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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
21 juillet 2024 7 21 /07 /juillet /2024 15:09

Cet article est reposté depuis Mouvement de la Paix Corrèze.

Déclaration : Pas de trêve pour la paix et la justice au Proche Orient - Pour le cessez-le-feu à Gaza

La France et plusieurs autres puissances sont occupées dans des séquences électorales aux enjeux majeurs, et la plupart des médias sont concentrés sur les festivités des Jeux Olympiques (durant lesquels le Mouvement de la paix appelle les Etats à agir pour la trêve olympique demandée par l’AG de l’ONU). Nous n'oublions pas que de nombreux pays du monde sont plongés dans l'horreur de guerres sanglantes et confrontés à des politiques guerrières et à l'augmentation des budgets militaires, au détriment des besoins des populations.
 
La situation à Gaza est devenue "apocalyptique" selon un responsable de l'ONU... Selon l’OMS, « plus de 100 000 habitants de Gaza sont morts, blessés, disparus ou présumés morts » dont une majorité de femmes et d'enfants. Les instances de l'ONU parlent d'un risque de Génocide. Les infrastructures de l'UNRWA, son agence pour les réfugiés, sont délibérément ciblées par l'armée israélienne. La population entière est menacée d'extermination par la famine, le manque d'eau et de soins médicaux du fait du blocage de l'aide humanitaire par Israël.
 
13 ONG qui sont présentes à Gaza dont MSF, OXFAM dénoncent l’obstruction par Israël de l'aide humanitaire et une intensification des attaques contre la population. Le 13 juillet, une zone déclarée sûre pour la population a été attaquée faisant plus de 90 victimes. Hôpitaux, écoles, universités, rien n’est épargné. C'est à une véritable destruction de Gaza que se livre Israël en totale violation du droit international ; de l'ONU et de toutes ses résolutions ; au mépris des injonctions de la Cour Pénale Internationale, ignorant les tentatives de négociation pour un cessez-le-feu (y compris celle formulée en juin par les États-Unis).
 
Les responsables de ces crimes de guerre y compris ceux du Hamas (pour les actes criminels du 7 octobre) devront répondre de leurs actes devant la justice internationale. Mais pour le moment aucune mesure concrète de sanction n'est mise en œuvre par l'ONU, la France ou l'Union Européenne comme cela a été fait pour la Russie, et pas non plus d'embargo sur les armes.

Lire la suite ci-dessous

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22 octobre 2023 7 22 /10 /octobre /2023 23:22
Le dollar pourrait souffrir des sanctions contre Moscou [Ruptures]

« Nous allons mettre l’économie de la Russie à genoux » avait fanfaronné le ministre français de l’économie, quelques jours après l’entrée des troupes russes en Ukraine. Bruno Le Maire se réjouissait à l’avance de l’efficacité redoutable des sanctions que l’Union européenne s’apprêtait à prendre contre Moscou.

Dix-huit mois plus tard, peut-on faire un premier bilan ? Certes, les onze paquets successifs de « mesures restrictives » pilotées par Bruxelles n’ont pas été sans conséquences sur les prix, la croissance et la monnaie russes. Au moins dans un premier temps. Mais de nombreuses études montrent – que ce soit pour le déplorer ou pour s’en réjouir – qu’on est loin, très loin des espoirs de M. Le Maire et de ses collègues. Et plus le temps passe, plus apparaissent des signes que lesdites sanctions sont contre-productives au regard des objectifs occidentaux.

Le cas des exportations russes de pétrole est à cet égard très significatif.

… La suite de l’article est réservée aux abonnés

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18 février 2023 6 18 /02 /février /2023 15:38
Chomsky et Prashad : Cuba n’est pas un État parrain du terrorisme
Vu sur le blog Histoire et Société
Deux intellectuels mondialement connus en appellent au gouvernement de Biden pour qu’il en finisse avec le blocus criminel contre Cuba. Dès maintenant il est possible d’en finir avec la disposition inique de Trump plaçant Cuba dans les Etats terroristes. Nous appuyons en France, à Marseille cette disposition et nous vous invitons à venir le dernier dimanche de chaque mois de 14 heures à 17 heures place du général De Gaulle pour vous joindre à la protestation que nous organisons depuis deux ans. Partout dans le monde, les amis de Cuba réclament la fin de cette injustice qui veut que la première puissance du monde étrangle un petit pays digne, souverain et humaniste. (note et traduction de Danielle Bleitrach histoireetsociete)

Par Noam Chomsky et Vijay PrashadCet article a été produit par Globetrotter.

