Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>
Rechercher
Recherche
Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
La Sainte Alliance se ressoude contre le Venezuela
Donald Trump vient d’inviter le brésilien Jair Bolsonaro aux USA pour « voir comment s’occuper du Venezuela« . Résultat : les deux pays signent un accord de coopération militaire. A cette tenaille de l’extrême-droite suprématiste, coloniale, contre le Venezuela s’est ajouté le colombien Duque. Ce grand massacreur de militant(e)s sociaux qui s’est emparé du pouvoir, comme vient de le révéler l’ex-congressiste Aida Merlano, en achetant massivement des votes avec l’argent de la cocaïne, vient de réclamer à Trump l’accroissement des « sanctions » contre le gouvernement légitimement élu du Venezuela.
Le leader local d’extrême droite Juan Guaido « opposant démocrate » pour les médias occidentaux, autoproclamé « président du Venezuela » par Trump, vient d’annoncer la reprise de l’insurrection pour chasser Maduro. La méthode est invariable: à l’aide de violences de rue, provoquer les forces de l’ordre pour que les médias internationaux puissent faire les images de la « répression du peuple par le régime ». La presse colombienne a publié des photos prouvant les liens de Guaido avec Los Rastrojos, narco-paramilitaires qui massacrent des deux côtés de la frontière Venezuela/Colombie. Alors que le gouvernement de Nicolás Maduro a fortement avancé dans des négociations avec le secteur démocratique de l’opposition, notamment en prévision des prochaines élections législatives, deux incendies viennent de détruire coup sur coup un entrepôt de la Compagnie Publique de téléphone CANTV et une importante quantité de machines et matériel d’un dépôt du Centre National électoral, attentats aussitôt revendiqués par une bande paramilitaire (voir photo ci-dessous). Lors de son voyage à Washington, Guaido avait obtenu non seulement de nouvelles « sanctions » contre Caracas mais aussi une nouvelle manne pour financer les opérations visant « le changement de régime au Venezuela ».
Le gouvernement bolivarien vient de déposer officiellement une plainte pour crimes contre l’humanité contre les Etats-Unis devant la Cour Pénale Internationale. Les innombrables mesures coercitives unilatérales (« sanctions ») ont provoqué la migration de très nombreux vénézuéliens et des dizaines de milliers de morts – le pays ne pouvant plus acheter de nombreux médicaments et aliments comme conséquence du blocus bancaire occidental et de la guerre économique décrétée par Barak Obama et sans cesse renforcée depuis par Donald Trump.
Genève, 26 février 2020. « Les flux migratoires au Venezuela ont leur origine dans l’asphyxie financière, dans le blocus. C’est la cause et on veut l’ignorer, en rejetant la faute sur la victime » explique le professeur Alfred de Zayas, spécialiste du droit humanitaire, ex-expert de l’ONU qui a visité le Venezuela: « on peut dire qu’aujourd’hui plus de 100.000 vénézuélien(ne)s sont mort(e)s victimes des mesures unilatérales coercitives des Etats-Unis, des dizaines de milliers par manque de médicaments« .
Pour l’avocat Antonio Remiro Brotóns de l’Institut de Droit International et du Permanent Court of Arbitration: « la plainte du Venezuela à la Cour Pénale Internationale est justifiée: créer une famine, augmenter le nombre de morts pour renverser un régime, est un crime international" .
Dans un entretien exclusif réalisé par Ignacio Ramonet – publié en espagnol le 1er janvier 2020 – le président de la République bolivarienne du Venezuela Nicolas Maduro aborde l’ensemble des questions qui se posent aujourd’hui au sujet de son pays. Crise économique, sociale, politique, rapports avec l’opposition, tensions avec les Etats-Unis – qui entreront en campagne électorale cette année –, évolutions géopolitiques en Amérique latine et dans le monde. Sur tous ces sujets, le président vénézuélien expose ses analyses et points de vue.
Une échéance sera au coeur de l’année politique au Venezuela : l’élection législative. « Nous sommes déjà en 2020, c’est l’année où nous allons reconquérir l’Assemblée nationale du Venezuela avec le vote du peuple, pour la mettre au service de l’intérêt national » déclare Nicolas Maduro.
