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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
9 mai 2016 1 09 /05 /mai /2016 17:37

Ukraine : Bolgrad hissera le drapeau Soviétique en opposition à la loi de "décommunisation"

Vendredi 29 Avril 2016 sur le blog de Nicolas Maury

Le Conseil du district de Bolgrad (à la frontière avec la Moldavie et la Gagauzie) dans l'Oblast d'Odessa décide de ne pas respecter la loi dite de "décommunisation" et hissera la bannière de la victoire pour les célébrations du 9 mai et la victoire contre le nazisme - article et traduction Nico Maury
 
Ukraine : Bolgrad hissera le drapeau Soviétique en opposition à la loi de "décommunisation"
 
Sous l'impulsion de la faction communiste, sous les couleurs de "Nova Derzava" (vitrine légale du Parti Communiste d'Ukraine) et de son leader Boris Kalcheva, les députés du Conseil du district de Bolgrad ont voté le rétablissement de la loi du 5 mai 2009 ("Sur la perpétuation de la Victoire dans la Grande guerre patriotique") autorisant que le drapeau rouge, avec la faucille et le marteau, soit hissé sur les bâtiments publics.

En outre, les députés ont majoritairement voté cette décision, contraire aux exigences de la loi dite de "décommunisation", en connaissance de cause. Le représentant de la cellule juridique de l'oblast d'Odessa, Nikolai Arnautova, n'ayant pas eu le droit à la parole.

Lors des élections locales du 25 octobre 2015, dans le district de Bolgrad (dans l'Oblast d'Odessa, district à la frontière avec la Moldavie et la Gagauzie), les communistes avaient remporté 11,01% des suffrages, ils étaient arrivés à la troisième place avec 4 élus.

 

Ukraine : Bolgrad hissera le drapeau Soviétique en opposition à la loi de "décommunisation"
 
 
Nicolas Maury
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8 mai 2016 7 08 /05 /mai /2016 09:13
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3 mai 2016 2 03 /05 /mai /2016 10:29

Communiqué du Comité Valmy :

lundi 2 mai 2016, par Comité Valmy

 

Des militants du Comité Valmy refoulés d’Odessa.
Ils voulaient manifester leur solidarité aux familles des victimes du massacre du 2 mai 2014.

Hier, dimanche 1er mai, trois militants du Comité Valmy, un ancien résistant français, Serge Lesou (90 ans) et sa fille Sylvie, Claude Roddier (dont le père résistant est né à Odessa) et sa fille Mireille, se sont rendus à Odessa, à l’invitation de familles des victimes de l’attentat du 2 mai 2014. Les services de sécurité ukrainiens leur ont interdit l’entrée dans la ville. Leurs passeports ont été confisqués et Ils ont dû passer la nuit à l’aéroport. Ils rentrent à Nice, aujourd’hui en soirée.

Le 2 mai 2014, 48 personnes, qui s’opposaient toutes au coup d’État qui avait chassé le président Viktor Ianoukovitch du pouvoir quelques mois plus tôt, avaient péri dans l’incendie de la Maison des syndicats d’Odessa dans laquelle ils s’étaient réfugiés, poursuivis par des nationalistes néo fascistes partisans de Maïdan qui leur ont lancé des cocktails Molotov. L’enquête diligentée par les autorités ukrainiennes concernant ce drame est toujours au point mort.
Deux ans après ce massacre Russia today précise que ses responsables n’ont pas été identifiés

Les services de sécurité ukrainiens prétendent empêcher les informations sur ce massacre et ses suites : ils ont également interdit d’entrée sur son territoire deux journalistes, un polonais et un allemand, qui menaient chacun leur enquêtes pour faire la lumière sur ces tragiques événements du 2 mai 2014 à Odessa.

Le régime policier qui sévit en Ukraine et Odessa a empêché toute commémoration importante ce 2 mai 2016 mais quelques centaines de personnes ont tout de même déposé des fleurs près de la place Koulikovo où cette tuerie néonazie a été perpétrée.

Comité Valmy
Paris, le 2 mai 2016

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 16:30

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26 avril 2016 2 26 /04 /avril /2016 13:16
Au Royaume-Uni, grève historique des urgences médicales

LE MONDE | • Mis à jour le | Par

 

Les "junior doctors" manifestent, mercredi 6 avril, devant le ministère de la santé, dans le centre de Londres.

