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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
19 avril 2016 2 19 /04 /avril /2016 21:31
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14 avril 2016 4 14 /04 /avril /2016 17:26

L'UL CGT de Dieppe posait un certain nombre de questions sur la cession de Davigel à Sysco le 24 février 2016.  Le nouveau directeur du site n'a pas répondu aux interrogations des responsables syndicaux et des salariés.

COMMUNIQUÉ DE L'UL CGT DIEPPE ET LA CGT DAVIGEL

Nous avons appris ce lundi 22 Février l’annonce du rachat de Brakes Group, propriétaire de DAVIGEL, par le groupe américain SYSCO, multinationale mondiale de la restauration hors foyer basée en Amérique du nord.

L’annonce de ce rachat, vraisemblablement prévu pour juillet prochain, intervient seulement trois mois après la cession de DAVIGEL par le groupe Nestlé à BRAKES GROUP détenu par BAIN Capital.

Le montant de l'acquisition de BRAKES GROUP 3,1 milliards d’euros comprend 2,78 milliards d'euros de reprise de dette qui était auparavant sous le contrôle du fond d'investissement «BAIN Capital Private Equity», a précisé SYSCO dans un communiqué.

Le syndicat CGT DAVIGEL accueil avec prudence cette annonce car plusieurs questions sont de mises concernant l’avenir de l’entreprise dieppoise…

  • Pourquoi ce rachat intervient-il aussi vite?
  • Ce montage financier n'était-il pas préparé de manière conjointe entre BAIN Capital et SYSCO qui devait déjà racheter BRAKES GROUP en 2007 ?
  • Que vont devenir les garanties structurelles et sociales obtenues par le syndicat CGT DAVIGEL lors de la cession avec le groupe NESTLE ?
  • Quelle garanties seront données en France et en Europe par le groupe SYSCO ?

Pour rappel, lors du rachat de DAVIGEL par BAIN CAPITAL, fond d’investissement américain spécialiste de la liquidation de l’emploi au profit de la finance, un projet avait été présenté et une procédure d’informations, consultations du comité d’entreprise avait été réalisée. Là rien! Ni aucune information, spécifique et précise, ni aucun dossier ne doivent à ce jour être présentés aux élus car la vente sera réalisée sur le continent Américain entre BAIN Capital et le groupe SYSCO.

Le syndicat CGT de DAVIGEL n’entend pas rester inactif pour autant et interviendra quand même dans toutes les instances afin d’avoir une vision précise de ce projet.

En cette période où l’état a décidé de casser le code du travail et de donner plus de liberté aux entreprises pour faire des salariés une variable d’ajustement. Nous exigeons de l’état d’intervenir dans la protection des salariés de DAVIGEL. En aucun cas le gouvernement ne doit faciliter la destruction des emplois au seul profit de la finance comme il le fait par sa politique mise en place depuis de nombreuses années avec le résultat que nous connaissons :

PLUS DE CHOMAGE, DE MISERE ET D’EXCLUSION.

La CGT DIEPPE, la Fédération du commerce CGT et le syndicat CGT DAVIGEL assurent encore une fois, les salariés de Davigel de son indéfectible engagement dans la préservation des emplois, des métiers et de la structure de DAVIGEL à long terme.

 

Lors du petit-déjeuner mensuel de l’association des entreprises du parc industriel d’Offranville. L'entreprise Davigel a été mise à l'honneur.

11/04/2016 à 17:34 par Camille Larher sur Les infos dieppoises

 

Les activités de l’entreprise Davigel présentées par son directeur technique Noël Clairouin (à gauche) et le directeur du site Michel Trégouet.

Les activités de l’entreprise Davigel présentées par son directeur technique Noël Clairouin (à gauche) et le directeur du site Michel Trégouet.

Les rencontres mensuelles de l’Association des entreprises du parc industriel d’Offranville ont le mérite de permettre à ses membres de mieux connaître les activités de ses voisins. Après la société Blosseville, c’est chez Davigel que la rencontre a eu lieu mercredi 6 avril. L’accueil a été assuré par Michel Trégouet, le nouveau directeur du site, assisté de Noël Clairouin, le directeur technique. Tous deux ont présenté les activités du groupe aujourd’hui repris par Brakes ainsi que les spécificités du site de production d’Offranville avant de proposer une visite.

Davigel, un savoir-faire

Le site Davigel d’Offranville compte 257 salariés en contrat à durée indéterminée et tourne en permanence avec 310 effectifs. Il produit 18 000 tonnes de produits dont 75 % de poissons dits « enrobés » en surgelé et le reste en salades composées réfrigérées.