Noam Chomsky, (dissident politique, linguiste, auteur et professeur émérite de renommée mondiale au Massachusetts Institute of Technology, où il enseigne depuis plus d’un demi-siècle avait dans cette intervention de 2015 déjà montré ce qui apparait de plus en plus comme un fait, à savoir que l’IRAN ne cherche pas la guerre à l’inverse des USA. Notons que dans l’acte criminel de Tump qui équivaut à une déclaration de guerre, pour qui suit les démêlées de Netanayoun qui tente de rester au pouvoir, alors que tout le monde à commencer par Liberman le lâche, cette entrée en guerre est pain béni et nul doute qu’il y a joué son rôle. Mais il faut également voir que c’est un va-tout qui ne correspond pas à la majorité en Israël et encore moins aux Etats-Unis, où les plus virulents dénonciateurs de la politique d’Israël sont des juifs, Chomsky mais aussi Sanders. Ils dénoncent non seulement Trump mais la doctrine Clinton d’où tout est issu et le rôle des médias. Le fait que l’immense majorité du monde est contre les Etats-Unis, qu’ils sont isolés avec des vassaux. Obama avait essayé de rompre l’isolement, mais Trump et la presse reprennent. « Ainsi, la presse, encore une fois, indique clairement que les États-Unis sont exceptionnels. C’est un État voyou, indifférent au droit et aux conventions internationales, habilité à recourir à la violence à volonté. Mais les éditorialistes ne peuvent pas être blâmés pour cette position, car c’est presque universel parmi la classe politique de cette nation exceptionnelle, bien que cela signifie, encore une fois, que l’isolement étatsunien soit une de ces choses qu’il ne faudrait pas dire. » note et traduction de Danielle Bleitrach).
Dans un discours prononcé samedi à la New School de New York, Noam Chomsky a expliqué pourquoi il pensait que les États-Unis constituaient la plus grande menace pour la paix mondiale
Trois jours seulement après avoir exigé la démission du président légitimement élu, Evo Morales, le général William Kaliman s’est installé aux Etats-Unis après avoir reçu 1 million de dollars, en échange de ses bons et loyaux services, de la part de l’attaché commercial de l’ambassade des Etats-Unis à La Paz, Bruce Williamson.
La même somme a été remise à tous les autres commandants militaires et seulement 500 000 dollars, les pauvres, aux hauts dirigeants de la police, tous partis aux Etats-Unis. C’est Bruce Williamson qui a été chargé de les contacter et de coordonner les actions qui ont mené au coup d’Etat, entre la mutinerie de la police et l’inaction de l’armée. La sénatrice auto-proclamée présidente, Janine Añez s’est empressée de nommer d'autres commandants en remplacement des fuyards, en évitant ainsi toute enquête immédiate des instances locales et internationales. Comme par hasard, la majorité d’entre eux viennent des provinces de Santa Cruz, Beni et Oriente qui sont, traditionnellement, les foyers les plus réactionnaires et d’où sont nés la plus grande partie des coups d'Etat dans ce pays qui en compte presque plus que d’années d'indépendance. Les nommés sont : Pablo Arturo Guerra Camacho, Commandant en chef d’Etat-major des Forces Armées Iván Patricio Inchausti Rioja, Commandant de l’Armée de Terre Ciro Orlando (...)Lire la suite sur le site "Le Grand Soir"»
Un débat diffusé par la première chaîne d’outre-Rhin a mis en lumière la colère impuissante de la classe politique allemande contre le recul de l’Occident en Syrie, et accusé Donald Trump de tous les maux.
Par Rainer Rupp, ancien agent de renseignement du camp socialiste au plus haut sommet de l’OTAN, condamné et incarcéré par la justice allemande en 1993, aujourd’hui spécialiste des questions géostratégiques
« La marche triomphale d’Erdogan – l’Europe va-t-elle continuer à être une spectatrice impuissante ? » – tel était le titre d’un débat télévisé récemment diffusé sur la première chaîne publique allemande. Bien souvent, dans ce type d’émission, les responsables politiques invités échangent entre eux des platitudes sans importance. Rien de tel cette fois-ci.
Tout au contraire : ce fut un déballage de colère impuissante et d’aveu hargneux d’un échec de tout le camp occidental dans l’affaire syrienne. Comme si les politiciens présents se rendaient compte que ce qui se passe aujourd’hui au Moyen-Orient constituait le début de la fin de la domination occidentale qui y prévalait.
« C’est dur à avaler »
Wolfgang Ischinger, ancien ambassadeur allemand à Washington, et actuel organisateur de l’annuelle Conférence sur la Sécurité de Munich, s’est lamenté : « nous, Européens, nous nous sommes reposés sur les Etats-Unis, en escomptant que ceux-ci allaient régler tout cela au mieux ; nous, Allemands, avons essayé de leur sous-traiter notre sécurité dans la région. Tout cela finit manifestement mal, et du point de vue de l’Union européenne, le pire est encore à venir ».
