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Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].
Un logement pour toutes et tous, contre le logement cher, contre les expulsions locatives, agissons le 27 mars 2021 ! Communiqué unitaire CGT, FSU, Solidaires L a ministre déléguée au logement a annoncé le report de la trêve hivernale des expulsions locatives du 31 mars au 1er juin 2021. C’est la deuxième fois depuis le début de la crise sanitaire en mars 2019 que le ministère du logeme
1ère Photo : travaux de sécurisation du groupe d'immeubles où a eu lieu le dernier effondrement de balcons sur Sotteville-lès-Rouen. 2ème photo : un balcon du Flandre lors de notre passage avec France 3 Normandie.
Nous vous avons longuement parlé sur le site du problème des balcons de la barre d'immeubles hlm du Flandre à Sotteville-lès-Rouen, d'une part car ils symbolisent vraiment l'absence de sérieux des bailleurs ( en l’occurrence ICF Habitat), et d'autre part, car vu l'ampleur des dégâts et l'importance du site sur l'agglo rouennaise, nous avions pu faire un reportage conjoint avec France 3 Normandie, suite à l'appel d'un citoyen lanceur d'alerte. Au moment d'écrire cet article les balcons sont toujours condamnés, et les travaux n'ont pas encore débuté... cela fait donc plusieurs années d'inaction, et un bailleur qui ne cesse de minimiser le problème...
Et bien pendant ce temps d'autres sites, appartenant à d'autres bailleurs sociaux, voient les accidents se multiplier, le dernier en date, lui aussi sur Sotteville-lès-Rouen, est l’effondrement le lundi 20 avril, d'un balcon d'une résidence hlm appartenant au Toit Familial à proximité du mythique Stade d'athlétisme Jean Adret. Ce balcon tombant sur un autre, ce sont donc deux logements et autant de familles qui auraient pu être blessées voir pire... [...]
La suite ci-dessous :
Les balcons s'effondrent, les bailleurs font la sourde oreille, et les habitants payent...
Nous vous avons longuement parlé sur le site du problème des balcons de la barre d'immeubles hlm du Flandre à Sotteville-lès-Rouen, d'une part car ils symbolisent vraiment l'absence de sérieux...
Manifestation le 6 avril à Berlin contre « le délire de l’explosion des loyers ». Le cortège a rassemblé près de 30 000 manifestants. Steffi Loos/Getty Images/AFP
Face aux actionnaires de sociétés d’investissement qui se sont emparées des immeubles et font grimper les prix, les locataires mobilisés lancent une procédure référendaire.
Les immeubles de certains quartiers du centre de la capitale allemande découvrent ces jours-ci des façades méconnaissables aux yeux des touristes éberlués. Aux fenêtres de nombreux appartements, sur les balcons, des pancartes et des banderoles ont été installées. Comme un jaillissement décoratif impromptu, comme un cahier de doléances mural géant contre l’appétit des requins de l’immobilier, revendiquant « l’arrêt de la valse des expulsions » et « le droit de vivre et de se loger à Berlin ». La lutte contre « le délire de l’explosion des loyers », selon la formule vedette de ces immenses fresques, est au cœur d’une mobilisation citoyenne hors normes.
Les locataires berlinois, comme ceux des grandes villes du pays, ont envahi la rue samedi 6 avril. À Berlin, le cortège a rassemblé près de 30 000 manifestants. La hausse continue du prix des loyers pèse toujours davantage sur le pouvoir d’achat des plus modestes, les obligeant à migrer vers la périphérie. Un jeune brandit sa dernière quittance pour un deux-pièces : 1 408 euros, au lieu de 458 le mois précédent (avant de menus « travaux de modernisation »). [...]
La suite ci-dessous dans l'Humanité :
Allemagne. Les Berlinois veulent municipaliser leurs logements
Face aux actionnaires de sociétés d'investissement qui se sont emparées des immeubles et font grimper les prix, les locataires mobilisés lancent une procédure référendaire.
https://www.humanite.fr/allemagne-les-berlinois-veulent-municipaliser-leurs-logements-671500
Quelques jours après la catastrophe de la rue d’Aubagne et l’évacuation de nombre d’immeubles dont le délitement commence enfin à être pris en compte (1010 personnes, pour 106 immeubles évacués à ce jour), des propositions pour l’avenir commencent à (ré)apparaître de la part d’organisations et d’associations diverses. Nous ne doutons évidemment pas de la bonne volonté de celles et ceux qui les formulent dans ce climat d’émotion et de colère que nous partageons toutes et tous. Pour autant si plusieurs experts (en particulier l’architecte André JOLLIVET et le géologue Michel VILLENEUVE) soulèvent des questions pertinentes, si nombre de demandes apparaissent légitimes et si les propositions associatives sont une base de travail sur laquelle on peut s’appuyer, il nous semble que nombre des mesures préconisées en particulier pour la rénovation/reconstruction, ne résolvent globalement rien parce qu’elles ne s’attaquent pas à la racine du problème, quand elles ne font pas tout simplement la preuve d’une méconnaissance grave du sujet.
Il nous semble naturel que l’ANC 13 s’inscrive dans le débat
Elles sont de 4 niveaux :
1. La réponse immédiate à l’urgence sociale.
2. La mise à plat et la prévention des risques.
3. La mise en œuvre de la démolition (re)construction.
4. La condamnation des coupables.
[...]
La suite ici :http://rougemidi.fr/spip.php?article10104