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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
14 mai 2018 1 14 /05 /mai /2018 22:25
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14 mai 2018 1 14 /05 /mai /2018 19:11
ROUEN : 10h cours Clémenceau
EVREUX : 14 h Gare SNCF

Vu sur le site du SNES-76 : https://rouen.snes.edu/tous-en-greve-le-22-mai.html

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14 mai 2018 1 14 /05 /mai /2018 07:00
Réforme de la SNCF : le document qui sème le trouble

(Photo ajoutée par AC - Gare de Dieppe - Ligne menacée de privatisation ? ou de disparition ? )

Selon le document que nous avons pu consulter, la SNCF souhaite déposer un amendement pour filialiser l’activité des trains régionaux, les TER. LP/J.B.

Vincent Vérier| 13 mai 2018 sur Le Parisien

Alors que la 9e séquence de grève commence ce dimanche, une note de travail interne que nous avons consultée ouvre une brèche pour une possible privatisation de l’entreprise. La SNCF et le ministère des Transports démentent.

A quoi joue la direction de la SNCF ? Dans le compte rendu interne d’une réunion de travail qui s’est tenue le 4 mai entre des cadres de la compagnie et le cabinet du ministère des Transports, que nous avons pu consulter, on apprend que la compagnie ferroviaire a demandé au gouvernement de limiter l’incessibilité des titres de l’entreprise publique à la seule holding. Une petite phrase qui fait l’effet d’une bombe.

« Si seule la holding est protégée, rien n’empêchera la direction de céder ou d’ouvrir le capital de SNCF Mobilités (qui gère les trains) ou de SNCF Réseau (qui gère l’infrastructure), s’agace Fabien Villedieu, délégué syndicat de SUD Rail. Concrètement, cette demande ouvre la voie à une privatisation de l’entreprise publique alors que depuis des semaines le gouvernement et la direction nous répètent en chœur que cette réforme ferroviaire n’est pas la privatisation de la SNCF. » [...]

La suite sur le site du Parisien : http://www.leparisien.fr/economie/reforme-de-la-sncf-le-document-qui-seme-le-trouble-13-05-2018-7713093.php

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14 mai 2018 1 14 /05 /mai /2018 06:23

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14 mai 2018 1 14 /05 /mai /2018 06:21

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14 mai 2018 1 14 /05 /mai /2018 04:35

"Dans les années 1960-1970, tous les investissements hospitaliers étaient financés par les circuits publics ou semi-publics : subventions de l’État, des départements, parfois des communes, prêt sans intérêt de la Sécurité sociale. A cette époque, l’hôpital public était capable d’autofinancer le reliquat."

"Depuis les années 1980-1990, les hôpitaux publics sont contraints d’avoir recours aux marchés financiers, c’est-à-dire aux banques pour obtenir des prêts avec intérêts."

 
 
 
Le 8 mai 2018

par J.-M. Toulouse, membre du Conseil national du Pardem

hopital public crise programme presidentielle

 

Le plan Macron s’inscrit dans les politiques régressives des trente dernières années. Mais si le président de la République est bien l’exécutant zélé et enthousiaste de la libéralisation en cours, il n’en reste pas moins que la main de fer est celle de l’Union européenne qui n’a cessé de bombarder des directives « santé » depuis plusieurs années et a même ouvert une brèche contre le monopole de la Sécurité sociale. Le marché de la santé est juteux ! Il fait saliver les capitalistes depuis plusieurs décennies qui n’ont de cesse d’agir pour casser le service public de la santé. Leurs avancées sont considérables. La régression pour les patients et les personnels est catastrophique.

Même tactique partout : affaiblir, paupériser, réduire les périmètres du service rendu pour préparer les esprits à la mise totale sur le marché. Les cheminots en savent quelque chose, comme les postiers !

La réalité est là : les instruments de destruction de l’hôpital public proviennent des dogmes du capitalisme : financement des investissements par les marchés financiers et non plus par le pôle public, tarification à l’activité (T2A) depuis 2004, privatisation de toutes les fonctions supports qui ne sont pas censées faire partie du « cœur de métier » de l’hôpital, diminution de l’offre de soin par la mise en place des GHT (Groupements hospitaliers de territoire), « lean management » du personnel (65 à 70% des budgets hospitaliers) par la gestion par la peur et la flexibilisation.

La loi HPST (hôpital, patients, santé, territoire), dite loi Bachelot, adoptée en 2009, est en réalité la transposition de la directive Services de l’Union européenne. C’est elle qui régionalise (Agences Régionales de Santé), met en poste des gestionnaires à la tête des hôpitaux, et fait entrer l’hôpital dans un modèle d’entreprise.