Noam Chomsky est linguiste, philosophe et activiste politique. Il est professeur lauréat de linguistique à l’Université de l’Arizona. Ses livres les plus récents sont Climate Crisis and the Global Green New Deal: The Political Economy of Saving the Planet et The Withdrawal: Iraq, Libya, Afghanistan, and the Fragility of U.S. Power.

Vijay Prashad est un historien, éditeur et journaliste indien. Il est rédacteur et correspondant en chef chez Globetrotter. Il est éditeur de LeftWord Books et directeur de Tricontinental: Institute for Social Research. Il est chercheur principal non résident à l’Institut Chongyang d’études financières de l’Université Renmin de Chine. Il a écrit plus de 20 livres, dont The Darker Nations et The Poorer Nations. Ses derniers livres sont Struggle Makes Us Human: Learning from Movements for Socialism et (avec Noam Chomsky) The Withdrawal: Iraq, Libya, Afghanistan, and the Fragility of U.S. Power.  Source: Globe-trotter

Cuba, un pays de 11 millions d’habitants, est sous embargo illégal du gouvernement des États-Unis depuis plus de six décennies.

Malgré cet embargo, le peuple cubain a été en mesure de transcender les indignités de la faim, de la mauvaise santé et de l’analphabétisme, tous trois étant des fléaux sociaux qui continuent de troubler une grande partie du monde.

Grâce à ses innovations dans la prestation des soins de santé, par exemple, Cuba a pu envoyer ses travailleurs médicaux dans d’autres pays, y compris pendant la pandémie, pour fournir une assistance vitale. Cuba exporte ses travailleurs médicaux, pas le terrorisme.

Dans les derniers jours de l’administration Trump, le gouvernement des États-Unis a remis Cuba sur sa liste d’États soutenant le terrorisme.

C’était un acte vindicatif. Trump a déclaré que c’était parce que Cuba accueillait des groupes de guérilla colombiens, ce qui faisait en fait partie du rôle de Cuba en tant qu’hôte des pourparlers de paix.

Cuba a joué un rôle clé dans l’instauration de la paix en Colombie, un pays ravagé par une terrible guerre civile depuis 1948 qui a coûté la vie à des centaines de milliers de personnes. Pendant deux ans, l’administration Biden a maintenu la politique vindicative de Trump, qui punit Cuba non pas pour le terrorisme mais pour la promotion de la paix.

Biden peut retirer Cuba de cette liste d’un trait de plume. C’est aussi simple que cela. Lorsqu’il était candidat à la présidence, Biden a déclaré qu’il annulerait même les sanctions plus sévères de Trump. Mais il ne l’a pas fait. Il doit le faire maintenant.

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3 novembre 2022 4 03 /11 /novembre /2022 16:00
Ruptures - Attention : l’édition d’octobre est parue…

L’édition de Ruptures n°119 est sortie des presses le 27 octobre

Au sommaire :

– l’éditorial qui revient sur la soudaine fortune du terme « sobriété », synonyme post-moderne d’austérité, au moment où le chef de la diplomatie de l’UE décrit cette dernière comme un jardin merveilleux, menacé d’invasion par le reste du monde

– un éclairage sur la flambée des prix de l’énergie, qui pourrait provoquer une désindustrialisation en Europe, et qui résulte des sanctions anti-russes et contre-sanctions, des taxes climatiques, mais aussi de la libéralisation qui prend désormais Bruxelles à son propre piège

– une analyse des contradictions d’intérêts entre les Vingt-sept, dont les divisions sont apparues au grand jour lors du Conseil des 20 et 21 octobre, notamment à propos du plafonnement du prix du gaz, ainsi que d’un nouveau fonds de solidarité – même Paris et Berlin s’écharpent

– un point sur la réunion inaugurale, le 6 octobre, de la « Communauté politique européenne » qui rassemble membres et non-membres de l’UE, le sommet de Prague s’étant transformé en forum anti-Poutine

– une analyse détaillée des élections du 25 septembre en Italie, à l’issue desquelles la « post-fasciste » Giorgia Meloni a pris la tête d’un gouvernement qui a immédiatement donné des gages à Bruxelles et à l’OTAN – pas vraiment ce qu’espéraient les électeurs

– une analyse du scrutin bulgare du 2 octobre, le quatrième en dix-huit mois ; mais cette fois, la question vitale de l’énergie a dominé la campagne, ce qui a permis aux forces pro-russes de progresser dans un pays de plus en plus polarisé

– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves

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20 octobre 2022 4 20 /10 /octobre /2022 00:03

Jusqu’à présent, le soutien de la Chine en faveur de l’invasion de l’Ukraine par la Russie est des plus francs.

