis décembre pour refuser la fermeture face à la politique d'austérité ultralibérale de LREM aidée par le Medef".

"Il n'y a aucune indulgence pour l'emploi ni l'écologie sous couvert de laquelle on veut fermer la centrale", poursuivent d'autres : "la seule indulgence est la course au profit".

Certains listent la "casse sociale", de Carrefour à Ford. D'autres rappellent que "la dernière fois que la CGT a été dissoute et a dû rentrer dans la clandestinité, c'était sous le régime de Vichy et l'occupation de l'Allemagne nazie". "Ce nouveau monde applique les réflexes de l'ancien monde, avec le même arsenal : appel à l'armée, interdiction de manifester, répressions policières, sanctions disciplinaires dans les entreprises et les services publics... Ce pouvoir veut mater le mouvement populaire."

Les manifestants demandent que le député retire sa plainte et sa demande de dissolution. Chansons paillardes et huées s'enchaînent. On tance l'élu : "Révisez votre histoire : la CGT est un syndicat, pas une association qui a sûrement plus d'adhérents que votre mouvement". [...]

La suite sur le site de La Provence : https://www.laprovence.com/article/edition-aix-pays-daix/5451148/cgt-fracture-syndicale-pour-le-depute-laqhila.html

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6 avril 2019 6 06 /04 /avril /2019 14:02

Paru ici : https://www.alternatives-economiques.fr/smic-sauve-vies/00088900

 

Gilles Raveaud

Non seulement, le salaire minimum ne pénalise pas l’emploi, mais il améliore la santé des travailleurs qui en bénéficient. C’est que montrent plusieurs récentes études, notamment aux Etats-Unis.

Longtemps, les économistes, en grande majorité, étaient sûrs d’eux : imposer aux entreprises de verser un salaire minimum à leurs salariés, si cela pouvait éventuellement se justifier dans une logique de valorisation du travail, était nécessairement néfaste pour l’emploi. Certes, les salariés en place seraient mieux payés, mais moins de personnes seraient embauchées à ce niveau de salaire.

De nombreuses études empiriques récentes ont grandement relativisé ce résultat, au point d’aboutir à la situation quasiment inverse, où de nombreux économistes estiment que, à leur niveau actuel, les salaires minima en place dans les pays riches ne détruisent pas d’emplois.

Plus encore, il apparaît qu’un salaire décent, parce qu’il rend les travailleuses et les travailleurs dignes et leur permet d’échapper au stress permanent de la pauvreté, les aide à prendre des décisions favorables à leur santé et au bien-être de leurs proches.

Loin d’être seulement des décisions économiques, des salaires décents seraient donc un moyen d’être en meilleure santé morale et physique. Au point que des études mettent en avant la réduction de la mortalité permise par les hausses du salaire minimum aux Etats-Unis. [...]

Lu intégralement ici : https://www.anti-k.org/2019/04/05/salaires-quand-le-smic-sauve-des-vies/

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20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 14:59

Michaël Zemmour

19/03/2019 sur Alternatives économiques

Période "sans emploi, ni retraite" importante : incapacité physique à soutenir des conditions de travail de plus en plus pénibles et arrêts maladie plus fréquents, attitude des entreprises qui licencient plus facilement les seniors et répugnent à les embaucher ...

Une majorité de seniors s’arrêtent de travailler avant l’âge légal de départ en retraite et beaucoup connaissent une période de flottement « sans emploi, ni retraite ».

Faudra-t-il travailler plus longtemps ? La borne de 62 ans, l’âge légal de départ en retraite, qui devait survivre à la future réforme des retraites, sera-t-elle finalement repoussée ? Après le « coefficient majorant » évoqué en février dernier par le Haut commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye – plus le salarié attendrait pour partir, plus il bénéficierait d’une valeur du point plus élevée – c’est au tour de la ministre des Solidarités de plaider pour un allongement de la durée du travail. Mais sous une autre forme qui a surpris, voire profondément agacé, les partenaires sociaux lancés dans un cycle de concertation avec le haut-commissariat à la réforme des retraites. Agnès Buzyn a ainsi déclaré le 17 mars qu’elle n’était pas « hostile », « à titre personnel » à un report de l’âge légal de départ en retraite. « Les Français l’évoquent, c’est sur la table. À partir du moment où toutes les propositions qui sont amenées par le Grand débat vont être étudiées, nous étudierons celle-là comme les autres », a-t-elle expliqué sur RTL.

