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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
12 avril 2018 4 12 /04 /avril /2018 14:59

Simon Chodorge

Publié le

Face au rapport Spinetta qui a inspiré le projet de réforme de la SNCF, le cabinet Degest, expert auprès du comité d'entreprise du groupe, propose une contre-analyse. Déséquilibres financiers, coût du travail, investissements à perte... Le document scrute les dysfonctionnements reprochés et fait écho aux arguments des syndicats de cheminots.

En plein bras-de-fer entre les syndicats de cheminots et le gouvernement, le cabinet Degest publie une contre-analyse du rapport Spinetta sur la réforme de la SNCF. Spécialiste des questions ferroviaires et sociales, et mandaté par le passé par le comité d'entreprise de la SNCF, Degest offre un point de vue assez tranché et proche des grévistes en développant les arguments contre la réforme.

“Loin de l’approche dominante qui fait du réseau secondaire et du statut des cheminots les principales sources de dérives financières, nous montrons que c’est plutôt le coût du capital qui pose problème”, résume Arnaud Eymery, directeur associé de DegestL’endettement de SNCF Réseau a été provoqué par l’Etat, selon Degest

[...]

Lire la suite ici : https://www.usinenouvelle.com/article/sncf-une-contre-analyse-deboulonne-les-arguments-du-rapport-spinetta.N676204

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10 avril 2018 2 10 /04 /avril /2018 16:50
Marc BRAUN - P. Nie
Publié 09/04/2018

Des hospitaliers mécontents des coupes dans leur établissement, manifestant ce lundi à Rouen dans l’hémicycle de la Région (photos Stépanie Peron)

Politique. La santé des Normands s’est invitée au conseil régional ce lundi matin à Rouen, une cinquantaine de représentants des personnels hospitaliers normands profitant de la présence de la directrice de l’Agence régionale de santé (ARS), invitée à s’expliquer.

Bernay, Fécamp, Rouen, Dieppe, Le Havre... Les centres hospitaliers s’agitent, manifestent, le font savoir jeudi dernier au président Macron de passage à Rouen, le rappellent hier lundi à la directrice de l’Agence régionale de santé (ARS), Christine Garnel, invitée des élus de la Région pour s’expliquer sur le plan régional de santé.

Après un mouvement d’humeur devant le siège de la Région, les hospitaliers demandent à prendre la parole même si une délégation vient d’être reçue par la directrice de l’ARS. « Vous ne pouvez vous contenter de siéger !, tance un représentant syndical. Il vous faut intervenir, mais nous constatons que ce n’est pas le cas aujourd’hui. Partout, il y a absence de soins, carence des urgences, une psychiatrie à l’agonie... »

[...]

La suite ici : http://www.paris-normandie.fr/actualites/politique/a-rouen-les-hospitaliers-s-invitent-au-conseil-regional-de-normandie-PF12718421?utm_source=Utilisateurs+du+site+LA+NEWS&utm_campaign=0a867171f3-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_233027d23b-0a867171f3-138685717

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10 avril 2018 2 10 /04 /avril /2018 16:41
Publié 09/04/2018
    Saint-Valery-en-Caux. L’annonce du non-remplacement de leur collègue n’est pas du tout passée auprès des professeurs d’EPS du lycée de la Côte d’Albâtre. Alors même que le gouvernement veut « une nation de sportifs ».
    [...]

      Lire l'intégralité sur le site de Paris-Normandie : http://www.paris-normandie.fr/actualites/societe/education/a-saint-valery-en-caux-les-professeurs-d-eps-poussent-un-cri-d-alerte-EF12719094?utm_source=Utilisateurs+du+site+LA+NEWS&utm_campaign=0a867171f3-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_233027d23b-0a867171f3-138685717

       
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      10 avril 2018 2 10 /04 /avril /2018 13:49
      par Martin Coutellier ,

      De l’art d’écrire des reportages à l’avance.
      En toute déontologie, ça va de soi !

