commenter cet article …
Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Bolsonaro ferme une télévision publique pour "communisme"
En guerre contre le communisme, Jair Bolsonaro a pris la décision de fermer une chaîne de télévision publique parce que cette dernière diffuserai des programmes "communistes" et diffusant ...
"Des trois outils de répression dont dispose le pouvoir, à savoir les médias caporalisés, les forces de police, et l’autorité judiciaire, c’est bien celui-ci qui est le plus important et aujourd’hui le plus utile. "
Régis de Castelnau
Policiers républicains ou dévoyés ?
La grande journée du 5 décembre dont personne à part quelques militants déguisés en journalistes, n’a pu nier qu’elle était un grand succès a pourtant encore été marquée par d’intolérables violences policières. Aux quatre coins de la France, des caméras nous ont montré des forces de l’ordre utiliser sans aucun complexe une violence parfois sans frein faisant rejaillir sur l’ensemble du corps de la police un déshonneur qui mettra très longtemps à se dissiper.
Depuis un an, des policiers dévoyés, s’en donnent à cœur joie et utilisent tranquillement des méthodes dignes de milices de nervis, contre des manifestants voulant user de leurs libertés constitutionnelles. Le tout sous le regard des caméras, des témoins, et de la presse étrangère effarée, sans que cela émeuve beaucoup la presse mainstream. À longueur de plateaux et de colonnes, les éditocrates se relaient pour stigmatiser les violences des manifestants et rester muets sur l’effarant bilan d’un an de violences policières. Et Emmanuel Macron aura beau dire «ne parlez pas de ‘répression’ ou de ‘violences policières’, ces mots sont inacceptables dans un Etat de droit.», le catastrophique Castaner « qu’il faut arrêter de parler de violences policières » et Laetitia Avia proférer sur Mediapart devant un Plenel complaisant cette vilenie : «apportez-moi une violence constatée et je serais la première à la condamner », il n’est personne pour douter de l’existence de ces violences. Et pas grand monde ne peut se faire d’illusions sur leur caractère politiquement délibéré et organisé, probablement sur ordre comme l’a démontré l’opération de la place d’Italie le 16 novembre dernier avec le comportement du préfet de police de Paris dont Jean-Luc Mélenchon dit à juste titre « qu’il a des méthodes de psychopathe ».
Sous la pression des réseaux où circulent témoignages des exactions, et commentaires de la presse étrangère, une partie de la grande presse nationale s’est sentie contrainte changer un peu son fusil d’épaule et de rapporter de façon beaucoup plus exacte ce qui se passe. Mention spéciale au journal le Monde qui a commencé à se pencher sur ces dérives avec honnêteté.
L’impression désastreuse laissée par l’installation de cette répression violente se nourrit bien sûr, de son bilan épouvantable en termes de décès, d’amputations, de blessures souvent gravissimes, mais aussi et surtout de cette impression d’une violence complètement débridée, utilisée absolument sans complexe et nourrie par un sentiment d’impunité qui pousse à la surenchère.
Comment en est-on arrivé là ?
Pour une raison très simple : ceux dont c’est la mission de contrôler l’utilisation par les forces de police de la violence légitime de l’État, ce sont les magistrats du service public de la justice. Ce sont eux qui sont chargés de notre protection face à ces débordements. Toutes ces violences dont le remarquable travail réalisé par David Dufresne nous permet d’avoir idée de l’importance, sont autant d’infractions sévèrement réprimées par le code pénal.
Il y a les violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique prévues et réprimées par les articles 222-7 et suivants du code pénal. Une lecture rapide montre bien que les violences volontaires comme le fait d’éborgner en visant la tête avec un LBD ou un lance-grenade sont des crimes relevant de la cour d’assises ! Comment qualifier autrement que de « tentative de meurtre » l’attentat dont a été victime le malheureux Olivier Beziade, pompier volontaire bordelais le 12 janvier 2019. Et il y a bien sûr aussi des violences volontaires moins importantes pour lesquelles dans toutes les incriminations du code, le fait qu’elles soient commises par des forces de l’ordre sont des circonstances aggravantes ! Ce sont donc bien les violences policières que le législateur a entendues réprimer particulièrement.
Lire l'article complet ici : https://www.vududroit.com/2019/12/violence-de-la-repression-contre-le-mouvement-social-la-justice-premiere-responsable/
Communiqué du Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens
La mobilisation internationale contre l’occupation des territoires palestiniens par Israël avait abouti à une réglementation européenne en octobre 2011 qui imposait l’étiquetage des produits issus des colonies israéliennes des territoires occupés depuis 1967. L’application de cette réglementation par le ministre français de l’Économie et des Finances avait été contestée devant le Conseil d’État par une société israélienne située dans une colonie et l’Organisation juive européenne (relais de la politique israélienne en Europe). Cette plainte ayant entraîné la suspension de l’application de la réglementation européenne en France, l’affaire a été renvoyée devant la Cour de Justice de l’Union européenne(CJUE) qui a rendu sa décision le 12 novembre.
