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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
2 novembre 2017 4 02 /11 /novembre /2017 15:24
Le cercueil de la Sécurité sociale a été commandé par l'Assemblée nationale

Par 354 voix contre 192, ce 31 octobre, le budget contre la Sécu a été voté. Il ne manquera plus qu'à clouer le couvercle sur une Sécurité sociale devenue indigente et cela en sera fini de ce long combat du mouvement ouvrier débouchant à la libération de la France par:"Chacun cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins". Naturellement la droite d'Emmanuel Macron a voté ce recul social sans précédant. L'autre droite, celle de Laurent Wauquiez, par purs calculs politiciens, a voté contre.

Lire la suite sur le blog de Roger Colombier:

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1 novembre 2017 3 01 /11 /novembre /2017 07:49

Entretien

Alexis Goursolas Responsable du service stratégie et analyse des politiques publiques à la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS)

Le 16 octobre, Emmanuel Macron a annoncé une concertation autour de sa stratégie de lutte contre la pauvreté. Tout en saluant la volonté du gouvernement de mettre en œuvre une approche préventive, par l’investissement social, en faveur des enfants et des familles, Alexis Goursolas, de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), dénonce les réductions budgétaires à venir qui vont aggraver les inégalités.

Le secteur de l’économie sociale et solidaire (ESS), très dynamique, peut-il être un outil efficace de lutte contre la pauvreté et l’exclusion, par sa capacité d’innovation et d’ancrage local ?

Le dynamisme de l’ESS a été essentiel pour faire reculer la pauvreté et l’exclusion et il l’est toujours. Mais on ne peut pas tout faire reposer sur ces seuls acteurs, comme c’est essentiellement le cas actuellement. On ne peut considérer que l’on va s’en sortir uniquement en s’appuyant sur leur dynamisme, même si beaucoup de réponses innovantes ont été apportées par les associations. Car cette lutte doit être l’affaire de tout le monde, et donc avant tout du gouvernement, ce qui appelle une politique publique forte, structurée et ambitieuse.[...]

Lire la suite en cliquant ci-dessous :

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1 novembre 2017 3 01 /11 /novembre /2017 07:44
Record(s)
de jean-emmanuel ducoin
Vendredi, 27 Octobre, 2017
L'Humanité
 
 

Photo : Francetélévisions

Photo : Francetélévisions

Le bloc-notes de Jean-Emmanuel Ducoin.

« Capitaine Marleau cartonne. Le triomphe politique de Corinne Masiero. »

 

Politique. « Je suis une révoltée, une révolutionnaire… C’est une vocation périlleuse. » Connaissez-vous beaucoup d’actrices capables de prononcer semblable phrase dans les couloirs de la rédaction de l’Humanité ? Et d’ajouter ceci : « Depuis toujours, j’ai pris le parti des humbles et des opprimés – car c’est mon parti – à la face de tous les pouvoirs établis, surtout celui de l’oligarchie financière. » Celle qui parlait ainsi en 2015, lors d’une de ses plus belles prestations (« rédactrice en chef d’un jour » du journal de Jaurès), cartonne tous les mardis soir sur France 3. Un succès colossal qui nous réjouit autant qu’il nous conforte. Corinne Masiero, née à Douai, y campe la capitaine Marleau, cette héroïne atypique au franc-parler et à l’accent ch’ti qui pénètre dans nos salons chaque semaine pour une séance de maintien et/ou de rattrapage politique. Le bloc-noteur assume ce qu’il vient d’écrire. Car, le personnage de cette gendarme gradée, outre qu’elle nous ferait aimer toute la flicaille de la terre (c’est dire l’ampleur de l’exploit !), se confond tellement avec celle qui l’incarne à l’écran que nous ne savons plus qui nous regardons : Marleau ou Masiero ? « J’ai tellement l’air pas fute-fute que les gens ont pitié de moi et finissent par s’accuser de tout et de n’importe quoi. »

[...]