En 68 ans d’existence, le Service national de santé (NHS), qui fait la fierté des Britanniques, n’avait jamais connu un conflit aussi radical. Mardi 26 et mercredi 27 avril, même les urgences ne seront pas assurées dans les hôpitaux anglais (Ecosse et Pays de Galles disposent de NHS autonomes). Les « junior doctors », catégorie comparable aux internes français, sont appelés à une « grève totale » pendant deux jours, entre 8 heures et 17 heures. Le mouvement devrait être fortement suivi tant le conflit qui les oppose au ministre de la santé, Jeremy Hunt, s’est envenimé ces derniers mois. « Ne venez à l’hôpital qu’en cas de véritable urgence. Sinon, allez voir votre pharmacien », conseille le site du NHS. Plus de 100 000 rendez-vous pris pour les deux jours de grève et près de 13 000 opérations, y compris des accouchements programmés, ont été annulés. Des médecins spécialistes ou plus gradés ont été appelés à la rescousse pour remplacer les dizaines de milliers de « junior doctors » qui doivent manquer à l’appel.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/international/article/2016/04/26/au-royaume-uni-greve-historique-des-urgences-medicales_4908846_3210.html#gYrM8KjFesOoM2pS.99

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25 avril 2016 1 25 /04 /avril /2016 16:07

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14 avril 2016 4 14 /04 /avril /2016 17:52

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 08:49

 

En Pologne, l’avortement sème la discorde

Maja Czarnecka Publié le

 

Ce cintre est le symbole de l’enfer des femmes", s’exclame Maria Kruczkowska. Cette sexagénaire est venue manifester, dimanche devant le Parlement, contre le durcissement de la loi sur l’avortement en Pologne. Une mesure proposée par des organisations pro-life. "C’est un symbole lisible pour les personnes âgées. C’est avec cet objet que les femmes se faisaient avorter avant la guerre", explique-t-elle, en tenant dans sa main un cintre métallique en fil de fer. "Cette loi ferait revenir la Pologne en arrière", poursuit-elle, alors que la foule scande "Non à une Pologne des fanatiques" et brandit des pancartes "Non à la charia catholique".

Comme elle, des dizaines de milliers de personnes ont manifesté à l’appel du nouveau parti de gauche Razem (Ensemble), à Varsovie et dans d’autres villes, leur opposition à l’interdiction totale de l’avortement, déjà strictement limité dans le pays depuis 1993.

Un compromis fragile entre l’Etat et l’Eglise catholique

Après la chute du communisme en 1989, où l’IVG était libre d’accès et pratiquée massivement, l’avortement fut limité à trois cas : risque pour la vie et la santé de la mère, grave pathologie irréversible chez l’embryon et grossesse résultant d’un viol ou d’un inceste. Depuis, aucune force politique, ni en faveur d’un durcissement, ni d’une libéralisation, n’a réussi à changer ce "compromis" délicat conclu entre l’Eglise et l’Etat. Mais, avec la victoire du parti Droit et Justice (PiS) lors des élections du mois d’octobre, les organisations pro-life et l’Eglise veulent aller plus loin. "En ce qui concerne la vie des ‘non-nés’, on ne peut pas en rester au compromis actuel exprimé dans la loi du 7 janvier 1993", ont écrit les évêques dans une lettre aux fidèles. Un appel qui a provoqué la colère de certains catholiques qui, en signe de protestation, ont quitté les églises au milieu de la messe.

Alors que la loi actuelle expose seulement le médecin qui pratique illégalement l’IVG à une peine allant jusqu’à deux ans de prison, le nouveau projet prévoit des sanctions plus lourdes. L’emprisonnement pourrait durer jusqu’à cinq ans et concerner également les femmes qui se font avorter. En outre, le nouveau ministre de la Santé veut limiter l’accès à la pilule du lendemain, qui ne serait accessible que sur prescription d’un médecin.

"On a peur. Cette loi vise les droits des femmes, on ne pourra plus faire d’examens génétiques. Une femme violée n’ira pas porter plainte de peur d’être surveillée", estime Monika Stobiecka, une étudiante de l’Université de Varsovie âgée de 25 ans. "Tout cela n’est qu’une énorme hypocrisie; les femmes se font avorter de toute manière, mais clandestinement, ou elles vont à l’étranger, en République tchèque ou en Allemagne", ajoute sa camarade Monika Szybka.

La semaine dernière, le chef du PiS, Jaroslaw Kaczynski, et la Première ministre Beata Szydlo ont exprimé leur soutien au projet, soulignant qu’il s’agissait d’une "opinion personnelle". Mais cela s’apparente à une consigne à suivre claire pour les élus du parti, proche de l’Eglise et fort d’une majorité absolue au Parlement. Selon le dernier sondage de l’institut CBOS, les Polonais sont en majorité pour le maintien de la loi actuelle.

"Le PiS lance une nouvelle guerre idéologique pour masquer ses difficultés à réaliser ses promesses sociales" , analyse le leader de Razem, Adrian Zandberg. "Les radicaux et les extrémistes au PiS, qui lors de la campagne n’étaient pas visibles, ont pris aujourd’hui la main."

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2 avril 2016 6 02 /04 /avril /2016 16:49

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1 avril 2016 5 01 /04 /avril /2016 22:19

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