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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
4 juillet 2017 2 04 /07 /juillet /2017 16:03
• 14 h 03

Par Ali Abunimah, le 27 juin 2017 sur Agence Médias Palestine

Le chef de recherche de l’UE Carlos Moedas rencontre le premier ministre israélien à l’occasion d’une visite au mois de mai pour célébrer le rôle d’Israël dans Horizon 2020, programme de recherche de l’UE qui finance les tortionnaires (via l’Union Européenne en Israël).

L’Union européenne finance illégalement les tortionnaires israéliens et doit cesser, a conclu une association d’éminents experts juridiques internationaux.

Ils affirment que le programme de LAW-TRAIN viole les règles de l’UE et le droit international parce que l’un des participants, le ministère israélien de la sécurité publique, « est responsable ou complice de torture et d’autres crimes contre l’humanité et crimes de guerre ». [...]

La suite ci-dessous

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30 juin 2017 5 30 /06 /juin /2017 15:01

Ils se battent ainsi pour le rôle souverain et législatif des élus du peuple qui ne sauraient se subordonner à une quelconque autorité présidentielle.  C'est la suite d'une longue bataille. En 1870, les députés sont encore échaudés par le coup d'état de Napoléon III en 1851, précédemment élu président au suffrage universel en 1848.  Ils décident que le président de la République sera élu par le Parlement qui réunit l'Assemblée nationale et le Sénat. Ils n'étaient pas des révolutionnaires.  Certains participèrent même à l'écrasement de la Commune de Paris.  Mais ils craignaient le pouvoir personnel et le bonapartisme.  De Gaulle, à la faveur du coup d'état de 1958, remet en cause cet équilibre, ouvrant la voie à toutes les dérives.

Cette décision de prononcer un discours devant le Parlement place la représentation nationale sous l'autorité du président de la République. C'est contraire à la séparation des pouvoirs législatif  et exécutif. 

Le 4 Mai, Anicet Le Pors disait ses craintes devant les réformes institutionnelles voulues par E. Macron :

"L’abaissement du Parlement

Il s’agit d’abord d’une réduction drastique des effectifs sensée dégager une économie annuelle de 130 millions, de l’ordre d’un tiers pour aboutir à 385 députés et 282 sénateurs. Le Parlement réduirait considérablement son activité législative qui, hors période budgétaire, serait limitée à trois mois. Il y aurait donc moins de lois nouvelles, ce qui laisserait davantage de champ à la réglementation par décrets. L’activité du Parlement serait aussi réorientée vers des missions de contrôle et d’évaluation. La haute administration aurait de ce fait une compétence d’expertise plus étendue et un pouvoir hiérarchique renforcé sous l’autorité de l’exécutif. Emmanuel Macron a prévu de légiférer rapidement par voie d’ordonnances dès le début de son quinquennat et il conservera le mécanisme de l’article 49-3. Il est clair que la démarche tourne le dos au régime parlementaire."

Source : http://anicetlepors.blog.lemonde.fr/2017/05/04/emanuel-macron-cet-homme-est-dangereux/

 

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9 juin 2017 5 09 /06 /juin /2017 03:50

Un article sur le site de 76-actu.  Un peu plus développé que celui paru sur FR3 Normandie et repris hier sur ce blog.  On y donne la parole à un délégué CGT du CHSCT de l'ancienne usine Petroplus.  Mais je n'ai pas réussi à accéder aux commentaires.  

Il reste cependant un nombre très important de questions sans réponses.  En tout cas pour les salariés et pour les riverains.

Quelles sont les responsabilités exactes de l'entreprise Bolloré ? Les analyses du site avaient-elles été correctement faites? Depuis quand les entreprises concernées savaient-elles ? A quelle occasion a-t-on pu constater la présence de plomb dans le sang d'un certain nombre de salariés ? Combien d'ouvriers sont tombés malades ? Quand ? Il semblerait que cela fasse plus d'un mois ... Pourquoi les journalistes n'ont-ils interviewé ni les ouvriers concernés, ni les médecins de l'hôpital, ni l'inspecteur du travail ? Y a-t-il un CHSCT ? des représentants du personnel ? Comment seront indemnisés les ouvriers qui ont dû repartir chez eux et qui n'ont plus de travail? Seront-ils suivis médicalement ?  Beaucoup de silence et de mensonges par omission dans ce scandale.

Yvette Genestal

Du plomb dans le sang des salariés : le site de l’ex-raffinerie Petroplus, près de Rouen, évacué

Des traces de plomb ont été relevées dans les analyses de sang de salariés travaillant sur le site de l’ancienne raffinerie de Petit-Couronne. Le chantier a été suspendu.

  sur le site 76-actu. 

