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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
17 août 2024 6 17 /08 /août /2024 09:33

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Des patients sur des brancards ce mercredi aux urgences de l'hôpital Jacques Monod. - CGT GHH

Des patients sur des brancards ce mercredi aux urgences de l'hôpital Jacques Monod. - CGT GHH

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1 juin 2022 3 01 /06 /juin /2022 22:37

La CGT et neuf syndicats et collectifs appellent à une journée d’action nationale le 7 juin prochain.

La carte des services d'urgence en difficulté en France. Infographie Humanité

La carte des services d'urgence en difficulté en France. Infographie Humanité

À Bordeaux, Rennes ou encore Oloron-Sainte-Marie, rares sont les hôpitaux épargnés par la crise de ces services vitaux. Partout, bricolages et bouts de ficelle soutiennent l’édifice. Pour combien de temps ? La parole à celles et ceux qui sont encore et toujours en première ligne pour pallier le manque de moyens.

Publié le Lundi 30 Mai 2022
 

Pour Mireille Stivala, secrétaire générale de la CGT santé et action sociale, il est plus que temps d’agir. « On se demande comment on va continuer à tenir avec les collègues qui démissionnent. Tant qu’il n’y aura pas d’augmentation significative des salaires et des recrutements massifs, ça continuera de se dégrader. » La CGT et neuf syndicats et collectifs appellent à une journée d’action nationale le 7 juin prochain.

1. Alerte rouge au CHU de Bordeaux

Les urgences du CHU, classé parmi les meilleurs du pays, ne peuvent plus accueillir les malades se présentant spontanément la nuit. Pour faire le tri à l’entrée de 17 heures à 22 heures : des bénévoles de la protection civile et un agent de sûreté chargés de la mise en lien avec le 15 (Samu). Entre 22 heures et 8 heures du matin, une seule personne répond à l’interphone. Du jamais-vu. « Est-ce que bientôt des bénévoles feront fonctionner tout le service ? Je ne reproche rien à ceux de la protection civile mais ce n’est pas comme avoir un infirmier régulateur à l’accueil », pointe Gilbert Mouden, représentant de SUD santé, avant de constater : « De nombreux malades arrivent désormais entre 8 heures et 9 heures du matin. Ils diffèrent leur entrée alors qu’il peut s’agir de pathologies graves. »

De son côté, Alain Es-Sebbar, secrétaire de la CGT de l’hôpital, relève que ce dispositif « pose des problèmes d’intimité. On demande aux patients ce qu’ils ont alors qu’ils sont les uns à côté des autres ». Cet aménagement est parti pour durer. 40 % des médecins manquent à l’appel et la pénurie de paramédicaux est réelle. « On nous dit qu’il va falloir apprendre à travailler comme ça, mais on ne s’y résout pas. Olivier Véran nous avait annoncé des milliers d’emplois pour l’hôpital public qu’on n’a jamais vu venir », déplore Gilbert Mouden. [...]

La suite sur le site de l'Humanité
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9 février 2021 2 09 /02 /février /2021 15:43
La destruction de l’hôpital public : le témoignage édifiant d’un médecin réanimateur au Centre Hospitalier du Belvédère à Mont-Saint-Aignan, près de Rouen !

La démolition de l’ Public a commencé de façon rampante il y a une quarantaine d’années et j’y ai assisté de l’intérieur, mais j’ai vraiment  pris conscience du processus lorsque, pour des raisons familiales, j’ai quitté mon CHU de formation et d’exercice, une fois le cursus de ma spécialité d’Anesthésie-Réanimation terminée au CHU du Kremlin-Bicêtre en 1984.

J’ai donc intégré le Centre Hospitalier du Belvédère à Mont-Saint-Aignan, en région Rouennaise. Maternité de 3300 accouchements par an, avec une activité de chirurgie gynécologique modérée. Je passe sur le parcours du combattant à travers les arcanes administratifs et la méconnaissance des statuts de l’Assistance publique par la DDASS de la Seine-Maritime qui ont failli me coûter 9 ans d’ancienneté dans mon exercice d’anesthésiste-réanimateur pédiatrique…

L'intégralité sur le site du PRCF, Initiative communiste :

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7 novembre 2020 6 07 /11 /novembre /2020 12:17

La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), rattachée au ministère de la Santé atteste que, "la baisse de 69.000 lits d’hospitalisation complète entre 2003 et 2017 est établie". ( Source LCI)

Le but : baisser les dépenses publiques, objectif réclamé dans toutes les recommandations annuelles du conseil européen ( alias la "commission européenne", gouvernement autocratique de l'UE ). Les gouvernements successifs ont donc, en France, diminuer les budgets de l'hôpital public : selon les syndicats hospitaliers, "la baisse est de 10% sur 10 ans, 8,4 milliards d'euros !"

Le personnel hospitalier, ainsi que les malades du Covid-19 en paient le prix aujourd'hui.

YG

Alors que la seconde vague frappe la métropole du Havre plus fort qu’ailleurs en Normandie, les soignants de l’hôpital Monod tirent la sonnette d’alarme sur l’épuisement qui se fait sentir dans les services mobilisés face au Covid-19.(©Illustration Adobe Stock)

Alors que la seconde vague frappe la métropole du Havre plus fort qu’ailleurs en Normandie, les soignants de l’hôpital Monod tirent la sonnette d’alarme sur l’épuisement qui se fait sentir dans les services mobilisés face au Covid-19.(©Illustration Adobe Stock)

Alors que Le Havre connaît une importante recrudescence des hospitalisations pour Covid-19, les syndicats alertent sur la situation des soignants, en première ligne dans la crise.

« Il y a une grande tension sur les médicaux et paramédicaux. Aujourd’hui, les collègues répondent présents, mais ils souffrent. » Alors que la seconde vague de Covid-19 semble frapper plus durement l’agglomération du Havre (Seine-Maritime) que la première, le syndicat Sud a tiré la sonnette d’alarme lors d’une conférence de presse donnée jeudi 5 novembre 2020, pour alerter quant à la situation des soignants à l’hôpital Jacques-Monod.

La suite sur le site d'actu-76 :

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