Source : News Week, Michael Gfoeller, David H. Rundell
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

Notre système traditionnel d’alliances politiques et économiques mondiales est en pleine mutation, et rien ne montre plus clairement ce changement que les diverses réactions à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Alors que les États-Unis et leurs alliés les plus proches en Europe et en Asie ont imposé des sanctions économiques sévères à Moscou, 87 % de la population mondiale a refusé de nous suivre. Les sanctions économiques ont rassemblé nos adversaires dans une résistance commune. Ce qui est toutefois beaucoup plus inattendu, le déclenchement de la deuxième Guerre froide a également conduit des pays qui étaient autrefois considérés comme nos partenaires ou comme des pays non alignés à devenir de plus en plus pluri-alignés.

Ce glissement est particulièrement manifeste dans le secteur de l’énergie où, contrairement à ce qui se passe pour les devises, les gouvernements ne peuvent pas simplement imprimer ce dont ils ont besoin. Ici, le réseau de sanctions devient une passoire.

L’Arabie saoudite, depuis longtemps un partenaire américain fidèle, a noué une alliance étroite avec la Russie au sein du cartel OPEP Plus. Les Saoudiens ont très publiquement décliné la demande d’un président américain qui souhaitait un accroissement de la production pétrolière. Au lieu de cela, ils ont importé du pétrole russe pour leur usage domestique afin de pouvoir exporter une plus grande partie de leur propre production. La semaine dernière, ils ont même réduit leur production et ont clairement indiqué qu’ils pourraient le faire à nouveau.

[...]

La suite sur le site Les Crises :

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8 septembre 2022 4 08 /09 /septembre /2022 14:14

I. Histoire de sanctions

De l’émergence de la notion moderne de « guerre économique » à la politique des sanctions

Les notions de guerre économique et de sanctions économiques ont une longue histoire, une histoire dépasse largement les événements actuels et la guerre menée par la Russie en Ukraine. Pour tenter de comprendre les évolutions actuelles, il faut donc reprendre l’histoire des sanctions économiques depuis leur apparition dans les années 1920. Il faut ensuite prendre en compte la taille réelle de l’économie russe mais aussi ses relations avec l’économie mondiale et le rapport des forces entre ce que l’on appelle « l’occident » et les autres pays. Il faut enfin considérer analyser ces sanctions, le contexte d’interdépendance qui était celui existant entre la Russie et les pays de l’UE en février 2022 et l’impact de ces sanctions sur l’économie russe. Cela conduit à se poser la question de la pertinence des sanctions prises à partir de mars 2022 mais aussi de leur capacité à provoquer un changement substantiel dans la politique russe. En réalité, on peut penser – ou craindre selon les points de vue – que ne survienne un puissant « effet boomerang » qui perturbe bien plus les économies des pays de l’UE et engendre de fortes tensions sociales que l’impact de ces sanctions sur l’économie russe.

[...]

La suite ci-dessous :

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21 mai 2022 6 21 /05 /mai /2022 16:25

Nous exhortons la France et l’UE à mettre fin à l’impunité dont bénéficie Israël en prenant des sanctions immédiates contre les crimes de guerre et pour protéger les libertés fondamentales d’expression et d’information.

>> Signez la pétition sur Change.org

Le mercredi 11 mai, à Jénine, Israël a franchi un pas supplémentaire dans les violations du droit et dans les crimes de guerre : Shireen Abu Akleh, journaliste américano-palestinienne de 51 ans, a été assassinée par l’armée israélienne d’une balle en pleine tête. Elle portait son gilet pare-balles barré du mot "PRESSE". Un autre journaliste, Ali Samoudi, a été touché d’une balle réelle dans le dos.

