Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].
commenter cet article …
Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].
En 2013, Pierre Gattaz, alors président du MEDEF, promet un million d’emplois en contrepartie d’allègements de cotisations sociales. Hollande offre le CICE, mais les emplois promis ne voient jamais le jour. © Aymeric Chouquet pour LVSL
Les premières exonérations de cotisations sur les bas salaires sont apparues il y a près de trente ans. Destinées à soutenir l’emploi, celles-ci se sont généralisées au point où une entreprise ne paye presque plus de cotisations patronales sur un salaire au niveau du Smic, ce qui coûte la bagatelle de 66 milliards d’euros pour les finances publiques ( et pour la sécurité sociale ). Est-ce à l’État de payer cette facture ? Ne serait-il pas temps de revenir sur ces exonérations en exigeant que les entreprises garantissent collectivement l’ensemble des cotisations et ce, sans effet négatif sur l’emploi ? C’est possible en établissant une Sécurité économique, complémentaire de la Sécurité sociale, qui mettrait hors-marché une partie de la production privée pour garantir un socle de revenus, cotisations sociales inclues, à celles et ceux qui la réalisent.
Depuis l’établissement de la Sécurité sociale en 1946, les cotisations sociales ont toujours été considérées par le syndicalisme comme une partie intégrante du salaire destinée, entre autres, à assurer des revenus hors emploi. Pourtant, depuis presque trente ans, des exonérations de cotisations sociales sur les bas salaires ont été instaurées au nom de la protection de l’emploi. Si une partie de la gauche a toujours dénoncé ces exonérations, leur remise en cause ne fait cependant pas partie des programmes. [...]
La suite ci-dessous :
Et si on revenait sur les exonérations de cotisations sociales ?
Les premières exonérations de cotisations sur les bas salaires sont apparues il y a près de trente ans. Destinées à soutenir l'emploi, celles-ci se sont généralisées au point où une entrep...
https://lvsl.fr/et-si-on-revenait-sur-les-exonerations-de-cotisations-sociales/
Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].
SALAIRES : à propos du fameux « poids des charges » - Par Laurent BRUN
C ertains camarades partagent un texte de patron qui se plaint que le salaire qu’il « donne » à son salarié soit bouffé par l’Etat. Au-delà des chiffres bidons, l’argumentaire vise à attaquer le « poids des charges », comme si c’était la raison de la faiblesse des salaires. Il me paraît donc nécessaire de replacer quelques éléments et des chiffres réels. Prenons l’exemple