Un débat qui intervient alors qu’il y a une confusion entre « l’âge moyen de la retraite », qui atteint désormais presque 63 ans, et « l’âge moyen de fin de carrière ». En effet, nombre de seniors ne passent pas directement de l’emploi à la retraite, mais connaissent une période intermédiaire. Sans compter que les réformes qui allongent la durée du travail ne sont pas sans effets. Depuis 2010, l’augmentation de l’âge légal minimum de la retraite a eu des conséquences diverses : des carrières plus longues pour certains, mais une plus longue période sans emploi ni retraite pour un quart d’une génération.

 

 

Un chiffre livré sans grand commentaire

Tout le monde ne travaille pas jusqu'à l'âge de la retraite ...

Au mois de mars, comme chaque année, la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) a publié ses statistiques annuelles sur les retraites en France. Et comme chaque année, un chiffre a fait la une de nos journaux et radios : l’âge moyen de la retraite augmente, pour atteindre 62 ans et 8 mois en moyenne (63 ans pour les femmes), soit 3 mois de plus qu’en 2017.[...]

Or ce n’est pas ce que nous dit cette statistique. Car ce que la Cnav publie, c’est l’âge moyen de liquidation. Il ne s’agit pas de l’âge auquel les salariés cessent leur activité professionnelle, mais de l’âge auquel ils font valoir leurs droits et touchent leur première pension. Or tout le monde ne travaille pas jusqu’à l’âge de la retraite.

En effet pour être en mesure de rester en emploi jusqu’à la retraite, il faut bien sûr le vouloir, mais aussi le pouvoir.

Physiquement d’abord : la difficulté des conditions de travail est de moins en moins supportable l’âge avançant et la santé se dégradant.

Professionnellement ensuite, car les entreprises sont promptes à se séparer des seniors par des licenciements ou des ruptures conventionnelles, et peu enclines à les embaucher. [...]

La suite sur le site d'Alternatives économiques si vous êtes abonné : https://www.alternatives-economiques.fr//non-on-ne-travaille-moyenne-jusqua-63-ans/00088735?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_campaign=NL_Quotidienne%2F19032019

Ou en fichier attaché, sans les illustrations, ci-dessous :

Et aussi :

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20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 00:21

Une partie de la manifestation à Rouen le 19 Mars 2019

Les trois-quarts des Français (73%) soutiennent le mouvement de mardi auquel ont appelé la CGT, FO, Solidaires, la FSU et les organisations de jeunesse Unef (étudiants) et UNL (lycéens), selon le baromètre des services publics Odoxa pour la Banque Française Mutualiste, l'Obs, France Inter et la presse régionale.

Le retour des corps intermédiaires ? Alors que le mouvement des Gilets jaunes ne connaît plus le même engouement, la journée de grève nationale de ce mardi 19 mars, organisée par les syndicats (CGT, FO, Solidaires, FSU et les organisations de jeunesse Unef et UNL), est approuvée par 73 % des Français. C'est ce qui ressort du baromètre des services publics Odoxa pour la Banque Française Mutualiste, l'Obs, France Inter et la presse régionale, publié ce mardi.

Dans ce sondage, 35% des personnes trouvent ce mouvement pour « l'augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux, l'égalité femmes-hommes et un véritable droit à l'éducation et à la formation » « tout à fait justifié » et 38% « plutôt justifié », contre 27% qui l'estiment « pas justifié »

Dans le secteur public, ils sont 88% à juger ce mouvement « justifié »

Le soutien est encore plus fort au sein des agents du secteur public qui sont 88% à juger ce mouvement « justifié », contre 12% qui considèrent qu'il ne l'est pas. 

Parmi les Français qui trouvent ce mouvement justifié, 12% disent prévoir d'y participer, tandis que 69% ont de la sympathie mais n'y participeront pas.

