Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
A noter que nos zélés commentateurs mettent en doute l'attentat. Normal. Ils reprennent les "éléments de langage" qu'on leur fournit.
Quelques exemples. Sur LCI, le commentateur évoque "un hypothétique attentat". Sur CNews, la chaîne de Vincent Bolloré, si attaché à la vérité, on présente ainsi l'information : "N. Maduro qui se dit victime d'un attentat" ... Et en bandeau il est pris soin de bien écrire "attentat" entre guillemets et pour une fois il n'y a pas de faute d'orthographe. Cela a dû être supervisé ...
A la suite de l'attentat qui a visé le président vénézuélien le 4 août, Michel Mujica, l'ambassadeur du Venezuela à Paris, a répondu aux questions de RT France.
[...]
Le haut diplomate vénézuélien est revenu, entre autres, sur les actions violentes qui ont marqué le Venezuela ces dernières années, évoquant notamment plusieurs «attaques contre des personnalités du gouvernement et de l'opposition pour déclencher une guerre civile».
Les producteurs américains sont touchés par la hausse des produits importés. Depuis le début de l'année, le prix de l'acier a augmenté de 33 %, celui de l'aluminium de 11 %. Le Monde | | Par ...
Le chiffre de la croissance au deuxième trimestre est politiquement décisif. Les estimations pour le troisième ne seront publiées qu'à la fin d'octobre, juste avant les élections de mi-mandat...
Écrit par Agnès Masseï jeudi 26 juillet 2018 sur le site de La Marseillaise :
Les grands équipementiers sportifs se détournent désormais de la Chine, devenue trop « chère », et lui préfèrent l’Indonésie, la Thaïlande et le Cambodge. Photo AFPAFP or licensors
Les maillots des champions du monde de foot arrivent bientôt sur le marché avec leurs deux étoiles. A la vente : 140 euros. A la production : 3 euros. Le collectif éthique sur l’étiquette met une nouvelle fois en lumière les pratiques des grands équipementiers sportifs. Quand les actionnaires empochent des dividendes colossaux, les travailleurs, eux, peinent à toucher « un salaire vital ».
VIDÉOS - Faisant fi du tollé suscité par sa rencontre avec le maître du Kremlin il y a trois jours, le président américain souhaite aller plus avant dans sa relation avec son homologue russe.
La critique de la présidence Trump n'a pourtant jamais été aussi unanime depuis lundi et la rencontre d'Helsinki. Les Républicains s'associent aux Démocrates pour dénoncer l'étrange russophilie présidentielle qui a poussé Donald Trump à désavouer les services secrets américains et donner raison au président russe lors de leur conférence de presse commune en Finlande. Le FBI estime que le Kremlin est intervenu pour influencer la campagne présidentielle de 2016 en faveur du candidat républicain. Les services craignent que les Russes ne réitèrent leur coup aux élections de mi-mandat, qui doivent se tenir en novembre 2018. Pour Donald Trump, les protestations d'innocence de Vladimir Poutine suffisent à balayer ces accusations. [...]
Déjà première puissance économique du monde si on tient compte des différences de pouvoir d’achat entre les grandes puissances, la Chine pourrait voir son PIB dépasser celui des Etats-Unis dès la prochaine décennie !
La Chine doit actuellement faire face à des vents contraires. Le pays a entamé un bras de fer commercial à haut risque avec les Etats-Unis et il pourrait perdre gros en cas d’escalade du conflit. D’autant que la Chine exporte massivement vers le pays de l’oncle Sam, à hauteur de 500 milliards de dollars. Et pourtant, le pays asiatique est bien parti pour ravir dans les prochaines années la place de 1ère économie mondiale à son rival d’outre-Pacifique.
En prenant un peu de recul, la dynamique suivie par la Chine et son économie paraît déjà enviable, sur longue période. Son produit intérieur brut (PIB), qui faisait jeu égal avec celui de la France il y a 13 ans, devrait lui être presque 5 fois supérieur cette année, se hissant à près de 13.000 milliards de dollars, selon les estimations du Fonds monétaire international (FMI). Sur plus longue période, l’évolution est encore plus spectaculaire, le PIB chinois ayant été multiplié par plus de 200 depuis 1960, d’après des données de la Banque mondiale. En particulier, la part du pays dans le PIB mondial est passée de moins de 2% en 1979, année du coup d’envoi des réformes et de l’ouverture au monde de l’Empire du Milieu, à 15% en 2017, ce qui en fait la deuxième économie mondiale derrière les Etats-Unis (24%), selon ce critère. [...]