Et de poursuivre, amer devant cette humiliation de l’ensemble du camp impérialiste : « en 2011 et 2012, nous – la République fédérale, les pays européens et les Etats-Unis – avons dit qu’Assad devait dégager. Et maintenant, c’est dur à avaler, nous devons nous faire à l’idée qu’Assad est toujours en selle, et que nous n’en viendrons pas à bout. La Realpolitik va nous contraindre à accepter cette réalité ».
« Moscou et Téhéran sont les grands gagnants »
Cela entraînera-t-il une reconnaissance diplomatique du pouvoir en place ? « Accepter la réalité signifie admettre que le régime Assad, soutenu par la Russie et d’autres, que nous avons combattu durement depuis huit ans, est toujours là ». Et l’ancien diplomate de lâcher : « nous devrons continuer à vivre avec les massacres de masse, car je ne vois plus aucun moyen, plus aucun moyen militaire, de faire quoi que ce soit » pour changer la réalité en Syrie.
Pour sa part, la dirigeante présente du parti Die Linke, Sevim Dagdelen, responsable des questions internationales pour ce groupe parlementaire, n’a pas vraiment contredit ce point de vue : « en 2011, les Américains ont dit qu’ils voulaient réduire l’influence de la Russie et de l’Iran dans la région, et pour cela ils ont estimé qu’il fallait faire tomber Assad. Les Européens se sont placés dans ce sillage. Et maintenant, nous mesurons le désastre, puisqu’on a atteint exactement l’inverse de ce que l’on voulait empêcher, à savoir que Moscou et Téhéran sont les grands gagnants, pas seulement militaires, mais aussi diplomatiques ».
Regrets inavouables
Ces derniers – qui refusaient la stratégie de déstabilisation d’un pays, une stratégie qui viole le droit international, mais qui ont aidé un gouvernement, à sa demande, à résister à celle-ci – sont donc « hélas les gagnants », si l’on en croit cette dirigeante de « gauche ». Il faut croire que cette dernière aurait préféré la victoire des puissances occidentales ainsi que des terroristes armés et financés par celles-ci.
Quant au président de la Commission des affaires étrangères du Bundestag, Norbert Röttgen (CDU), il a concentré ses critiques contre Donald Trump, Recep Tayyip Erdogan et Vladimir Poutine : au premier, il reproche le retrait des forces américaines du Nord-Est de la Syrie, et son initiative ayant abouti au cessez-le-feu de cinq jours entre les Kurdes du Rojava et la Turquie ; au deuxième, l’invasion des secteurs kurdes en Syrie ; et au troisième, l’accord signé avec son homologue turc le 22 octobre à Sotchi en vue d’une solution politique au conflit frontalier.
« Je suis un fervent partisan de la relation transatlantique » – Norbert Röttgen président de la Commission des affaires étrangères du Bundestag
Mais bien sûr, fidèle vassal de l’« Etat profond » américain, M. Röttgen s’est empressé d’emballer sa critique de la Maison-Blanche dans une profession de foi vantant les « valeurs » des USA : « je suis un fervent partisan de la relation transatlantique, les liens avec les Américains sont non seulement politiquement indispensables, ils sont aussi de l’ordre de l’émotion ». S’étant ainsi assuré qu’aucun malentendu ne subsiste sur ses sentiments profonds, il a ensuite pu affirmer que le cessez-le-feu sur lequel le vice-président Pence et le président Erdogan s’étaient mis d’accord constituait « un point bas historique de la diplomatie américaine, politiquement, moralement, et juridiquement ».
Et d’ajouter : « le plus honteux, dans ce document, c’est qu’il reprend complètement les thèses d’Erdogan (…) j’ai été et je reste scandalisé par cet accord, qui représente, pour la Turquie, un alibi offert sur un plateau par Donald Trump ». Applaudissements nourris dans le studio…
Plusieurs incendies qui consument une partie de l’Amazonie ont été revendiqués par de gros propriétaires terriens brésiliens, en soutien à Bolsonaro et à leur « droit » à détruire la forêt. Une situation facilitée par les attaques contre les défenseurs de l’environnement, encouragées depuis la prise de pouvoir du dirigeant d’extrême-droite. Mais aussi par les clients achetant viandes et soja brésilien, dont la France. Décryptage.
Plusieurs incendies qui consument une partie de l'Amazonie ont été revendiqués par de gros propriétaires terriens brésiliens, en soutien à Bolsonaro et à leur " droit " à détruire la forê...
« Messiers c'est un hasard affreux Mais je l'jure devant Dieu En mon âme et conscience Qu'en détruisant tous ces tordus Je suis bien convaincu d'avoir servi la France »
Photo: Musée du Mémorial de la Paix d'Hiroshima / Agence France-Presse En août 1945, les Américains ont largué une bombe atomique sur les villes japonaises d’Hiroshima (notre photo) et de Nagasaki.
