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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
7 février 2021 7 07 /02 /février /2021 17:07
« Silence, des ouvriers meurent » : autour du traitement médiatique des accidents du travail
Matthieu Lépine, Pauline Perrenot,

Sur le compte Twitter « Accident du travail : silence des ouvriers meurent », Matthieu Lépine, professeur d’histoire-géographie en collège, s’attèle à un recensement des accidents du travail. Réalisé essentiellement à partir de la presse locale, il s’accompagne souvent d’interpellations de la ministre du Travail : Muriel Pénicaud de mai 2017 à juillet 2020, et Élisabeth Borne depuis. Parallèlement, Matthieu Lépine publie sur le blog « Une histoire populaire » des portraits de victimes, des bilans statistiques et ponctuellement, des analyses complémentaires. Enquête, recoupement, spécialisation, mise en perspective : des méthodes qui ne sont pas sans rappeler celles du (bon) journalisme, que revendique d’ailleurs en partie l’auteur contre les défaillances des médias traditionnels. C’est qu’à l’origine de ce travail résonne un cri de colère : « Face à l’indifférence des médias, soyons notre propre média ». Nous avons voulu en savoir plus.

[...]

Lire la suite ci-dessous :

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12 janvier 2021 2 12 /01 /janvier /2021 06:50
Les invisibles d'hier redeviennent visibles avec la crise du covid - Sans eux, rien n'est possible !
Les invisibles d'hier redeviennent visibles avec la crise du covid - Sans eux, rien n'est possible !Les invisibles d'hier redeviennent visibles avec la crise du covid - Sans eux, rien n'est possible !Les invisibles d'hier redeviennent visibles avec la crise du covid - Sans eux, rien n'est possible !
Les invisibles d'hier redeviennent visibles avec la crise du covid - Sans eux, rien n'est possible !Les invisibles d'hier redeviennent visibles avec la crise du covid - Sans eux, rien n'est possible !Les invisibles d'hier redeviennent visibles avec la crise du covid - Sans eux, rien n'est possible !

Les invisibles d'hier redeviennent visibles avec la crise du covid - Sans eux, rien n'est possible !

"En valorisant subitement les travailleurs les plus précarisés, en les exposant plus que les autres au risque sanitaire, la pandémie a provoqué l’implacable retour du réel social et dévoilé la structure de classe de notre société. Comme pour toutes les perturbations durables du fonctionnement de l’activité économique et sociale (catastrophes naturelles, crises, guerres, etc.), la pandémie s’est traduite par la visibilisation de l’invisibilisé. Ce que l’idéologie dominante parvient habituellement à masquer s’impose par le simple spectacle du réel. Ce que les médias dominants parviennent classiquement à voiler surgit au premier plan. Le mécanisme de crédibilisation par des « débats écrans » (sur le « communautarisme », le « danger islamisme », les « assistés sociaux parasites », etc.) perd son efficace. Bref, la pandémie fait fonction de révélateur du réel social."

Source : Regards

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29 février 2020 6 29 /02 /février /2020 04:28

Cet article est reposté depuis une source devenue inaccessible.

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20 mai 2019 1 20 /05 /mai /2019 14:56
 Pieter Brueghel l’Ancien. — « La Parabole des aveugles », 1568. Musée Capodimonte de Naples.

Pieter Brueghel l’Ancien. — « La Parabole des aveugles », 1568. Musée Capodimonte de Naples.

17 mai 2019

Quand un problème est trop embarrassant, il y a toujours la possibilité de regarder ailleurs. Avec une parfaite constance dans l’évitement, un sens du slogan qui fait penser à une publicité de la SNCF des années 80  Changer l’Europe, c’est possible ! »), et une conception de la politique essentiellement empruntée au mouvement scout (« À condition toutefois que l’on s’y mette tous »), le groupe des intellectuels organiques du hamono-glucksmannisme (1) remet le couvert avec ses sautillements d’« Europe démocratique », équivalent fonctionnel de l’ancienne promesse d’« Europe sociale », mais suffisamment ripolinée pour envisager de perdre deux ou trois décennies de plus.

L’honnêteté commande toutefois de souligner le progrès : l’« Europe sociale » façon Guigou-Aubry-Moscovici était à peine mieux que de l’hélium soufflé dans un ballon — en réalité personne n’y a jamais cru et, n’y croyant jamais, personne donc ne feignait même le moindre mouvement : écrire un truc ou deux, au moins faire semblant… mais rien. Ici au contraire, on y croit à fond — c’est presque pire. En tout cas on écrit, on n’arrête pas même. Nous avions déjà eu droit au Pour un traité de démocratisation de l’Europe en 2017, puis au Manifeste pour la démocratisation de l’Europe en 2018, c’est bien la moindre des choses qu’on nous informe que C’est possible ! en 2019. [...]

La suite ici : https://blog.mondediplo.net/apres-l-europe-sociale-l-europe-democratique-ou-l

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18 juillet 2016 1 18 /07 /juillet /2016 16:41
Publié le 01 09 2015

Dépassements d'honoraires cliniques

Le montant des dépassements d’honoraires progresse chaque année en clinique. Ils ont connu une hausse de 7% entre 2013 et 2014, selon les chiffres fournis par l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH). Le point sur ce qui attend le patient…

Les dépassements d’honoraires en clinique sont passé de 754 millions à 805 millions d’euros (+ 7%) entre 2013 et 2014, selon les données que l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) a rendu publiques au cours de l’été.

Les cliniques concentrent environ le tiers des dépassements d’honoraires. Une très faible proportion de ces montants facturés au-delà du tarif de la Sécurité sociale (qui lui sert de base pour calculer son remboursement) l’est à l’hôpital (environ 70 millions d’euros par an), le reste est le fait des médecins libéraux installés dans les cabinets de ville.

Des données publiques riches en enseignements

Seuls les médecins de secteur 2 sont libres de fixer leurs tarifs et à ce titre de pratiquer des dépassements d’honoraires. Peu nombreux parmi les généralistes, les médecins de secteur 2 représentent près de la moitié de l’effectif des spécialistes (ophtalmologistes, neurologues, chirurgiens, etc.). Cette proportion est variable d’une spécialité à l’autre.

La base de données des dépassements d’honoraires des cliniques privées de l’ATIH, disponible sur son site web, contient les données de dépassements d’honoraires pour tous les actes réalisés (anesthésie, chirurgie, actes techniques) dans les cliniques privées en 2014. Ces données sont disponibles à l’échelle nationale, régionale ou départementale, ce qui permet d’intéressantes comparaisons entre les différentes zones géographiques.

Nous avons sélectionné 15 actes parmi les plus couramment pratiqués et identifié pour chacun d’entre eux (voir notre tableau ci-dessous) la fréquence de dépassement, à savoir le nombre d’actes donnant lieu à une facturation au-delà du tarif Sécu par rapport au nombre total d’actes, le dépassement moyen ainsi que le montant du dépassement le plus élevé. A eux seuls, ces 15 actes représentent le quart des dépassements facturés en clinique (plus de 200 millions d’euros) l’année dernière.

Actes-courants-DH

Les dépassements sont fréquents, parfois élevés
L'intégralité ci-dessous.
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14 juillet 2016 4 14 /07 /juillet /2016 20:34

Publié le 12 Juillet 2016 Par Canaille Le Rouge

Vous ne le saviez peut-être pas

mais Pierre Semard

outre le syndicaliste

communiste révolutionnaire

était une fine plume.

Depuis la prison,

en plus de parfaire ses connaissances ;

il était insatiable,

de juin à fin 1940,

depuis sa prison de Bourges

il a écrit des contes

(en fait des nouvelles sous forme de conte)

 

Celui que Canaille le Rouge vous propose met en lumière bien des traits de notre pays qui de sa jeunesse à nos jours, de l'église aux "chiens de garde" entretiennent, une impressionante actualité !

 

Lire le conte en cliquant sur le lien ci-dessous

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14 juillet 2016 4 14 /07 /juillet /2016 15:14
"FAKIR" de juillet-août 2016 est paru !

Le dernier Fakir vient à peine de sortir. Mais puisque le rédac’chef se décide à coller à l’actu, on publie - et en exclu - l’édito que vous retrouverez dans vos boites à lettres et vos kiosques bientôt.

« Les ‘vieux’ ont pris la décision qui engage leur avenir : les jeunes Britanniques, très majoritairement favorables au maintien dans l’UE, sont particulièrement frustrés par les résultats du référendum et furieux envers leurs aînés », indique une dépêche de l’Agence France-Presse. Ainsi de Mary Treinen, 23 ans, consultante en technologie : « Je suis en colère. Ceux qui ont voté Brexit ne vont pas avoir à se battre pour leur avenir. »
L’ex-eurodéputé Daniel Cohn-Bendit reprend au bond cet argument : « Le passé a décidé de l’avenir. » A la RTBF, la radio télé belge, le directeur de l’information y va de sa proposition iconoclaste : « Faut-il supprimer le droit de vote aux plus de 60 ans qui votent contre l’avenir des jeunes ? » Le Monde, bien sûr : « Le droit de vote, c’est comme le permis : franchement, au bout d’un certain âge, on devrait leur retirer. » Pour d’autres, le vote des jeunes devrait peser davantage aux élections, parce qu’ils vont devoir « vivre plus longtemps » avec cette décision.
C’est une idée que nous avait déjà soumise Emmanuel Todd, mais pour un but presque inverse.
Les pro-européens devraient, en effet, se méfier.
Certes, en Grande-Bretagne, 73 % des 18-24 ans, 62 % des 25-34 ans, 52 % des 35-44 ans ont voté pour le Remain, le Leave dominant ensuite. Mais qu’en est-il, alors, chez nous, au référendum de 2005 ? C’est l’inverse qui est apparu : 56 % des 18-24 ans, 60 % des 25-34 ans, 63 % des 35-49 ans ont voté pour le « Non », le « Oui » ne devenant majoritaire que chez les 65 ans et +.
Ici, ce sont les vieux qui tiennent le plus à l’Union européenne.
Qui mettent notre avenir en péril par leur attachement à la « concurrence libre et non faussée ».
Et l’on ne voit pas l’AFP, Le Monde, Cohn-Bendit, etc. protester contre ces choix anti-jeunes, de Maastricht à Lisbonne...

Par souci d’amélioration de la démocratie, faisons une seconde suggestion : depuis quarante ans, « nous » avons fait le choix d’un libre-échange mondialisé. Mais qui en a payé le prix, en première ligne ? Les classes populaires. Ne faudrait-il pas, alors, leur accorder, à elles aussi, un double suffrage ?
Elles savent, en tout cas, se saisir du sujet lorsque la question leur est posée. En France, en 2005, 79 % des ouvriers et 67 % des employés s’étaient opposés à la Constitution européenne (contre 65% des cadres pour le « Oui »). En Grande-Bretagne, 64 % des ouvriers et 64 % des employés ont voté pour le Leave (contre 57 % des cadres pour le Remain).

"FAKIR" de juillet-août 2016 est paru !

Dans le nouveau Fakir en kiosque, une femme de ménage l’emporte contre le géant du nettoyage. Mais dans cette bataille, Madame Gueffar n’était pas seule... Entourés des cheminots, des soutiens, des amis, on a appris un truc dans cette bataille : la victoire en se taisant.
Mais aussi :

 

  • Cet été, vos cerises auront une autre saveur ! Que du pur produit ! Car le gouvernement français a pris une décision franchement protectionniste : il a interdit le dimethoate, un pesticide largement utilisé, risquant le drame sanitaire. Puis il a interdit qu’on importe des cerises traitées par ce produit. Et l’Allemagne, la Belgique, la Grèce, l’Italie, l’Espagne ont suivi. Surtout, on y a vu une brèche. Aujourd’hui les cerises et pourquoi pas, demain, les abricots ?, les prunes ?, les poireaux ? Ce régime sans pesticides 5 fruits et frontières par jour, Emmanuel Aze nous l’a expliqué, dans son verger de Villeneuve-sur-Lot.
  • Marc, un ancien des services secrets, avait lâche le mot : Kazakhstan. Après quelques recherches, c’est une vraie histoire d’amour qu’on a trouvée. Et illustrée avec des photos, de Sarko, par qui l’amour commence. Et de Hollande, qui l’a non plus, n’incarnera pas trop le changement.
  • Mais qui tue (vraiment) les entreprises ? Des caves de l’Insee aux bureaux de Bercy, Fakir vous propose de partir à la recherche de celui qui silencieusement abat l’investissement. Et attention, les rapports supposés critiquer la Finance ne sont pas toujours ce que l’on croit...
  • Notre « FO », « Film obligatoire » du moment : Queimada. Avec Marlon Brando qui délivre des leçons de guérilla...
  • Une immersion dans les caves de Marks & Spencer !
  • La mondialisation pour les nuls, à Zutkerkque, avec Jibé.
  • Nos heures sup’, non tarifées, de Nuit debout aux dockers du Havre...
  • Et bien sûr le carnet de bord de nos reporters.

A retrouver en kiosque, à commander en ligne. Mais le mieux, c’est quand même de s’abonner !

 

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13 juillet 2016 3 13 /07 /juillet /2016 22:02
Saint-Étienne : relaxe pour trois militants anti-loi travail

Par France Bleu Saint-Étienne Loire mercredi 13 juillet 2016 à 11:37

Les quatre militants saluent leurs soutiens avant de comparaître au palais de justice

Les quatre militants saluent leurs soutiens avant de comparaître au palais de justice © Radio France - (Julie Szmul)

Quatre militants anti-loi travail étaient convoqués devant la justice en début d'après-midi à Saint-Étienne, pour des faits remontant au 12 mai dernier. Trois sont relaxés. Pour le quatrième, la décision est mise en délibéré au 6 septembre.

Les prévenus, âgés de 24 à 29 ans, comparaissent en début d'après-midi au palais de justice de Saint-Étienne pour s'être introduits dans la permanence du député socialiste de la Loire Jean-Louis Gagnaire le 12 mai dernier, en marge d'un autre rassemblement contre la loi travail. Des violences leurs sont également reprochées à l'encontre de policiers intervenus lors de cette manifestation.

L'action du 12 mai était purement symbolique. Elle avait pour but d'interpeller les élus. Ils ont des comptes à rendre au peuple, ils ne sont pas intouchables - Jules, l'un des militants jugés ce mercredi

Des peines de quatre à douze mois de prison avec sursis requises pour trois prévenus

Lors de l'audience, il est décidé de juger trois des prévenus ensemble, et le quatrième ensuite. Pendant les plaidoiries concernant le cas des trois premiers prévenus, l'avocat du député Jean-Louis Gagnaire, Maître Paquet demande que les militants remboursent la somme de 700 euros, ce qui correspond à la franchise de l'assurance pour changer la serrure de la porte de la permanence de l'élu. Un euro symbolique est également demandé pour préjudice moral.  Maître Mraben, l'avocat des cinq policiers qui se sont portés partie civile, demande lui à l'encontre d'un seul des prévenus, soupçonné de violences envers les forces de l'ordre, trois amendes de 1500 euros  (pour les policiers qui ont eu 3 jours d'ITT) et deux amendes de 2000 euros (pour les deux autres policiers, qui ont eu 5 jours d'ITT). Soit un total de 8500 euros d'amende. L'avocat des policiers ne demande rien pour les deux autres prévenus.

Le procureur de la République de Saint-Étienne, Jean-Daniel Regnault, requiert lui à l'encontre de ce militant soupçonné de violences, un an de prison avec sursis, 600 euros d'amende et l'interdiction d'exercer dans la fonction publique pendant cinq ans. Pour les deux autres prévenus jugés en même temps, le procureur demande quatre mois de prison avec sursis, 500 euros d'amende et deux ans d'interdiction d'exercer dans la fonction publique. Les avocats des prévenus ont demandé la relaxe pour tous les faits reprochés à leurs clients.

Trois mois de prison ferme demandés pour le quatrième prévenu

Après une suspension d'audience, le tribunal se penche sur le cas du quatrième prévenu, jugé uniquement pour les violences envers les forces de l'ordre puisqu'il est resté en dehors de la permanence parlementaire le 12 mai dernier. Sept policiers sont partie civile et leur avocat, Maître Mraben, demande 7000 euros de dommages et intérêts. Le procureur requiert lui 18 mois de prison dont trois ferme, ainsi que l'indemnisation des victimes et l'interdiction d'exercer dans la fonction publique pendant cinq ans.

À l'issue d'une nouvelle suspension, la décision est rendue pour les trois premiers prévenus : la relaxe est prononcée. Concernant le quatrième prévenu, la décision est mise en délibéré au 6 septembre 2016.

Plus de 400 personnes venues soutenir les prévenus

Avant l'audience au tribunal, un rassemblement de soutien aux jeunes militants a été organisé entre la Bourse du travail et le palais de justice. Le défilé réunit plus de 400 personnes, venues aussi, une fois de plus, dénoncer la loi travail. À 11h30 le cortège, composé d'environ 400 personnes, s'apprête à partir en direction du palais de justice de Saint-Étienne. Un cortège composé à la fois de personnes venues soutenir les militants convoqués devant la justice, et d'opposants à la loi travail. De nombreux manifestants brandissent des drapeaux estampillés CGT. Ils défilent en scandant : "Relaxe pour nos camarades". [...]

 

Voir l'image sur Twitter

Bcp de drapeaux, de chants, de slogans dans le cortège qui traverse la place de l'hôtel de ville

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1 juillet 2016 5 01 /07 /juillet /2016 09:01

Qu'Alain Juppé aille jusqu'au bout de sa pensée et qu'il préconise le suffrage censitaire.  Seuls les journalistes des médias chiens de garde, les experts chiens de garde, les économistes partisans de la "concurrence libre et non faussée", les élus politiques pourraient voter.  L'important, c'est qu'ils soient tous europhiles !   Bien évidemment on écarterait les couches populaires pas assez informées sur les bienfaits de l'UE et qui le prouvent en soutenant les actions contre la loi travail et en ayant voté en 2005 contre le traité constitutionnel !   YG

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19 juin 2016 7 19 /06 /juin /2016 17:19

Depuis le début des manifestations contre la Loi Travail, Le Havre est considérée comme la capitale de la contestation. Cette réputation n'est pas vraiment nouvelle. Dans l'histoire, cette ville s'est toujours retrouvée à la pointe des conquêtes sociales françaises... 

  • DM avec Danilo Commodi
  • Publié le
 

En 1900, les ouvriers havrais obtiennent la journée de 8 heures © Institut CGT d'histoire sociale

© Institut CGT d'histoire sociale En 1900, les ouvriers havrais obtiennent la journée de 8 heures

 

Depuis le début des manifestations contre la Loi Travail, les 2500 dockers ouvrent ou ferment chaque défilé. Cela fait plus d'un siècle que ça dure. Car le Havre et son port ont toujours été berceau de la constestation. 
Au 19ème siècle, des milliers d'ouvriers s'organisent en syndicats au Havre et obtiennent en premier la journée de 8 heures en 1900. Ils initient ensuite les grèves du front populaire en 1936 en bloquant la construction d'un hydravion chez Breguet. 

VIDEO : le reportage de Danilo Commodi, Anne-Laure Meyrignac, Rozenn Méheust avec les interviews de : 

  • John Barzman, professeur d'Histoire - univesité du Havre
  • Jacques Defortescu, secrétaire Institut CGT d'histoire sociale 
  • des archives cinématographiques de 1932 de la Gaumont et des photos de Institut CGT d'histoire sociale 
Histoire des mouvements sociaux au Havre
Pour voir la video rendez-vous sur le site de FR3 Normandie ci-dessous
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