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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 08:49

Radicalement-antifasciste.jpg

Nous sommes au mois de juin 2013. La mort de Clément Méric, militant d’extrême-gauche antifasciste tué lors d’une rixe avec un groupe de skinheads d’extrême-droite, déclenche une vague d’indignation dans tout le pays. Les partis de gauche descendent dans la rue pour lui rendre hommage et faire barrage au fascisme. Or, près de soixante-dix ans se sont écoulé depuis la disparition des leaders historiques se réclamant de ce dernier. Il nous semble donc opportun de faire le point sur le combat de l’antifascisme et sa réalité d’aujourd’hui.

 

Dans les années trente, Hitler et Mussolini régnaient respectivement sur l’Allemagne et l’Italie. En Espagne, Franco sortait victorieux d’une guerre civile qui fit quelque 300.000 victimes et instaura, avec l’appui de l’Église catholique, une dictature qui dura trente-six ans. La France et l’Europe virent l’apparition de mouvements et organisations se réclamant plus ou moins ouvertement du fascisme. La Révolution de 1789 était ouvertement fustigée et ses acquis honnis. Le 6 février 1934, une manifestation pour protester contre le limogeage du préfet de police Jean Chiappe tourne à l’émeute. Dans la soirée, des milliers de manifestants, dont certains sont armés, tentent de marcher vers le Palais-Bourbon. Le putsch est évité de justesse. La mobilisation républicaine et antifasciste des Français permet à notre pays de faire face à la tentative insurrectionnelle des forces réactionnaires de tous poils.

 

La France est sauvée… mais pour peu de temps. En Allemagne et en Italie, un système implacable se met en place. La politique sociale du gouvernement est naturellement conditionnée par la politique économique. Elle est même complètement assujettie à l’objectif essentiel du régime : servir les intérêts du grand capital. Le fascisme a tenté de voiler son vrai caractère sous la frondaison rhétorique et la démagogie. Il a imposé à la classe ouvrière les plus grands sacrifices, non pas au nom de la bourgeoisie, mais au nom de la Nation… et de la production. Gouvernement anti-ouvrier ? Non, persistent et signent les fascistes : « c’est un gouvernement italien, en marge des classes, subordonnant les intérêts particuliers à l’intérêt supérieur de la l’État », déclarait Mussolini lors de son premier discours au Parlement après son coup d’État, ajoutant même : « aucun privilège aux classes travailleuses, tutelle sur tous les intérêts qui s’harmonisent avec ceux de la production et de la Nation… ».

 

« Dans le système fasciste, les travailleurs ne sont plus exploités ; ils sont collaborateurs de la production », disait le Duce le 22 juin 1926. Mussolini ne peut s’empêcher malgré tout quelques accès de franchise, et déclarait ainsi devant le Sénat le 9 juin 1923 que le régime était un « mouvement antisocialiste et par conséquent anti-ouvrier ». Cette déclaration du dictateur italien n’était pas nécessaire pour que le prolétariat en soit convaincu. Les violences contre le mouvement ouvrier, la destruction de leurs organisations bâties sur des décennies d’efforts et de combats, le régime de terreur instauré à l’usine, les attentats permanents et systématiques à la situation matérielle et juridique de la classe travailleuse ont été pour cette dernière plus éloquents que toute la phraséologie des fascistes.

 

À l’aube du XXIème siècle, l’économie capitaliste et ses conséquences (démembrement des services publics, imposture de la dette, précarité, reculs sociaux, démantèlement du code du travail, etc.) apportent la violence que les antifascistes d’hier dénonçaient mais contre laquelle certains antifascistes d’aujourd’hui sont étrangement silencieux...

 

Leur pseudo-antifascisme joue aujourd’hui le rôle d’une gauche désormais conciliée avec l’ordre néolibéral, qui doit se déclarer antifasciste pour ne pas avouer faire partie du système en place, qui peut s’agiter dans les mouvements de rues mais accepte en silence les tortures imposées par le système : le chômage de masse, la pauvreté rampante et le démantèlement de notre système social hérité du CNR (Conseil National de la Résistance).

 

La matraque a aujourd’hui changé de forme mais les coups portés font toujours aussi mal. Dans un tel état de choses, un véritable pouvoir populaire n’est pas seulement légitime en tant qu’instrument propre au renversement des exploiteurs et à l’écrasement de leur résistance, mais encore absolument indispensable pour toutes celles et tous ceux qui souffrent. Il représente le seul moyen de défense contre la ploutocratie au pouvoir qui a déjà causé la guerre et qui en prépare encore d’autres.

 

Le point le plus important, que ne comprennent pas ces antifascistes de pacotille et qui constitue leur myopie théorique, leur emprisonnement dans leurs préjugés et leur trahison politique avec le monde du travail, c’est que dans la société capitaliste, dès que s’aggrave la lutte de classe qui est à sa base, il n’y a pas de milieu entre la dictature de la bourgeoisie et un pouvoir réellement populaire. Tous les rêves d’une solution intermédiaire ne sont que des lamentations réactionnaires de petits bourgeois.