      Comme à chaque mouvement de grève des cheminots, les rédactions des grands médias, et en particulier des journaux télévisés, ont multiplié les « reportages » auprès d’usagers mécontents sur les quais des gares à travers le pays. Ces nombreux sujets permettent de répondre aux deux questions qui taraudent un nombre important de téléspectateurs, et sans doute même une majorité de Français : est-il plus difficile de circuler en train lorsque les trains ne roulent pas, ou moins ? Et les personnes qui rencontrent ces difficultés à circuler sont-elles plutôt de bonne humeur, ou pas tellement ?

      [...] la suite sur le site d'Acrimed : http://www.acrimed.org/Greve-SNCF-journalistes-recherchent-usagers-en

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      9 avril 2018 1 09 /04 /avril /2018 22:11

       

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      7 avril 2018 6 07 /04 /avril /2018 23:30
       

      La DRH de la SNCF demande aux Directeurs d’établissement d’appliquer des mesures illégales afin de démobiliser les cheminots.
      De nombreux responsables refusent ces injonctions contraires à leur éthique.
      Cette diversion sur la forme de la lutte ne doit pas masquer le fond des revendications.

      De nombreux cadres, même s’ils ne s’inscrivent pas (encore) dans le mouvement social engagé, refusent de quitter leur poste de travail pour aller remplacer les grévistes ! « A-t-on le droit de m’envoyer en gare ? » demandent-ils.

      La fréquence de cette question a motivé une déclaration de Guillaume Pepy. Il affirme que « les cheminots travaillant (pendant la grève) ont besoin d’être soutenus, que ce soutien d’un cadre de direction, gilet rouge (un temps) est un beau geste ». Et de renchérir sur le fait que « ce sont de belles histoires que ces rencontres entre les agents et des cadres de direction, et les gens du terrain sont contents ! »

      Après la réapparition dans les discours des dirigeants, des notions de service public et d’usagers à chaque mouvement social, nous assistons maintenant à leur redécouverte du personnel opérationnel et de tout l’intérêt d’un management de proximité solidaire !

      La Fédération CGT des cheminots déplore vivement que cette posture n’inspire pas au quotidien les décisions de ces mêmes dirigeants dans leur conduite de l’entreprise et n’éclaire pas d’un autre jour leurs choix exclusivement financiers et technocratiques ! Les cadres en proximité pour « soutenir » (autrement dit remplacer) le personnel opérationnel, il fallait oser ! Nos dirigeants, mis en difficulté par l’exaspération des agents, en appellent à une notion de solidarité singulièrement pervertie…

      La solidarité, la vraie, prend un cours nouveau, les temps changent !

      Guillaume Pepy, les hauts dirigeants de l’entreprise, affichent des positions dures, « zéro tolérance » avec les débordements qui pourraient avoir lieu pendant la grève. Il n’y aurait « qu’un seul préavis car il n’y a qu’un seul motif de grève » martèle le Président, « les grévistes doivent assumer ! » Encore faudrait-il qu’en matière de débordements, la direction commence par rester dans le lit de la Loi et ne la détourne pas pour satisfaire un esprit revanchard qui ne fera que mettre de l’huile sur le feu !

      Soucieux de respecter avant tout la Loi, dans un esprit de neutralité, conforme à l’indépendance d’esprit au service de l’intérêt général que confère le Statut, des DRH ont refusé d’appliquer des directives illégales sur les retenues des jours de grève. Ils expriment également leurs inquiétudes sur l’avenir de l’entreprise et du mode ferroviaire et ne veulent pas participer à leur enterrement en soutenant cette réforme dogmatique et la parodie de concertation.

      Les cheminots de tous collèges se retrouvent ainsi dans une véritable solidarité pour refuser le tunnel sans fin de l’austérité, les restructurations permanentes, le « bashing » anti-cheminots impulsé et nourri d’en haut et défendre un service public de qualité à nos concitoyens.

