Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
9 octobre 2018 2 09 /10 /octobre /2018 14:27
Guignolesque !Guignolesque !

Guignolesque !

5.octobre.2018 // Les Crises
 

 

Les pitreries qui ont entouré la démission de Gérard Collomb, pitreries somme toutes normales car nous avions oublié l’origine lyonnaise de Guignol, sont cependant politiquement significatives. La déclaration faites sur le parvis du ministère par le démissionnaire refusé puis accepté aussi.

Cette démission s’inscrit dans une séquence désastreuse mais logique pour Emmanuel Macron dont le pouvoir est aujourd’hui à nu et dont la méthode, mélange d’autoritarisme et de népotisme (ou de clientélisme), ne fonctionne plus. Ils se sont bien envolés les espoirs que certains plaçaient dans son élection. Emmanuel Macron ne doit sa survie politique qu’aux division et aux faiblesses de l’opposition.

[...]

La suite sur le site "Les Crises" :https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-guignol-ou-la-decomposition-de-la-macronie-par-jacques-sapir/

 

Partager cet article
Repost0
3 octobre 2018 3 03 /10 /octobre /2018 02:29

Les étudiants rouennais en kinésithérapie ont eu une bien mauvaise surprise en cette rentrée scolaire. La région Normandie a décidé d'équilibrer les tarifs des 3  établissements qu'elle gère. Une décision très défavorable aux rouennais. Leurs frais de scolarité passent de 185 à 4700 euros par an.

Par DM Claude

Partager cet article
Repost0
2 octobre 2018 2 02 /10 /octobre /2018 22:45
« Un peuple et son roi » ou À bas le roi, vive le peuple!

Je viens de voir le film de Schoeller. Certes, on peut lui reprocher des défauts dans l’exposé pédagogique des traits majeurs de années 1789-1793 : on peut regretter des manques, il y en, et, puisque le parti pris, d’ailleurs excellent, est très parisien, l’absence, notamment, de la référence au manifeste de Brunswick, à la Prusse donc (il est question de l’Autriche, de l’Espagne, de l’Italie, pas de la Prusse…), ou au conflit Jacobins-Gironde (évoqué par les seuls noms des protagonistes). Mais l’artiste est libre de ses partis pris, et le film, passionnant, permet de comprendre la logique de ce qui suit, c’est-à-dire la « Terreur » – en l’occurrence, des mesures de salut public au moment où la République est attaquée de toutes parts –, qui a permis à la France révolutionnaire de vaincre l’ennemi extérieur, en nourrissant le peuple combattant contre « les accapareurs » de farine affameurs.

Ce spectacle intelligent, dont les acteurs, tous remarquables, laissent éclater la satisfaction d’y avoir participé, montre comment se radicalise et se mobilise, vite et de plus en plus profondément, un peuple écrasé par la misère et la répression, voué au mépris de classe écrasant des nobles pour « les gens de peu », affiché à l’Assemblée, de plus en plus ouvertement partagé, au fil des mois, par les grands bourgeois à la Barnave, dont le discours du 15 juillet 1791 conjurant les élites sociales, les « propriétaires », de « finir la  » est heureusement mentionné. Pour le coup, alors que la catégorie du « genre » est devenue si réactionnaire et si anti-« classe », il rend un extraordinaire hommage à l’intelligence et à l’action des femmes du peuple, à la fois « patriotes » et « révolutionnaires », en nous rappelant que c’est la française qui a créé ce double concept, si pertinent sous l’Occupation comme aujourd’hui. Enfin, un des aspects les plus puissants du film consiste à montrer en quoi l’exécution du roi qui conspirait depuis 1789 avec l’Europe monarchique contre son peuple a incarné et scellé la rupture révolutionnaire : plus rien du vieux monde ne demeure sacré.

On comprend que, en face, il « les » rende malades, et parmi eux l’ordonnateur des convenances et élégances historiques Laurentin qui peine à supporter l’obligation (rarissime) d’inviter des « dissidents » à prendre la parole dans sa « Fabrique de l’ », d’ordinaire si bien huilée, et que la citation, fidèle, de textes de Robespierre, Saint-Just ou Marat fait crier au « léninisme ». Quelle belle mise en valeur par Schoeller que Marat, le meilleur d’entre tous, celui qui comprenait si bien tous les enjeux, et que la bourgeoisie diabolise depuis l’origine ! Les gens qui nous gouvernent, économiquement, politiquement et culturellement, aiment mieux les veaux nourris au lait « européen », nourriture qu’ils dispensent eux-mêmes si généreusement. Ce qui fait horreur à ces Thermidoriens, c’est l’émergence du nouveau monde, le vrai, celui où le peuple, secondé par des délégués dévoués à ses intérêts, constate que ses intérêts sont antagoniques avec ceux des grands possédants, se prend en main, et balaie le mépris qu’ont aujourd’hui conservé intact les privilégiés, et plus que tous, au sommet de l’État, la petite cohorte des inspecteurs des Finances et assimilés qui, assurés de l’impunité, aiment tant insulter le peuple français.

