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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
16 septembre 2019 1 16 /09 /septembre /2019 15:51
Des enseignants rassemblés le 17 juin au matin devant le lycée Saint-Saëns à Rouen pour protester contre la réforme du baccalauréat du ministre Blanquer. (Photo : PB)

Des enseignants rassemblés le 17 juin au matin devant le lycée Saint-Saëns à Rouen pour protester contre la réforme du baccalauréat du ministre Blanquer. (Photo : PB)

Les élèves des petits lycées doivent s’attendre à un choix de spécialités plus limité que ceux des grands établissements. Faute de moyens.

Catherine* est proviseure dans un lycée de l’académie de Créteil. Depuis la rentrée, elle accueille 140 élèves en première générale. Comme ses collègues, avec la réforme du baccalauréat, elle doit désormais composer avec les choix de spécialités de chacun.

A la fin de l’année scolaire, en juin, une dizaine d’élèves de seconde avaient souhaité suivre l’option intitulée « langues, littératures et cultures étrangères en espagnol ». La cheffe d’établissement a finalement choisi de ne pas ouvrir la spécialité et d’orienter les élèves vers les sept autres disciplines. « C’est notamment une question de poste. Nous nous sommes dit qu’on ne pouvait pas faire venir un enseignant pour quatre heures par semaine », explique cette représentante syndicale du Sgen-CFDT (Syndicat Général de l’Education Nationale). Le choix est également justifié par des problématiques d’emploi du temps mais, surtout, par des questions financières.

Toute spécialité qui s’ouvrira en plus sera financée sur une « marge » dont dispose chaque lycée

Au moment de préparer la rentrée, les établissements calculent les moyens dont ils vont disposer. Avec la réforme du lycée, de nouveaux éléments doivent être pris en compte. Le nombre de groupes de spécialités allouées correspond aux effectifs globaux des classes de première divisés par 35 et multipliés par trois. Autrement dit, en première, chaque « paquet » de 35 élèves donne droit à l’ouverture de trois spécialités pour l’établissement. [...]

Lire la suite ici : https://www.anti-k.org/2019/09/16/education-petits-et-grands-lycees-inegaux-face-a-la-reforme-blanquer/

ou ci-dessous sur Alternatives économiques :

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5 septembre 2019 4 05 /09 /septembre /2019 00:26

Oissel. Rentrée tendue au collège Charcot avec une grève décidée dès ce mardi par des personnels et enseignants de l’établissement.

 

La grève était suivie à 90% selon les personnels. (Photo Paris-Normandie)

 

Au collège Charcot, classé en REP (réseau d’éducation prioritaire) avec près de 480 élèves, répartis en une vingtaine de classes, professeurs et agents du collège s’inquiètent pour cette année scolaire : « Nous avons alerté l’inspection académique, sur la répartition du nombre d’élèves dans les classes », explique Marie-Hélène Duverger, professeur d’histoire et de géographie, et déléguée syndicale. « La ville s’agrandit, il y a davantage d’enfants et au collège, des classes ont dépassé leur niveau d’accueil », poursuit l’enseignante, postée mardi avec ses collègues grévistes aux portes de l’établissement. Dans chacune des quatre classes de 4e, le nombre d’élèves est de 27, pour 25 places. [...]

La suite ci-dessous

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4 septembre 2019 3 04 /09 /septembre /2019 14:29
Lycée Flaubert de Rouen le 4 septembre 2019 à 8h : assemblée générale des enseignants / © Photo : Raphaël DEH / France 3 Normandie

Lycée Flaubert de Rouen le 4 septembre 2019 à 8h : assemblée générale des enseignants / © Photo : Raphaël DEH / France 3 Normandie

"On demande des moyens pour avoir des effectifs allégés. Cette classe de Seconde qui a été supprimée par le rectorat à la rentrée a conduit à des effectifs à 35 élèves dans 10 classes.

Donc la réforme Blanquer on voit bien son but : c'est de vraiment surcharger des classes et faire des économies"

Voir l'article intégral sur Paris-Normandie :

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13 juillet 2019 6 13 /07 /juillet /2019 23:27

Dans l'académie de Rouen, des professeurs ont mis en place une cagnotte en ligne pour aider les correcteurs grévistes du baccalauréat à faire face aux retenues de salaire annoncées par le ministre .

ICI : https://www.paypal.com/pools/c/8gniz1uAhw

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3 juillet 2019 3 03 /07 /juillet /2019 23:23
Sur Fr3 Normandie
INTERVIEW : pourquoi certains professeurs correcteurs du bac de l'académie de Rouen sont en grève ?

85 professeurs manifestent mercredi 3 juillet 2019 devant le lycée Galilée de Franqueville-Saint-Pierre, près de Rouen. / © Félix Bollez 85 professeurs manifestent mercredi 3 juillet 2019 devant le lycée Galilée de Franqueville-Saint-Pierre, près de Rouen. / © Félix Bollez

Malgré un nouveau délai pour saisir les notes des épreuves du bac, certains professeurs poursuivent leur grève et refusent de communiquer les résultats. Rencontre avec eux près de Rouen.