Elle confirme le règlement européen de 2011 dans un souci de protection des consommateurs afin d’éviter qu’ils ne puissent pas être induits en erreur quant au fait que « l’État d’Israël est présent dans les territoires concernés en tant que puissance occupante et non pas en tant qu’entité souveraine ». Elle souligne également que les colonies de peuplement sont installées dans certains des territoires occupés par l’État d’Israël « en violation des règles du droit international humanitaire ».
Cette victoire sur le plan européen est un premier pas pour interdire l’importation en Europe de tous les produits des colonies israéliennes installées dans les territoires palestiniens.
Dans l’immédiat, le collectif demande au gouvernement français de mettre en œuvre cette décision de la CJUE sur l’étiquetage des produits des colonies israéliennes, de contrôler son application et d’instaurer des sanctions contre les opérateurs économiques en cas de non-respect.
Le collectif appelle à poursuivre et intensifier la mobilisation pour le retrait de l’État d’Israël des territoires palestiniens occupés depuis 1967.
La suite et les signataires sur le site de l'AFPS :http://www.france-palestine.org/La-Cour-de-Justice-de-l-Union-europe%CC%81enne-CJUE-confirme-l-obligation-de-l
Alors que la France Insoumise venait de révéler que l’équipe de rédaction de Quotidien avait choisi de ne montrer qu’une infime fraction de ce que son cameraman a filmé lors de la perquisition politique du siège de la France Insoumise, pris la main dans le sac Yann Barthes est obligé de publier l’intégralité de la vidéo. Une révélation qui démontre le montage très politique réalisé par la chaine. Un montage qui sert tout les jours la propagande de ce média contrôlé par le milliardaire Martin Bouygues. Une publication qui fait également tomber toutes les accusations lancée par une justice et une police politique aux ordres du régime Macron contre les parlementaires de la France Insoumise alors que doit s’ouvrir le 19 septembre le procès de plusieurs parlementaires LFI coupable d’avoir été empêchés en pleine session parlementaire d’accéder à leurs locaux parlementaires.
Nul besoin d’être politiquement en accord avec la France Insoumise pour analyser ce que démontrent ces images qui doivent alerter tous ceux soucieux des libertés démocratiques.[...]
La suite et la vidéo ci-dessous sur le site d'Initiative Communiste :
Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.
"Jean-Marie Delarue, nouveau président de la Commission nationale consultative des droits de l'Homme, s'inquiète du recul de nos libertés au motif de garantir la sécurité. "
Source : https://www.europe1.fr
Les deux rapporteurs de l'ONU sur les droits de l'Homme ont fait part de leurs inquiétudes sur d'éventuelles atteintes à l'exercice notamment des libertés d'expression et d'association.
Source : http://https://www.europe1.fr
«Maintenant, la direction nous envoie les huissiers quand on fait des réunions un peu improvisées. Une fois, des syndicalistes ont même été menacés de recevoir une facture pour le nettoyage des tables du self sur lesquelles ils avaient laissé des tracts. Comme si les documents de la CGT salissaient les tables! C’est bien la preuve d’un manque de respect vis-à-vis des syndicalistes.» (militante de la CGT Assistance Publique Hôpitaux de Paris ).
Les libertés fondamentales "en très mauvais état" en France
Les libertés fondamentales, "grignotées" depuis plusieurs décennies et "toujours davantage" par les gouvernements successifs, sont en "très mauvais état", s'inquiète le président de la Commi...
https://www.europe1.fr/societe/les-libertes-fondamentales-en-tres-mauvais-etat-en-france-3895815
Goodyear: "La répression syndicale devient systématique"
"Ça peut dormir, comme ça peut chanter", avait prévenu, la veille, Benoît Martin, le secrétaire général adjoint de l'union départementale de la CGT de Paris. Finalement, ce mercredi, à l'a...
Les doutes s’accumulent quant à l’intégrité de WikiLeaks depuis la neutralisation de Julian Assange. Le site Defend WikiLeaks arbore une défense édulcorée et peu structurée. WikiLeaks s’appuie sur l’organe LeighBureau, où officie un certain BHL. Sans parler de la ligne de défense des avocats…
En consultant le site Defend WikiLeaks, le citoyen mobilisé pour la défense de Julian Assange est frappé par l’absence de synthèse, de défense par thème, de clarté, et tout simplement l’absence de défense de l’homme Assange.
L’affaire du “viol“, les textes de lois et de Droits de l’Homme qui ont été violés par les instances d’États européens, le Russia Gate… Aucun de ces thèmes ne sont accessibles simplement, aucun rappel concis des éléments importants n’est exposé de manière claire.