Des traces de plomb ont été retrouvées dans le sang de salariés travaillant sur le site de l’ancienne raffinerie Petroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime). (©Valgo)

Suspicion de contamination au plomb sur le site de l’ancienne raffinerie Petroplus, près de Rouen (Seine-Maritime). Mercredi 31 mai 2017, le site de Petit-Couronne a été évacué et le chantier en cours sur place suspendu. En cause, des analyses de sang de salariés ont révélé des traces de plomb.

LIRE AUSSI : Ex-raffinerie Petroplus, près de Rouen. 50 millions d’euros investis et 100 emplois créés

Un taux de plomb « assez élevé  »

« La direction de DRPC (Dépôt Rouen Petit-Couronne) a pris la décision, mercredi 31 mai 2017, de suspendre temporairement le chantier de construction du futur dépôt pétrolier situé dans la partie Est du site de l’ancienne raffinerie de Petit-Couronne », annonce l’entreprise, appartenant au groupe Bolloré Énergie, dans un communiqué.

D’après Jean-Luc Brouté, secrétaire de la CGT de la raffinerie de Petit-Couronne et ancien secrétaire du Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail, « des retours d’analyses de sang de salariés du site » seraient à l’origine de cette suspension du chantier. Il explique :

Un taux de plomb assez élevé a été relevé dans les analyses.

Ces traces proviendraient, a priori, des peintures utilisées sur les cuves.

Lire ci-dessous la suite.  Impossible d'accéder aux commentaires annoncés.  Bizarre.

 

Texte paru sur le blog Action communiste le 1 juin

Voici pourquoi les salariés ont besoin de protections  et de CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail),  qui aient des pouvoirs importants.  C'est une institution représentative du personnel au sein de l'entreprise ou de l'administration.  C'est-à-dire une institution démocratique, de contrôle par les salariés.   Mais la loi Travail- El Khomri-Macron en a diminué les pouvoirs.  Le rêve du MEDEF.

Sur le site de la CGT, voici ce qui est précisé sur les nouvelles dispositions de la loi Travail :

"La loi Travail (article L4614-13) a introduit la possibilité pour l’employeur de contester la décision du CHSCT d’avoir recours à un expert. Si le juge admet qu’il n’était pas nécessaire que l’expert soit consulté, alors l’employeur n’a pas à assumer les frais d’expertise. Dans ce cas l’expert ne peut pas être payé, puisque le CHSCT ne dispose pas d’un budget.
La CGT craint que cela pousse l’expert à ne commencer à travailler qu’une fois achevé le délai de 15 jours dont dispose l’employeur pour contester le recours à un expert. Cela risque d’entrainer des retards systématiques dans la consultation du CE et du CHSCT qui sont déjà soumis à des délais très stricts. La CGT craint également que certains CHSCT disposant de faibles budgets ne puissent plus recourir à des experts, alors même qu’une expertise serait justifiée, par peur de devoir assumer des frais qu’ils n’ont pas les moyens de payer.

Le CE et le CHSCT ne seraient alors plus à même de rendre un avis éclairé, alors qu’est en cause le respect des droits à la santé et la sécurité des salariés."

Voilà pourquoi les syndicats qui se battent pour les intérêts des salariés font obstacle à l'application de la nouvelle loi Travail de régression sociale.  La CFDT qui a soutenu cette loi a une lourde responsabilité, tout comme ceux qui l'ont promue : MEDEF, PS, candidats aujourd'hui En Marche et droite-centre ... A.C.

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8 juin 2017 4 08 /06 /juin /2017 14:46

Le maire de Dieppe candidat aux législatives dans la 6e circonscription de Seine-Maritime dénonce cette "rupture d'égalité" et la sous-traitance au privé de la mise sous pli des professions de foi

L’État a sous-traité cette mission essentielle de service public et de garantie de la démocratie à une entreprise privée de l’Eure. Auparavant, ce travail était effectué par les agents de l’État et les services préfectoraux, sous le regard des candidats.

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7 juin 2017 3 07 /06 /juin /2017 14:48
la CGT lance la première action de groupe

Source , 2017-05-23

Safran Aircraft Engine est le premier employeur concerné par une action de groupe en matière de discriminations. L’entreprise a six mois pour négocier avant que la justice soit saisie.

Jusqu’à présent, un salarié s’estimant victime d’une discrimination – syndicale, de sexe, d’origine…- devait intenter une action de son côté contre son employeur. La loi de modernisation de la justice du XXIème siècle votée fin 2016 a changé la donne en créant la possibilité d’intenter une action de groupe.

Cette nouvelle procédure qui ne peut être lancée que par un syndicat, est applicable depuis le 11 mai et le moins que l’on puisse dire est que la CGT n’a pas traîné. Ce mardi, un huissier s’est présenté chez Safran Aircraft Engine pour remettre à son PDG un courrier, a annoncé la centrale lors d’une conférence de presse. Et ce courrier a de quoi inquiéter plus d’un employeur.