Shireen Abu Akleh, 51 ans, journaliste de terrain expérimentée, a été l’une des premières correspondantes d’Al-Jazeera en Palestine. Pendant 25 ans, elle a rendu compte de la résistance palestinienne en couvrant les guerres, les attaques et les agressions de l’occupation israélienne contre les Palestiniens. Le Premier ministre israélien a donné à ses soldats un permis de tuer. Ils en usent et en abusent y compris contre les journalistes. Les crimes de guerre israéliens sont connus, documentés, et durent depuis des décennies mais aucune sanction de la part de la communauté internationale. Jusqu’à quand ? L’Union européenne se déclare choquée par le meurtre de Shireen Abu Akleh. Prendra-t-elle enfin des sanctions contre Israël ?

Nous exhortons la France et l’UE à mettre fin à l’impunité dont bénéficie Israël en prenant des sanctions immédiates contre les crimes de guerre et pour protéger les libertés fondamentales d’expression et d’information.

 

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18 mai 2022 3 18 /05 /mai /2022 16:42
Journaliste palestinienne assassinée par Israël : des sanctions s’imposent - Déclaration de l'AFPS

Ce matin, mercredi 11 mai, à Jénine, Israël a franchi un pas supplémentaire dans la violation permanente du droit et dans les crimes de guerre : Shireen Abu Aqleh, journaliste américano-palestinienne de 51 ans a été assassinée par l’armée israélienne d’une balle en pleine tête.

Un nombre important de soldats de l’armée d’occupation avaient pris d’assaut la ville de Jénine et bouclé une maison pour arrêter un jeune Palestinien. Des confrontations avec des dizaines de jeunes palestiniens s’en sont suivies.

Shireen Abu Aqleh qui portait un gilet pare-balle barré du mot « PRESS » a été touchée par une balle réelle à la tête. Elle est décédée.

Un autre journaliste, Ali Samoudi, a également été touché d’une balle réelle dans le dos. Il a précisé « les forces d’occupation ont ciblé directement les journalistes. »

Des témoins ont déclaré que les soldats ont tiré à balles réelles en direction de jeunes Palestiniens et des équipes de presse.

Le 25 avril 2018, le journaliste palestinien Ahmed Abu Hussein succombait à ses blessures dans la bande de Gaza. Un soldat israélien l’avait visé par balle. Un autre journaliste, Yasser Mortaja, était mort sur le coup de la même manière. Ces deux journalistes couvraient la “marche du retour.”

Les journalistes palestiniens (et parfois internationaux) sont soumis quotidiennement à des restrictions de déplacements et à des interdictions d’accès, à des confiscations ou destructions de leur matériel, à des arrestations. Selon un décompte de Reporters Sans Frontières, en quatre ans, au moins 144 journalistes palestiniens ont été victimes de violations de la part des forces de l’ordre israéliennes dans la bande de Gaza, à Jérusalem-Est et en Cisjordanie : tirs de gaz lacrymogènes, balles en caoutchouc, coups de matraques, grenades assourdissantes, tirs à balles réelles...

Shireen Abu Aqleh, 51 ans, journaliste de terrain expérimentée a été l’une des premières correspondantes d’Al Jazeera en Palestine. Pendant un quart de siècle, elle a été au cœur des actions de la résistance palestinienne pour en rendre compte. Faisant fi du danger, elle a couvert les guerres, les attaques et les agressions de l’occupation israélienne contre les Palestiniens.

Israël tente de bâillonner ceux qui documentent les crimes de guerre, comme il l’a fait en désignant comme terroristes les ONG de défenses des droits humains palestiniennes. Israël assassine les journalistes, celles et ceux qui résistent : 11 jeunes du village de Beita, village qui refuse la colonisation de ses terres ont été assassinés par l’armée israélienne en une année.

Le premier ministre israélien a donné à ses soldats un permis de tuer. Ils en usent et en abusent y compris contre les journalistes.

Les crimes de guerre israéliens sont connus, documentés. Ils durent depuis des décennies. Ils n’entrainent cependant aucune sanction de la part de la communauté internationale. Jusqu’à quand ? L’Union européenne se déclare choquée par le meurtre de Shireen Abu Aqleh. Prendra-t-elle enfin des sanctions contre Israël ?

L’AFPS transmet ses condoléances les plus sincères à la famille de Shireen Abu Aqleh. Elle transmet sa solidarité aux journalistes palestinien·nes et aux comités de résistances populaires qui la côtoyaient quotidiennement.

Elle exhorte la France, l’Union européenne de mettre fin à l’impunité dont bénéficie Israël depuis toujours en prenant des sanctions immédiates. Les crimes de guerres doivent être sanctionnés de la même manière où qu’ils soient perpétrés.