« Nous avons neuf lignes de production, la spécificité du site d’Offranville est qu’il s’agit de lignes sur roulettes qui nous permettent une production très flexible », précise Michel Trégouet.

Les salariés travaillent en 3 x 8 dans l’unité des surgelés et en 2 x 8 dans l’unité salades réfrigérées.

« Trente à 50 recettes sont élaborées chaque jour, nous fabriquons jusqu’aux assaisonnements » est-il précisé.

La clientèle de Davigel est composée de 60 % de prestataires en restauration commerciale (traiteurs, restaurants, brasseries, etc.) et 40 % en restauration sociale (cantines scolaires, cantines des entreprises, hôpitaux), le secteur hospitalier est en plein développement.

Le rachat du groupe Davigel par Brakes ne semblerait qu’une étape puisqu’il serait question d’un rachat par le leader américain Sisco. « Ce serait intéressant de rejoindre ce groupe, leader mondial de la distribution de produits alimentaires, car cela ouvrirait des perspectives sur plus de 90 pays du monde entier. Nous en saurons plus en juillet prochain », a déclaré le directeur du site.

La suite sur Les infos.dieppoises

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12 avril 2016 2 12 /04 /avril /2016 10:04

Les « Panama papers » semblent pour l’instant minorer l’évasion fiscale étatsunienne. Il y a à cela diverses raisons qui n’ont rien à voir avec un mythique complot de la CIA. L’une d’elles est que l’évasion fiscale, bel et bien pratiquée par les firmes et les riches citoyens américains, peut se faire… sans quitter le pays, en bénéficiant de paradis fiscaux internes comme les états du Delaware ou du Wyoming.

[...]  Sur le blog de Jean Gadrey - http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey.

La suite en cliquant sur le lien ci-dessous.

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 13:50

Cet article est reposté depuis Le blog de Lucien PONS.

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 08:28

Cet article est reposté depuis Le blog de Lucien PONS.

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21 mars 2016 1 21 /03 /mars /2016 06:51

"Très intéressante étude, réalisée auprès de 800 PME allemandes, qui vient s’ajouter à l’excellente étude « Un accord transatlantique à quel prix pour les PME ? », publiée par l’Institut Veblen en octobre 2015. C’est important, à propos de ce projet de traité transatlantique (ou TTIP, ou TAFTA), de s’intéresser au sort des salariés, à celui des consommateurs et aux impacts écologiques. Mais l’avenir des TPE et PME est tout aussi crucial, si on admet que leur rôle sera essentiel pour réussir la transition écologique et sociale, relocaliser de nombreuses activités, développer des dynamiques économiques locales, etc. Ces petites et moyennes entreprises ont des statuts très divers et elles incluent des coopératives voire des associations ayant des salariés. Cela fait longtemps qu’elles sont, elles aussi, victimes du pouvoir économique excessif de la finance et des multinationales."

Source : BLOG JEAN GADREY

TAFTA contre les PME et les TPE
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19 mars 2016 6 19 /03 /mars /2016 23:07

Pour les banques françaises, l'argent coule à flot dans les paradis fiscaux. Source: Reuters
Pour les banques françaises, l'argent coule à flot dans les paradis fiscaux.

Plusieurs ONG dont Oxfam et le Secours catholique ont produit un rapport sur les activités bancaires françaises dans les paradis fiscaux. Malgré les effets d’annonces à répétition, elles sont encore très lucratives.

On devait les enterrer. Ils sont plus rémunérateurs que jamais. Les paradis fiscaux demeurent un terreau fertile pour faire pousser les graines du profit. Surtout chez les banquiers. En 2014, les établissements de l’Hexagone ont réalisé cinq milliards d’euros de bénéfices dans ces pays à la fiscalité très avantageuse. Et vous allez constater qu’il n’y a nul besoin d’aller faire du business sur une île des Caraïbes pour se mettre à l’abri de l’impôt. Les voisins de la France savent se montrer très accueillants.

Un tiers de leurs profits internationaux

Dans le top 5 des destinations privilégiées, peu d’exotisme. Mis à part Hong-Kong (436 millions €) et Singapour (336 millions €), c’est le Luxembourg (1,71 milliard €), la Belgique (1,66 milliard €) et l’Irlande (272 millions €) qui remportent les faveurs des banques tricolores.