Capitaine Martin

 

 

SOURCE

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27 avril 2014 7 27 /04 /avril /2014 07:16

Lu sur El Diablo

 

Lvov-pro-nazis.jpgAnciens combattants de la milice collabo UPA défilant en 2013 à Lvov

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Le conseil municipal de Lvov a annoncé que les 8 et 9 mai seront des jours de deuil pour les personnes tuées pendant la Seconde Guerre mondiale et les victimes du régime totalitaire et lors de ces journées seront interdites l'utilisation des symboles soviétiques, nazis et communistes.


Selon un membre du parti "Svoboda" Lioubomir MELNITCHOUK, Lvov en tant que ville européenne doit honorer les morts de la Seconde Guerre mondiale conformément à la pratique européenne.


Le conseil municipal a décidé que les 8 et 9 mai de mettre les drapeaux en berne dans la ville Lvov, il n'y aura ni divertissements, ni festivités, ainsi que sera interdite l'utilisation de feux d'artifices et interdite l'utilisation ces jours-là dans la ville des symboles soviétiques, nazis et communistes.

MELNITCHOUK a motivé l'initiative de l'adoption de cette décision pour ne pas tolérer des provocations dans la ville. Plus tôt cette semaine, il a été rapporté dans les médias que le forces de l'ordre la région de Lvov , à partir du 7 mai , placera sous protection les monuments commémoratifs de la guerre.


Comme à Chisinau, en Moldavie, au nom de l'européanisation de la politique et de la société les autorités locales annulent les fêtes de la victoire soviétique sur le fascisme. Le but idéologique de ce type de pratique est simple : délégitimer la contribution principale de l'URSS à la victoire sur l'Allemagne nazie et ainsi dire : "cette victoire était le passage d'un totalitarisme à un autre" et que collaborer avec l'Allemagne nazie, finalement, n'était pas si grave. Et donc, comme chaque année, le défilé des anciens miliciens de l'UPA (armée insurrectionnelle ukrainienne) et autres groupes collaborationnistes sera autorisé. Car, si les symboles nazis seront interdits, il n'en sera pas de même pour ceux des organisations "nationalistes" ukrainiennes ayant collaboré avec l'Allemagne nazie.



Cette action russophobe n'aura pas pour effet de renouer l'unité de l'Ukraine, bien au contraire. Les fascistes du maïdan ivres de leur victoire, continuent de cracher à la figure du peuple de l'Est et du Sud de l'Ukraine qui considère que les sacrifices faits pour la victoire sur le fascisme comme l'action héroïque des peuples de l'URSS et, bien sûr du peuple ukrainien ne va pas prendre cette nouvelle autrement qu'une invitation à quitter l'Etat ukrainien.

Dans un tel contexte on peut se demander qui sont les "séparatistes"...

 

Source :

http://rusvesna.su/news/1398066041

 

Lu sur Le monde russe

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 14:33
Nous reprenons ici un article d'Attac à propos des valses de responsables entre le secteur bancaire et les ministères de la République.  Illustration vivante d'un pouvoir - que ce soit celui de Sarkozy ou celui d'Hollande - qui se met au service des banques et des multinationales.

 

  "BNP Paribas au Trésor : vive le pantouflage inversé

Pour reprendre en main Bercy, le premier ministre s’apprêterait à nommer un banquier à la Direction du Trésor. Sans doute le ministère de l'économie était-il insuffisamment ferme face à la démagogie anti-banques. Cette nomination va enfin permettre à l'État de servir pleinement le secteur bancaire, ce fleuron de la compétitivité française. Le mouvement de pantouflage inversé doit s'amplifier afin que les grands banquiers soient de plus en plus nombreux à faire bénéficier de leur talent la haute administration.

François Villeroy de Galhau, directeur général délégué de BNP-Paribas, pourrait succéder Ramon Fernandez à la Direction du Trésor.  Ramon Fernandez a sans douté été trop timide dans son action au service de la finance. Bien sûr il a réussi à convaincre les députés socialistes de voter une pseudo-loi de « séparation » des activités bancaires spéculatives qui ne concerne que 3% de l'activité des banques. Mais il n'a pu empêcher les députés d'imposer un peu de transparence sur les activités des banques dans les paradis fiscaux. Certes il a contribué à vider de tout sens le projet de banque publique d'investissement, multiplié les cadeaux aux banques (Livret A, amnistie sur les emprunts toxiques...)* et contribué à l'actuelle offensive française contre le dangereux projet de taxe Tobin élaboré par la Commission européenne. Mais son action demeure encore trop timide aux yeux des banquiers, qui préfèrent prendre les choses en main directement.

L'expérience de François Villeroy de Galhau à BNP Paribas en fait un garant encore plus crédible de la crédibilité financière de l'État, c'est-à-dire de l'alignement quotidien et millimétrique des décisions réglementaires et budgétaires de la France sur les attentes des marchés. Sa connaissance intime des rouages financiers lui permettra de renforcer la guérilla incessante et jusqu'ici victorieuse que mène Bercy contre les velléités de régulation financière au plan national et européen.

