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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
21 août 2019 3 21 /08 /août /2019 23:14
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21 août 2019 3 21 /08 /août /2019 07:17

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

Extraits :

"Au nom de la sécurité, toutes nos libertés sont menacées"

"Jean-Marie Delarue, nouveau président de la Commission nationale consultative des droits de l'Homme, s'inquiète du recul de nos libertés au motif de garantir la sécurité. "

"Pour cet ex-directeur des libertés publiques au ministère de l'Intérieur (1997-2001), le "point de départ" de ce recul est la loi "sécurité et liberté" d'Alain Peyrefitte en 1981."

Source : https://www.europe1.fr

"Loi antiterroriste en France : inquiétudes d'experts de l'ONU sur des atteintes aux libertés des Français

Les deux rapporteurs de l'ONU sur les droits de l'Homme ont fait part de leurs inquiétudes sur d'éventuelles atteintes à l'exercice notamment des libertés d'expression et d'association.

Source : http://https://www.europe1.fr

Et ça ne date pas d'E Macron et de C Castaner ... Dans les entreprises, la répression s'est accentuée, sur fond de régression sociale.
Goodyear: «La répression syndicale devient systématique»
Extraits
Avec Sarkozy ou Hollande, «la répression dans les boîtes a été constante»

«Maintenant, la direction nous envoie les huissiers quand on fait des réunions un peu improvisées. Une fois, des syndicalistes ont même été menacés de recevoir une facture pour le nettoyage des tables du self sur lesquelles ils avaient laissé des tracts. Comme si les documents de la CGT salissaient les tables! C’est bien la preuve d’un manque de respect vis-à-vis des syndicalistes.» (militante de la CGT Assistance Publique Hôpitaux de Paris ).

source : https://www.liberation.fr/france/2016/10/19/goodyear-la-repression-syndicale-devient-systematique_1522921

 

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12 août 2019 1 12 /08 /août /2019 09:50
Le personnel des urgences en grève à l'hôpital de Dieppe - 13 mai 2019

Le personnel des urgences en grève à l'hôpital de Dieppe - 13 mai 2019

SOUTIEN AUX GREVISTES PARTOUT EN FRANCE ! SOLIDARITE ET ACTION DES USAGERS

par J.M. Toulouse, membre du Conseil national du Parti de la démondialisation
le 24 juillet 2019

 

Liquidation de l'hôpital public sous l'impulsion de l'Union Européenne

Dans l’histoire de la France, l’hôpital public est passé d'une institution d'assistance et de charité à un établissement dispensateur d'actes techniques au service du malade. Ceci est le fruit d'une longue évolution, que Macron et son gouvernement entendent liquider sous l’impulsion, comme d’habitude, de l’Union européenne. Rappelons simplement que la loi HPST de Madame Bachelot est la mise en œuvre de la directive services qui a fait suite à la directive Bolkenstein. Afin de ne pas réanimer la mobilisation qui avait conduit à la suppression de cette directive, l’Union européenne a, en effet, adopté la directive services. Le gouvernement français de l’époque a alors décidé de la mettre en œuvre secteur par secteur. Ainsi a « surgi » la loi HPST, concernant les hôpitaux publics.
Alors oui les gouvernements (de droite comme de gauche) portent une lourde responsabilité. La première est d’avoir obéi à l’Union européenne, pour être dans « les clous » du néolibéralisme, la seconde est de l’avoir fait dans l’ombre, à l’abri du regard des citoyens, attachés à tous leurs services publics. Les résultats sont là, cruels et mortifères pour les citoyens qui ont eu, ou auront recours, à l’hôpital et à ses urgences, pour eux ou leurs proches.
L’objectif est toujours le même : livrer ce « marché juteux » au privé en paupérisant l’hôpital public et en le décrédibilisant aux yeux des citoyens.


Tous ceux qui dénoncent aujourd’hui la situation d’urgence dans laquelle sont plongés les hôpitaux publics, qui s’indignent de la fermeture des maternités et hôpitaux de proximité, ont eux, la responsabilité, de ne pas désigner les causes de la paupérisation des hôpitaux publics tout autant que de ne pas conduire des mobilisations pour y résister. Car, décidément, où que se tourne notre regard pour défendre le service public, plane l’ombre de l’Union européenne ! Ne pas le dire c’est se condamner à l’échec perpétuel. Et c’est bien la stratégie perverse de cette institution supranationale qui prive les citoyens du droit de décider de la société dans laquelle ils veulent vivre et des mécanismes de solidarité dont ils ont besoin.
Alors, puisque « l’Europe sociale » n’existe pas et ne peut exister, il est grand temps d’appeler à rompre avec les tabous qui aveuglent le camp syndical français et les organisations qui se réclament de la gauche notamment ! L’Union européenne, pilier du libre-échange, est la première responsable du démantèlement des services publics. Macron en est l’exécuteur servile. Comme le furent N. Sarkozy et F. Hollande, au grand bonheur du Medef, avide de rafler la mise !

