JOUR 4 - JOUR 3 - JOUR 2 - JOUR 1 - Cette page est mise à jour au fil de l’eau dans un ordre chronologique inverse (le plus récent en haut) Avertissement : FaceBook et Twitter exercent une "censure furtive" sur Assange et Wikileaks. Vous pensez avoir partagé, mais en réalité très peu de vos amis/abonnés le verront. N’hésitez donc pas à recommencer "plus tard"...
Suite à un test au Covid 19, l’audience est ajournée jusqu’à lundi.
La grande question après l’audience d’hier était de savoir si l’avocat de l’accusation James Lewis QC continuerait à accuser les témoins de la défense comme un dérangé (spoiler - il le fera), et plus important encore, pourquoi ?
Les représentants des gouvernements cherchent généralement à exercer un contrôle serein et traitent les arguments de défense comme s’ils étaient presque insignifiants, et certainement pas comme une menace concevable pour la pensée majestueuse de l’État. Lewis ressemblait plutôt à un terrier affamé tenu à l’écart d’une saucisse de premier choix par une clôture d’acier dont la fabrication et l’apparence dépassaient de loin son entendement.
Il a peut-être mal aux dents.
PROFESSEUR PAUL ROGERS
Le premier témoin de la défense ce matin était le professeur Paul Rogers, professeur émérite d’études sur la paix à l’université de Bradford. Il a écrit 9 livres sur la guerre contre la terreur, et a été pendant 15 ans responsable des contrats du ministère de la défense sur la formation des forces armées en matière de droit et d’éthique des conflits. Rogers est apparu par liaison vidéo depuis Bradford.
La déclaration complète du professeur Rogers est ici.
Edward Fitzgerald QC a demandé au professeur Rogers si les opinions de Julian Assange sont politiques (en rapport avec l’article 4 du traité d’extradition entre le Royaume-Uni et les États-Unis qui interdit l’extradition politique). Le professeur Rogers a répondu que "Assange est très clairement une personne ayant des opinions politiques fortes". [...]
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