Le Bureau national de l’AFPS
Le 11 mai 2022

Photo : capture d’écran Al Jazeera

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30 avril 2022 6 30 /04 /avril /2022 14:39
 Une raffinerie du géant russe du pétrole Gazprom Neft près de Moscou. © AFP - Natalia Kolesnikova

Une raffinerie du géant russe du pétrole Gazprom Neft près de Moscou. © AFP - Natalia Kolesnikova

Les peuples européens risquent de payer le prix cher pour cette guerre qui n'est pas la leur.

Maudite soit la guerre !

Gaz et pétrole : en pleine guerre en Ukraine, Moscou empoche le jackpot

Alors que Moscou est accusé d’exercer un "chantage" à l’énergie après avoir coupé le robinet du gaz à la Bulgarie et à la Pologne, un nouveau rapport d’un centre de recherche indépendant, publié mercredi, révèle que la Russie a tiré d’importants profits de ses exportations d’hydrocarbures depuis le début de la guerre en Ukraine. Surtout grâce à l’Europe.

Pendant la guerre, les affaires continuent. Et pour la Russie, les exportations d’hydrocarbures se sont révélées très lucratives malgré l’avalanche de sanctions internationales, selon un rapport publié, mercredi 27 avril, par le Centre for Research on Energy and Clean Air (Crea), un centre de réflexion basé en Finlande. 

Moscou a, en effet, gagné 63 milliards d’euros en vendant du gaz, du pétrole ou du charbon depuis le 24 février, date à laquelle les troupes russes ont entamé leur offensive en Ukraine, d’après les estimations des experts du Crea.

[...]

La suite sur le site de France 24 :

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12 janvier 2021 2 12 /01 /janvier /2021 11:22
 Vue générale montrant la colonie juive de Kiryat Arba à Hébron, en Cisjordanie sous occupation israélienne, le 19 novembre 2019 (image d'illustration). © REUTERS/Mussa Qawasma

Vue générale montrant la colonie juive de Kiryat Arba à Hébron, en Cisjordanie sous occupation israélienne, le 19 novembre 2019 (image d'illustration). © REUTERS/Mussa Qawasma

L'annonce a été faite par le Premier ministre israélien, ce lundi. Benyamin Netanyahu veut faire avancer la construction de plus de 800 logements dans des colonies israéliennes de Cisjordanie, territoire palestinien occupé. Cette déclaration intervient alors qu'Israël est en campagne électorale, mais elle tombe aussi à moins de dix jours d'une alternance politique aux Etats-Unis.

Lire la suite sur le site de RFI : https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20210111-isra%C3%ABl-netanyahu-veut-acc%C3%A9l%C3%A9rer-de-nouveaux-projets-de-construction-dans-les-colonies

Fin Octobre, Michael Lynk, rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des droits humains dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967 avait alerté et mis en garde la communauté internationale.  Depuis aucune réaction.  Il proposait, non pas de bombarder Israël, comme cela a été fait, sans mandat international,  pour l'Irak, l'Iran, ou plus récemment pour la Syrie, mais de décider de sanctionner Israël.

« La responsabilisation doit être à l’ordre du jour », a-t-il déclaré. « Les produits des colonies devraient être interdits sur le marché international. Les accords, existants et proposés, avec Israël devraient être revus. La base de données de l’ONU et les enquêtes en cours à la Cour Pénale Internationale devraient être soutenues ».

Article ci-dessous :

Un expert de l’ONU en appelle à la responsabilité alors qu’Israël enregistre le taux le plus fort de permis de construire des colonies illégales

 

GENÈVE (30 Octobre 2020) – La récente annonce du gouvernement israélien sur son approbation de la construction de près de 5 000 logements supplémentaires dans les territoires palestiniens occupés constitue une grave violation du droit international, a déclaré aujourd’hui un expert indépendant des droits humains.

« La communauté internationale doit répondre à cette grave violation du droit international par plus que de simples critiques », a déclaré Michael Lynk, rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des droits humains dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967. Au début de ce mois, un comité de planification du ministère de la défense a approuvé des plans pour 4 948 maisons supplémentaires.

« Alors que les colonies israéliennes continuent de dévorer la terre destinée à l’État palestinien indépendant, la communauté internationale observe, s’oppose parfois, mais n’agit pas », a déclaré Lynk. « Il est grand temps de rendre des comptes ».

La suite ci-dessous :

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