 

 

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26 octobre 2017 4 26 /10 /octobre /2017 16:40

A ce propos, nous reproduisons un article de Gilles Pichavant, syndicaliste CGT, élu mutualiste, paru en Août 2016 dans l'Humanité.

L’accès aux soins est la question cruciale à laquelle sont aujourd’ hui confrontés les patients
Vendredi, 12 Août, 2016
L'Humanité
 

Numerus clausus, pénurie de médecins...

par Gilles Pichavant syndicaliste CGT, élu mutualiste

Il devient aujourd’hui quasiment impossible d’obtenir un rendez-vous dans les vingt-quatre heures chez un généraliste, dans une majorité de régions. Pour obtenir un rendez-vous chez un dentiste, un ophtalmo, un spécialiste en général, il faut attendre six mois au minimum. Mais ce qu’il y a de pire dans la situation, c’est qu’il devient difficile, pour un patient ou une patiente qui perd son médecin référent, d’en retrouver un autre. Je ne parle même pas de retrouver un gynécologue, car, là, la situation est catastrophique pour les femmes.

Un seul exemple. J’habite à Dieppe, ville moyenne de 30 000 habitants, au centre d’une agglomération de 80 000 habitants, où plusieurs cabinets ophtalmologistes ont fermé. Chez mon praticien, j’ai assisté à une succession de visites de patients en détresse. Ils recherchaient un nouvel ophtalmo. Réponse systématique de la secrétaire : « On ne prend plus de clients, parce que nous ne voulons pas dépasser la durée d’attente de six mois. » Elle renvoyait les clients vers une clinique rouennaise située à 60 kilomètres. Mais, là-bas, renseignements pris auprès de militants CGT, élus comme moi au comité de section de la Mutuelle générale en Seine-Maritime, la situation est des plus tendues : les délais d’attente sont passés à huit mois. Ce qui a un effet direct sur les tarifs : une hausse continue.

La question cruciale, aujourd’hui, en matière de santé, au-delà de la question du remboursement des frais et du tiers payant, c’est l’accès au soin. « Nous sommes face à une aggravation de la fracture sanitaire. Un électrochoc s’impose ! » a lancé le 29 juin dernier le président de l’association de consommateurs UFC-Que choisir : « Il est temps que ce débat soit pris à bras-le-corps par les pouvoirs publics ! » a-t-il ajouté.

Confortant ce que ne cesse de dire la CGT, l’UFC-Que choisir déplore « un recul de l’accès aux soins, aux tarifs de la Sécurité sociale, pour plus de 30 millions de Français », particulièrement depuis quatre ans. Ces résultats sont issus d’une étude sur l’offre de soins de ville de quatre spécialités : généralistes, pédiatres, ophtalmologistes et gynécologues. Lorsqu’on se connecte sur la carte interactive de leur site, on découvre que la fracture sanitaire touche de plus en plus de secteurs. Mais ce que ne dit pas l’UFC-Que choisir, et que dénonce la CGT, c’est que cette fracture médicale a une cause : le numerus clausus.

Nous sommes entrés dans une période où un très grand nombre de médecins, ayant atteint ou dépassé l’âge de 65 ans, partent à la retraite. Certes, la loi de modernisation du système de santé, dont le rapport moral nous vante le contenu, se présente comme ayant l’ambition d’améliorer cet accès au soin, mais elle fait l’impasse sur la formation de nouveaux médecins. Ceux qui partent aujourd’hui à la retraite sont les derniers à être entrés en 2e année de médecine avant la mise en place du numerus clausus, en 1971. La situation est dramatique, car, selon les propres chiffres du Conseil de l’ordre, 26,7 % des médecins généralistes ont aujourd’hui plus de 60 ans, soit plus d’un sur quatre, alors que 14,8 % seulement des médecins généralistes ont moins de 40 ans. Cela veut dire que, dans les cinq ans qui viennent, la population médicale française va subir un choc terrible qui va généraliser et aggraver la situation.

