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Le 11 novembre 2018, Donald Trump honore l’invitation de son laquais Macron afin de « commémorer » le centenaire de la fin de la boucherie impérialiste lors de la Première Guerre mondiale. Cette présence est une véritable provocation, lorsque l’on sait que la préservation de la paix mondiale est le cadet des soucis du président américain, dont l’intérêt général est avant tout guidé par l’impérialisme sanguinaire et mortifère. En effet, rappelons que :
- Trump, c’est la guerre obscurantiste à l’environnement : retrait de l’accord de Paris sur le climat, exploitation relancée du charbon et du gaz de schiste, etc.
- Trump, c’est la guerre au genre humain sous toutes ses formes haineuses : islamophobie, xénophobie, racisme, misogynie, homophobie, etc.
- Trump, c’est la guerre à la démocratie par son appui aux régimes fascisants et fascistes : Hongrie de Orban, Pologne (où le Parti communiste subit une chasse aux sorcières digne des sombres heures maccarthystes), Ukraine dirigée par des néo-nazis, Israël de Netanyahou, etc., sans compter l’appui aux forces fascistes d’Amérique latine comme Bolsonaro au Brésil.
- Trump, c’est la guerre aux peuples par son soutien aux massacres génocidaires perpétrés par le sionisme israélien dans la bande de Gaza et par le wahhabisme saoudien au Yémen ;
- Trump, c’est la guerre à la souveraineté des nations, dans la continuité des crimes commis par l’impérialisme étatsunien : Yougoslavie, Grèce, Somalie, Congo, Corée, Vietnam, Chili, Guatemala, Cuba, Irak, Libye…
- Trump, c’est la guerre à l’ONU et au droit international : bombardement illégal de la Syrie en avril 2017 et 2018, retrait unilatéral de l’accord nucléaire sur l’Iran, transfert unilatéral de l’ambassade étatsunienne de Tel-Aviv à Jérusalem (non reconnue comme la capitale d’Israël par l’ONU), fin du financement de l’Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, retrait de l’Unesco en 2017 ;
- Trump, c’est la guerre qui menace le monde entier : annonce de « destruction totale » en Corée du Nord, projets de coups d’Etat au Venezuela et Nicaragua, poursuite de l’extension de l’OTAN à l’est de l’Europe face à la Russie, guerre commerciale à la Chine, etc. [...]
Lire la suite ici : https://www.initiative-communiste.fr/articles/international/11nov-trump-go-home-tous-ensemble-manifestons-pour-la-paix-tract/?ct=t(RSS_EMAIL_CAMPAIGN)
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Comment de François Hollande
à Emmanuel Macron s'effectue le bradage
de l'industrie française
Alors que les salariés, les anciens d'Alstom, s'inquiètent pour leur emploi du fait de la situation présentée critique de General Electric, il est bon de revenir sur le bradage de l'entreprise française au profit de la multinationale américaine, opération effectuée en 2014 avec la bénédiction de François Hollande, président de la République et close par son nouveau ministre de l'Economie, un certain Emmanuel Macron ... [...]
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ELECTION DU FASCISTE BOLSONARO AU BRESIL
DU PAS EN AVANT AU PAS EN ARRIERE VERS LE FASCISME
Diagne Fodé Roland
La crise politique au Brésil vient de déboucher sur l'élection du fasciste Bolsonaro, suite à l'emprisonnement politique arbitraire du populaire Lula et la destitution putschiste tout aussi arbitraire de Dilma.
Les ingrédients de la contre-révolution bourgeoisie et impérialiste
En octobre 2002, célébrant son élection à la présidence, nous écrivions que « Lula devra choisir de satisfaire la bourgeoisie ou les travailleurs » parce que « Le Parti des Travailleurs (PT) de Lula vient historiquement de la conjonction de deux forces sociales : à la fois le mouvement syndical - Lula a été dirigeant de la Centrale Unique des Travailleurs (CUT) du Brésil dans les années 70/80 - et le Mouvement des Paysans Sans Terre (MST) apparus dans les années 80. Mais, après trois échecs au présidentiel de 1989, 1994 et 1998, Lula s’est peu à peu éloigné des luttes et revendications radicales des ouvriers et des paysans sans terre. Lula a ainsi peu à peu troqué son alliance politique avec les forces sociales ouvrières et paysannes contre une alliance avec des sections nationalistes de la bourgeoisie brésilienne représentée par le parti libéral de José Alencar. Le projet de Lula est un « partenariat entre syndicats ouvriers, mouvements paysans et patrons », pacte social entre le capital et le travail qu’il a expérimenté dans la gestion municipale en utilisant « la transparence et la démocratie participative » (Une étape pour l'unité des résistances sociales et nationales à la re-mondialisation capitaliste?). [...]
La suite ci-dessous
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Des traders à la bourse de São Paulo, au Brésil (photo d'illustration). MAURICIO LIMA / AFP
La large victoire de Jair Bolsonaro à l'élection présidentielle brésilienne est accueillie favorablement par les milieux économiques et financiers dans le pays.
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Après la victoire de Jair Bolsonaro à la présidence de la République ce dimanche, trois centrales syndicales ont affirmé que l'unité des travailleurs et des travailleuses était le moyen d'éviter un nouveau recul des droits sociaux et ouvriers - traduction Nico Maury. Vu sur son blog.
Les privatisations, la réforme des retraites sont au programme du nouveau président d'extrême droite. Pour CTB (Central dos Trabalhadores e Trabalhadoras do Brasil - proche du PCdoB, 4ème force syndicale du pays avec plus de 700 syndicats affiliés - ndlr), la lutte contre ces régressions et la défense du patrimoine public doit se faire dans les rues et au Congrès national.
"Le chemin de la classe ouvrière et de ses représentant.e.s est celui d'une résistance énergique contre la nouvelle vague réactionnaire annoncée, et il est urgent de former un large front démocratique et populaire pour la défense de la démocratie, des intérêts sociaux et de la souveraineté nationale" déclare le président national de la CTB, Adilson Araújo.
Les dirigeants de Força Sindical se sont réunis lundi et ont publié une note signée par le président par intérim, Miguel Torres. Le bureau central a réaffirmé que la défense de la démocratie exige que le nouveau président respecte les droits du travail, les droits à la retraite, les droits individuels et la liberté de presse. Selon la Força Sindical, le nouveau président et l'opposition doivent parler au nom de tou.te.s les Brésilien.ne.s. [...]
Lire la suite ici : https://www.editoweb.eu/nicolas_maury/Bresil-Les-principales-centrales-syndicales-s-unissent-pour-defendre-les-droits-sociaux-et-ouvriers_a13619.html
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