La suite sur le site du Pardem ici : http://pardem.org/actualite/luttes/971-etat-d-urgence-pour-l-hopital-public

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8 juillet 2019 1 08 /07 /juillet /2019 14:51

Par Régis de Castelnau

1 - Un jour de neige, camions sur l'autoroute A47, en novembre 2013

2 - Cimetière des locomotives du fret à Sotteville les Rouen

Le Tribunal administratif de Montreuil a reconnu la responsabilité de l’Etat pour son inaction face à la pollution de l’air. Atlantico m’a interrogé sur le sens et la portée de cette décision. Je reproduis ici les termes de cette interview que l’on pourra directement retrouver sur leur site.

Atlantico. Le tribunal administratif de Montreuil a rendu une décision inédite mardi 25 juin : il a reconnu la responsabilité de l’Etat pour son inaction face à la pollution de l’air face à deux requérantes touchées par des problèmes pulmonaires. Quels sont les principes juridiques qui permettent de condamner l’Etat dans ce type d’affaire ? 

Régis De Castelnau. Cette décision n’est pas aussi inédite que l’on nous le raconte. Mais cette présentation relève de cette approche qui veut que l’on ne puisse pas faire confiance au gouvernement pour sauver la planète et qu’il faut s’en remettre au juge. Il y a là en fait une question juridique et judiciaire relativement complexe qui intervient dans un domaine sensible et à une époque où à la peur écologique, s’ajoute une course effrénée à la victimisation. Il faut sauver la planète, mais si au passage on peut se faire reconnaître un statut de victime et accéder à des indemnisations, c’est encore mieux. Un certain nombre d’affaires très spectaculaires ont caractérisé cette évolution comme le dossier du « sang contaminé », ou celui de « l’hormone de croissance », où les souhaits bien compréhensibles d’accéder à des soins permettant de pallier les effets de maladies invalidantes, ont débouché sur des tragédies. Dans les deux cas, ce sont les organismes publics en charge des soins et leurs dirigeants qui ont été mis en cause sur le plan pénal.  L’affaire de l’amiante est d’une autre nature. Les conséquences ont été considérables en termes de mortalité par l’exposition de centaines de milliers de travailleurs à ce produit qui s’est avéré létal. Et si la question qui s’est posée était une question de santé publique, elle relevait de la contradiction qu’il y avait entre la recherche de l’efficacité industrielle, voire du profit capitalistique et la nécessaire prévention pour préserver la santé des travailleurs soumis à ce produit. Question qui court depuis les débuts de la révolution industrielle où le Capital n’a pas montré un grand empressement à se préoccuper de la santé de ceux qui lui louaient leurs bras.[...]

La suite sur le blog "Vu du droit" : https://www.vududroit.com/2019/06/sauver-la-planete-le-boulot-du-juge/

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3 juillet 2019 3 03 /07 /juillet /2019 23:23
Sur Fr3 Normandie
INTERVIEW : pourquoi certains professeurs correcteurs du bac de l'académie de Rouen sont en grève ?

85 professeurs manifestent mercredi 3 juillet 2019 devant le lycée Galilée de Franqueville-Saint-Pierre, près de Rouen. / © Félix Bollez 85 professeurs manifestent mercredi 3 juillet 2019 devant le lycée Galilée de Franqueville-Saint-Pierre, près de Rouen. / © Félix Bollez

Malgré un nouveau délai pour saisir les notes des épreuves du bac, certains professeurs poursuivent leur grève et refusent de communiquer les résultats. Rencontre avec eux près de Rouen.

Suite de la lecture sur Fr3 Normandie  :

https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/seine-maritime/rouen/interview-pourquoi-certains-professeurs-correcteurs-du-bac-academie-rouen-sont-greve-1694314.html#xtor=EPR-521-[france3regions]-20190703-[info-titre1]&pid=726375-1458206835-639c8bda

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2 juillet 2019 2 02 /07 /juillet /2019 13:25

«Ce projet constitue une attaque sans précédent du réseau de la Direction générale des finances publiques (DGFIP) : il est destructeur en matière de missions et de service public à rendre aux usagers »

par Vincent Folliot sur Paris-Normandie

Les organisations syndicales montent au créneau pour dénoncer une présentation « trompeuse » du réseau des finances publiques dans l’Eure, censé être plus proche des usagers.

 

De g. à d. : Jean-Pierre Fontaa (CGT), Isabelle Laurent (Solidaires) et Fabien Dubost (FO) sont vent debout contre le remodelage du réseau territorial des Finances publiques (crédit photo : V. F/Paris-Normandie).