Cet article sur la spéculation et la hausse des prix, s’inscrit dans un cycle de chroniques de notre ami Romain Migus, journaliste français qui a longtemps exercé son métier au Venezuela où il se trouvait encore il y a quelques semaines. Son témoignage est particulièrement opportun quand les médias français (on se demande bien pourquoi ?) désinforment. LGS
“On va aller faire les courses avant que les prix n’augmentent” me dit Paola, en rigolant.
Paola, c’est la cousine qui habite dans notre appartement. Elle est biologiste, et travaille à l’Institut vénézuélien de recherche scientifique. C’est une sportive, ainsi qu’une écologiste radicale, ce qui est assez rare dans ce pays pétrolier. Chaussures de montagne aux pieds et sac à dos sur les épaules, elle crapahute avec autant de dextérité à la campagne qu’à la ville. Quand elle est en mode rat des champs, elle rapporte toutes sortes de pousses de plantes, de mousses et d’autres espèces végétales qu’elle entrepose soigneusement dans des pots qui s’entassent dans le salon de l’appartement ou sur le rebord des fenêtres. Dans le cas présent, c’est plutôt le rat des villes qui m’intéresse. Ce matin, on va aller remplir le frigo et son sac à dos ne sera pas de trop.
« On va aller dans un supermarché et on achètera les légumes au marché de Coche, me dit Paola, ça nous reviendra moins cher ». Au contraire de l´année 2016, tous les produits sont désormais disponibles sur les étals et les files d´attente ont disparudevant les portes des supermarchés. Désormais ce sont les prix qui s´envolent chaque semaine. En un mois et demi passé à Caracas, les prix de la plupart des produits ont doublé. On comprendra donc que n´importe quelle discussion au Venezuela s´amorce par une catharsis nécessaire sur l´augmentation continuelle des prix à la consommation. [...]
A Johannesburg, les présidents chinois et sud-africain, Xi Jiping et Cyril Ramaphosa après une conférence de presse commune en prélude au Sommet des Brics ...
Si le Sommet des Brics, qui s'ouvre aujourd'hui à Johannesburg en Afrique du Sud, a pour thème la "croissance inclusive" et la "prospérité partagée", c'est surtout le contexte de "guerre commerciale" lancée par le président américain qui va donner le ton.
Le ministre russe de l’Économie, Maxime Orechkine, le déclarait déjà la semaine dernière : « La spécificité du sommet de Johannesburg, c’est le contexte dans lequel il se tient. » La « guerre commerciale » déclarée par le président amércain sera au centre de la réunion des dirigeants des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), qui se réunissent pour leur sommet annuel du 25 au 27 juillet à Johannesburg, en Afrique du Sud. [...]
Lancés il y a tout juste dix ans, les Brics, ces pays émergents qui rassemblent plus de 40 % de la population de la planète et 27 % du PIB mondial, tentent de contrebalancer des règles du jeu ...
C'est dans un contexte marqué par la guerre commerciale principalement entre les Etats-Unis de Donald Trump et la Chine de Xi-Jiping que les BRICS ont ouvert, mercredi 25 juillet 2018, leur 10e ...
Le dossier qui suit, a été réalisé sur base de données et de fiches réalisées par Christian Boigruf. Nous publions ici la cinquième partie.
Ce travail a donné lieu à un débat le 23 janvier 2018, débat organisé par Attac Bruxelles 2. Pour tout contact : christianboigruf [at] gmail.com
Voir aussi de précédents articles dans les courriers de Kairos Europe WB n°46 et 47 (www.kairoswb.com) sur le rôle de ces « intermédiaires » présenté notamment dans différents rapports de la Commission Panama Papers du Parlement européen.
Au commencement : une Commission des Nations-Unies consacrée aux sociétés multinationales. Dans les années 70, sous l’impulsion des pays en développement, elle pousse déjà à des bilans de sociétés établis géographiquement (par pays), proposition rejetée en 1977 sous l’influence des grandes multinationales. La Commission sera dissoute en 1993.
En parallèle, des firmes comptables décidées à mettre sur le côté la-dite Commission des Nations-Unies. Pour ce faire, une organisation privée des bureaux d’audits (IASC, puis IASB) lance des normes internationales de comptabilité alternatives, dès 1973. Elles tendent à rejeter toute référence géographique. Ces normes sont acceptées en 2001 par l’Union européenne.
La crise financière mondiale de 2008 pousse la société civile et des investisseurs responsables à réagir. L’OCDE, sous la pression du G20, et l’Union européenne s’engagent dans la voie du bilan comptable pays par pays, en matière bancaire et d’extraction minières, mais elles freinent toutes deux sur le caractère public d’un CBCR et tentent de le transformer en une question fiscale (exigeant l’unanimité des pays membres de l’UE), plutôt que d’y voir un aspect de transparence comptable lié à l’intérêt général, à la responsabilité citoyenne et nécessaire à l’investisseur.