On en connaît les raisons. Jusqu’en 1978, c’est-à-dire la dernière année où sont sortis du cursus de formation les étudiants entrés en 2e année médecine avant la mise en place du numerus clausus, on formait plus de 8 000 médecins tous les ans. En 2016, le numerus clausus ne dépasse guère les 7 000 places, alors que la population française a augmenté de 10 millions d’habitants entre 1978 et 2016.

Mais, entre ces deux dates, la courbe s’est effondrée : on a baissé le numerus clausus jusqu’à un étiage inférieur à 3 600 médecins entre 1992 et 1999, pour ne le remonter très progressivement qu’à partir de l’an 2000. Si bien que la population médicale présente un aspect démographique similaire à celui de la population française à la suite de la guerre de 1914-1818.

Cette pénurie de médecins a déjà des conséquences importantes sur la vie des gens, mais cela risque d’en avoir aussi en matière de gestion de toute l’architecture de la santé, de la Sécurité sociale au secteur hospitalier, en passant, bien évidemment, par les complémentaires santé.

Au-delà des problèmes sanitaires que cela va créer, cette pénurie va contribuer à une hausse rapide et brutale des honoraires, car la santé n’est pas isolée des logiques de fonctionnement du monde économique, et une pénurie produit toujours une élévation des coûts. D’ailleurs, les annonces de hausse des honoraires pour les années futures ne le montrent-elles pas déjà ?

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26 octobre 2017 4 26 /10 /octobre /2017 16:36
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26 octobre 2017 4 26 /10 /octobre /2017 04:52
25 Octobre 2017
 
 

 

Etienne Ledoré

17 h · 

VOILÀ VOUS ÊTES PRÉVENUS : VOUS SAVEZ CE QUI NOUS ATTEND

Lu sur "Histoire et société"

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25 octobre 2017 3 25 /10 /octobre /2017 22:44

 

 

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25 octobre 2017 3 25 /10 /octobre /2017 21:12

En lien ci-dessous, le texte en PDF de l'INDECOSA, l'organisme "consommation" de la CGT:

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23 octobre 2017 1 23 /10 /octobre /2017 16:27
Mairie de Mantes-la-Ville - Le personnel s'est exprimé - C'est sans appel : Près de 83% pour les propositions de la CGT
Mairie de Mantes-la-Ville - Le personnel s'est exprimé - C'est sans appel : Près de 83% pour les propositions de la CGT

C'est le résultat du référendum organisé par le maire FN à Mantes-la-Ville sur le maintien de 11 jours de congés payés.

Une consultation que le maire avait pourtant préparée seul en prenant le soin d'exclure la CGT du bureau de vote et de l'organisation "histoire de recueillir vraiment l'avis du personnel" (sic).

Sur 325 inscrits, 260 ont été voté (soit 80%).

La proposition soutenue par le maire (transformation des jours de congés en RTT) a recueilli 45 voix (17,30%).

La proposition de la CGT (maintien des 11 jours de congés) a recueilli, elle, 215 voix et 82,70%.

 

Comme l'indique le syndicat CGT, c'est sans appel !

Le maire d'extrême-droite pourtant aura tout fait pour obscurcir les termes de la revendication, jetant le masque au fur et à mesure que le mouvement social se développait.

Indiquant tout d'abord que "ce n'était pas de sa faute" mais qu'il s'agissait d'une obligation légale, devant la détermination des salariés il se tortillait ensuite lamentablement prétextant vouloir vérifier "la légalité d'un accord" (qu'il refusait de signer).

Lire la suite sur le blog d'un conseiller municipal communiste ci-dessous :

http://www.marcjammet.fr/2017/10/mairie-de-mantes-la-ville.pres-de-83-pour-les-propositions-de-la-cgt.html

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18 octobre 2017 3 18 /10 /octobre /2017 22:18

Et faut-il absolument fermer des collèges parce que leurs effectifs sont en baisse ?  Car il y a encore plus de 400 élèves à Val de Reuil !

Le débat est vif entre élus.

La question n'est pas de savoir quel collège fermer.  Mais : comment se saisir de cette opportunité pour que la baisse d'effectifs profite aux élèves de PMF ?

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