De g. à d. : Jean-Pierre Fontaa (CGT), Isabelle Laurent (Solidaires) et Fabien Dubost (FO) sont vent debout contre le remodelage du réseau territorial des Finances publiques (crédit photo : V. F/Paris-Normandie).

Pour faire passer la pilule, la direction départementale des Finances publiques prétend vouloir offrir davantage de proximité ... Et lance une concertation.  Avec en fond les économies de personnels ... Dans l'Etat-Macron, être pédagogue, c'est mentir.  Et concerter, c'est tromper ...

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14 juin 2019 5 14 /06 /juin /2019 16:22
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24 mai 2019 5 24 /05 /mai /2019 14:22

par

Devant l'hôpital de la Pitié-Salpétrière à Paris le 1er mai 2019 - Photo El Diablo

 

Selon les autorités, une partie des manifestants auraient « volé » le défilé du 1er mai à Paris. Depuis le cortège, et à écouter les témoignages, c’est un autre tableau qui se dessine. Au niveau de la Pitié-Salpêtrière et sur le boulevard Saint-Marcel, des milliers de personnes de tous âges ont été contenues dans une immense nasse, progressivement refermée à coups de matraques et de lacrymogènes. Une partie d’entre-elles ont dû se réfugier dans les halls d’immeubles pour éviter l’écrasement et la suffocation. Fidèles aux consignes données, les forces de l’ordre ont fait preuve d’une agressivité qui, loin de se limiter à ses adversaires déclarés, a brutalisé l’ensemble de la manifestation.

Sur le boulevard de l’Hôpital, Peu avant la charge (crédit Benoît L. / Bastamag)

Mercredi 1er mai, il y a ce qui s’est passé dans l’enceinte de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, dont le détail est maintenant connu. Et il y a ce qui s’est passé à l’extérieur, dans la gigantesque nasse de manifestants encerclés par la police et qui s’est prolongée pendant environ une heure, à l’intersection du boulevard de l’Hôpital et du boulevard Saint-Marcel, où Basta ! était présent. La partie centrale de la manifestation, très dense, compacte sur toute la largeur, n’y a pas seulement été bloquée, puis copieusement arrosée de lacrymogènes au moment de ladite « intrusion » dans l’hôpital, vers 16h15. Le cortège y a en fait, peu à peu, été littéralement disloqué à coups de matraques, de gaz, de grenades et de canon à eau.

Les dix minutes environ de la charge finale, qui a eu lieu autour de 17h, ont été interminables pour les milliers de personnes écrasées les unes contre les autres, sans autre échappatoire que les cages d’escaliers des bâtiments avoisinants pour celles et ceux qui ont pu s’y engouffrer. Suffoquant, crachant, se tenant les uns et les unes aux autres pour éviter de tomber et d’être piétinées, dans le stress des palets de lacrymogène qui s’abattaient sur les têtes, des explosions de grenades, puis des coups de matraques qui s’approchaient. Une scène de chaos provoquée par une manœuvre inédite des forces de l’ordre, du moins a priori à une telle échelle : transformer la traditionnelle « nasse » en étau, peu à peu refermé sur les manifestants.

Doctrine de « harcèlement » du black-bloc

« Ça castagnait devant nous, et aussi derrière nous, raconte Yoann, un manifestant coincé par la manœuvre. Toutes les rues étaient fermées, impossible de sortir, même pour ceux qui voulaient, poursuit le jeune homme, étudiant à Sciences Po Strasbourg. On avait peur. Il y avait des enfants, des personnes âgées. Des gens faisaient des crises d’angoisse. » « Il n’y avait aucune échappatoire, confirme Benoît, un autre témoin lui-aussi contacté par Basta !. Derrière, ça matraquait. C’est ce qui a fait paniquer les gens. De l’autre côté, il y avait des "voltigeurs" (brigades à moto, ndlr). Ils ont avancé, mais se sont arrêtés au carrefour, car il y avait trop de monde »

Jusque-là, la progression du cortège avait été tranquille, et même plutôt festive. De longs affrontements ont cependant eu lieu à Montparnasse avant son départ, entre 12h30 et 14h. Conséquence, semble-t-il, de la nouvelle doctrine policière de « harcèlement » visant à empêcher coûte-que-coûte la constitution d’un black-bloc. Pris au milieu des premières charges et des tirs de lacrymogènes, les fourgons des organisations syndicales, surmontés des traditionnels ballons aux couleurs des différentes centrales, se sont ensuite retrouvés noyés dans la foule.