Environ 500 salariés concernés

Au total, trente-quatre cas sont portés à la connaissance de la direction de cette filiale du groupe Safran par le secrétaire général de la fédération cégétiste de la métallurgie, Frédéric Sanchez. Il affirme qu’ils subissent un « dommage dans leur évolution professionnelle c’est-à-dire promotionnelle et salariale » parce qu’ils ont été discriminés en raison d’« une activité syndicale connue […] sous l’étiquette CGT ». Le syndicaliste annonce que son organisation veut exercer en justice une action de groupe pour ces salariés, auxquels pourraient éventuellement s’en ajouter d’autres (potentiellement 500 personnes).

[...] La suite ci-dessous

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6 juin 2017 2 06 /06 /juin /2017 02:18
Par João Pedro Stedile  |  23 mai 2017     sur Mémoire des luttes

João Pedro Stedile, dirigeant du Mouvement des travailleurs ruraux sans terre (MST) et de la coalition « Front Brésil populaire », composée par plus de 80 organisations populaires et de partis de gauche, analyse dans cet entretien réalisé le 18 mai 2017 pour le journal Brasil de Fato la situation politique brésilienne. Il indique également les différentes sorties de crise possibles pour le pays et le rôle que vont avoir les organisations populaires dans les semaines et mois à venir. Pour lui, le moment est « décisif » et « le candidat des travailleurs est Lula, parce qu’il est le représentant de la majorité du peuple brésilien, le seul capable de s’engager dans un processus de changement et d’appuyer notre plan d’urgence ».

Mémoire des luttes publie, dans une version enrichie de quelques précisions factuelles, ce document.

La suite ci-dessous sur le site de Mémoire des luttes :

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5 juin 2017 1 05 /06 /juin /2017 21:31
Moralisation de la vie publique : les premières observations du Syndicat de la magistrature

Note remise à François Bayrou le 31 mai 2017 lors de l’entretien avec le Syndicat de la magistrature

Documents, publié le 1er juin 2017, mis à jour le 1er juin 2017

Le déroulement de la campagne présidentielle, secouée par des affaires impliquant des personnalités publiques et briguant un mandat comme les violentes accusations d’instrumentalisation adressées à l’institution judiciaire ont rappelé la nécessité d’enserrer la vie publique dans des règles plus strictes. L’appel à la « moralisation » - vocable peut-être impropre – de la vie publique implique aujourd’hui qu’une série de mesures soient prises afin de donner corps à des exigences citoyennes en matière de transparence et de lutte contre les abus par certains des prérogatives associées à leurs fonctions, notamment électives. Il en va de la confiance des citoyens dans les instances démocratiques : c’est ainsi de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen que chacun tire le droit « de demander des comptes à tout agent public de son administration ».

Or, des formes de tolérance et d’impunité ont longtemps perduré en France, au point que des institutions telles que le Groupe d’Etats contre la Corruption (GRECO), organe du Conseil de l’Europe, et l’OCDE dressent un portrait préoccupant de la situation française s’agissant de la prévention de la corruption.

En matière judiciaire, les causes sont multiples et tiennent tant à l’insuffisance des garanties textuelles (en matière d’indépendance des services d’enquête), de moyens humains (pour les services d’enquête spécialisés) que d’obstacles légaux à l’engagement de poursuites (insuffisance des textes ou verrou légal). De manière plus large, les mécanismes de transparence peinent à trouver leur voie dans notre démocratie. Dès lors qu’ils s’appliquent aux pouvoirs publics, ils constituent pourtant une assurance pour les citoyens, à la condition évidente qu’ils soient complétés par un contrôle effectif du respect des prescriptions ainsi introduites.

La présentation d’un projet de loi relatif à la moralisation de la vie publique constitue l’un des premiers actes du nouveau gouvernement. A ce stade, aucun texte n’a été communiqué et le Syndicat de la magistrature ne dispose que des déclarations faites par voie de presse en la matière. C’est donc une première ébauche de réflexion, fondée sur des revendications anciennes, auquel il se livrera ici, avant d’élaborer, dans un second temps, une analyse plus fine et détaillée du texte qui sera présenté.

L’intégration de ces premières observations se trouve en pièce jointe.