Les résultats sont éloquents : l’hôpital public est financièrement à genoux ! Ses personnels, dont les effectifs sont réduits, aussi. Les patients sont moins bien pris en charge et incités à avoir recours aux cliniques privées.

Nous appelons les usagers à exprimer leur refus de la destruction de l’Hôpital public en manifestant le 22 mai aux côtés des fonctionnaires qui dénoncent la casse généralisée du service public. Le triste exemple de ce qui a été conduit en Grèce par l’Union européenne et le gouvernement de Tsipras doit nous inciter à ne pas laisser faire les néolibéraux et leurs valets !

 

I) La vérole des marchés financiers dans l’hôpital public

Dans les années 1960-1970, tous les investissements hospitaliers étaient financés par les circuits publics ou semi-publics : subventions de l’État, des départements, parfois des communes, prêt sans intérêt de la Sécurité sociale. A cette époque, l’hôpital public était capable d’autofinancer le reliquat. La grande loi Robert Debré (qui créa les CHU en 1959) et la construction-rénovation des hôpitaux publics et leur maillage furent financés ainsi sans problème.

Depuis les années 1980-1990, les hôpitaux publics sont contraints d’avoir recours aux marchés financiers, c’est-à-dire aux banques pour obtenir des prêts avec intérêts. Les subventions sont devenues marginales, lorsqu’elles existent. Le résultat a été éloquent : l’affaire Dexia et ses emprunts toxiques et le déficit quasi général des hôpitaux. La FHF (Fédération hospitalière de France), plutôt réformiste et collaborationniste, l’évalue à 1,5 milliard d’euros en 2017.

Les PPP (partenariats public-privé), tant vantés par l’Union européenne, instaurés en France en 2004 par ordonnance, contribuent eux aussi à l’appauvrissement des hôpitaux publics et à leur coût. Vu l'état du patrimoine hospitalier, qui souffre depuis longtemps de sous-investissement, Macron et Buzyn ne vont pas manquer de proposer ces contrats infernaux à toutes les directions hospitalières ! Il est vital de s'y opposer ! (1). [...]

Lire la suite sur le site du Pardem :http://www.pardem.org/actualite/luttes/838-le-plan-de-macron-et-de-l-ue-pour-detruire-l-hopital-public

 

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13 mai 2018 7 13 /05 /mai /2018 21:41

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13 mai 2018 7 13 /05 /mai /2018 21:40

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13 mai 2018 7 13 /05 /mai /2018 17:43
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13 mai 2018 7 13 /05 /mai /2018 17:25
12 Mai 2018

63% des Français athées et  « non religieux »

Ce sondage et les commentaires sur le niveau de vie semblent ignorer le cas de Cuba qui , grâce à l’influence de la franc-maçonnerie était bien avant la Révolution « non religieux »… Pareil pour la Tchéquie avec les effets de la contreréforme et le scepticisme des Tchèques qui l’ont subie… Il y a donc d’autres variables et elles jouent leur rôle également en France où semble-t-il le Robespierrisme  avec une vague reconnaissance de l’être suprême joue son rôle. Cela dit, il serait peut-être intéressant que l’on daigne respecter la majorité de l’opinion française et qu’on arrête de la « communautariser » y compris dans les médias et les divers discours politiciens (note de danielle Bleitrach)

 

En 2012, l’association de sondages WIN/Gallup International, spécialiste de la question, a demandé à plus de 50 000 personnes dans 57 pays si elles se considéraient « religieuses »« non religieuses » ou « athées convaincues ». A cette question, environ un tiers des Français répondent être « non religieux » et presque un autre tiers « athées ». On obtient donc 63 % de Français qui ne s’identifient à aucune religion contre seulement 37 % de Français religieux.

La France compte une majorité d’athées et de personnes « sans religion »
Ces résultats ont été obtenus à partir d’une enquête publiée en 2012 à partir des réponses de 1671 personnes

40 % des Français se considèrent comme athées

En 2010, un autre sondage a permis de dresser un portrait religieux de la France : l’Eurobaromètre commandé par la commission européenne. Les réponses sont assez proches de celle du premier sondage : 40 % des Français se déclarent athées et environ un tiers « croient en un esprit ou une force supérieure ». Un avis plus nuancé mais qui les place tout de même dans les personnes « sans religion ». Près de 70 % des Français sondés ne se réclament donc d’aucune religion précise, même si un tiers d’entre eux croit en une forme de divinité.[...]

La suite ci-dessous :

 

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