Franchement, tout ça donne envie de reprendre ses manuels de la Révolution de Mathiez, de Lefebvre, de Soboul.

Vive la formation des militants! Vive le cinéma progressiste!

Annie Lacroix-Riz, historienne, qui a eu l’honneur de suivre comme agrégative les cours à la Sorbonne d’Albert Soboul, grand historien, communiste et juif, révoqué en 1942 par Vichy, résistant, brillant thésard du grand Georges Lefebvre.

Source :https://www.initiative-communiste.fr/articles/culture-debats/un-peuple-et-son-roi-ou-a-bas-le-roi-vive-le-peuple/

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2018 7 30 /09 /septembre /2018 16:26

Politologue (titulaire d’un doctorat du Centre de recherches politiques de Sciences Po) et enseignant à l’université de Bretagne occidentale (UBO), Thomas Guénolé fait partie de cette nouvelle génération d’intellectuels de gauche qui accepte de mener la bataille des idées directement dans les médias dominants pour faire contrepoids au discours néolibéral. En 2017, il a rejoint la France insoumise dont il codirige l’école de formation. Dans son dernier livre, « Antisocial : La guerre sociale est déclarée » (Plon, 2018), il déconstruit les “fake news” de la propagande antisociale pour combattre les fausses évidences, lutter contre la résignation et amener chacun à se mobiliser.

Le Comptoir : Les différentes mesures de démantèlement de l’État social sont régulièrement présentées sous l’angle de la modernisation de l’économie et de l’adaptation du modèle français au monde globalisé d’aujourd’hui. Vous rappelez pourtant dans votre livre que la retraite à 65 ans correspond à la situation qui prévalait en 1910 et que l’uberisation renvoie aux ouvriers de la fin du XIXe siècle payés à la tâche. Comment expliquer ce paradoxe ?

Thomas Guénolé : C’est la technique de la diabolisation. On n’argumente pas sur le fond : on se contente d’accoler à la cible des épithètes négatives, on s’accole à soi les épithètes positives antonymes, et l’on répète le tout en boucle. En l’occurrence, cela consiste à répéter que les protections sociales, les droits sociaux, les services publics, sont “archaïques”, “rigides”, ou encore qu’ils “nuisent à la compétitivité” ; tandis que les mesures qui cassent ces protections, ces droits et ces services publics, elles, symétriquement, sont réputées “modernes”, “flexibles” et “compétitives”. Cela permet de pratiquer en permanence le stratagème rhétorique du choix caricatural : soit vous êtes pour le projet politique de l’Antisocial ; soit vous êtes contre la modernité et la flexibilité, ce qui fait de vous un archaïque rigide. Sur le fond, cette argumentation est un tissu de mensonges. Par exemple, parler de “modernisation” de la SNCF alors que la réforme consiste à revenir au marché ferroviaire d’avant 1936, cela ne tient pas. Mais si l’argumentaire des partisans de l’Antisocial est faux, pourquoi est-ce devenu le discours dominant ? Pour cette raison simple et glaçante que la propagande, ça marche.

 

En 1968, le psychologue Robert Zajonc a conduit l’expérience suivante : il a exposé des cobayes à des mots ne signifiant rien dans aucune langue, en variant l’intensité de l’exposition. Le résultat était que plus les mots leur étaient matraqués, plus les cobayes développaient une opinion positive à leur endroit bien qu’ils n’aient aucun sens. Par ailleurs, la neurologie nous apprend que quand le cerveau humain se fait asséner en boucle qu’il doit penser ceci ou qu’il doit avoir envie de cela, notre libre-arbitre est protégé par le cortex préfrontal : mais cela signifie réciproquement que quand nous sommes peu concentrés, inattentifs ou fatigués, comme c’est le cas de millions de Français lorsqu’ils subissent le bruit de fond de la télévision ou de la radio, la propagande rentre facilement dans notre cerveau. C’est suivant ce mécanisme que, sous l’effet du matraquage propagandiste des mass medias ayant presque tous cette ligne politique, le catéchisme de l’Antisocial a pris valeur d’évidence pour le grand public. Ses partisans ne prennent donc même plus la peine d’argumenter sur le fond : ils se contentent de traiter leurs contradicteurs d’hérétiques via divers qualificatifs d’excommunication :  “populiste”, “nationaliste”, “extrême”, par exemple. [...]