Synthèse des mesures proposées :

  • Supprimer la Cour de justice de la République
  • Exiger un bulletin n°2 casier judiciaire exempt de condamnations pour certains faits pour tout candidat à un mandat public
  • Refonder le statut des magistrats du parquet et du siège pour mettre la justice à l’abri des pressions
  • En matière de fraude fiscale, supprimer le verrou de Bercy
  • Abroger le délai butoir de 12 ans prévu par la loi du 27 février 2017 en matière de prescription des infractions dissimulées
  • Renforcer le dispositif de déclaration devant la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique
  • Renforcer la traçabilité sur l’action des lobbyistes
  • Renforcer les effectifs des services d’enquête spécialisés
  • Supprimer l’immunité parlementaire pour les actes détachables des fonctions
  • Revenir sur le dispositif de convention de compensation d’intérêt public
  • Consacrer le reporting public pays par pays
  • Etendre la protection des lanceurs d’alerte
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5 juin 2017 1 05 /06 /juin /2017 14:48
Tartuffes et "démocrates" - HÉRAULT - MICHEL CAPRON, 58 ans, candidat communiste, "VIRÉ" par le maire LREM de la commune qui l'emploie!
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3 juin 2017 6 03 /06 /juin /2017 14:54
Lettre ouverte à Emmanuel Macron© Philippe Wojazer / Reuters
 
 
Emmanuel Macron lors de la conférence de presse conjointe avec Vladimir Poutine, le 29 mai 2017

Lors de sa conférence de presse avec Vladimir Poutine à Versailles, Emmanuel Macron a qualifié RT d’«organe d’influence et de propagande». La rédaction de RT France a souhaité répondre à ces propos, point culminant d’une campagne de diffamation.

Monsieur le président,

Durant la conférence de presse que vous avez donnée avec Vladimir Poutine dans le cadre de sa visite en France, vous avez, une nouvelle fois, mis en cause la probité des journalistes de RT France, que vous avez qualifié d’«organe d'influence et de propagande».[...]

Lire la suite sur le site de RT :

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31 mai 2017 3 31 /05 /mai /2017 15:00

Qu'est-ce que la liberté de la presse, d'opinion, de penser et d'écrire pour les tenants du monde "libre", c'est-à-dire du monde américain ? Y.G.

Bis repetita : oui je lis Sputnik et Russia Today (et je vous invite vivement à en faire autant)

Évidemment, pendant sa conférence de presse avec Poutine du 29 mai, le gringalet de l’Élysée n’a pas pu s’empêcher de dégommer les médias russes francophones, Russia Today et Sputnik, coupables selon lui de “fake news” (dont il ne donne aucune preuve) et de propagande (dont on rigolera en se rappelant l’attitude partisane obscène de nos propres médias français pendant la campagne présidentielle).

Alors, bis repetita, voici ce que j’écrivais le 24 novembre dernier sur la question :

N’en déplaise aux députés européens qui viennent de voter une résolution grotesque  pour « contrer la propagande russe et de Daesch »,  je confesse que les médias russes Russia Today et Sputnik font partie de mes sources d’information régulières.

Oui, je sais que Russia Today et Sputnik sont de parti pris pro-russe. De même que Reuters et l’AFP défendent naturellement les points de vue américain et français. Et alors ? Ne suis-je pas assez grand pour faire moi-même la part des choses, démêler le bon grain de l’ivraie ?

Et si je ne lis plus les torchons que sont Le Monde, Libération, le Point ou autre Obs, c’est parce qu’ils n’ont plus de journalistes, mais des chroniqueurs serviles qui relaient les dépêches d’agence en les assaisonnant à la sauce de leur petite clique de riches patrons.

Où puisé-je les sources d’information qui inspirent mes chroniques ? Sur des supports divers et alternatifs, sur les réseaux sociaux. Des sources de tous horizons, française, américaine, allemande… Et russe. À quel insigne degré de confusion sont donc tombés nos députés européens [et maintenant le Macron, ndlr] en prétendant m’interdire certaines de ces sources d’information ?

Suis-je conscient de leurs imperfections, des risques de manipulations qu’elles représentent ? Bien évidemment. Je n’ignore pas quels intérêts privés ou publics défendent des supports comme Facebook, Twitter, l’agence Chine nouvelle… ou Russia Today et Sputnik. Et alors ? Je préfère mille fois me fier à une information incertaine mais plurielle, qu’au prêche outrancier de notre insupportable clergé médiatique, appuyé par une brochette de députés européens en plein désarroi.

Ami lecteur, si tu ne veux pas mourir idiot sous le poids d’une pensée unique lourdingue, je t’invite vivement à multiplier toi aussi tes sources d’information. Russia Today et Sputnik font partie de ces médias que l’on peut certes critiquer, dont on ne partage pas forcément le point de vue, mais qui constituent un indispensable contrepoids à la propagande grossière qu’on nous inflige au quotidien.

Je vais même t’avouer un truc : je trouve ces deux-là particulièrement honnêtes et très pro.


=> Liste des médias que je suis régulièrement (par ordre alphabétique) :

Francophones

Non francophones

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