Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Deux intellectuels mondialement connus en appellent au gouvernement de Biden pour qu’il en finisse avec le blocus criminel contre Cuba. Dès maintenant il est possible d’en finir avec la disposition inique de Trump plaçant Cuba dans les Etats terroristes. Nous appuyons en France, à Marseille cette disposition et nous vous invitons à venir le dernier dimanche de chaque mois de 14 heures à 17 heures place du général De Gaulle pour vous joindre à la protestation que nous organisons depuis deux ans. Partout dans le monde, les amis de Cuba réclament la fin de cette injustice qui veut que la première puissance du monde étrangle un petit pays digne, souverain et humaniste. (note et traduction de Danielle Bleitrach histoireetsociete)
Cuba, un pays de 11 millions d’habitants, est sous embargo illégal du gouvernement des États-Unis depuis plus de six décennies.
Malgré cet embargo, le peuple cubain a été en mesure de transcender les indignités de la faim, de la mauvaise santé et de l’analphabétisme, tous trois étant des fléaux sociaux qui continuent de troubler une grande partie du monde.
Grâce à ses innovations dans la prestation des soins de santé, par exemple, Cuba a pu envoyer ses travailleurs médicaux dans d’autres pays, y compris pendant la pandémie, pour fournir une assistance vitale. Cuba exporte ses travailleurs médicaux, pas le terrorisme.
Dans les derniers jours de l’administration Trump, le gouvernement des États-Unis a remis Cuba sur sa liste d’États soutenant le terrorisme.
C’était un acte vindicatif. Trump a déclaré que c’était parce que Cuba accueillait des groupes de guérilla colombiens, ce qui faisait en fait partie du rôle de Cuba en tant qu’hôte des pourparlers de paix.
Cuba a joué un rôle clé dans l’instauration de la paix en Colombie, un pays ravagé par une terrible guerre civile depuis 1948 qui a coûté la vie à des centaines de milliers de personnes. Pendant deux ans, l’administration Biden a maintenu la politique vindicative de Trump, qui punit Cuba non pas pour le terrorisme mais pour la promotion de la paix.
Biden peut retirer Cuba de cette liste d’un trait de plume. C’est aussi simple que cela. Lorsqu’il était candidat à la présidence, Biden a déclaré qu’il annulerait même les sanctions plus sévères de Trump. Mais il ne l’a pas fait. Il doit le faire maintenant.
Emmanuel Macron et Joe Biden au 47e sommet du G7, le 11 juin 2021 - The White House, Public domain, via Wikimedia Commons
Emmanuel Macron est présenté par les médias dominants français comme un allié de choix des États-Unis (EU) dans la géopolitique mondiale. La preuve en serait qu’il est le premier chef d’État à être invité aux États-Unis après les élections de mi-mandat. Analysons ensemble le réel avant de penser à l’idéal !
Les élections à mi-mandat aux États-Unis
Elles ont bien évidemment une importance capitale, car les EU sont aujourd’hui la première puissance économique, militaire, culturelle et donc politique de la planète. Joe Biden et son actuelle administration ont formellement perdu la majorité à la Chambre des représentants, mais ont gardé la majorité au Sénat. Mais une majorité aussi courte pour le parti républicain à la Chambre des représentants ne devrait pas empêcher le président des EU de passer un accord avec quelques républicains, vu les prérogatives du poste et le fait que le Sénat — même avec une très courte majorité — peut refuser un budget voté par les représentants — qui gardent tout de même l’initiative parlementaire en ce domaine.
Emmanuel Macron est présenté par les médias dominants français comme un allié de choix des États-Unis (EU) dans la géopolitique mondiale. La preuve en serait qu'il est le premier chef d'Éta...
Avec l’organisation du neuvième sommet des Amériques, le Gouvernement de Joe Biden, son département d’État et l’OEA ont ajouté quelques mètres de profondeur à leur propre tombe politique. Pour rajouter plus d’ingrédients à cette mauvaise salade, des sources indiquent que le président nord-américain pourrait être en train d’envisager de ne pas assister au sommet, ce qui s’aj
Éditorial / L'influence américaine à l'épreuve La politique de l'administration Trump envers l'Amérique latine a été marquée par des sanctions, des menaces militaires et des commentaires ...