« La manifestation était rouge, noire, jaune… c’était tranquille et motivé »

Une fois passées, en piétinant, les premières centaines de mètres, et notamment le goulet d’étranglement formé par les dizaines de policiers protégeant le restaurant La Rotonde – où Emmanuel Macron avait fêté sa qualification pour le second tour de la présidentielle en 2017 –, le spectacle d’un cortège interminable, dense, occupant la largeur du boulevard Montparnasse, s’offrait aux yeux [1]. Venus en nombre, toujours aussi déterminés, les gilets jaunes étaient mélangés aux autres manifestants dans un immense « cortège de tête » de plusieurs dizaines de milliers de personnes, qui a quasiment fini par devenir, ce 1er mai 2019, la manifestation en elle-même. Le cortège syndical, en effectifs réduits à l’essentiel, démarrait plus tard, en fin de défilé. Nombre de syndicalistes étaient déjà dans la première partie.

[...]

Légende : en bleu : le tracé de la manifestation. En rouge : la partie du cortège nassée jusqu’à 17h15 environ. En noir : les barrages et poussées policières (dont la position a donc évolué dans le temps). Cliquer sur la carte pour l’agrandir.

L'intégralité de l'article ici : https://www.bastamag.net/Tout-le-monde-voulait-echapper-aux-forces-de-l-ordre-comment-la-machine

 

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23 mai 2019 4 23 /05 /mai /2019 23:11

Le 22 mai, la journaliste du Monde Ariane Chemin a été convoquée par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Comme l’ont indiqué dans une tribune commune au quotidien les sociétés de journalistes, sociétés des rédacteurs et sociétés des personnels de 40 médias, « il lui est reproché d’avoir révélé, dans des articles sur les affaires d’Alexandre Benalla, des informations sur le profil et le parcours d’un sous-officier de l’armée de l’air, Chokri Wakrim, compagnon de l’ex-chef de la sécurité de Matignon, Marie-Elodie Poitout. »

Cette atteinte à la liberté d’informer fait suite à la convocation de trois autres journalistes (deux de Disclose et un de Radio France) par la DGSI, après leurs révélations sur l’usage des armes françaises vendues à l’Arabie saoudite dans le cadre de la guerre au Yémen. Le 22 mai, ce fut au tour d’un quatrième journaliste (Disclose encore) de recevoir une convocation [1].

Dans la ligne de notre chronologie des attaques du pouvoir contre le droit d’informer et d’être informé, nous publions ci-dessous le communiqué du SNJ daté du 22 mai. (Acrimed)

DGSI et journalistes : la récidive !


Ce 22 mai 2019, on apprend qu’un quatrième journaliste est convoqué par la Direction générale de la sécurité Intérieure (DGSI) dans le dossier des « Yemen Papers », ainsi qu’une consoeur du Monde pour un article concernant l’affaire Benalla, ça commence à faire lourd !

La DGSI va-t-elle se mettre à convoquer tous les journalistes qui révèlent des informations qui ne plaisent pas au pouvoir en place ?

La DGSI sait-elle qu’il existe dans la loi de 1881 sur la liberté de la presse, un principe sacré : la protection du secret des sources des journalistes sans laquelle il n’y a pas d’information de qualité ?

La DGSI va-t-elle faire courir à la France le risque d’être condamnée pour atteinte à la protection de ce secret ?

La DGSI va-t-elle pourchasser tous les journalistes qui, dignes de ce nom, exercent leur mission au service de l’information des citoyens et de l’intérêt général ?

Le Syndicat National des journalistes (SNJ), première organisation de la profession, réitère son soutien aux journalistes concernés, condamne cette nouvelle tentative d’intimider des journalistes et leurs sources, et rappelle au gouvernement français que la liberté de la presse est un marqueur important du degré de démocratie d’un pays.

Paris, le 22 Mai 2019

 

 

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8 mai 2019 3 08 /05 /mai /2019 23:08

Manifestations

ROUEN - Cours Clémenceau - 10h 30

LE HAVRE - Franklin - 10H 30

DIEPPE - Mairie - 10h30

Le 9 mai : Ensemble pour la Fonction Publique

Le combat contre le projet de loi fonction publique c’est une lutte pour la population, les agents, le progrès social (tracts fonction publique)

Depuis son arrivée au pouvoir, Emmanuel Macron a multiplié les attaques contre les agents de la Fonction publique : gel de la valeur du point, rétablissement du jour de carence, remise en cause de missions publiques, nouvelles et massives suppressions d’emplois, etc.
À présent, il s’attaque frontalement au Statut général avec un projet de loi aux dispositions dévastatrices.
En dépit de l’opposition de la plupart des organisations syndicales, le pouvoir exécutif presse le pas en escomptant faire adopter ce texte législatif fin juin au Parlement.
La CGT ne laissera pas faire cette oeuvre de démantèlement.
Pour faire grandir l’indispensable processus de mobilisation, elle passe au crible les principales mesures hautement nocives du projet de loi.

Retrouvez toutes les informations sur le site de la CGT FP en suivant ce lien.

Manifestations 10h30 :

Rouen, Cours Clemenceau
Dieppe, Mairie
Le Havre, Franklin

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