Merci à Danielle Bleitrach de m'avoir donné l'idée de reprendre cette chanson de Boris Vian tout à fait adaptée à l'époque. YG.
Oui j'ai connu le temps où une exposition de Picasso à Marseille suscitait de la part des dockers et des autres travailleurs du port un véritable engouement, ils faisaient la queue pendant des ...
Brasilia, 23 août (RHC)- L'ex-présidente du Brésil, Dilma Roussef, a affirmé que la dévastation de l'Amazonie est le visage terrifiant de la détérioration du pays et un crime contre la Patrie commis par le gouvernement du président Jair Bolsonaro. Dans un article publié sur le site du Parti des Travailleurs, Dilma Rousseff dénonce le fait que la coupe et le brûlage d'arbres, face à l'a
Le processus par étapes de la rétrocession complète de l’ancienne colonie anglaise Hong Kong à la Chine (étape "d’autonomie" au sein de la Chine depuis 1997, avant intégration totale en 2047) est un processus tourmenté comme tout processus de décolonisation, chaque force tirant dans un sens opposé, la bourgeoisie hongkongaise appuyée par l’impérialisme refusant de facto l’évolution à terme de l’intégration pleine et entière de Hong Kong à la Chine.
Cela a provoqué ces dernières semaines un mouvement objectivement néocolonial dans la ville, qui prend de plus en plus les allures d’une "révolution colorée" comme nous en avons connues en Europe de l’Est, en Syrie et ailleurs, avant qu’on y déclenche des "guerres humanitaires", directement ou sous faux-drapeau.
Les manifestants pensent ou feignent de se battre pour sauvegarder leur "autonomie hongkongaise" (temporaire) issue de l’accord anglo-chinois Thatcher-Deng Xiaoping de 1984 prévoyant la rétrocession de Hong Kong à la Chine par l’impérialisme britannique en 1997, mais se faisant ils se battent en réalité pour leur soumission à terme à l’impérialisme en général, et en particulier à l’impérialisme le plus fort, l’impérialisme US. Tel est le fond de la lutte en cours. [...]
Le processus électoral en cours met en évidence une situation inédite que l’on peut décortiquer comme suit. I) Un refus de vote qui va s’affirmant. Bien sûr la catégorie des gens qui s’abstiennent n’est pas uniforme. Il y a toujours eu des individus se...
Édité par Francisco Rodríguez Aranega 2022-05-15 22:53:22 Antonia Urrejola, ministre chilienne des Affaires étrangères. Photo: Prensa Latina La Havane, 15 mai, (RHC)- La ministre chilienne des Affaires étrangères, Antonia Urrejola, a expliqué ce dimanche...
Des militaires des forces armées ukrainiennes chargent des camions d’aide militaire américaine à l’aéroport international Boryspil de Kiev. (Sergei Supinsky / AFP via Getty Images)
Livraisons d’armes à l’Ukraine : Les États-Unis n’ont aucune idée d’où...
Patrice Carvalho O n me demande ce que je pense de l'accord intervenu à gauche après la présidentielle. J'ai l'habitude d'être franc. Le comportement hégémonique de Mélenchon, qui croit avoir décroché la timbale avec son score du 1er tour ne créé pas...
Après les 42% obtenus par l'extrême-droite au deuxième tour de l'élection présidentielle, cette commémoration de la capitulation sans condition de l'Allemagne nazie a pris une importance particulière. Et, comme chaque année, les communistes de Mantes-la-Jolie...
Édité par Francisco Rodríguez Aranega 2022-05-12 23:03:01 Photo des archives La Havane, 12 mai, (RHC)- L'Argentine a réitéré sa critique de la décision des États-Unis d'exclure Cuba, le Nicaragua et le Venezuela du 9e Sommet des Amériques, une action...
▶ Ali Laïdi est l'un des premiers spécialistes en France de la guerre économique. Il nous explique ici comment les États-Unis (principalement) abusent de leu...
Ali Laïdi est l’un des premiers spécialistes en France de la guerre économique. Il nous explique...
D ans la précipitation et sans concertation avec les prescripteurs (médecins, sages-femmes, dentistes), le gouvernement met en place une nouvelle procédure visant à fusionner les certificats d’arrêt de travail et d’accident de travail. L’objectif annoncé...
La Paz, 11 mai (Prensa Latina) Le président de la Bolivie, Luis Arce, sera absent du 9e Sommet des Amériques car le considérant comme une réunion exclusive qui ignore les valeurs de son pays et ceux de la région. La décision de Washington a été rejetée...