Les paradis fiscaux ne sont pas une mince affaire pour ces institutions financières. Les sommes qui y sont engrangées comptent pour un tiers de leurs profits internationaux (15,3 milliards €). Au niveau des plus fervents adeptes de l’optimisation fiscale, on retrouve BNP Paribas et la Société générale. En valeur absolue, ce sont elles qui font les bénéfices les plus importants (2,4 milliards € et 1,3 milliards €). Mais les auteurs du rapport ont déniché un autre chiffre intéressant. Si l’on tient compte de la part de bénéfices réalisés dans les paradis fiscaux, c’est le Crédit mutuel-CIC qui l’emporte haut la main. La banque, qui vante ses «engagements mutualistes» et sa «responsabilité sociale», y réalise 44% de ses profits.

Des avantages conséquents

Évidemment, la première motivation concerne les taxes. En plus de taux d’imposition inférieurs, certains pays permettent de négocier sa fiscalité. Le rapport indique que la Société générale ne paie aucun impôt en Irlande alors que le taux officiel est de 12,5%. Sans parler d’un monde financier qui ne comporte pas les mêmes règles : «L'opacité qui règne dans les paradis fiscaux peut permettre aux banques de contourner leurs obligations réglementaires et d'y mener des activités spéculatives.»

La fiscalité clémente n’est pas la seule motivation des établissements bancaires. Il apparaît que leurs activités sont en moyenne 60% plus lucratives dans ces pays de cocagne. Selon le rapport, «pour un chiffre d'affaires de 1 000 €, les banques dégagent 362 € de bénéfices dans les paradis fiscaux contre 227 € dans les autres pays». C’est encore moins en France : 227€.

La productivité semble jouer. Les banquiers des paradis fiscaux seraient beaucoup plus motivés que leurs homologues français. Ainsi, on apprend qu’un financier de Singapour est 42 fois plus productif qu’un de ses pairs basé à la Défense. En moyenne, les résultats sont 2,5 fois meilleurs.

Le top reste tout de même la filiale sans employés. Le travail d’investigation des ONG nous apprend qu’aux Bahamas, aux îles Caïman ou à l’île de Man, les filiales des banques françaises ne déclarent… aucun salarié ! Le rapport soulève des questions. Comment la filiale de BNP Paribas aux îles Caïman arrive-t-elle à faire fonctionner ses deux banques de détail sans employés ?

Les principaux concernés se défendent. Ils respecteraient scrupuleusement les listes officielles de l’OCDE et de la France. Le Crédit mutuel-CIC est catégorique : «Nous refusons de travailler avec les pays non coopératifs et nous dénonçons toutes les transactions suspectes à Tracfin.» Le Luxembourg, en tête des paradis fiscaux préférés des banques françaises, ne fait plus partie de la liste des pays non conformes de l’OCDE. Depuis la fin 2015…

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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 17:27

"Alors que les cris d’alarme sur l’état de santé de l’économie mondiale se font de plus en plus nombreux, le Fonds monétaire international enfonce le clou quant à lui, exhortant États et gouvernements à reformer encore plus, voire même à redoubler d’efforts. Le FMI a ainsi mis en garde mardi contre les risques pesant sur la croissance économique mondiale, appelant à davantage d’actions concertées pour y faire face. Le numéro deux du Fonds, David Lipton aura même mis les pieds dans le plat, déplorant une impression générale « dangereuse » selon laquelle les responsables politiques ont épuisé leurs options pour relancer la croissance ou manquaient de volonté pour le faire, bref qu’ils baissaient la garde. Cela a au moins le mérite d’être clair. Mettant encore plus la pression, il a également recommandé que les efforts de relance prennent de l’essor, et en particulier ceux liés aux domaines budgétaires et monétaires, réclamant davantage de réformes structurelles."

Source : Le Blog Finance

Vu sur Les crises

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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 11:20
Un miracle de l’emploi en Espagne et en Italie ? Ah bon ! Où ça ?

Le président du Conseil italien a souhaité « bonne chance pour la loi sur le travail » à François Hollande. ©Denis ALLARD/REA

« En Italie, je le dis aux jeunes Français, les choses ont fonctionné : plus 764 000 contrats signés en CDI, affirmait le 8 mars dernier Matteo Renzi, lors du 33e sommet France-Italie. Avoir peur des nouveautés n’aide pas toujours. La nouveauté parfois peut vraiment changer la vie. Donc, je dis au président français bonne chance pour la loi sur le travail. », renchérissait le président du Conseil italien.