Nous poursuivons la publication d’un cycle de chroniques de notre ami Romain Migus, journaliste français qui a longtemps exercé son métier au Venezuela. Dans ces récits-témoignages, il a choisi de nous parler de ce pays en partant du réel, de la vie de tous les jours, de nous rapporter des anecdotes, des discussions avec les autochtones. Bref, Romain Migus trace un tableau pointilliste, nous offre du vécu, plonge dans le profond de l’âme vénézuélienne, se garde des informations de seconde main, laisse à d’autres les analyses politiques subjectives. Ce parti pris d’écriture est chargé de cette fraîcheur qui déplaira aux cyniques dont les discours ne résisteront pas à l’épreuve du temps. LGS
9h du matin, Plaza Bolivar. Le centre de Caracas est dans sa plus normale effervescence. Les vendeurs de rues proposent des jus de fruits, des « tequeños » et des empanadas , très prisés lors du petit déjeuner. N´en déplaise aux ténors de l´industrie médiatique, il n´y a pas de mourants de faim à chaque coin de rue, pas de clochards ni mendiants. Les gens vont et viennent, affairés par leur train-train journalier. La crise et la guerre économique ne sont pas palpables dans l´espace public. La vie semble continuer en toute tranquillité. J´ai rendez-vous avec Enrique. Je l´attends à la Indiecita, situé dans une rue adjacente à la place Bolivar. C´est un café populaire qui sort tout droit des années 70. L´esthétique et la décoration n´ont jamais été modifié et nous renvoient à un autre temps : celui du boom pétrolier et de la Venezuela saoudite. Dans un coin, un tableau datant de cette époque. On y voit des hommes et des femmes buvant et faisant la fête, au cœur d´un paysage qui rappelle la région pétrolière du (...)
L’adoption cette nuit par la Knesset (le parlement israélien) de la loi sur « l’État-nation du peuple juif » est un événement majeur : c’est une loi « fondamentale » (l’équivalent de la constitution), et le vote, précipité ces derniers jours, survient aux termes de 7 ans de débat au cours desquels le président israélien s’est lui-même opposé au gouvernement.
Cette loi comporte plusieurs aspects d’une gravité exceptionnelle :
Elle officialise l’État d’apartheid en Israël même, en affirmant l’inégalité des droits de ses citoyens palestiniens arabes par rapport aux citoyens juifs : rétrogradation du statut de la langue arabe, possibilité de réserver des localités aux seuls citoyens juifs, droit à l’autodétermination réservé au seul « peuple juif ».
Elle foule aux pieds les dispositions du « plan de partage » définies par la résolution 181 de l’Onu, acceptée par Israël (de même que la résolution 194 sur le retour des réfugiés palestiniens) comme condition de son admission à l’ONU.
Elle met en danger les citoyens juifs dans le monde entier, en en faisant les parties prenantes de son projet suprémaciste et colonial : c’est un danger qui a été bien vu par 14 organisations juives américaines qui appellent à s’opposer à cette loi.
Elle officialise l’annexion de Jérusalem (y compris Jérusalem Est) ; elle cite dès la première ligne la « terre d’Israël » en même temps que l’« État d’Israël », renforçant l’ambiguïté sur ses frontières, qui n’ont toujours pas été définies ! Dans ce contexte, la phrase qui définit l’« implantation juive » comme une « valeur nationale » est lourde de menaces en termes systématisation de la politique d’annexion, de colonisation, de vols de terres, comme aujourd’hui à Khan Al-Ahmar.[...]
capture d'écran sur Enseignement privé CGT
Le PS, (secrétaire national, patron des députés et patron des sénateurs), rencontre pour une énième fois le gouvernement du duo Macron-Bayrou qui escompte appliquer une politique anti-sociale. Si je me trompais...
Les communistes chiliens saluent l'exclusion de Cuba de la liste des pays terroristes Santiago du Chili, 15 janvier (Prensa Latina) Le Parti communiste du Chili (PCCh) a salué aujourd'hui l'exclusion de Cuba de la liste des pays qui soutiennent le terrorisme...
En 2024, les 40 plus grosses entreprises françaises ont distribué un montant jamais vu de dividendes, estimé à 98,2 milliards d’euros, en dépit de résultats parfois en baisse. Dans ce monde en constante ébullition, il est des vérités rassurantes qu’il...
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Extrait de l'article : "Le jeune président du RN a récemment fait paraître un livre (titré Ce que je cherche) pour affirmer son identité politique. Il y assume implicitement une rupture avec la ligne précédente du parti sur l’Ukraine, estimant que les...
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