14% y sont indifférents et 5% y sont opposés, même s'ils comprennent la mobilisation. Au sein des salariés du service public, ils sont 18% à dire qu'ils ont prévu d'y participer, et 72% qu'ils ont de la sympathie, mais n'y participeront pas. [...]

La suite ici sur le site de "Ouest-France" : https://www.ouest-france.fr/economie/greve/greve-nationale-les-3/4-des-francais-soutiennent-la-journee-d-action-de-ce-mardi-19-mars-6269522

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19 février 2019 2 19 /02 /février /2019 17:05
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17 février 2019 7 17 /02 /février /2019 23:48
Malaise dans un collège de Seine-Maritime : parent, enseignants et personnels réclament des moyens

Parents d’élèves, agents et enseignants du collège Francis Yard de Buchy (Seine-Maritime) ont fait entendre leur mécontentement mardi 5 février 2019, pour avoir plus de moyens.

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17 février 2019 7 17 /02 /février /2019 18:39

Sur Le Figaro

VIDÉOS - En moyenne, les produits les plus consommés ont augmenté de 4,2% en hypermarchés et de 3,1% en supermarché, entre le 26 janvier et le 9 février, selon une étude du cabinet Nielsen. 72% des foyers sont concernés par cette hausse des prix, qui touche essentiellement les produits de grande consommation et principalement l'alcool.

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Publié

Et aussi sur bienpublic.com

Prix alimentaires : 7 foyers sur 10 concernés par la hausse

Une hausse de 4,2 % en hypermarchés et de 3,1 % en supermarché des produits les plus consommés ont été constatées entre le 26 janvier et le 9 février 2019.

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7 février 2019 4 07 /02 /février /2019 18:07
par Benjamin Lagues, Jérémie Fabre,

Nous poursuivons notre série d’information mensuelle sur l’actualité des médias avec cette vingt-troisième édition, revenant sur le mois de janvier 2019 [1]. À noter que nous reviendrons sur l’actualité récente (perquisition à Mediapart notamment) dans de prochaines publications.

Du côté des journalistes, des éditocrates et de leurs œuvres

 

- Gilets jaunes : un raout pour rien au CSA – Qu’on se rassure : le CSA « n’a relevé aucun problème majeur » dans la couverture médiatique de la mobilisation sociale des gilets jaunes par la presse audiovisuelle. Pour autant, « le CSA a invité tous les patrons des chaînes d’information à se rendre au siège du régulateur, dans la journée de jeudi 10 décembre » afin de mener « une réflexion collective » selon Le Figaro. L’objectif : « mieux comprendre à la fois leurs difficultés de traiter du sujet des gilets jaunes, des angles éditoriaux qu’ils ont pris et le tri dans les images diffusées. » Une réunion dont on peut être à peu près certain qu’il n’en sortira rien puisque, toujours selon Le Figaro, le CSA avait déjà, le 7 décembre, mis « en garde contre toute diffusion complaisante, déséquilibrée ou insuffisamment vérifiée d’images et de commentaires qui attiseraient les antagonismes et les oppositions. » Trois semaines plus tard, Jean-Michel Aphatie publiait une fausse nouvelle, reprise ensuite par de nombreux médias (cf. ci-dessous)… Quant à la mise en garde contre les « diffusions complaisantes » ou « déséquilibrées », le CSA n’a manifestement rien trouvé à redire au matraquage médiatique contre les gilets jaunes, pas plus qu’il n’a reproché le silence médiatique sur les violences policières... [...]

La suite ci-dessous :

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2 février 2019 6 02 /02 /février /2019 15:10

Combien faudra-t-il d’éborgnés avant qu’on se décide à interdire les lanceurs de balle de défense ? La décision est tombée : le Conseil d’État a refusé de faire droit aux demandes de la Confédération Générale du Travail, de l’Union Départementale CGT de Paris, de la Ligue des Droits de l’Homme, de Solidaires, du Syndicat des Avocats de France et du Syndicat de la Magistrature...

La suite sur le site d'El Diablo :

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