D’importantes réformes du droit du travail se sont constamment succédé depuis trente ans en France

Ces dernières semaines, les exemples italien ou espagnol, pays qui ont réformé récemment leurs marchés du travail, ont beaucoup servi à dénoncer un prétendu immobilisme français en la matière. Pourtant, d’importantes réformes du droit du travail se sont constamment succédé depuis trente ans en France. C’est d’ailleurs cette volonté constante de créer des exceptions et des dérogations supplémentaires – à la demande du patronat – qui a autant complexifié et fait gonfler le code du travail.

Les revendications du patronat entendues

Rien que sous la présidence de François Hollande, on peut recenser la loi Rebsamen adoptée l’an dernier, une importante loi Sapin en 2013 qui avait déjà beaucoup assoupli les plans sociaux, une réforme des retraites la même année, plus celle de la formation professionnelle intervenue en 2014, sans oublier les 43 milliards de baisses des « charges » du pacte de responsabilité… Depuis 2012, les revendications du patronat ont donc été bien entendues par l’exécutif.

[...]

Lire la suite en lisant l'article entier et en cliquant sur les liens ci-dessous.

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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 23:20

iceland.jpg

Iceland

L’Islande, l’une des nations les plus touchées par la crise bancaire, semble avoir complètement surmonté ses problèmes, et cette année, elle devrait être le premier pays du monde frappé par la crise de 2008 à dépasser le PIB le plus élevé qu’il avait atteint avant cette crise, rapporte ZeroHedge. Le pays est parvenu à ce résultat sans sacrifier son système social et les dépenses du gouvernement. Il y a encore quelques années, l’Islande est arrivée au bord de la faillite lorsque ses banques, qui au fil des ans s’étaient montrées bien trop audacieuses, se sont trouvées en situation de quasi-effondrement.

 

Selon le Fonds monétaire international (FMI) l’Islande a réussi à se remettre totalement de la crise, sans avoir compromis son modèle social qui prévoit la gratuité des frais de santé et d’éducation. Le pays, qui ne fait pas partie de l’Union européenne, n’a pu compter que sur lui-même pour se relever, et pour se faire, il a opté pour une approche très originale mais efficace.

A la différence des autres pays heurtés par la crise, l’Islande a laissé ses banques faire faillite, ne préservant que les comptes des ménages résidents. Les étrangers qui avaient placé leur argent dans les banques du pays ont tout perdu lorsque ces banques ont fait faillite. Ailleurs, dans le reste de l’Europe, de nombreuses banques ont été nationalisées car il n’était pas concevable qu’elles puissent faire faillite.

Le pays a également imposé des contrôles de capitaux. Par conséquent, les Islandais ne pouvaient plus investir ou placer librement leur argent à l’étranger, ce qui était, selon de nombreux économistes, contraire aux règles du marché libre. De plus, le pays n’est pas intervenu pour empêcher la dévaluation de la couronne islandaise, et il a toléré l’inflation. Celle-ci a provoqué une hausse des prix domestiques, mais elle a aussi eu pour effet de stimuler les exportations. Les pays de la zone euro ne pourraient tolérer une telle dévaluation ; celle-ci renchérirait les dettes nationales des différents Etats-membres.

Mais le plan semble avoir fonctionné. La dette nationale de l’année dernière ne représentait que 82% du PIB du pays, comparativement à 95% il y a quatre ans. À la fin de cette décennie, la dette devrait même continuer à baisser pour atteindre 54% du PIB. Le chômage a également baissé de façon spectaculaire, et actuellement, le taux de chômage s’établit à 4%, contre près de 8% en 2009.

De tels résultats soulèvent la question de la pertinence des politiques économiques qui ont été menées dans le reste de l’Europe ou aux États-Unis en réponse à la crise. Les banques n’auraient-elles pas dû supporter elles-mêmes les conséquences de la crise qu’elles avaient causée? D’après Zéro Hedge cette réussite contredit de nombreux économistes, notamment keynésiens, qui affirmaient que le soutien de l’économie était nécessaire pour sortir de la crise.

En outre, l’Islande a fait condamner les administrateurs de Kaupthing, l’une des principales banques de la nation, non seulement à des amendes, mais à des peines de prison allant de quatre à cinq ans. Lors de leur procès, le procureur spécial islandais Olafur Hauksson s’était posé la question de la responsabilité :

"Pourquoi devrions-nous tolérer qu’une partie de notre société ne soit pas soumise à la règle de droit ou qu’elle puisse échapper à ses responsabilités? Il serait dangereux de laisser quelqu’un devenir trop gros pour devenir l’objet d’une enquête. Cela laisserait l’impression qu’il existe un refuge sûr ».

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