Il est temps de renoncer à une déontologie d'un autre âge

L'actuelle réglementation sur les conflits d'intérêt et le pantouflage, inopérante et hypocrite, doit être abolie. Elle n'a empêché ni la nomination de François Pérol, directeur-adjoint de cabinet de l'Élysée, à la tête du groupe BPCE (Banques populaires Caisse d'épargne), ni celle de Xavier Musca, le successeur de François Pérol à l' Élysée, à la tête du Crédit Agricole, ni aucune autre nomination. Au point qu'on ne parvient plus à compter le nombre des énarques–inspecteurs des finances en poste au sommet des grandes banques françaises**, pour le plus grand bien de leurs actionnaires.

La fusion entre les élites financières et administratives est souhaitable et irréversible. Trêve de fausses pudeurs, il faut désormais accélérer les allers-retours entre haute finance et haute administration. Pour attirer les talents nous suggérons à Jean-Marc Ayrault et Pierre Moscovici de garantir le maintien des bonus et des stock-options des banquiers venus œuvrer à Bercy. Ainsi les marchés financiers, mis à l'abri des tentations démagogiques et de la pression des électeurs, seront-ils définitivement rassurés.

Attac France, qui préfère en rire qu'en pleurer

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>

* Voir l'article de Martine Orange, www.mediapart.fr/journal/france/211113/matignon-sattaque-la-citadelle-de-bercy?page_article=3
> ** Jacques de la Rosière (BNP Paribas), Beaudouin Prot (BNP Paribas), Michel Pébereau (BNP Paribas), Frédéric Oudéa (Société Générale), Daniel Bouton (Société Générale), Pierre Mariani (Dexia), Mathieu Pigasse (Lazard), Philippe Wahl (Banque postale), Gilles de Margerie (Crédit Agricole), etc ....."
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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 08:58
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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 13:57

 

Le dessinateur « Plantu » (Jean Plantureux) vient à nouveau de déshonorer son métier par un dessin paru à la Une du journal Le Monde du mardi 1 octobre. 

 

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Dessin de Plantu paru dans le Mondu du 29 septembre

 

 

Un musulman, que l'on suppose islamiste par égard pour l'auteur du dessin, interdit à une petite fille d'aller à l'école. A droite de l'image, un syndicaliste CGT en revanche bien typé beauf gras interdit à une jeune fille d'aller travailler le dimanche. L'amalgame est creux et porteur de relents racistes, voire d'extrême-droite. Panne d'idées, dérapage? Assurément pas : je ne ferai pas l'insulte à l'auteur de laisser entendre que c'est involontaire. Ni à la rédaction du Monde que c'est un accident. Certes, Plantu fatigue manifestement depuis quelques années. Il reste que le fondateur de « Cartooning for peace » (« Dessins pour la Paix »), organisation rassemblant des dessinateurs de presse afin de lutter contre l'intolérance, n'en est pas a sa première vulgarité politique. Il a ainsi naguère assimilé le Front de Gauche au Front National.


 

643899 sans-titre Paru pendant la campagne des présidentielles ...

 

 

 

Plantu : veulerie sans frontière devant la montée des extrêmes-droites ? Ou excellente pièce du dispositif idéologique qui, en contribuant en crabe à la montée du FN, « rend la droite inéligible » ainsi que le déclarait le premier ministre socialiste Pierre Bérégovoy en 1984 ?

                                                                                                                                                                                          Pascal Acot

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 08:09

Eloge du populisme


Si être populiste c'est voir qu'il n'y a pas de peuple européen, alors je suis populiste.
Si être populiste c'est rire à Bruxelles des costumes gris autour de l'auge, alors je suis populiste.
Si être populiste c'est aimer la diversité des Nations en Europe, alors je suis populiste.
Si être populiste c'est être internationaliste, alors je suis populiste.
Si être populiste c'est défendre sa langue maternelle, alors je suis populiste.
Si être populiste c'est détester  la politique d'Israël, alors je suis populiste.
Si être populiste c'est combattre toutes les ingérences bottées, je suis populiste.
Si être populiste c'est être anti-américain en politique, je suis populiste.
Si être populiste c'est se détourner de la presse qui caquète d'un seul bec, je suis populiste.
Si être populiste c'est penser le mot «comandante» avec des larmes dans la gorge, je suis populiste.
Si être populiste c'est savoir que les maffias financières font partie du système, je suis populiste.
Si être populiste c'est saisir que les crises sont l'aubaine des droites, je suis populiste.
Si être populiste c'est comprendre que les gauches molles se servent des crises, je suis populiste.
Si être populiste c'est dire merde aux politiciens bien-pensants, je suis populiste.
Si être populiste c'est penser lutte des classes, alors je suis populiste.
Si être populiste c'est accepter de n'être pas du côté des plus forts, alors je suis populiste.
Si être populiste c'est se revendiquer marxiste jusqu'au bout et au-delà,  je suis populiste.
Et si être populiste c'est penser révolution en serrant les poings, je suis populiste.

Pascal Acot




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