La suite ici :https://comptoir.org/2018/09/11/thomas-guenole-la-ligne-antisociale-gouverne-le-pays/

 

Partager cet article
Repost0
11 septembre 2018 2 11 /09 /septembre /2018 22:22
Mercredi, 12 Septembre, 2018 dans l'Humanité.
Pour les abonnés

Une prime et un week-end tous frais payés à Perpignan (Pyrénées-Orientales). Voilà ce que plusieurs soignants des cliniques du groupe Clinéa/Orpéa se sont vu proposer juste avant le week-end. Ce groupe, propriétaire d’un vaste réseau de maisons de retraite et de cliniques sous l’enseigne Clinéa, se présente comme le leader européen de la prise en charge de la dépendance. Lucien, infirmier dans la plus grande clinique de soins de suite de la région parisienne, n’en revient toujours pas. « Mon cadre de santé m’a demandé si cela m’intéressait de travailler deux nuits, samedi et dimanche, rémunérées en heures supplémentaires assorties d’une prime. Rien à débourser, ni train, ni hôtel, ni restaurant. Lorsque je lui ai demandé pourquoi cette proposition, il m’a chuchoté sa réponse à l’oreille : “parce qu’il y a un mouvement” », témoigne le jeune soignant. Quatre de ses collègues ont également été approchés. Deux ont accepté. « Que voulez-vous, un week-end à 500 euros, c’est tentant. » Lui a refusé.

« Des gens sont arrivés de Paris, Nîmes, Auxerre, Marseille »

Question d’éthique face à une pratique qu’il qualifie de « dégueulasse ! » Et d’autant plus que son employeur a en permanence l’œil sur la masse salariale. « Deux infirmiers, trois aides-soignantes ont en charge quarante patients. Les absences ne sont jamais remplacées. Et bien souvent ce sont des étudiants infirmiers et des vacataires qui assurent le service », précise-t-il.... [...]

Article intégral pour les abonnés ici :https://www.humanite.fr/clinique-quand-orpea-recrute-des-briseurs-de-greve-660584

lundi 10 septembre 2018 sur le site de la CGT

Démissions, arrêts de travail, sous-effectifs chroniques : les salarié.e.s de la Clinique La Pinède à Saint-Estève près de Perpignan, appartenant au groupe Orpea/Clinea, n’en peuvent plus !

Devant le refus de négociation de leur direction pour obtenir prise en compte de leurs difficultés, ils ont décidé de se mettre en grève le 4 septembre dernier.

La réponse des dirigeants ? Remplacer les grévistes par des intérimaires ou des salarié.e.s du groupe Orpea/Clinea d’autres départements !

Orpea se targue d’être « un des leaders européens de la prise en charge globale de la Dépendance, et dispose d’un réseau de 818 établissements (86 650 lits) répartis dans 10 pays en Europe, en Chine et bientôt au Brésil. » Son chiffre d’affaire s’affiche florissant, avec 700 millions d’euros en 2017, et le salaire de son Pdg en 2016, 1,3 million d’euros, témoignent de ces résultats.

Mais, Orpea n’en est pas à sa première grève :
 en février 2018, 35 salariés sur une cinquantaine, à la Clinique des Sorbiers à Issoire, avaient débrayé pour protester contre la baisse de leur salaire depuis le rachat de leur établissement par Orpea.
 en avril 2018, le licenciement de deux représentants du syndicat allemand VER. DI, qui diffusaient des informations sur le droit de grève avait provoqué de vives réactions contre les positions antisociales du groupe.

Déjà, en 2014, la CGT avait saisi la justice contre le groupe, pour pour dénoncer « la mise en place d’un système visant à infiltrer le syndicat et surveiller le personnel d’un groupe de maisons de retraite ».

Cette fois, les structures locales CGT ont décidé d’interpeller la Direccte pour obtenir de la direction des réponses à leurs revendications.

Une cagnotte de soutien aux grévistes est accessible ici.

Partager cet article
Repost0
9 septembre 2018 7 09 /09 /septembre /2018 13:45

Publié 08/09/2018 dans "Paris-Normandie"

Politique. Infiltration, pressions, cadeaux ou amendements clés en main, toutes les méthodes seraient bonnes pour parvenir à leurs fins. La démission de Nicolas Hulot a remis dans la lumière une profession qui la fuit d’ordinaire : les lobbyistes. Plongée dans les eaux grises du pouvoir...

[...]