Des soldats tirent avec le char M1A2 SEPv3 de l’armée américaine à Fort Hood, au Texas, le 18 août 2020. (Sergent Calab Franklin / US Army via Flickr)
Publié le 17 avril 22 sur ce blog
Joe Biden a demandé plus de 800 milliards de dollars de dépenses militaires pour l’année fiscale à venir. Son plan de dépenses ne rendra pas le monde plus sûr, mais il permettra probablement de canaliser plus de 400 milliards de dollars d’argent public vers des entreprises du secteur privé.
Pour la deuxième année consécutive, Joe Biden prévoit d’augmenter le budget militaire.
La demande de budget pour l’année fiscale (FY) 2023 que Biden enverra au Congrès ce mois-ci proposerait plus de 800 milliards de dollars de dépenses militaires ; 773 milliards de dollars pour le ministère de la Défense (DOD) et la majeure partie du reste pour les programmes d’armes nucléaires du ministère de l’Énergie. Si l’on excepte la période des budgets militaires entre 2007 et 2011, qui a permis d’augmenter successivement les effectifs militaires, d’abord en Irak puis en Afghanistan, le plan de Biden prévoit de donner plus d’argent au Pentagone pour l’exercice 2023 que pour n’importe quelle autre année depuis la Seconde Guerre mondiale.
Un budget massif du Pentagone implique une redistribution massive des richesses, et le principal bénéficiaire n’est pas « nos troupes », comme les politiciens américains aiment à le dire. Au lieu de cela, la majeure partie du budget du DOD va à des entreprises à but lucratif : 55 % des 14 500 milliards de dollars que le Congrès a accordés au Pentagone entre les exercices 2002 et 2021 ont fini par être versés à des entreprises du secteur privé par le biais de contrats. [...]
Joe Biden a demandé plus de 800 milliards de dollars de dépenses militaires pour l'année fiscale à venir. Son plan de dépenses ne rendra pas le monde plus sûr, mais il permettra probablement ...
Les Etats-Unis ont toujours été très actifs pour "défendre la démocratie et les droits humains ", objectif de Joe Biden qui a organisé le "Sommet pour la démocratie"
1 - 2017-Trump envoie des troupes en Afghanistan ainsi que des avions de combat "pour aider Kaboul" 2 - : Pour promouvoir la démocratie l'OTAN bombarde le ministère de l'Intérieur à Belgrade 3 - Idem en Irak : Explosion après un raid américain sur le ministère de l'Information à Bagdad le 8 avril 2003. Reuters/Faleh Kheiber 4 - Et l'agent orange de Monsanto au Vietnam très efficace pour promouvoir la démocratie
Les 9-10 décembre le Président Biden accueillera le “Sommet pour la Démocratie” qui réunira, par liaison mondiale en ligne, des “leaders de gouvernement, de la société civile et du secteur privé”. La liste des invités comprend 111 pays. Parmi eux 28 des 30 membres de l’OTAN : manquent la Turquie et la Hongrie mais, en compensation, on a Israël et Ukraine, avec 26 des 27 membres de l’Ue sauf la Hongrie. Le Sommet “leur fournira une plate-forme pour défendre la démocratie et les droits humains à l’intérieur et à l’extérieur, pour affronter à travers une action collective les plus grandes menaces que les démocraties ont aujourd’hui devant elles”. De cette façon va être lancée “une année d’action pour rendre les démocraties plus réactives et résiliantes”, qui culminera avec un second Sommet en présence pour “construire une communauté de partenaires engagés dans la rénovation démocratique mondiale”.
Joe Biden maintient ainsi ce qu’il a annoncé dans son programme électoral (il manifesto, 10 novembre 2020) : un Sommet mondial des “nations du monde libre”, avant tout pour “contrecarrer l’agression russe, en gardant le tranchant des capacités de l’Alliance et en imposant à la Russie des coûts réels quant à ses violations des normes internationales”” et, en même temps, pour “construire un front uni contre les actions offensives et les violations des droits humains de la part de la Chine”. Ce faisant les États-Unis reviendront “jouer le rôle de guide dans l’écriture des règles”.“La défense des valeurs démocratiques -a rappelé Biden en habit de président- est inscrite dans notre ADN de nation”.[...]