Suite de la lecture sur Fr3 Normandie  :

https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/seine-maritime/rouen/interview-pourquoi-certains-professeurs-correcteurs-du-bac-academie-rouen-sont-greve-1694314.html#xtor=EPR-521-[france3regions]-20190703-[info-titre1]&pid=726375-1458206835-639c8bda

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8 mai 2019 3 08 /05 /mai /2019 23:39

- Le Havre : AG à 9h à Franklin, suivie d'une manifestation.

- Dieppe : manifestation à 10h30 devant la mairie.

- Rouen : manifestation à 10h30 au Cours Clémenceau.

- Évreux : manifestation à 14h au Bel Ébat.

Appel de la CGT Education
TOUS EN GRÈVE LE 9 MAI AVEC TOUTE LA FONCTION PUBLIQUE
Retrait des projets Blanquer

FAISONS DU 9 MAI LE POINT DE DÉPART D’UN MOUVEMENT DE GRÈVE DANS L’ÉDUCATION POUR OBTENIR LE RETRAIT DE LA LOI BLANQUER ET DES RÉFORMES DES LYCÉES, MAIS AUSSI DES MOYENS À LA HAUTEUR DES BESOINS !
ROUEN 10h30 Cours Clémenceau / AG éducation à l’issue de la manif salle Ostermyer (mairie annexe)
LE HAVRE 10h00 à Franklin / AG éducation à 9h00
DIEPPE 10h30 parvis de la mairie
EVREUX 14h00 Bel Ebat

Des maxima à 24 élèves en grande section de maternelle et en CP-et CE1 ainsi que 120000 postes de fonctionnaires qui ne seraient peut être plus supprimés : où est « l’arnaque » ?
Dans sa conférence de presse, Macron a annoncé qu’il pourrait revenir sur les suppressions de postes de fon
ctionnaires si c’est faisable. Les « experts » du gouvernement qui ont toujours jugé ces suppressions largement réalisables ne vont pas maintenant dire le contraire alors même que le président a annoncé des baisses d’impôts. Tant que nous n’aurons pas poussé le gouvernement Macron-Philippe à prélever sur les immenses profits des actionnaires pour augmenter les salaires de tous les salariés du public et du privé et pour renforcer les services publics, c’est le choix de l’austérité que le Président fera.
Dans le cadre de l’austérité, la promesse des maxima à 24 se fera à moyens constants. Les postes nécessaires pour tenir ces maxima déjà bien élevés, seront pris sur les autres niveaux et principalement dans le second degré grâce en partie aux réformes des lycées qui représentent une véritable arme de destruction massive de postes. Et pas un mot sur les AESH dont le statut que nous revendiquons n’est toujours pas à l’ordre du jour.
Les annonces Macron sur l’école trahissent surtout l’inquiétude du gouvernement face au mouvement de grève dans l’éducation contre la loi Blanquer, les réformes des lycées et les suppressions de postes qui prend forme et s’organise. Dans de nombreuses académies, de grosses Assemblées Générales se sont réunies, votant par endroits la reconduction de la grève sur plusieurs jours et des actions en dehors des appels nationaux à la grève du 19 mars et du 4 avril qui ont à chaque fois fortement mobilisé. C’est cette mobilisation forte qui a poussé Blanquer et Macron à faire une concession qui tient du seul tour de passe-passe, espérant faire oublier la loi Blanquer et son lot d’attaques tous azimuts : devoir de réserve, établissement des savoirs fondamentaux, création d’un statut d’AED-enseignant, écoles internationales pour riches (EPLEI) etc...
Continuons la mobilisation tous ensemble !
Loi Blanquer, réformes des lycées, suppressions de postes, gel des salaires, suppression des CHSCT alors que rien n’est vraiment fait pour lutter contre la souffrance au travail, affaiblissement des Commissions paritaires, fusion des rectorats, sont inadmissibles... Personnels des écoles, des lycées, des collèges, des rectorats, le 9 mai nous avons toutes les raisons d’être en grève avec les autres salariés de la fonction publique qui subissent les mêmes attaques que nous.
Macron, Philippe et Blanquer sont affaiblis par le mouvement social des gilets jaunes. Pour l’éducation et pour toute la fonction publique, nous avons la possibilité d’asséner un grand coup le 9 mai. Soyons nombreux en grève, dans la rue, et dans les Assemblées Générales pour discuter des suites.

Ci-dessous, appel sur le site du SNES

Lire ci-dessous l'appel de Sud Education

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8 mai 2019 3 08 /05 /mai /2019 23:33

Manifestations

ROUEN - Cours Clémenceau - 10h 30

LE HAVRE - Franklin - 10H 30

DIEPPE - Mairie - 10h30

Défense des services publics - Si vous ne payez plus de fonctionnaires, vous paierez des actionnaires - Jeudi 9 mai 2019 - Grèves et manifestations en Seine-Maritime - Le Havre, Dieppe, Rouen
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8 mai 2019 3 08 /05 /mai /2019 23:08

Manifestations

ROUEN - Cours Clémenceau - 10h 30

LE HAVRE - Franklin - 10H 30

DIEPPE - Mairie - 10h30

Le 9 mai : Ensemble pour la Fonction Publique

Le combat contre le projet de loi fonction publique c’est une lutte pour la population, les agents, le progrès social (tracts fonction publique)

Depuis son arrivée au pouvoir, Emmanuel Macron a multiplié les attaques contre les agents de la Fonction publique : gel de la valeur du point, rétablissement du jour de carence, remise en cause de missions publiques, nouvelles et massives suppressions d’emplois, etc.
À présent, il s’attaque frontalement au Statut général avec un projet de loi aux dispositions dévastatrices.
En dépit de l’opposition de la plupart des organisations syndicales, le pouvoir exécutif presse le pas en escomptant faire adopter ce texte législatif fin juin au Parlement.
La CGT ne laissera pas faire cette oeuvre de démantèlement.
Pour faire grandir l’indispensable processus de mobilisation, elle passe au crible les principales mesures hautement nocives du projet de loi.

Retrouvez toutes les informations sur le site de la CGT FP en suivant ce lien.

Manifestations 10h30 :

Rouen, Cours Clemenceau
Dieppe, Mairie
Le Havre, Franklin

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5 mai 2019 7 05 /05 /mai /2019 15:42

 

 

C’est un amendement au projet de loi « Pour une école de la confiance », soutenu par la majorité parlementaire : il prévoit la création d’établissements regroupant collèges et écoles primaires d’un même secteur, sous l’autorité du principal du collège. En milieu rural, cette réorganisation de l’Éducation nationale risque d’accélérer le rythme des fermetures de classes. La disparition des directeurs d’école pourrait fragiliser les liens entre les équipes d’enseignants, les communes et les familles. Deuxième volet de notre série d’articles pour décrypter plusieurs aspects de la réforme en cours qui suscite nombre d’interrogations.

L’amendement était-il prémédité ou fortuit ? Dans le cadre de l’examen du projet de loi « Pour une école de la confiance » du ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer, la députée du Val d’Oise Cécile Rilhac (LREM) a déposé un amendement, voté par la majorité, créant des « établissements publics locaux d’enseignement des savoirs fondamentaux » (article 6 quater de la loi). Il s’agit de regrouper, sur un même secteur, le collège et les écoles élémentaires. En clair, l’amendement ouvre la possibilité de créer un méga-établissement, dont le cœur serait le collège et les dépendances les écoles élémentaires. L’ensemble sera placé sous l’autorité du principal du collège. Il sera assisté de plusieurs « adjoints » en charge du premier degré, qui remplaceront donc les actuels directeurs et directrices d’écoles.

Ces méga-établissements entraîneront « une modification profonde de l’organisation scolaire », prévient le syndicat enseignant Snuipp-FSU. Mais comme ils sont instaurés par un amendement, et ne figurent pas dans le projet de loi initial, ces futurs établissements publics locaux d’enseignement échappent à l’avis du Conseil d’État, contournent la discussion en commission parlementaire et évitent l’étude d’impact. Ce qui se révèle bien utile au vu de la réorganisation « profonde » que cela pourra engendrer dans le premier degré. [...]

La suite sur Bastamag : https://www.bastamag.net/La-creation-de-mega-etablissements-regroupant-ecoles-primaires-et-colleges

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30 avril 2019 2 30 /04 /avril /2019 09:03

par

 

 

L’une des mesures du projet de loi « Pour une école de la confiance », qui sera discuté au Sénat en mai, prévoit d’abaisser l’âge de l’instruction obligatoire à 3 ans, contre 6 ans aujourd’hui. Cela peut sembler une bonne idée, même si la plupart des enfants sont, dans les faits, déjà scolarisés dès 3 ans. Problème : inscrire l’obligation dans la loi entraînera d’importantes dépenses supplémentaires pour les communes, qui devront alors financer les écoles maternelles privées... en piochant dans les budgets pour le moment réservés à l’école publique. Premier volet de notre série d’articles pour décrypter plusieurs aspects de cette réforme de l’école qui suscite nombre d’interrogations. [...]

Entre 150 et 450 millions de plus à la charge des communes [...]
« Tout cela va aggraver la ségrégation sociale »[...]
Moins de postes de professeurs pour les écoles publiques[...]

Lire l'intagralité ci-après : https://www.bastamag.net/Pourquoi-les-ecoles-maternelles-privees-seront-les-grandes-gagnantes-de-la

Plus de précision encore ci-dessous avec cet ajout : " La loi introduit la possibilité d’instruire les jeunes enfants au sein de jardins d’enfants, structures privées aux personnels diversifiés (comprendre sans enseignants), ceci pour les 2 ans à venir."

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