Les termes sont nombreux pour désigner cette activité sulfureuse et vieille comme la politique. L’Union européenne en répertorie 11 000 à Bruxelles et on compterait une vingtaine d’ex-lobbyistes collaborateurs à l’Élysée. « C’est comme dans les polars, il faut suivre l’argent ! », assène le secrétaire national d’Europe Écologie Les Verts. « Une personne qui est salariée pour défendre des intérêts privés est différente des militants associatifs ou d’ONG, qui défendent par essence des choses qui ne sont pas à vendre, affirme David Cormand. Et puis leurs moyens n’ont rien à voir, à tel point que les lobbys des grandes entreprises ont cannibalisé l’expertise dans de nombreux domaines. Ça leur permet d’instiller le doute, de gagner du temps et ainsi maintenir un système qui leur rapporte », ajoute le Cantilien, qui dénonce les revolving doors, ces « portes tambours » empruntées entre public et privé par les hauts fonctionnaires ou les collaborateurs des politiques. Un « pantouflage » qui développe, quand elle n’est pas transparente, « une relation malsaine » entre le secteur privé et ceux qui sont censés le réguler. « On ne peut pas mettre sur un pied d’égalité ceux qui défendent des intérêts économiques et ceux qui défendent l’intérêt général, renchérit Jean-Paul Lecoq. Durant mon premier mandat sous Sarkozy, ils étaient identifiés, c’était clair. Aujourd’hui, on les voit moins à l’Assemblée, mais ils invitent beaucoup dans les restaurants alentour, pourvus de petits salons. Ils sont au pouvoir. La Macronie, c’est la technocratie et les lobbys. ». Rappelons que le premier ministre, Édouard Philippe, était directeur des affaires publiques de l’ ex-géant du nucléaire, Areva, entre 2007 et 2010.

Le député PC de la 8e circonscription de Seine-Maritime donne deux récents exemples : un « voyage d’étude » en Israël tous frais payés pour des députés et le couvercle de la cuve de l’EPR de Flamanville, devenu légal a posteriori, après un assouplissement des normes. « Bref, le déontologue de l’Assemblée Nationale doit avoir un paquet de boulot en ce moment ! »

« À chaque loi de programmation des finances, nous sommes inondés d’invitations, qui finissent toutes dans ma corbeille ! » Une pression et une « consanguinité » entre pouvoirs et lobbies dénoncées aussi par son collègue dieppois Sébastien Jumel (PC). Pour lui, il faut « renforcer les pouvoirs du Parlement et le contrôle des députés ». Mais nous n’en prendrions pas le chemin, car « les banquiers sont au gouvernement, Macron veut affaiblir l’Assemblée et le plus gros lobby, c’est celui de la pensée néolibérale ». Une « bonne connaissance des dossiers et une approche politique, pas technique, de ceux-ci » permettrait d’y échapper.

[...]

L'article intégral ici :https://www.paris-normandie.fr/accueil/des-pouvoirs-sous-influence--enquete-sur-les-lobbys-CC13669182

Partager cet article
Repost0
8 septembre 2018 6 08 /09 /septembre /2018 14:35
 
 
Partager cet article
Repost0
1 septembre 2018 6 01 /09 /septembre /2018 22:19

Le véritable bilan des grandes entreprises françaises

La démission de Nicolas Hulot du ministère de l’Écologie a mis au centre du débat public français la question du pouvoir des lobbies. Au-delà des lobbies les plus visibles, comme celui des chasseurs, qui aiment à se mettre en scène, la capture de la politique par les intérêts privés s’effectue aussi sous des formes plus discrètes, mais peut-être beaucoup plus dangereuses pour la démocratie, comme les pantouflages et conflits d’intérêts, la destruction de l’expertise indépendante, ou encore l’imprégnation idéologique de la haute fonction publique. Une question abordée dans la partie 8 du « Véritable bilan annuel des grandes entreprises françaises » que nous avons publié juste avant l’été : « Que font les grandes entreprises françaises à notre démocratie ? » Nous en publions ci-dessous un extrait, sur les nombreux liens entre le gouvernement actuel et ses conseillers et les groupes du CAC40. [...]

La suite ici :http://multinationales.org/Areva-Axa-Saint-Gobain-Havas-Veolia-Les-grandes-entreprises-toujours-aussi

Partager cet article
Repost0
27 août 2018 1 27 /08 /août /2018 15:38
Quand la haine antisociale se révèle au grand jour

Publié le 24 Août 2018

 

Insupportable attitude

d'une fondée de Pouvoir de la macronie

à l'APHP

 

Lire sur le site de Canaille Le Rouge :

Partager cet article
Repost0
4 août 2018 6 04 /08 /août /2018 18:27

Pour RT France, l'avocat Régis de Castelanau a livré son analyse sur le feuilleton politico-judiciaire Benalla, démontant la défense de l'ancien collaborateur et comptant une vingtaine d'infractions pénales de la part des protagonistes de l'affaire.

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents