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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
18 février 2023 6 18 /02 /février /2023 15:38
Chomsky et Prashad : Cuba n’est pas un État parrain du terrorisme
Vu sur le blog Histoire et Société
Deux intellectuels mondialement connus en appellent au gouvernement de Biden pour qu’il en finisse avec le blocus criminel contre Cuba. Dès maintenant il est possible d’en finir avec la disposition inique de Trump plaçant Cuba dans les Etats terroristes. Nous appuyons en France, à Marseille cette disposition et nous vous invitons à venir le dernier dimanche de chaque mois de 14 heures à 17 heures place du général De Gaulle pour vous joindre à la protestation que nous organisons depuis deux ans. Partout dans le monde, les amis de Cuba réclament la fin de cette injustice qui veut que la première puissance du monde étrangle un petit pays digne, souverain et humaniste. (note et traduction de Danielle Bleitrach histoireetsociete)

Par Noam Chomsky et Vijay PrashadCet article a été produit par Globetrotter.

Noam Chomsky est linguiste, philosophe et activiste politique. Il est professeur lauréat de linguistique à l’Université de l’Arizona. Ses livres les plus récents sont Climate Crisis and the Global Green New Deal: The Political Economy of Saving the Planet et The Withdrawal: Iraq, Libya, Afghanistan, and the Fragility of U.S. Power.

Vijay Prashad est un historien, éditeur et journaliste indien. Il est rédacteur et correspondant en chef chez Globetrotter. Il est éditeur de LeftWord Books et directeur de Tricontinental: Institute for Social Research. Il est chercheur principal non résident à l’Institut Chongyang d’études financières de l’Université Renmin de Chine. Il a écrit plus de 20 livres, dont The Darker Nations et The Poorer Nations. Ses derniers livres sont Struggle Makes Us Human: Learning from Movements for Socialism et (avec Noam Chomsky) The Withdrawal: Iraq, Libya, Afghanistan, and the Fragility of U.S. Power.  Source: Globe-trotter

Cuba, un pays de 11 millions d’habitants, est sous embargo illégal du gouvernement des États-Unis depuis plus de six décennies.

Malgré cet embargo, le peuple cubain a été en mesure de transcender les indignités de la faim, de la mauvaise santé et de l’analphabétisme, tous trois étant des fléaux sociaux qui continuent de troubler une grande partie du monde.

Grâce à ses innovations dans la prestation des soins de santé, par exemple, Cuba a pu envoyer ses travailleurs médicaux dans d’autres pays, y compris pendant la pandémie, pour fournir une assistance vitale. Cuba exporte ses travailleurs médicaux, pas le terrorisme.

Dans les derniers jours de l’administration Trump, le gouvernement des États-Unis a remis Cuba sur sa liste d’États soutenant le terrorisme.

C’était un acte vindicatif. Trump a déclaré que c’était parce que Cuba accueillait des groupes de guérilla colombiens, ce qui faisait en fait partie du rôle de Cuba en tant qu’hôte des pourparlers de paix.

Cuba a joué un rôle clé dans l’instauration de la paix en Colombie, un pays ravagé par une terrible guerre civile depuis 1948 qui a coûté la vie à des centaines de milliers de personnes. Pendant deux ans, l’administration Biden a maintenu la politique vindicative de Trump, qui punit Cuba non pas pour le terrorisme mais pour la promotion de la paix.

Biden peut retirer Cuba de cette liste d’un trait de plume. C’est aussi simple que cela. Lorsqu’il était candidat à la présidence, Biden a déclaré qu’il annulerait même les sanctions plus sévères de Trump. Mais il ne l’a pas fait. Il doit le faire maintenant.

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6 décembre 2022 2 06 /12 /décembre /2022 00:39
Emmanuel Macron et Joe Biden au 47e sommet du G7, le 11 juin 2021 - The White House, Public domain, via Wikimedia Commons

Emmanuel Macron et Joe Biden au 47e sommet du G7, le 11 juin 2021 - The White House, Public domain, via Wikimedia Commons

Emmanuel Macron est présenté par les médias dominants français comme un allié de choix des États-Unis (EU) dans la géopolitique mondiale. La preuve en serait qu’il est le premier chef d’État à être invité aux États-Unis après les élections de mi-mandat. Analysons ensemble le réel avant de penser à l’idéal !

Les élections à mi-mandat aux États-Unis

Elles ont bien évidemment une importance capitale, car les EU sont aujourd’hui la première puissance économique, militaire, culturelle et donc politique de la planète. Joe Biden et son actuelle administration ont formellement perdu la majorité à la Chambre des représentants, mais ont gardé la majorité au Sénat. Mais une majorité aussi courte pour le parti républicain à la Chambre des représentants ne devrait pas empêcher le président des EU de passer un accord avec quelques républicains, vu les prérogatives du poste et le fait que le Sénat — même avec une très courte majorité — peut refuser un budget voté par les représentants — qui gardent tout de même l’initiative parlementaire en ce domaine.

[...]

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3 juin 2022 5 03 /06 /juin /2022 16:42

Cet article est reposté depuis Bolivar Infos.

Amérique latine : Le sommet de Biden, pression chantage et sales manœuvres
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29 avril 2022 5 29 /04 /avril /2022 09:39
Des soldats tirent avec le char M1A2 SEPv3 de l’armée américaine à Fort Hood, au Texas, le 18 août 2020. (Sergent Calab Franklin / US Army via Flickr)

Des soldats tirent avec le char M1A2 SEPv3 de l’armée américaine à Fort Hood, au Texas, le 18 août 2020. (Sergent Calab Franklin / US Army via Flickr)

Publié le 17 avril 22 sur ce blog

Joe Biden a demandé plus de 800 milliards de dollars de dépenses militaires pour l’année fiscale à venir. Son plan de dépenses ne rendra pas le monde plus sûr, mais il permettra probablement de canaliser plus de 400 milliards de dollars d’argent public vers des entreprises du secteur privé.

Source : Jacobin Mag, Stephen Semler
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

Pour la deuxième année consécutive, Joe Biden prévoit d’augmenter le budget militaire.

La demande de budget pour l’année fiscale (FY) 2023 que Biden enverra au Congrès ce mois-ci proposerait plus de 800 milliards de dollars de dépenses militaires ; 773 milliards de dollars pour le ministère de la Défense (DOD) et la majeure partie du reste pour les programmes d’armes nucléaires du ministère de l’Énergie. Si l’on excepte la période des budgets militaires entre 2007 et 2011, qui a permis d’augmenter successivement les effectifs militaires, d’abord en Irak puis en Afghanistan, le plan de Biden prévoit de donner plus d’argent au Pentagone pour l’exercice 2023 que pour n’importe quelle autre année depuis la Seconde Guerre mondiale.

Un budget massif du Pentagone implique une redistribution massive des richesses, et le principal bénéficiaire n’est pas « nos troupes », comme les politiciens américains aiment à le dire. Au lieu de cela, la majeure partie du budget du DOD va à des entreprises à but lucratif : 55 % des 14 500 milliards de dollars que le Congrès a accordés au Pentagone entre les exercices 2002 et 2021 ont fini par être versés à des entreprises du secteur privé par le biais de contrats. [...]

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15 décembre 2021 3 15 /12 /décembre /2021 18:12

Les Etats-Unis ont toujours été très actifs pour "défendre la démocratie et les droits humains ", objectif de Joe Biden qui a organisé le "Sommet pour la démocratie"

1 - 2017-Trump envoie des troupes en Afghanistan ainsi que des avions de combat "pour aider Kaboul" 2 -  : Pour promouvoir la démocratie l'OTAN bombarde le ministère de l'Intérieur à Belgrade 3 - Idem en Irak :   Explosion après un raid américain sur le ministère de l'Information à Bagdad le 8 avril 2003.  Reuters/Faleh Kheiber 4 - Et l'agent orange de Monsanto au Vietnam très efficace pour promouvoir la démocratie
1 - 2017-Trump envoie des troupes en Afghanistan ainsi que des avions de combat "pour aider Kaboul" 2 -  : Pour promouvoir la démocratie l'OTAN bombarde le ministère de l'Intérieur à Belgrade 3 - Idem en Irak :   Explosion après un raid américain sur le ministère de l'Information à Bagdad le 8 avril 2003.  Reuters/Faleh Kheiber 4 - Et l'agent orange de Monsanto au Vietnam très efficace pour promouvoir la démocratie
1 - 2017-Trump envoie des troupes en Afghanistan ainsi que des avions de combat "pour aider Kaboul" 2 -  : Pour promouvoir la démocratie l'OTAN bombarde le ministère de l'Intérieur à Belgrade 3 - Idem en Irak :   Explosion après un raid américain sur le ministère de l'Information à Bagdad le 8 avril 2003.  Reuters/Faleh Kheiber 4 - Et l'agent orange de Monsanto au Vietnam très efficace pour promouvoir la démocratie
1 - 2017-Trump envoie des troupes en Afghanistan ainsi que des avions de combat "pour aider Kaboul" 2 -  : Pour promouvoir la démocratie l'OTAN bombarde le ministère de l'Intérieur à Belgrade 3 - Idem en Irak :   Explosion après un raid américain sur le ministère de l'Information à Bagdad le 8 avril 2003.  Reuters/Faleh Kheiber 4 - Et l'agent orange de Monsanto au Vietnam très efficace pour promouvoir la démocratie

1 - 2017-Trump envoie des troupes en Afghanistan ainsi que des avions de combat "pour aider Kaboul" 2 - : Pour promouvoir la démocratie l'OTAN bombarde le ministère de l'Intérieur à Belgrade 3 - Idem en Irak : Explosion après un raid américain sur le ministère de l'Information à Bagdad le 8 avril 2003. Reuters/Faleh Kheiber 4 - Et l'agent orange de Monsanto au Vietnam très efficace pour promouvoir la démocratie

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26 novembre 2021 5 26 /11 /novembre /2021 15:45
Derrière “la démocratie” et les campagnes occidentales il y a notre esclavage, la guerre et le fascisme…
Danielle Bleitrach
Il ne s’agit pas seulement de lutter contre les mensonges et les campagnes de propagande sur le thème de la démocratie, mais bien de se rendre compte en quoi nos couches populaires et nos peuples en seront les principales victimes. Alors même que l’humanité est confrontée à des situations dramatiques qui exigent des coopérations planétaires, on ne peut qu’être frappé par la teneur de ce qui divise et crée les antagonismes. Honnêtement, je dois dire que je n’ai aucune confiance dans les esprits assez inconséquents pour ne pas mesurer combien le thème des droits de l’homme, la pseudo dénonciation des “autoritarismes” et tous les opportunismes d’une campagne électorale qui est de plus en plus déportée vers la droite et l’extrême-droite, sont liberticides. On nous annonce un sommet virtuel organisé par Biden autour de la question des droits de l’homme. Si on ne dénonce pas de telles opérations on ne pourra pas lutter contre ce que nous préparent les gouvernants capitalistes en matière de régression. Pas plus que si dans la foulée on n’ose pas affirmer la nécessité du socialisme face à ce terrible déclin dans lequel on tente de nous entraîner. Il ne s’agit pas de s’identifier à la Chine ou même à Cuba, il s’agit de refuser la logique impérialiste et le gouffre qu’elle creuse.

L’administration Biden n’a pas attendu longtemps pour se désavouer et rendre complètement caduques les affirmations de respect de la rencontre virtuelle entre eux et Xi. Les principes d’une concurrence qui éviterait les provocations et les ingérences sont battus en brèche par l’annonce du sommet pour la “démocratie” qui provoque également la colère méprisante de la Russie. Du 9 au 10 décembre, le président BIDEN organise un sommet virtuel qui devrait regrouper “les dirigeants du gouvernement, de la société civile et du secteur privé” autour de certains thèmes “la dénonciation de l’autoritarisme” et “la promotion du respect des droits de l’homme” selon un communiqué publié sur le site web du département d’État. [...]

Lire la suite sur le blog "Histoire et Société"

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28 février 2021 7 28 /02 /février /2021 15:57
VICTORIA NULAND : LE RETOUR - LIBYE, SYRIE, UKRAINE - ELLE FUT DE TOUS LES MAUVAIS COUPS - LESQUELS NOUS PREPARE-T-ELLE ?

VICTORIA NULAND : LE RETOUR - LIBYE, SYRIE, UKRAINE - ELLE FUT DE TOUS LES MAUVAIS COUPS - LESQUELS NOUS PREPARE-T-ELLE ?

Au moins, c’est clair. Ceux qui nourrissaient encore quelque illusion sur les vertus apaisantes de l’arrivée de Joseph Biden à la Maison Blanche sont désormais fixés : en matière de politique étrangère, le « retour à la normalité » vanté ici et là apparaît sous son vrai visage : la volonté américaine assumée de reprendre le contrôle des affaires du monde et de « remuscler » – les mots ont un sens – l’alliance atlantique. « America is back » (« l’Amérique est de retour »), tel est le slogan du nouveau président, qui proclame ainsi vouloir rompre avec « l’Amérique d’abord » de Donald Trump. Non pas que la politique étrangère de ce dernier ait été particulièrement aimable – au Moyen-Orient en particulier. Mais avec son mot d’ordre recopié de Ronald Reagan, le nouveau maître de Washington renoue délibérément avec l’esprit de guerre froide.

Dans son discours tenu le 4 février, M. Biden affirme que la « domination américaine » (« leadership ») se doit désormais d’« affronter la montée de l’autoritarisme, notamment les ambitions croissantes de la Chine pour rivaliser avec les USA, et la détermination de la Russie visant à abîmer et faire dérailler notre démocratie ». Si les dépendances économiques réciproques le contraignent à quelque prudence de langage vis-à-vis de Pékin, il n’en est pas de même vis-à-vis de Moscou : « l’époque où nous reculions devant l’agressivité de la Russie – interférences dans nos élections, cyber-attaques, empoisonnement de ses citoyens – est terminée. Nous n’hésiterons pas à faire grimper le coût (de ce comportement) » de Moscou. [...]

La suite sur le site de Ruptures :

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13 février 2021 6 13 /02 /février /2021 10:42

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

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2 décembre 2020 3 02 /12 /décembre /2020 17:47
Le "Ruptures" 100 est arrivé

L’édition de novembre de Ruptures est arrivée chez les abonnés.

Au sommaire :

l’éditorial qui pointe les possibles conséquences du départ de Donald Trump sur les relations transatlantiques, et évoque les deux tendances qui se font jour à cet égard au sein de la classe politique allemande

un point sur les conséquences de la future fusion entre Alstom et le Canadien Bombardier Transport, la direction du groupe ferroviaire français (dont l’actionnaire de référence devrait devenir canadien) prévoyant de larguer son usine alsacienne pour satisfaire aux règles de la concurrence européenne surveillées par la Commission

un dossier complet sur le veto qu’ont imposé – pour l’instant – la Hongrie et la Pologne à l’adoption du paquet financier européen (budget pluriannuel et « plan de relance »), les deux pays dénonçant la volonté de l’UE d’empiéter toujours plus sur leur souveraineté

une analyse des nouveaux rapports de force internationaux qui pourraient découler de l’arrivée de Joseph Biden à la Maison Blanche en janvier prochain

une analyse des élections présidentielles en Moldavie, dont le second tour, le 15 novembre, a vu la défaite du président sortant qualifié de « pro-russe », dans un contexte où ce pays, le plus pauvre du continent, ne devrait cependant pas connaître de basculement géopolitique

– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves

Pour recevoir cette édition, il n’est pas trop tard pour s’abonner.

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