Il ne s’agit pas seulement de lutter contre les mensonges et les campagnes de propagande sur le thème de la démocratie, mais bien de se rendre compte en quoi nos couches populaires et nos peuples en seront les principales victimes. Alors même que l’humanité est confrontée à des situations dramatiques qui exigent des coopérations planétaires, on ne peut qu’être frappé par la teneur de ce qui divise et crée les antagonismes. Honnêtement, je dois dire que je n’ai aucune confiance dans les esprits assez inconséquents pour ne pas mesurer combien le thème des droits de l’homme, la pseudo dénonciation des “autoritarismes” et tous les opportunismes d’une campagne électorale qui est de plus en plus déportée vers la droite et l’extrême-droite, sont liberticides. On nous annonce un sommet virtuel organisé par Biden autour de la question des droits de l’homme. Si on ne dénonce pas de telles opérations on ne pourra pas lutter contre ce que nous préparent les gouvernants capitalistes en matière de régression. Pas plus que si dans la foulée on n’ose pas affirmer la nécessité du socialisme face à ce terrible déclin dans lequel on tente de nous entraîner. Il ne s’agit pas de s’identifier à la Chine ou même à Cuba, il s’agit de refuser la logique impérialiste et le gouffre qu’elle creuse.
L’administration Biden n’a pas attendu longtemps pour se désavouer et rendre complètement caduques les affirmations de respect de la rencontre virtuelle entre eux et Xi. Les principes d’une concurrence qui éviterait les provocations et les ingérences sont battus en brèche par l’annonce du sommet pour la “démocratie” qui provoque également la colère méprisante de la Russie. Du 9 au 10 décembre, le président BIDEN organise un sommet virtuel qui devrait regrouper “les dirigeants du gouvernement, de la société civile et du secteur privé” autour de certains thèmes “la dénonciation de l’autoritarisme” et “la promotion du respect des droits de l’homme” selon un communiqué publié sur le site web du département d’État. [...]
Il ne s'agit pas seulement de lutter contre les mensonges et les campagnes de propagande sur le thème de la démocratie, mais bien de se rendre compte en quoi nos couches populaires et nos peuples en
VICTORIA NULAND : LE RETOUR - LIBYE, SYRIE, UKRAINE - ELLE FUT DE TOUS LES MAUVAIS COUPS - LESQUELS NOUS PREPARE-T-ELLE ?
Au moins, c’est clair. Ceux qui nourrissaient encore quelque illusion sur les vertus apaisantes de l’arrivée de Joseph Biden à la Maison Blanche sont désormais fixés : en matière de politique étrangère, le « retour à la normalité » vanté ici et là apparaît sous son vrai visage : la volonté américaine assumée de reprendre le contrôle des affaires du monde et de « remuscler » – les mots ont un sens – l’alliance atlantique. « America is back » (« l’Amérique est de retour »), tel est le slogan du nouveau président, qui proclame ainsi vouloir rompre avec « l’Amérique d’abord » de Donald Trump. Non pas que la politique étrangère de ce dernier ait été particulièrement aimable – au Moyen-Orient en particulier. Mais avec son mot d’ordre recopié de Ronald Reagan, le nouveau maître de Washington renoue délibérément avec l’esprit de guerre froide.
Dans son discours tenu le 4 février, M. Biden affirme que la « domination américaine » (« leadership ») se doit désormais d’« affronter la montée de l’autoritarisme, notamment les ambitions croissantes de la Chine pour rivaliser avec les USA, et la détermination de la Russie visant à abîmer et faire dérailler notre démocratie ». Si les dépendances économiques réciproques le contraignent à quelque prudence de langage vis-à-vis de Pékin, il n’en est pas de même vis-à-vis de Moscou : « l’époque où nous reculions devant l’agressivité de la Russie – interférences dans nos élections, cyber-attaques, empoisonnement de ses citoyens – est terminée. Nous n’hésiterons pas à faire grimper le coût (de ce comportement) » de Moscou. [...]