      Quant à la tentation de tordre le bras à la Loi, la direction devrait y prendre garde. Déjà, des cheminots grévistes ont obtenu réparation par la justice de retenues effectuées en 2016 avec remboursement des retenues illégales et paiement des frais d’avocats par l’entreprise ! Si la direction persiste, d’autres suivront !

      Cheminots de tous collèges, de tous Statuts, refusons la casse de l’entreprise publique.

      Face à cette posture dogmatique du comité exécutif bien à l’abri dans ses « bunkers » qui expose sa ligne hiérarchique, nous invitons l’encadrement, notamment celui de proximité, à se tourner vers les élus UFCM-CGT pour les accompagner, les aider, voire poser la problématique du prêt de main d’œuvre illicite.

      Portons de véritables alternatives : Ensemble pour le fer.

      Inscrivons-nous massivement dans le mouvement
      des 8 et 9 avril 2018.

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      7 avril 2018 6 07 /04 /avril /2018 23:24
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      7 avril 2018 6 07 /04 /avril /2018 23:04

      Le deuxième épisode de grève "perlée" des cheminots débute ce samedi à 19 heures. La SNCF prévoit à nouveau un trafic perturbé, notamment en Normandie.

      Par CM

      Après un début de semaine compliqué, les usagers du train ont bénéficié de quelques jours de répit. Mais cela ne va pas durer. Le second épisode de grève "perlée" des cheminots contre la réforme ferroviaire débute ce samedi à 19 heures et doit s'achever ce mardi à 8 heures le matin.

      La direction de la SNCF annonce pour les 8 et 9 avril un trafic "très perturbé", notamment en Normandie, l'une des régions les plus touchées par ce second épisode avec la Bourgogne, la région Paca et le Limousin. Néanmoins, l'entreprise publique annonce également que le taux de gréviste déclaré ce dimanche est inférieur à celui enregistré en début de semaine: 35% ce 8 avril contre 48% les 3 et 4 avril.
      Commentaire : Curieux ces chiffres.  Paris-Normandie titrait, le  3 avril :  "SNCF : 33,9 % de grévistes au total contre 35,4 % le 22 mars, selon la direction".  La direction de la SNCF - à moins que ce ne soient les journalistes un peu perdus par les annonces - s'embrouillerait-elle dans les chiffres ?
      Au niveau national, seuls un TGV et un Intercité sur 5 circuleront ce dimanche.
      Source et suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/greve-sncf-redemarre-ce-samedi-19-heures-trafic-nouveau-tres-perturbe-normandie-1454637.html
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      6 avril 2018 5 06 /04 /avril /2018 10:58
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      6 avril 2018 5 06 /04 /avril /2018 10:50
      Comment un bus vincennois nous fait voyager jusqu'à Bruxelles...par Jean LEVY Comment un bus vincennois nous fait voyager jusqu'à Bruxelles...par Jean LEVY
      Comment un bus vincennois nous fait voyager jusqu'à Bruxelles...par Jean LEVY

      De Vincennes à Bruxelles

      par Jean LEVY

      Chacun ressent au quotidien une détérioration continue de ses conditions de vie.

      Par exemple, la population qui doit emprunter un bus en banlieue ou (et) à Paris pour se rendre ou revenir du travail constate une diminution drastique du nombre d'autobus sur sa ligne habituelle.

      Le fait est général, aussi bien dans la capitale  que dans l'ensemble de la région parisienne, encore plus perceptible dans les lointaines banlieues.

      A Vincennes, par exemple, le bus qui m'est familier, le 118 qui relie le Château de Vincennes à Rosny,  se fait de plus en plus rare. On attend parfois jusqu'à 20 minutes d'attente en heures creuses. Mais le soir, au retour du boulot, ou le matin en s'y rendant, on doit patienter jusqu'à 15 minutes. Et dans Vincennes, en direction du Château, donc du métro comme du RER A, le bus arrive plein à craquer, les gens sont tassés comme des harengs dès la porte avant. Il arrive même qu'il brûle des arrêts, faute de place ! 

      La suite ici sur le blog "canempechepasnicolas":http://canempechepasnicolas.over-blog.com/-92

       

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