Des indices inquiétants
Sur WikiLeaks.org, l’onglet “partners“ mène vers les logos de médias qui ont publié les pires contre-vérités à l’encontre de Julian Assange : The Guardian, Le Monde, Mediapart… WikiLeaks continue ainsi de créditer des organes de presse qui attaquent de front la personne de Julian Assange, sans aucun égard pour la déontologie journalistique ; des journaux qui ont empli leurs articles, suite à l’arrestation de Julian Assange, des termes de « viol », « accusations de viol », « violences sexuelles ». WikiLeaks.org ne publie aucun argumentaire sérieux visant à démonter l’affaire suédoise. Au cœur de cette affaire, la très sulfureuse plaignante Anna Ardin, dont certaines activités pourraient être liées à la CIA, n’est même pas nommée sur defend.wikileaks.org.
En février 2018, Defend WikiLeaks a laissé passer l’occasion de rouvrir le dossier suédois en faveur de Julian Assange. L’énorme travail réalisé par la journaliste Stefania Maurizi avec son journal La Republicca venait d’aboutir : s’appuyant sur le FOIA britannique, le “Freedom Of Information Act“ qui permet de réclamer l’accès à des informations étatiques réputées confidentielles, elle avait récupéré des courriels d’échanges entre la justice suédoise et le “Crown Prosecution Service“ anglais ou CPS, l’équivalent du Parquet français. Defend WikiLeaks ne relève pas l’extrème cynisme de certains magistrats ou magistrates du CPS lors de discussions sur les conditions de vie d’Assange à l’ambassade, et publie les révélations cruciales non dans un article dédié, mais dans le “Live“, une page internet dont le contenu équivaut à cent ou deux cent pages A4 denses. Pour tomber dessus aujourd’hui, il faut être un spécialiste de la question. Defend WikiLeaks y relaie tout de même la pression du CPS faite sur les suédois pour ne pas organiser une audience de Julian Assange à Londres, et ainsi laisser mijoter l’enquête préliminaire suédoise sur les ébats sexuels du témoin assisté Assange avec notamment la plaignante Anna Ardin. Mais plutôt que de mettre en lien l’excellent article de La Republicca publié en langue anglaise, Defend WikiLeaks se réfère au très insipide article de The Guardian, qui minimise autant que possible l’impact des révélations obtenues par la sueur de Stefania Maurizi.[...]
La suite sur Mediapart : https://blogs.mediapart.fr/edition/liberez-assange-ethiques-et-medias/article/090819/sans-assange-wikileaks-reste-t-il-digne-de-confiance
Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].
« Big Brother » contre Gilet jaune ?
Un GILET JAUNE mis en garde par la Sécu pour avoir géré une page Facebook pendant un arrêt maladie D imitri Alleaume a reçu un rappel à la réglementation de la part de la Sécurité sociale, qui lui reproche d'avoir administré une page Facebook pendant son arrêt maladie. Une démarche qui s'apparente selon lui à une «tentative d'intimidation». La Sécurité sociale garde un œil attent
http://www.communcommune.com/2019/08/big-brother-contre-gilet-jaune.html
Commentaire : Il faudra que la direction de la Sécurité sociale de l'Eure nous explique si tous les salariés sont ainsi suivis et surveillés, qu'elle précise quelles activités on a le droit de mener chez soi pendant un arrêt maladie, à qui on peut téléphoner, quel DVD on est autorisé à visionner, si on peut regarder la télévision ( et quelles émissions ... peut-être Christophe Barbier ...) et si la lecture de Karl Marx est formellement proscrite ...
Une telle surveillance laisse pantois. Dans l'Eure, les responsables de la Sécurité sociale doivent ignorer que la France est censément être le pays des droits de l'Homme.
Il est vrai que les tirs de LBD, les violences policières ont pu leur laisser croire qu'on en avait fini avec ces vieilleries qui datent quand même de 230 ans et qu'on ne devrait plus enseigner dans les cours d'histoire.
YG.
France : Un gilet jaune dénonce une intimidation après un avertissement de la Sécurité sociale
Cabale et intimidation contre les " gilets jaunes ". C'est du moins l'interprétation que fait Dimitri Alleaume, un gilet jaune de l'Eure du courrier qui lui a été adressé par le service de lutt...
La justice amériaine démasque la conspiration du Parti démocrate contre Assange et WikiLeaks
comme quoi tous les troskistes ne sont pas un "boulet" comme chez nous, cette obédience troskiste se caractérise en effet pas une attitude anti-impérialiste dans tous les domaines, y compris en ...
Justice de classe.
Pas d'autres mots.
J'espère que les juges de la cour de cassation n'ont pas rencontré les homards de De Rugy. A défaut, peut-être ont-ils dîné dans la vaisselle de l'Elysée ?
En tout cas ils ne doivent pas partager la même cantine que celle des salariés victimes de licenciements abusifs. C'est ça la classe.
YG
Indemnités prud'homales : la Cour de cassation donne raison au gouvernement
Les conseils de prud'hommes de Toulouse et Louviers avaient demandé à la cour de cassation de trancher. Le barême Macron qui limite les indemmnités en cas de licenciement abusif empêche t'il l...