Au moins, c'est clair. Ceux qui nourrissaient encore quelque illusion sur les vertus apaisantes de l'arrivée de Joseph Biden à la Maison Blanche sont désormais fixés : en matière de politique ...
Prison de Belmarsh où Julian Assange est détenu, à Londres, Grande-Bretagne, le 6 janvier 2021. RT France
Le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, tient un exemplaire du journal Guardian lors d'une conférence de presse au Frontline Club, dans le centre de Londres, le 26 juillet 2010.
Julian Assange ne bénéficiera pas de plus de clémence sous Biden que sous Trump. La nouvelle administratio
L’édition de novembre de Ruptures est arrivée chez les abonnés.
Au sommaire :
– l’éditorial qui pointe les possibles conséquences du départ de Donald Trump sur les relations transatlantiques, et évoque les deux tendances qui se font jour à cet égard au sein de la classe politique allemande
– un point sur les conséquences de la future fusion entre Alstom et le Canadien Bombardier Transport, la direction du groupe ferroviaire français (dont l’actionnaire de référence devrait devenir canadien) prévoyant de larguer son usine alsacienne pour satisfaire aux règles de la concurrence européenne surveillées par la Commission
– un dossier complet sur le veto qu’ont imposé – pour l’instant – la Hongrie et la Pologne à l’adoption du paquet financier européen (budget pluriannuel et « plan de relance »), les deux pays dénonçant la volonté de l’UE d’empiéter toujours plus sur leur souveraineté
– une analyse des nouveaux rapports de force internationaux qui pourraient découler de l’arrivée de Joseph Biden à la Maison Blanche en janvier prochain
– une analyse des élections présidentielles en Moldavie, dont le second tour, le 15 novembre, a vu la défaite du président sortant qualifié de « pro-russe », dans un contexte où ce pays, le plus pauvre du continent, ne devrait cependant pas connaître de basculement géopolitique
– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves
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La décision de la Cour pénale internationale d'émettre un mandat d'arrêt contre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant (ainsi que contre Mohammed Deif, l'un des dirigeants du Hamas aujourd'hui...
Le 10 janvier 2025 : LE GRAND ENTRETIEN : « Les USA jouent contre une Europe qui devient un État fédéral » Avec Jean-Loup Izambert, journaliste d’investigation et auteur récemment de « Empêcher l’Europe » ( Éditions Culture et Racines) VIDÉO CI-DESSOUS...
A lors que l’empire euro-atlantique menace la paix mondiale sur toute une série de fronts brûlants, les défenseurs de la paix et de la démocratie en France et dans le monde ont été ravis de la manière dont les forces démocratiques ont fait échouer le...
Jeudi 2 janvier 2025 Déclarations Le Mouvement suisse pour la paix appelle à résister au rapprochement de la Suisse avec l'OTAN et lance l'appel « Non à l'adhésion à l'OTAN ! » L'alliance militaire, qui a déjà mené plusieurs guerres d'agression, représente...
- FONDERIE DE BRETAGNE Lettre ouverte Macron-02-01-2025.pdf
Fonderie de Bretagne : si la situation ne se règle pas, « on pourra dire que l'industrie est foutue en France », estime la CFE-CGC Le syndicat cosigne, avec la CGT, le Medef et des élus bretons,...
L es attaques militaires israéliennes répétées contre les civils palestiniens au cours des 14 derniers mois, le démantèlement du système de santé et d'autres infrastructures essentielles, le siège et l’obstruction systématique de l'aide humanitaire détruisent...
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Édité par Reynaldo Henquen 2024-12-17 15:37:44 La Havane, 17 décembre, (RHC)- Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a rencontré lundi son homologue mexicaine, Claudia Sheinbaum, au Palais national, siège du gouvernement mexicain, afin de consolider...
[Stockholm, 2 décembre 2024] Les revenus provenant des ventes d'armes et de services militaires des 100 plus grandes entreprises du secteur ont atteint 632 milliards de dollars en 2023, soit une augmentation en termes réels de 4,2 % par rapport à 2022,...